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Z35, 31 ans, Rennes
J'avoue que j'en peux plus de mon travail et je me suis tellement plains auprès de tout le monde depuis des mois que que ça y est : je suis la relou qui parle tout le temps de son travail et en mal. Du coup, je n'ose plus me confier.
Ce soir, je viens de me retrouver bloquée à l'instant à pas savoir vers qui me tourner pour me plaindre, pas me confier mais me plaindre ! De tous ces clients relous et neuneus qui ne comprennent rien et que j'ai envie de buter sur place tout en gardant un beau sourire de façade, je vois la psy lundi mais c'est trop loin, besoin de me défouler ici maintenant tout de suite.
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Leidose, 40 ans, Nantes
J'avoue que j'en ai marre de beaucoup de choses.
J'avoue que mon chef ne supporte pas la pression et la remet sur moi, ça m'énerve et me donne envie de change de boulot.
J'avoue que depuis qu'on a un enfant ma femme n'a plus de libido et que ça m'énerve, je ne lui mets pas la pression, je prends sur moi.
J'avoue que le fait qu'elle reste passive sur sa perte de libido me fait penser qu'elle s'en fou.
J'avoue avoir penser qu'elle me trompait. Et j'avoue le penser toujours de temps en temps.
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Cassandra3101, 25 ans, Roanne
J'avoue qu'il y a plein de choses que je n'aime pas chez moi, à commencer par mon poids. Je prends, je reperds... C'est un mal être surtout vis-à-vis de mon homme car je me sens moche. Et j'ai peur de ne plus lui plaire. Ensuite des cicatrices depuis toutes petite qui elles aussi me dérangent. Je manque aussi de confiance en moi.
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Tristessa, 30 ans, Montréal
J'avoue que j'ai envie de pleurer.
J'avoue que ma vie de couple est un échec, malgré tout mes efforts. Pour une raison obscure, il a décidé de s'enfermer dans sa chambre, de m'ignorer. Bien oui, il a sa chambre pas parce que je le voulais, mais parce qu'il voulait avoir son espace à lui.

Je suis là ne sachant plus quoi faire. Je suis découragée, triste et ne sait plus comment améliorer la situation. Je travaille 5 jours semaine. Il ne travaille pas depuis 9 ans. Il reste à la maison. Il reçoit un petit revenu. Je paie la plupart des choses. Je dis rien. Il a un problème d'alcool. Je fais avec. Malgré tout mes efforts, ce n'est jamais assez. Il est habitué d'être très à l'aise. Moi, j'ai un revenu correct sans plus. J'arrive à payer mes choses et les siennes. Il apprécie, mais il est très critiqueux. Je me sens jamais assez bien.

