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Mysterieuse, 35 ans, Paris
J'avoue aujourd'hui, après de nombreuses tourmentes dans mon esprit, que je t'aime.
Mais je ne te l'avouerai jamais, c'est inavouable.
Tout nous oppose et je pense que tu ressens aussi quelque chose envers moi, j'ai cru le voir dans tes yeux la dernière fois.
Ça me rend folle que ça ait pu arriver mais après tout ce temps, je me suis attachée à toi et je sais aujourd'hui ce que je ressens.
J'aime quand tu es là, quand tu prends par la taille, quand tu m'embrasses dans le cou, je frissonne.
J'aime ta tendresse.
J'aime ta douceur.
Je ne sais pas comment gérer ça à part que je sais que je ne dois rien te dire, j'ai honte de tout ça.
Il faut que ça s'arrête et je ne sais pas comment je vais m'y prendre ni quand.
Peut-être qu'il faudra que je change de lieu de travail et j'avoue que changer d'endroit, sachant que j'étais là avant toi, me chagrine.
J'avoue ne pas d'aimer d'un amour fou mais un sentiment d'attachement, de jalousie parfois quand je te vois discuter avec une autre collègue, de tristesse quand on me raconte des choses sur toi alors que je n'ai rien demandé à personne. J'avoue que tout ça me fait souffrir par moments puisque c'est sans issue.
J'avoue que ton comportement m'affecte beaucoup.
Je ne peux parler à personne de tout ça.
J'avoue ne pas du tout assumer.
J'avoue que ma place n'est pas du tout celle que j'ai actuellement.
J'avoue être en pleurs au moment où j'écris.
J'avoue que je vais certainement me mettre en couple avec le prochain homme qui me plaira et sans regrets.
J'avoue m'être toujours demandée comment tu faisais pour être comme ça avec moi, je ne sais pas comment tu es chez toi.
J'avoue ne pas poser de questions sur ta famille/foyer de peur de plus culpabiliser.
J'avoue ne rien dire de moi pour ne pas que tu t'attaches à moi.
J'avoue t'éviter ces derniers temps.
J'avoue me dire très régulièrement que je regrette de ne pas t'avoir rencontré avant elle mais rien ne se serait fait de toutes façons au vu de toutes nos différences, trop importantes pour être surmontées.
J'avoue me répéter au moins une fois par semaine que je te déteste pour ne pas m'attacher à toi.
J'avoue avoir peur de la suite.
J'avoue appréhender quand ça s'arrêtera entre nous.
J'avoue qu'une aide n'aurait pas été superflue.
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Amimour, 25 ans, Caen
J'avoue que lorsque mon regard a croisé le tien à cette soirée, j'ai immédiatement été chamboulé. Un je-ne-sais-quoi que je n'avais plus ressenti depuis longtemps s'est imposé comme une évidence.
J'avoue que j'ai mis bien quelques semaines pour t'apprivoiser, toi qui souffrais d'une récente relation dont les termes ne te convenaient pas.

