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Lol, 38 ans, Cergy
J'avoue que j'ai mis du liquide vaisselle dans mon lave-vaisselle et il a moussé comme un fou le bougre, la cuisine était hors-service aussi...
J'avoue que j'ai dit à mon mari : "bah non, tout est sous contrôle, tu vois bien !".
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Blabla, 20 ans, Grenoble
J'avoue que le moment était parfait.
J'avoue qu'il m'a embrassée avec tellement de douceur.
J'avoue que l'alcool a rendu les choses magiques.
J'avoue que j'aurais aimé aller plus loin mais que je m'y suis refusée.
J'avoue l'avoir torturé en lui laissant croire que c'était possible.
J'avoue avoir pris mon pied à faire ça.
J'avoue avoir eu la chance que ce soit un mec bien qui sache se contrôler.
J'avoue (que je sais) avoir dépassé la limite qui permet de rendre accro un homme à votre corps.

J'avoue n'avoir eu aucun remord vis-à-vis de mon copain le lendemain.
J'avoue que jouer avec les désirs d'un homme m'avait manqué !
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Marie, 50 ans, Paris
J'avoue manger bio mais fumer comme une dingue.
J'avoue c'est complètement débile vu en plus le prix que ça me coûte.
J'avoue mériter l'épitaphe : Ici gît une bobo bêbête !
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June, 25 ans, Paris
J'avoue que j'ai eu un rendez-vous avec un homme.
J'avoue que c'était un vieux fantasme de la faculté.
J'avoue que j'étais folle quand je le voyais en cours.
J'avoue que j'ai accepté de le voir pour ça. J'avoue que maintenant il est marié.
J'avoue que ce n'est pas mon problème.
J'avoue qu'il est toujours aussi charmant.
J'avoue que je me suis souvenue de pourquoi il me plaisait.
J'avoue que j'adore ses lèvres.
J'avoue enfin que je n'ai aucun remords.
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TheSister, 24 ans, Roazhon
J'avoue qu'il y a des jours, des semaines, des mois pendant lesquels je manque d'amour.
J'avoue que ce soir, je vais oublier ma peine dans les bras de deux magnifiques garçons.
La vie est dure...
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Bulle, 21 ans, Bordeaux
J'avoue avoir abandonné la fac de médecine.
J'avoue que mes parents n'en savent rien du tout.
J'avoue que je ne sais plus quoi faire.
J'avoue que ça me ronge de mentir.
J'avoue avoir peur de dire la vérité pour ne pas blesser ma mère qui travaille dur pour payer mes études.
J'avoue que je culpabilise à mort.
J'avoue être dans la merde car aucun établissement privé ne veux me prendre après mes résultats épouvantable cette année...
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Honteàmoi, 20 ans, Bordeaux
J'avoue que j'ai honte d'avouer ça...
J'avoue que je n'aurais pas dû le faire (mais c'est plus fort que moi).
Ne m'en veux pas mon amour.
J'avoue que je détestais le lien d'amitié que tu avais encore avec ton ex et cela même ce lien n'était pas très fort.
J'avoue que j'ai monté un plan bidon pour vous séparer enfin.
J'avoue que je l'ai supprimée de tes amis sur facebook.
J'avoue également que j'ai modifié 2-3 chiffres à la fin de son numéro de portable dans ton répertoire, pour qu'elle ne reçoive plus tes sms.
J'avoue aussi que je savais que tu allais bientôt changer de numéro de portable à cause de ton nouvel abonnement.
Donc j'avoue que tu as envoyé ton premier sms à un mauvais numéro alors que tu pensais que c'était ton ex.
J'avoue que comme ça vous ne pourrez plus vous contacter et penserez que l'un ou l'autre vous fait la gueule.
J'avoue que j'ai vraiment honte de moi...
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Gecko, 23 ans, Liege
J'avoue que vers 12-13 ans pour faire comme les grands, avec mes potes, je fumais tout ce qui me passait par la main ...
Seul problème tout cela venait de la cuisine de maman !
Merci coriandre, thé, basilic et autre cerfeuil.