Pourtant, j'en met de l'eau dans mon vin pour ne pas réagir à ces sottises. Il me demande beaucoup de patience. On a changé d'appartement, jeudi, on signe un nouveau bail. Il dit vouloir qu'on en parle. Je marche sur des oeufs. J'aurais voulu que ça fonctionne. Je me sens comme si je faisais tout les efforts. Monsieur reste là assis pendant que je fais le ménage. Je cuisine pour qu'on mange bien. Je m'assure qu'on ne manque de rien. Pourtant, ça ne semble pas suffisant. J'abandonne, je ne peux pas faire plus. Je laisse cette situation dans les mains d'une puissance supérieur. Je ne peux pas faire plus. Je vais essayer de dormir. Il est tard. Je me lève dans 3 heures.
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Banane triste, 36 ans, Montréal
J'avoue que ça faisait quelques semaines que j'étais avec ma blonde et je lui demandais de me faire une petite gâterie.
Chose qu'elle refusait systématiquement.
Un soir, où je ne m'y attendais pas, où j'ai rien demandé, elle me fit pour la première fois une fellation.
Soudain, je l'entends me dire : "ah bon ? et bien c'était la première et la dernière fois que je te suce".
J'avoue que je m'étais endormi, et elle l'a très mal pris.
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Ta.ia, 18 ans, Montmagny
J'en ai marre que ma mère me voit comme un démon, une punition. Marre de devoir cacher ce que je ressens, marre de mon corps. J'ai l'impression que ma vie ne m'appartient plus. Parfois il m'arrive d'avoir si mal au cœur que je veux crier et tout casser. J'ai l'impression d'être vraiment devenu ce démon que mes parents disent ; un monstre incapable d'aimer.
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Regrets, 30 ans, Paris
J'avoue, j'en peux plus en fait je crois. J'en suis sûre. C'est trop. Enfin, comprenez ! Réalisez un peu !
On ne m'autorise plus à travailler, danser, partager, créer, rigoler, baiser, rencontrer, serrer les gens dans mes bras (alors que je ne le fais pas), leur dire que je les aime, boire des shots avec eux, ou juste n'importe quoi, vibrer, ressentir, espérer, aimer, m'élever, tomber, me relever, et j'en passe... Non. Tout ça m'est interdit maintenant.
Bonne ou mauvaise cause, je ne suis pas décisionnaire et ne souhaite pas l'être...
Mais voilà, en ce même temps, oui, en ce temps où l'on me demande de faire abnégation, où l'on arrête une manifestation pacifique faite en musique, (je laisse les termes à chacun), où l'on se fout royalement de la représentation populaire de la culture globale, dans les rues, chaque semaine; dans ce même temps je disais, on autorise publiquement, en rassemblement, des gens à me traiter de meurtrière.
On m'oblige, alors que je n'ai pas le droit de faire entendre de musique de mon balcon, à regarder passer ces manifestations légales (elles oui !!!). Que dis je, Ô pardon ?! Ces rave party (le mot rassure il paraît), ces réunions de bien pensant, de simples d'esprits, d'étriqués, de mal baisés, de simple connards qui osent dire de moi, que je suis une femme trop faible pour m'être défendue contre le grand méchant Loup, que je suis une femme bastillonnée, lâchée, perdue, que j'ai agit comme une broyeuse à poussins, (sorry pour les nuggets).
Qu'on me libère !!! Qu'on me libère de votre sombre idiotie, à tous. Qu'on m'explique pourquoi je dois vivre ça. En 2021. La légalité de la manifestation n'explique pas l'étrangeté de la chose, des priorités, de l'absence de cohérence... Rien ne va. Quand je vois ça, rien ne va. Et on confond tout. Et on me retient de faire trop de bruits, de respirer, de parler trop fort...
J'avoue, fallait pas me le dire deux fois. Je crie, je m'exclame, et je hurle : j'avoue, je vous emmerde. Royalement. Simplement.
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Moloi, 33 ans, Boulogne
J'avoue, sérieusement avec vos Stories d'apéro en appart avec les potes, gardez-les pour vous. C'est déjà assez irrespectueux et égoïste de faire ça donc évitez d'agacer ceux qui respectent.
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Mira, 26 ans, Paris
J'avoue être toujours triste sans raison...
J'avoue parfois pleurer seule dans mon lit le soir...
J'avoue être amoureuse d'une personne dont je ne suis pas sûre qu'elle m'aime autant.
Les gens ont toujours des doutes sur moi.
Est-ce dû a mon manque de confiance en moi ?
Moi qui veut toujours tout bien faire dans les règles de l'art.
Est-ce que je me trompe ?
Je suis amoureuse d'un homme avec lequel je ne suis pas sure de l'avenir..
D'un homme sans projet professionnel stable...
D'un homme qui me fait peur ...
D'un homme qui me faisait sourire et maintenant ce n'est plus le cas
Mais cet homme vit des difficultés...
Dois-je le quitter ou laisser la tempête passer ?
Telle est mon interrogation...
Car à quoi bon tout donner si c'est par la suite perdre !
Quoi qu'il en est je suis perdue
Faut il m'acheter un GPS ?
Le seul GPS que j'ai c'est mon cœur et il me dit de m'accrocher...
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Infirmière silencieuse, 32 ans, Metz
J'avoue,

ça fait deux jours que j'ai repris le travail maintenant, et je suis ébahie devant... devant... ma foi, devant les conditions de vie de mes patients, devant les conditions de travail de mes collègues. Et devant leur mauvaise foi.