En toi, un tout me plaisait, tu représentais un idéal sur lequel je ne pensais plus tomber, j'admirais ta personne entièrement et notre relation était belle et simple.
J'avoue que le jour où cette fille est entrée en contact avec moi, cette fille sur qui j'avais fantasmé depuis des années en secret sans jamais oser l'approcher, je n'ai pas pu m'empêcher de vouloir la connaître. Une fille qui s'est avéré être attrayante, qui enfin me voyait, et qui semblait aimer le tableau. Je me suis contenté de nos échanges, je ne voulais pas te manquer de respect physiquement.
J'avoue que j'ai eu du mal à garder mes distances avec elle, que notre complicité était dingue, mais qu'entre elle et toi, il n'y avait pas photo ; tu étais trop précieuse.
J'avoue que l'ambiguïté s'est tout de même installée, que nous avons partagé des choses qui n'auraient dû se passer qu'avec toi, même si la barrière n'a pas été franchie.
J'avoue que je t'en avais parlé, et que tu as été d'une patience honorable, présente, dans l'attente que je me calme, dans une silencieuse souffrance.
L'idylle superficiel passé, comme je l'imaginais, le mal était déjà fait, et nombreux détails que j'ai omis de te dire, risquent d'éclater ce soir au grand jour.
J'avoue que tu es actuellement entrain de passer une soirée avec sa meilleure amie, et qu'elle va probablement t'apprendre plus que ce que tu ne sais en réalité.
Une histoire s'apprête à tirer sa révérence, la nôtre.
J'avoue que tout avait changé, nous n'étions qu'aux prémisses de ce qu'on avait encore à vivre.
Pourquoi ? Parce qu'enfin, je t'aime, et que je vais devoir te laisser partir.
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Masha, 26 ans, Paris
J'avoue être en couple depuis quatre ans.
J'avoue que je ne manque de rien et que je pourrais tout simplement continuer cette vie tranquille sans encombres.
Mais j'avoue que j'ai envie d'aller voir ailleurs... juste pour vivre à nouveau la passion, la folie, la fougue comme lorsque l'on est adolescents.
J'avoue que j'ai peur de tout gâcher et de ne jamais assumer.
Ce serait juste physique, juste de l'attirance. Est-ce si mal ? Pourquoi est-on emprisonné dans l'idée que tromper serait amoral ? J'avoue que je l'aime mais que j'ai besoin de vivre d'autres histoires.
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Lp, 26 ans, Poitiers
J'avoue que la première fois que j'ai vu G. je l'ai trouvé moche. Puis son rire et sa voix mon séduite ainsi que ses yeux d'un bleu magique et son sourire radieux qu'il arbore si souvent.
J'avoue que tu es comme un aimant mon regard est automatiquement attiré par toi.
J'avoue que je pourrais te regarder pendant des heures ce que je fais dès que j'en ai l'occasion.
J'avoue que j'ai rêvé qu'on s'embrassait j'avoue que tes lèvres me hantent.
J'avoue que si on se retrouvait seul dans une pièce et malgré qu'on soit l'un et l'autre en couple je ne pourrais pas me retenir de te sauter dessus et je ne suis pas sûre que tu me repousserais.
J'avoue que tu es mon fantasme, j'avoue que tu me donne le sourire chaque jour et que tu me fais rêver. Merci beaucoup G 💙
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The londoner, 31 ans, Paris
J'avoue que depuis quelque jours, il me hante. C'est la première fois que je vis ceci.
J'avoue que je ne suis plus capable de penser à autre chose. Je le désire comme je n'ai jamais désiré personne.
J'avoue que je suis à deux doigts de passer pour une imbécile en lui écrivant pour lui avouer tout ça. Nous sommes mariés et notre relation est impossible.
J'avoue que je repense à nous deux, il y a 6 ans. Depuis plusieurs jours, je vis dans ce souvenir et n'arrive pas à me sortir de ma bulle.
J'avoue que je meurs d'envie de savoir si mon sentiment est réciproque.
J'avoue que je suis à pas grand chose de prendre un billet d'avion pour le rejoindre.
J'avoue que je serais prête à tout pour lui plaire de nouveau et revivre nos moments passés.
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Mysterieuse, 36 ans, France
J'écris pour me soulager parce que je pense trop, je réfléchis trop à tout ça, ça me pèse.

J'avoue que je ne pensais pas m'attacher à toi, jamais, ces 15 ans qui nous séparent...
Je sens que je ressens bien plus que de l'attachement pour toi, je l'ai compris trop tard, quand tu m'as demandé pourquoi je te racontais ce que je racontais. Je te racontais quelque chose qui m'importait et tu m'as blessée, j'en ai pleuré. A partir de ce moment-là, c'était fini mais j'y pensais tout le temps, je me réveillais les nuits.
Te fuir a été difficile et surhumain pour moi, j'en souffrais.
Et puis, tu m'as expliqué très maladroitement, que tu tenais à moi, que j'étais ta puce
J'avoue douter... voilà les raisons de mon éloignement.
J'ai tout retourné et tes gestes, ta manière de te comporter quand on est à 2, j'ai la sensation que tu dis vrai et je l'espère car je ne suis pas ton objet.
Tous tes gestes, ta douceur, ta tendresse, je crois que tu ressens la même chose que moi.
Je ne veux pas en parler, jamais, je mentirai sur ce que je ressens sans aucun doute, si tu me questionnais dessus.