Et bien sûr tout cela roulé dans du bon vieux papier journal !
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Gecko, 23 ans, Liège
J'avoue que cette fin d'après midi, ce n'était pas la pluie.
J'avoue que sur le retour je roulais vite (beaucoup trop vite).
J'avoue que j'étais jeune et stupide, je suis toujours jeune mais un peu moins con.
J'avoue que quand ma petite ford fiesta est partie du cul, un fraction de seconde j'ai cru ne jamais en sortir.
J'avoue que sans un putain de réflexe peut-être aurais-je, à l'heure d'aujourd'hui un ou plusieurs morts sur la conscience.
Bref... j'avoue que cette après-midi de juillet, c'était totalement de ma faute si j'ai mis ma voiture sur le toit ... et non ce n'était pas la pluie !
Mais je dois dire que depuis ... je roule beaucoup plus calme !

et je dois avouer aussi que malgré cette connerie, je suis fier de ne jamais avoir pris le volant après avoir bu !
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FactoryGirl, 19 ans, Paris
J'avoue que je suis dans une galère monstre, je ne sais pas si j'aurai le bac. J'essayerai de tout faire pour l'avoir, mais ça me fait peur. J'aurai du m'y prendre plus tôt, avoir cette motivation qui me manque à présent. Ça a été être les 5 jours les plus longs de toute ma vie. Et l'attente, au 5 juillet, des résultats : une torture. J'avoue être fainéante, irresponsable et pas foutue de travailler. Maintenant je m'apitoie bêtement sur mon sort.
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Alice, 20 ans, Toulouse
J'avoue que mon frigo ne contient, en tout et pour tout, que deux canettes de Coca Zero, un 1/2 oignon, un bocal de gingembre au vinaigre et un tube de colle cyanoacrylate. Je n'ai plus une fringue propre, et il me reste de quoi nettoyer mes lentilles pour seulement deux jours. Je devrais aller faire les courses, non ?
J'avoue, je suis une sacrée feignasse.
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Marissa, 22 ans, Nantes
J'avoue avoir volé une amie.
J'avoue regretter.
J'avoue ne plus pouvoir revenir en arrière.
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BabyCat, 19 ans, Avignon
J'avoue que malgré ma première réaction face à sa coupe de cheveux, le fils du patron me semble bien attirant ce soir. S'il m'invitait je pourrai fondre.
J'avoue que c'est toujours froid en sa présence et silencieux... mais que ces quelques mots m'ont redonné un peu d'espoir : celui de quitter ma condition de pathétique mélancolique des amours perdus.
J'avoue que percer ces murs de silence me semble être un plaisir délicieux.

J'avoue... J'ai toujours pas retenu son prénom.
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Blabla, 22 ans, Angers
J'ai du mal avec la distance qui me sépare de mon petit ami que je ne vois que tous les 2 mois.
Je me rends de plus en plus compte que ne pas faire l'amour régulièrement me frustre alors que j'étais certaine d'être "plus forte que ça" et de pouvoir attendre de revoir mon homme.
J'ai, à cause de cette distance, des pensées envers un très bon ami à moi avec qui j'ai eu une relation l'an passé et avec qui je m'entends toujours bien. Cet ami me plaît toujours, même si je ne le fréquente pas plus qu'un ami normal (c'est bien d'avoir des amis beaux, non ?).
Je ne supporte plus cette distance et ce vide qui me sépare de mon homme.
Je l'aime à la folie.
Hier, je l'ai trompé en allant voir mon ami.
Nous nous sommes touchés, j'en avais envie et besoin et ça m'a fait un bien fou, ainsi qu'à lui.
Je me suis arrêtée avant d'aller jusqu'au bout (même si le mal est vraiment fait à ce stade) en me rappelant que cet homme n'est pas "mon" homme.
Je suis rentrée chez moi après en avoir discuté avec lui.
Je ne lui en veux pas : il est mon ami, je ne suis pas amoureuse de lui, et il m'a aidé à assouvir mon envie.
Je m'en veux car j'aime mon homme.