Comment peut-on laisser les patients se coucher tout habillés, avec vestes et chaussures ? Et comment peut-on oser dire "on n'a pas le temps de les aider à se coucher", alors qu'on ne fout quasiment rien de la journée dans ce service ?

... je ne comprends pas. Oui, vous manquez de personnel, oui, on tourne en effectifs réduits, mais même là. Même là. Où est passé votre humanité, les filles ?

OK, les locaux sont dégueulasses, OK tout tombe en ruine, OK c'est moche et ça pue partout, mais c'est vraiment ça qui compte pour vous ? Le décor ? Vous pouvez faire de grandes choses si vous voulez, mes chères collègues, vous en êtes capables, vous êtes infirmières... ça veut dire que de base, vous aimez les gens, vous voulez les aider ! Alors allez-y, commencez quelque part, faites le premier pas...

Je n'ai pas toujours travaillé dans ce service. Dans mon service précédent, qui était bien plus lourd en terme de charge de travail, on aidait les patients à se coucher, à manger, à s'habiller, on discutait avec eux, on leur organisait des activités.
C'est possible, quand on le veut. Alors les filles, arrêtez de vous voiler la face. Vous le voulez pas, c'est tout. Vous le pouvez mais vous le voulez pas.

Deux jours de travail et j'ai déjà perdu la foi ! Mais après tout, le salaire est le même à la fin du mois, que j'aie la foi ou pas. C'est ça la beauté d'être fonctionnaire (ironie). Alors c'est à moi de choisir, vais-je essayer de faire mieux ou vais-je juste m'intégrer dans un groupe de collègues et me taire ?
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Sarah, 33 ans, Lorient
J'avoue... j'en ai marreeeee de ma mère. Elle me confie absolument tout ! Et j'ai des choses qu'on est pas forcément censé connaitre en tant que fille. Je ne suis pas sa copine, même si on est très proche. Je ne suis pas son psy, elle en a déjà un. Alors m*rde quoi ! Je sais qu'elle va mal, qu'elle a des problèmes de dos, des problèmes de dépressions, etc. Mais elle rabâche sans arrêt la même chose, à chaque fois que je la vois. Ça ne va jamais bien, et c'est toujours pour les mêmes raison. Je les connais par cœur. Je les ai entendu 1000 fois ! Et franchement, connaitre des détails comme la première fois de mes parents, que mon père a pleuré ou des trucs du genre, ça me fout vraiment mal à l'aise. Mais elle ne s'en pas compte apparemment. Elle raconte tout, sans filtre.

Et moi ? Moi, je suis une éponge. J'absorbe tout ses problèmes et ses angoisses. Elle a l'air de s'en foutre que j'ai les miennes à gérer en plus. Je suis également malade psychologiquement. Et bien plus qu'elle. Mais elle a l'air de s'en foutre. Moi, j'en parle pas. Elle se dit peut-être que ça doit aller si je dis rien. Non, c'est juste que moi j'aime pas en parler. Mais ça veut pas dire que je souffre pas. Et elle me rajoute la bonne couche gratinée de ses propres problèmes par dessus.

Pfff, j'en ai marre. J'ai vraiment envie de lui dire la fermer parfois ! Qu'elle la ferme, qu'elle parle à son psy si elle a besoin, qu'elle me laisse tranquille ! Elle radote en plus. Des histoires de son passé, de son enfance, de sa mère, de ses vacances ; puis de mon père, de leur vie ensemble, puis de ses conneries. Elle arrête à de dire qu'elle s'en fout de lui (ils sont divorcés), mais elle arrête pas d'en parler. Elle me saoule !!!