Je n'arrête pas de me demander comment ça a pu arriver.
Je pense au moment où je m'éloignerai et où on devra arrêter, je ne sais pas comment faire.

Ça a été une réelle souffrance ces derniers temps, pour moi, de ne pas t'adresser la parole et mal te parler, j'en ai souffert.

Si je t'avais rencontré plus tôt, les choses auraient peut être été différentes mais là, je m'oblige à m'éloigner, à faire en sorte d'être loin quand j'en ai la lucidité et la force.

Pourquoi es-tu venu vers moi ? Pourquoi m'as-tu séduite ?
J'avoue ne pas avoir ressenti ça depuis des années. 
J'avoue aimer quand tu me prends contre toi.
J'avoue adorer quand tu me caresses.
J'avoue ne rien dire pour ne pas aggraver la situation et que tu te poses des questions.
J'avoue me sentir bien quand je suis avec toi.
J'avoue me sentir femme quand je suis avec toi.
J'avoue avoir envie de toi, quand tu me prends contre toi mais je résiste.
J'avoue savoir que tu tiens à moi.
J'avoue penser que tu éprouves quelque chose envers moi et j'avoue que j'en suis mal à l'aise.
J'avoue penser que tu es malheureux.
J'avoue regretter en permanence de ne pas t'avoir rencontré avant.
J'avoue que j'aurais tant aimé que tu partages plus avec moi.
J'avoue être consciente de la bêtise de tout ça et de la souffrance que ça va nous créer.
J'avoue que si je ne me retenais pas, je viendrai vers toi en permanence même quand nous sommes seuls.
Je crois qu'on est pareils tous les 2 sur tout ça et sur d'autres points.
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Rhumananas, 27 ans, Genève
J'avoue avoir besoin d'être constamment flattée ces derniers temps. Avoir rencontré tellement de filles, toutes plus fades à mes yeux les unes que les autres, juste histoire de sortir le grand jeu et les voir pétiller, pour ensuite disparaître, aussi rapidement que je suis arrivée.

J'avoue jouer sur plusieurs tableaux, et le leur dire en pensant être quelqu'un d'honnête, sans les préserver, alors que je ne dis pas tout.

Et puis je t'ai rencontré... J'avoue que c'est peut-être parce que tu me repousses que ça me touche autant et pourtant, j'aimerais te lancer tous les arguments en ma possession, auxquels je crois profondément, pour te donner envie de me céder, ou juste d'apprendre à me connaître pour commencer. Mais rien n'y fait...

J'avoue que tu es en couple avec un homme et trop honnête pour lui être infidèle, ce qui est tout à ton honneur. Et si, pourtant, j'avais quelque chose à t'apporter ?

J'avoue que tu me fais éprouver quelque chose d'agréable et ça me change, tu sais...

Tu as coupé court mais j'avoue que j'ai bien trop envie de te connaître pour t'oublier d'aussi tôt, J.
Je te laisse tout de même mener ta vie.
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Mysterieuse, 35 ans, Paris
Mon cher et tendre collègue...
une dizaine d'années nous sépare et pourtant, depuis que tu m'as séduite, je ne cesse de me demander pourquoi je ne t'ai pas connu avant.
Tu n'es pas canon, mais ta façon d'être, de faire, me plaisent.
J'aime ton approche.
Je me retiens quand je te vois, je ne me laisse pas aller par rapport à ton statut marital.
J'aime quand tu me prends dans tes bras, quand tu m'embrasses mais je ne peux me laisser aller car je ne sais pas m'arrêter.

J'avoue être distante et froide pour te protéger et me protéger, pour ne pas que tu t'attaches à moi et pour ne pas que je m'attache à toi.
Je ne suis pas bien moralement depuis qu'on est rentrés de déplacement.
Je n'aurais jamais dû te retrouver dans ta chambre et pourtant on a résisté.
Je me sens mal à l'aise et je sais qu'il faut qu'on arrête.
Je préfère ne pas en parler et ne pas parasiter ta vie ni la mienne alors je préfère m'éloigner comme je peux, pour ne pas que tu me poses de questions.