Je prend un train sans le prévenir de ma venue pour le rejoindre le temps d'une soirée, l'homme travaillant la journée, pour tout lui avouer et surtout lui dire que je l'aime et que je m'en veux.
Je n'ai aucune idée de sa réaction.
J'ai peur qu'il me quitte.
Il aurait raison de le faire...
Je l'aime et j'espère réellement qu'il "comprendra" ma bêtise... Je m'apprête à faire 500 km rien que pour lui.
Je suis fauchée, je vais frauder... Je souhaite que ça en vaille la peine.
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Serpent, 34 ans, Quimper
Je distrais mes collègues pendant leur travail.
J'avoue que je suis DRH et cela me barbe de les voir faire la tête, toute la journée.
J'ai donc un mot imparable pour redonner le sourire.
Beaucoup mieux que les micro-augmentations que l'on m'autorise à faire, beaucoup mieux que toute la reconnaissance que je sais donner, beaucoup mieux que les cadeaux du Comité d'Entreprise.
Ce mot c'est : "prout !".
Je sais pas pourquoi, le DRH se plante face à un collaborateur, le regarde dans les yeux et finalement dit "prout" et tout le monde a le sourire !
En plus ce sourire dure longtemps ! Il suffit que je passe et hop ! Il revient !
Mon chef se pose des questions, je reçois les sourires et pas lui. Je ne lui ai pas expliqué non plus. Il comprendrait pas. Quoique ... Je ne sais pas...
C'est peut être un mot universel ?!
J'avoue que je vais pas essayer.
Il voudrait un développement argumenté. Y'a rien à développer ?! Les collègues font la gueule ! ---- Prout ! ----- Et puis c'est tout !
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Artemiss, 26 ans, Olympe
J'avoue je réagis souvent trop vite aux provocations. La semaine dernière j'attendais mon RER à châtelet, un train passe avant le mien, s'arrête quelques minutes en station et un gros couillon se met à me faire des "psst psst hé hé ! madmaoiselle + mimiques et gestes obscènes pour montrer à ses potes comment il est trop balèze et qu'il arrive à faire rougir une fille".

Tout ça fini par m'agacer, les portes se referment je le regarde et lui fait un doigt d'honneur en articulant "Va te faire ****".
J'avoue, j'avais oublié que le RER a des fenêtres et que les lascars c'est comme les lamas, ça crache.
J'avoue que la nana assise à côté de moi qui n'avait rien suivi s'est pris un gros mollard dans les cheveux. Elle était furax, et moi j'ai fait celle qui ne comprenait pas d'où ça venait... Je me suis gentiment éloignée en remerciant le seigneur que ce gros blaireau sache pas viser.
J'avoue j'suis une baltringue.
-> Meilleur aveu 2011-05-16 Meilleur Aveu <-
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Poussette, 30 ans, Paris
J'avoue, quand javais 10 ans j'ai fait accusé mon frère d'avoir cassé ma game boy neuve, il s'est pris une roustée à ma place... Je n'ai jamais osé jusqu'à maintenant avouer que c'était moi qui l'avait cassée.
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Thiery, 25 ans, Nimes
J'avoue que je me cure le nez et que j'en suis fier.
Contrairement à ce que certains prétendent, c'est très propre car moi au moins je me nettoie le nez. Si certains aiment avoir des conneries plein le nez... C'est leur problème.
J'avoue marre de cette hypocrisie. Tout le monde se cure le nez j'en suis sûr et pas que des hommes...
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Puto, 24 ans, Puteaux
Ce matin, en allant au boulot, pas mal de gens me regardaient bizarrement dans le train.
Arrivé à mon poste, j'enlève ma veste et me rend compte qu'après avoir noué ma cravate ce matin, j'avais zappé de rabaisser mon col de chemise...
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Moua, 29 ans, Lyon
J'avoue que depuis des mois je craque sur un collègue de travail... J'avoue que je me suis bien donnée du mal pour lui faire comprendre aussi... pourtant j'avais déjà quelqu'un dans ma vie mais ça ne m'a pas empêcher de le draguer ouvertement sans succès...