Je voudrais qu'elle arrête de rabâcher comme une p'tite vieille, qu'elle arrête de chouiner sur des trucs que je connais par cœur, qu'elle me laisse tranquille et qu'elle arrête de déverser ses problèmes sur moi parce que ça lui fait du bien de me parler. Tant mieux pour elle, mais moi ça me fait pas de bien du tout !!!

Je veux qu'elle lâche la grappe et trouve une autre confidente. J'ai déjà assez avec mes propres problèmes psychologiques comme ça.

Maman, si tu m'aimes, fous moi la paix !!!
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Garou, 20 ans, Paris
J'avoue, j'en ai ras le bol de faire des efforts pour des gens qui sont à peine reconnaissant !
J'en ai ras le bol de devoir supporter le magasin qui est juste en dessous de ma chambre, ils mettent la musique à fond et ça fait trembler mon lit ainsi que me mon sol !!!
J'en ai ras le bol de faire le gentil avec tout le monde même avec ceux qui ne le méritent pas !
J'ai du mal à supporter que nous sommes pas éternels et que des êtres très très très chers puissent mourir.
J'en ai ras le bol de devoir me plier à ce qu'on m'impose.
J'en ai ras le bol d'être déconnecté de la réalité à cause de mon ancienne addiction au cannabis qui peut revenir à tout moment.
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Juste un sourire autour d'un verre, 22 ans, Lille
Je suis épuisée, constamment. Dans ce début de vingtaine qu'est le mien je me rend compte que je n'espère plus rien de la vie et de ce qu'elle pourrait m'apporter. J'ai beau être en couple, je me sens seule. Je ne sais pas où est passée la communication entre nous deux, nous ne nous disons plus rien, ne partageons plus aucune complicité. Je ne me souviens même plus quand était la dernière fois qu'il m'a fait rire aux éclats, la dernière fois que ses paroles n'ont pas juste provoqué agacement et indifférence en moi. Il me juge en permanence sans essayer de me comprendre, c'est comme ça depuis quatre ans. Si je déprime, si j'angoisse, si je suis d'humeur maussade ou colérique, il ne cherche pas à savoir pourquoi. Il choisit tout de suite le conflit. J'aimerai juste parfois un peu de tendresse, de réconfort,de compréhension...
De mon côté, je sais sentir quand il va mal, je n'ai pas besoin de provoquer une dispute pour savoir quand ça ne va pas. Et je ne dis rien, je lui fais juste comprendre que je suis là pour lui s'il a besoin de moi pour parler ou pour être réconforté. Il faudrait juste qu'il fasse ça de temps en temps. Mais je sais que je ne peux pas lui dire ce qui traverse mon esprit, jamais ! Il n'est pas prêt à entendre que je ne suis pas aussi forte qu'il le pense, il n'arrive pas à comprendre.
Mère de deux enfants, je comprends qu'il me croit invincible. Mais tant de choses me blessent, j'ai tendance à baisser les bras facilement, plus que la plupart des gens j'en suis sûre.
En ce moment, nous traversons quelques bouleversements. Nous avons déménagé pour son travail, ça ne s'est pas avéré fructueux, nous avons du revenir dans notre appartement (qui, on le croirait, est digne d'un squat), pratiquement sans argent, nous déménageons à nouveau, nos enfants traversent tous deux une phase assez compliqué de leurs développements: ils découvrent que moi aussi j'ai mes limites.
Parfois j'aimerai tout lâcher, c'était si facile de vivre chez papa et maman. J'aurai probablement achevé mes études, j'aurai passé mon permis, aurait trouvé un boulot sympa et après, seulement après, j'aurai fondé une famille.
J'aime ma famille bien sûr, mais je regrette juste qu'elle soit arrivée avant que je prenne conscience de l'importance de vivre ma propre vie.
À l'âge où la plupart si ce n'est la grosse majorité de mes anciens amis finissent leurs études et commencent à bosser, moi je materne. Je ne crois pas qu'aucun d'entre eux m'envient. De ces anciens amis il n'en reste qu'un ou deux.
Hier soir nous sommes allés boire un verre, dieu seul sait à quel point c'était agréable pour une fois de laisser les enfants à quelqu'un d'autre. Ça faisait au moins deux ans que je n'étais pas sortie seule. Et j'étais complètement désemparée de réaliser que le genre de moment que j'ai passé pendant cette courte soirée, je ne le retrouvais plus du tout avec mon conjoint. J'ai ri, tellement ri que j'en avais mal au joues ! Je parlais et on m'écoutait. Personne ne m'a rabaissé, ne m'a fait sentir que mes histoires étaient stupides ou inutiles. C'était bon de partager des anecdotes, des souvenirs, et de voir qu'ils s'en souvenaient aussi clairement que moi. J'ai rêvé que cette soirée ne se termine jamais.