Tu as dû constater que je n'étais pas la même depuis.
Tu me plais, et j'avoue que si je t'avais connu avant, j'aurais été heureuse qu'on cherche à mieux se connaitre.
Tu m'as posé des questions quand on était en déplacement, je n'ai pas répondu parce que je ne pouvais pas te répondre sans mentir, et je t'aurais forcément dit ce que je viens d'écrire et ça, tu n'as pas à le savoir.
Alors pour répondre :
- oui, tu me plais
- oui, je t'aime bien
- oui, parfois, j'ai l'impression que tu te fous de moi
- oui, j'aime quand tu es contre moi, quand tu as des gestes affectifs envers-moi

Oui, je préfère ne pas me poser de questions.
Oui, je suis mystérieuse et ne te raconte pas mon passé pour ne pas que tu t'attaches à moi.
Je te trouve merveilleux et je pense qu'elle a de la chance de t'avoir.
Je regrette vraiment de pas t'avoir connu avant.

Malgré la distance que j'instaure entre nous, je suis quand même bien attachée à toi et ton comportement me fait parfois souffrir.
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Souvenirs de jeunesse, 48 ans, Rennes
Elle ressemblait à une actrice que j'appréciais beaucoup.
Ce fut ma première maîtresse.
Nous sortions le soir dans ma vieille 2cv d'étudiant.
Elle était bien dans sa peau, dans son corps, elle savait qu'elle était très belle, tous les garçons lui couraient après. Elle aimait être nue dans la voiture, dès que la nuit tombait, elle savait que ça me faisait "plus que plaisir", elle me suçait à chaque fois que nous allions nous promener, elle n'a jamais recraché mon sperme.
J'ai découvert par la suite qu'elle faisait partie d'une minorité de femmes, très généreuse, très altruiste, aimant autant les plaisirs du sexe que des libertins mâles.
Je la suçais tout autant, j'aimais boire à sa source.
Elle inventait des tas de jeux, nous avions une imagination débordante, elle aimait s'agenouiller sur un tapis, le buste pesant sur une selle de chameau pour touristes (que ses parents avaient achetée en Algérie); elle me demandait de frapper doucement sur sa fente offerte à mes yeux, avec son ceinturon de cuir, à petits coups sur le clitoris, elle obtenait ainsi de violents orgasmes qui la laissaient pantelante, toute en sueur, le sexe trempé.
Elle demandait alors que je la prenne en levrette, à quatre pattes, comme une chienne en chaleur qu'elle revendiquait être avec une certaine fierté enfantine.
Je m'exécutais avec empressement, heureux et comblé. Nous écoutions des pianistes de jazz pendant nos ébats, surtout Errol Garner et Art Tatum.
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Prof, 30 ans, Carquefou
Oui, je l'avoue, je n'aurais pas dû fantasmer sur toi... elle a été mon élève et même si elle est adulte aujourd'hui, ce n'est pas très moral. Comment se fait-il que, quand je dois la revoir, j'ai toujours quelques jours avant des pensées interdites ? Comme cette fois où je nous ai imaginé « jouant au prof et à l'élève », elle en tenue d'écolière, moi, sévère et dominant.
Elle est joueuse, aussi, ça n'a pas aidé ! Je sais que je la troublais, alors ça m'excitait. Un jour, j'ai sérieusement considéré la possibilité de coucher avec elle... et de ce que je lui ferais, et de ce qu'elle me ferait. La voir sucer son ancien professeur, par exemple. La punir et lui donner la fessée.