J'avoue c'est moche ! Depuis deux mois je ne suis plus avec mon copain. C'est le moment que mon collègue a choisi pour m'avouer que lui aussi n'était pas si indifférent. Après deux jours de débauche (non, j'avoue, même pas....), il m'a dit que rien n'était possible entre nous, qu'il n'y avait pas le "truc". Il n'a clairement pas avoué m'avoir prise pour une conne ni un coup d'un soir mais c'est évident. J'avoue je suis blasée... J'avoue, surtout qu'il passe la journée en face de moi et que je n'ai qu'une envie, lui arracher sa chemise de geek.... J'avoue, je suis atteinte....
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Pffff, 35 ans, Ostende
J'avoue, je suis une adulte responsable et je suis au travail, mais que je n'ai qu'une seule envie : rentrer chez moi pour jouer aux Sims 3 !
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NimportNawak, 20 ans, Nice
J'avoue qu'un matin en me réveillant j'avais mal au clito et, va savoir pourquoi, je l'ai dit à ma soeur. Ma jumelle sait que je me masturbe. Elle m'a sorti : "Ben vas-y mollo quand tu t'astique le bouton."

J'avoue, j'étais morte de rire.
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Karine, 21 ans, Strasbourg
J'avoue que les gamins étaient vraiment relous cette après midi alors j'ai décidé de faire un roi du silence. J'avoue que le jeu a tellement bien fonctionné qu'ils m'ont laissée lire mon bouquin et qu'ils l'ont fermé pendant 4h ! Ouah chapeau ! Ils ne voulaient même plus parler quand la maman est revenue car ils tenaient vraiment à gagner leur jeu... Quelle bande de naze, en tous cas moi j'ai bien lu, tout en étant bien payée. Si vous avez d'autres idées je suis preneuse.
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6fax, 20 ans, Paris
J'avoue que je suis en train de parler à une nana dans le bus et elle me fait vraiment penser à quelqu'un... J'arrive plus à me souvenir. Ah si ! Elle ressemble à Thomas dans Carré ViiiP sur TF1 !!! Je lui dis ?
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Tinapony, 45 ans, Versailles
J'avoue qu'il est temps d'avouer.
A ne plus être l'objet d'attentions, ni d'échanges « vrais » avec mon mari, je me suis petit à petit éloignée de lui.
Tout d'abord virtuellement, en m'intéressant à une autre personne, un célibataire de ma connaissance plus jeune que moi, et semblant avoir des difficultés personnelles. Petit à petit, cette correspondance du soir en instantanée m'est devenue essentielle, et presque quotidienne. Quel bonheur d'apprendre, d'échanger, de soutenir. Cela a duré presque trois ans. Que de l'amical, rien de charnel.
Comment n'ai-je pas vu qu'il s'agissait d'une fuite pour oublier que j'avais oublié mon couple ? Comment mon mari a-t-il pu supporter mes couchers tardifs ? Jamais de reproches, jamais de crise. Que de l'indifférence. 21 heures : que j'ai pu détester cet horaire. Celui où les enfants vont dormir, celui des retrouvailles supposées être en tête à tête entre conjoints.
Ce fut après un voyage avec mon mari sans nos enfants que la crise a commencé. Il s'agissait de notre premier voyage depuis que nous étions devenus parents, 12 ans plus tôt.
Un voyage à deux comme une seconde lune de miel, cela aurait dû être merveilleux. Nous partions en groupe pendant 15 jours selon un circuit bien rôdé. En apparence, tout allait bien. Les sites à visiter étaient merveilleux, le groupe très sympa. Oui mais voilà. Coté sensualité, pour ne pas parler love, rien du tout, le désert total. Pourtant il n'y avait plus de fatigue liée au travail, plus de transport en commun interminable. Nous étions à l'hôtel, la température dépassait les 30 degrés, c'était les vacances. Au retour, je ne pouvais plus nier l'évidence : 15 jours de vacances géniales sans sexe, la situation était grave.