Serions-nous capables de rire à nouveau ainsi, lui et moi ? De se regarder dans les yeux sans avoir ce regard blasé, à la limite de l'indifférence totale ? Ou avons-nous atteint le point de non retour ?

C'est assez étrange de se rappeler des premiers jours. Vous avez cette personne tout à fait charmante en face de vous, qui vous regarde comme si vous étiez la plus belle des créatures sur cette planète, qui boit vos paroles, rit à vos blagues stupides, vous écoute et vous encourage à parler, qui vous trouve intéressante et qui se passionne de ce qui vous passionne vous-même. Quand je pense à la personne que j'ai en face de moi aujourd'hui, je ne retrouve plus rien de ce charmant jeune homme et il me manque.

Les gens changent avec le temps, d'habitude c'est plutôt progressif et on change avec eux, on s'adapte, on grandit ensemble et on ne s'aime peut-être pas comme au premier jour mais d'un amour différent, qui a traversé le temps et a grandi lui aussi. Le mien a dû se perdre dans mes souvenirs, avec ce jeune homme pétillant.

Je sens au plus profond de moi que ce que nous avons vécu arrive à bout de souffle. Notre histoire n'en a plus pour très longtemps. Mais j'ai peur et cela m'attriste. Pour lui, je deviendrai probablement une inconnue si ce n'est la plus mauvaise des personnes sur cette planète. Je regrette qu'après avoir aimé quelqu'un aussi fort, on puisse le haïr avec la même force.

Il aurait juste fallu que nous nous soyons aimés un peu plus. Ou juste pour de vrai. Que nous ne nous soyons pas seulement trouvés alors que ce que nous cherchions était seulement un peu de réconfort, pas forcément une vie à deux. Parce que maintenant, il n'y a plus personne à réconforter et il n'y a plus de raison de s'aimer.