Une fois, en jouant sur Internet, j'ai été à deux doigts de lui envoyer une photo de mon sexe. Je me suis rétracté, mais la situation m'a grandement excité. Et puis, une autre fois, on a testé un jeu en ligne, par correspondance. Le jeu nous mettait en scène et impliquait des gages de plus en plus hot. Nous ne les faisions pas, bien sûr, on ne faisait que regarder comment le jeu fonctionnait, tout en commentant à côté. Mais voir des messages comme « Glissez votre main dans sa culotte et jouez avec son clitoris » m'excitait beaucoup. En cours de partie, je me rappelle lui avoir timidement demandé si elle était excitée, elle a dit oui et m'a demandé de même si je bandais. J'ai acquiescé, et à ma demande, elle m'a confessé qu'elle mouillait aussi. Ce jour-là, nous avons été le plus près d'un rapport sexuel... virtuel. Je me suis masturbé, je pense qu'elle s'en doutait, et j'ai joui en pensant à elle. En écrivant cette confession, je bande encore...
De temps en temps, je me demande ce que ça donnerait, un action ou vérité en ligne avec elle. Ce ne serait peut-être pas la chose la plus raisonnable, mais quelle excitation rien que d'y penser !
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Amhok, 19 ans, Le Havre
J'avoue avoir fantasmé sur toi, à une époque. Je t'admirais, toi, ce jeune professeur charismatique, et je savais que je n'étais que ton élève, rien de plus, mais j'avais déjà envie de compter pour toi - parce que d'une certaine manière, tu comptais déjà pour moi.
J'avoue que lorsque nous avons commencé à nous envoyer des mails, mon imagination a commencé à s'affoler, et je nous ai imaginé quelques fois dans des positions indécentes. Je savais que tu avais une copine dont tu étais (et es encore) très amoureux, et je savais que rien n'était possible, mais j'aimais imaginer plus. Toi, ce professeur de dix ans mon aîné, et moi, cette jeune élève plus si innocente... Tu m'as un petit peu obsédée, lorsque je me sentais seule et que tu étais la personne la plus présente dans ma vie.
J'avoue qu'à une période, la première chose que je faisais en me réveillant était lire ton dernier mail, et la dernière chose que je faisais avant d'aller dormir était y répondre (sans compter toutes ces fois où j'allais au CDI pour pouvoir te répondre dans la journée, et ainsi obtenir un nouveau mail avant le soir).
J'avoue que lorsque nos conversations ont commencé à devenir plus osées, certaines m'ont troublée ; mais j'étais déjà sortie de cette phase où je fantasmais sur toi (peut-être bien que j'aurais fini par te faire des avances, de vraies avances... !)
Et j'avoue que repenser à cette période me fait encore monter le sourire aux lèvres !
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Z., 19 ans, Paris
Il y a quelques temps, j'ai été à une soirée. J'étais accompagnée de mon copain, avec qui je suis depuis un an. Durant cette soirée je me suis retrouvée près d'un garçon, vraiment charmant. Quand mon copain est partit dormir, je suis restée avec ce garçon sur la terrasse, on s'est allongé dans le transat, j'étais dans ses bras...
Et j'avoue, j'ai adoré ça, me trouver dans les bras d'un homme que je ne connaissais pas, jouer le jeu de la séduction avec lui... Nous sommes allés nous coucher. Nous dormions à 3 dans la même pièce. Pendant la nuit, je lui caressais les cheveux, il caressait les miens... Nos mains ont glissées l'une contre l'autre et nos doigts se sont entrelacés.
Et j'avoue, j'ai adoré ça.
Le lendemain je pensais que cette soirée allait devenir un souvenir agréable avec un inconnu. Mais le soir même, il m'envoya un message. Et depuis, on se parle tout le temps, tous les jours.
Et j'avoue, j'aime ça. Cette relation interdite et secrète entre nous, pleine de sous entendu parfois à se demander ce que l'autre veut vraiment...
Mais j'avoue, c'est égoïste de ma part. Je ne suis qu'une égoïste. Ce garçon est célibataire, et moi je suis en couple. Si je ne l'avais pas été, j'essayerais sans nul doute d'être avec ce garçon. Mais je continue de lui parler.. Je m'attache à lui et il s'attache à moi. Alors qu'il ne devrait pas. Qu'il ne peut pas.
J'avoue ne pas savoir quoi faire. J'avoue être perdue. J'aimerais vivre sans regrets, mais je regretterais de faire quelque chose avec lui comme je regretterais de ne pas l'avoir fait..
J'avoue que je ne suis qu'une lâche qui attend de voir ce qui va se passer en espérant s'en sortir.
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Noire, 46 ans, Nice
J'avoue avoir dans la peau un homme que je connais depuis plus de trente ans. On ne s'était jamais parlé mais je crois bien que l'attirance entre lui et moi est aussi réelle qu'elle l'était à cette époque.