Je savais qu'un jour je referais une thérapie, j'ai utilisé la situation pour en commencer une dès le retour. Bien évidemment, j'ai mis 5 mois à parler de mes problèmes de couple à ma psy. Officiellement, je venais pour un surpoids, pour des angoisses et des doutes et pour mon travail qui me prenait la tête.
Qu'il est dur d'avouer, même en séance de psy.
Mon ami sentait ma souffrance, il avait deviné je ne sais comment qu'elle n'était pas seulement liée à mon travail. Un premier mail de sa part m'expliquant qu'il était malheureux de me voir souffrir inutilement a tout déclenché. Il expliquait qu'il comprendrait que je sois amenée à lui tourner le dos, car inconsciemment j'avais peut-être deviné que je lui plaisais, même s'il savait pertinemment que c'était sans espoir, mais juste parce qu'il aimait les personnes qui ont du charme et qu'il ne voyait aucun mal à vivre avec cette idée. Il expliquait que cela pourrait peut-être avoir des conséquences sur ma thérapie.
Ce mail, je ne l'ai même pas « compris », je l'ai mis de côté ! Mais il était là et il faisait son œuvre. Deux mois plus tard, toujours par mail, je lui exposais ma situation conjugale. Que ce fut dur. Il a été très honoré et peiné d'apprendre tout cela, mais en même temps il reconnaissait avoir flairé l'affaire, même si je prenais soin de ne rien dire.
Peu après il m'apprenait qu'il avait eu récemment une liaison furtive avec une ex petite amie datant du lycée. Elle était mariée depuis quelques années, avait un enfant, et s'ennuyait. D'apprendre cette nouvelle, cela m'a fait comme une autorisation.
Et moi qui n'avait jamais été « voir ailleurs », et bien je l'avoue, je suis allée le trouver chez lui peu après pour lui dire à quel point j'étais heureuse de son amitié, mais aussi de son regard sur moi. Je n'ai pas su résister à ce regard, à cette admiration.
Notre liaison a duré quatorze mois. Quatorze mois de vie, de désir, de jouissance, mais aussi quatorze mois de culpabilité, de peur et de tristesse. Comment ai-je pu ne pas éviter cela ?
Heureusement pour moi, ma psy a été mon meilleur soutien. J'ai pu, à cause de cette situation, lui parler (enfin !) de mes problèmes conjugaux et de cette liaison. J'ai été soutenue par elle pour parler à mon mari afin de lui dire que rien n'allait plus. Il ne m'a pas entendue, alors je lui ai fait une longue lettre. Il m'a répondu et nous sommes convenus qu'une thérapie de couple semblait être la seule issue. Comme il freinait, nous avons lu pendant trois mois chacun de notre côté le même livre sur les thérapies de couple, pour comprendre de quoi il retourne. A l'issue, il s'est demandé s'il ne valait pas mieux pour lui de faire une thérapie individuelle. Ce qu'il a commencé, toujours pendant ma parenthèse amoureuse, qu'il ignorait bien sûr. Il n'a jamais su. Sa thérapie a été bénéfique et a lui permis de comprendre pourquoi il laissait faire cette situation et pourquoi il aimait si peu les échanges personnels (comprendre introspectifs) avec moi. La raison était complexe, ancienne, et le fait qu'il soit comme cela m'avait bien sûr convenu pendant fort longtemps, pour reproduire une histoire qui n'était pas la mienne.
Nous avons pris notre temps, mais avons quand même entrepris une thérapie de couple, tout juste achevée.
La tornade est passée, la montagne est grimpée, nous redescendons vers la vallée. Nous savons qu'en cas de problème, il y aura notre thérapeute de couple au cas où.
Nous ne divorcerons pas.
Nous avons décidé de mieux nous occuper de nous.
Mon ami, ex amant, prépare son départ. Il va partir loin. Je n'y suis absolument pour rien, c'est un vieux rêve pour lui, et je ne l'aurais pas empêché de le réaliser. Nous avons donné à l'autre le meilleur de nous même, ce qui nous a permis de vivre une histoire merveilleuse, mais irréelle, et impossible à poursuivre. Une histoire-médicament.
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