Adieu, G. je me souviendrai toujours de toi comme au premier jour, et je t'aimerai toujours de la même manière qu'à cette époque : tendrement. Mais si un jour je reviens sur ce site, et tombe sur mon propre message, je fais le pari que tu m'auras quitté.
Et si un jour tu tombe toi même sur ce message et reconnais la jeune femme pleine de volonté que j'étais, alors ne me déteste pas trop, mais j'ai toujours su que je finirai pas ne plus te suffire.
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Exittochatagoune, 21 ans, Tours
J'avoue que le mensonge est devenu un rituel salvateur pour calmer mon angoisse. Aujourd'hui je ne sais plus comment en sortir alors j'étouffe et je finis par réellement ne plus me supporter. Ce n'est plus seulement une parole que je prononce pour me donner un genre. J'avoue que j'approuve toutes ces personnes qui ont pu dire gentiment que j'étais bizarre, d'autres plus honnêtement que j'étais invivable. J'avoue que je songe de plus en plus souvent à rendre une faveur à toutes ces personnes qui pensent que je suis invivable.
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Estupida, 21 ans, Istanbul
Je n'ai jamais aimé comme ça. On est en couple mais actuellement pas dans le même pays. Et je n'ai aucune nouvelle. Les seules fois où il m'envoie des messages c'est pour me dire qu'il n'a pas le temps, qu'il ne peut pas me parler maintenant, et ça fait plus de deux mois que ça dure. J'en souffre énormément d'autant plus que quand on était ensemble, il prenait toujours le temps de contacter se amis et sa famille en m'expliquant qu'ils étaient loins, qu'ils lui manquent, etc. J'ai beaucoup de mal à admettre que j'aime quelqu'un qui n'est pas capable de consacrer ne serait-ce que 5 minutes pour moi dans une journée. Je ne sais pas quoi faire, ça me fait énormément de mal, et j'ai beau essayer de renouer le dialogue en lui envoyant des courriers, des sms, des audios, des photos, je n'en peux plus. Il m'assure qu'il m'aime mais qu'il ne peut pas me parler, mais je n'arrive plus à y croire. Je deviens folle chaque jour un peu plus et le crises de larmes se multiplient.
Je ne peux pas ne plus lui parler, la revanche est stupide et ça ne fera du mal qu'à moi je pense. Je ne sais plus quoi faire. Je passe mon temps à regarder mon téléphone, comme s'il restait encore un espoir, et il m'arrive même de ne pas en dormir en me disant qu'il ne m'aime plus. Ou peut-être ne m'a-t-il jamais aimé. Je suis perdue. Je suis en train de faire une relation à moi toute seule. Je ne compte pas pour lui, putain qu'est ce que c'est dur de l'écrire, mais j'ai besoin de le faire, de me libérer de ça et de lâcher prise.
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Martinez, 25 ans, Nancy
J'avoue que parfois, j'en ai marre de toi. J'avoue que dans ces moments là, je pense à tout ce que tu m'empêches de faire, je me demande si je ne serais pas mieux avec d'autres, si je ne passe pas à côté de ma vie.

J'avoue que quelques temps après, les sentiments que j'ai pour toi reprennent le dessus, mais j'avoue que ces pensées reviennent de plus en plus souvent...
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Xantia, 35 ans, Lille
J'avoue que j'en ai marre de tout et ça monte depuis 4 mois, crescendo.
J'en ai marre d'avoir une collègue jalouse et hystero, marre de la paranoïa de mon mec, marre de ma belle sœur qui achète toujours les mêmes trucs que nous et qui dit qu'elle ne l'a pas fait exprès, cette folle.
Aujourd'hui, j'ai pleuré comme une madeleine, j'ai fait peur à mon fils avec mes sanglots longs des violons d'automne.
Il est 2 heures du mat mais je ne dors pas parce que j'y pense encore. Je suis faible, je suis soumise, je me sens toujours moche. Mais je n'ai pas envie de mourir, je veux quand même voir la suite avec tous les nouveaux et anciens pourrisseurs de vie que je vais rencontrer.
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Daffodil Lament, 30 ans, Paris
J'avoue que ça me fend le cœur quand je t'entends parler de lui ainsi.
À t'écouter, il est beau, bien gaulé, musclé, yeux bleus, blond, c'est dieu en fait ?
J'avoue que je ne suis pas jaloux. J'avoue que je suis juste dégoûté que l'être que j'aime ne me regarde pas ainsi.
Pourtant, nous sommes en parfaite harmonie tous les deux. Tu me l'as même avoué.
Mais alors pourquoi tu persistes à t'empêtrer dans les mauvais choix ?
Ta fougue, tes nombreux diplômes ou ta richesse ne devraient pas te dispenser de modestie et d'humilité. Ton arrogance, tes convictions te perdront.
J'avoue que tu as fais ton choix, la vie est faite de choix et que dans cette vie, certains choix sont irréversibles.
Comme dirait l'autre imbécile : "On ne se rend compte de l'importance des choses qu'après les avoir perdues".
Soit. Quel gâchis.