J'aime quand il me texte, quand il me parle, me sourit et qu'il me regarde.
Je ne suis pas un standard de beauté côté poids mais lui non plus mais je ne crois pas qu'il en soit conscient.

L'âge nous a suivi, j'ai grossi, lui aussi mais la maturité a fait que nous sommes aujourd'hui capable de se dire des choses que jamais nous aurions pu dire il y quelques années.

La gène nous a empêché de mieux se connaitre à l'époque et de s'apprécier.
Aujourd'hui je suis en couple avec un homme que j'apprécie beaucoup mais je ne sais plus si c'est de l'amour ou bien une très grande amitié qui se situe à la limite de l'amour. Il ne me touche plus depuis un bout, j'en ai besoin mais il ne semble pas comprendre le besoin charnel que j'ai. Je lui en ai déjà parlé mais rien n'a changé. Le temps nous a usés je crois mais j'ai pour lui un immense respect.

Ce qui me ramène à mon ami qui lui est célibataire depuis presque un an et qui me fait physiquement un effet foudroyant et qui mérite le trophée du bon gars qui ne veut pas prendre la femme d'un autre.
Je le veut mais ...
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Fleurbleue, 54 ans, Québec
J'avoue, je suis assistante dans un bureau.
Annonce par mail d'une supérieure au sujet d'un stagiaire qui se joindra à nous. Je vois sa photo sur son CV. Aucun intérêt de ma part, ce n'est pas mon genre, en plus sa date de naissance indique qu'il a près de 20 ans de moins que moi.

Il est finalement arrivé de l'étranger. Personnalité froide, réservée, serrement de main timide, pas trop causeur. Un look d'ado. Nous avons réglé des formalités administratives comme j'aurais fait avec n'importe qui d'autre... mais en étant de plus en plus avenante avec lui.
Après quelques jours, j'ai été troublée par un rêve : que son âme était mêlée à la mienne, sans que je voie nos corps, parmi des danseuses en robes rouges amples et le tout dans une atmosphère sensuelle qui dégageait du désir. J'en fus toute surprise et perplexe sans y trouver aucune logique.
Un jour... son regard insistant qui m'a fait détourner le mien, son sourire qui m'a fait baisser les yeux. Le seul qui a réussi ... Une fois la remarque : « j'ai pensé que si je ne venais pas te voir aujourd'hui, tu t'ennuierais de moi ». Ah ben dis donc !!! S'il a voulu me troubler, ce fut réussi. Après quelques semaines, je l'ai vu comme un homme. Avant de partir pour le congé des fêtes, des bises complétées avec des caresses.
Tout cela est banal, mais il est trop jeune. Je suis troublée. Sa voix grave et douce me pénètre.
Sa personnalité parfois juvénile m'attendrit et quand elle me le fait sentir homme cela me trouble.
Mais je sens qu'il peut lire en moi et s'il pense que je vais me trahir avec un mot... il se trompe. Il a déjà essayé mais je sais m'esquiver.
Comme :
- Est-ce que tu te sens bien ?
- Oh, je n'ai pas l'air d'aller bien ?
- Oh. C'est peut-être moi...
- C'est que j'ai bu un café à 15h30 et ça m'a rendue nerveuse. (pas vrai)
- Ah.... (ouf.. en plus il « portait attention » à ma réponse... zut il fallait me croire, pourquoi mentirais-je ?

Enfin je ne peux pas mettre un mot sur le lien qui nous unit, mais il sait que je suis là pour lui. C'est tout et ce sera pour toujours un roman inachevé que je garderai dans mon cœur. Mais il n'en saura rien. À quoi bon ? Même si nous étions tous deux libres, encore une fois... trop jeune...
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Lolabelle, 35 ans, Paris
J'avoue que nos regards qui se croisent avec insistance lors de cette réunion, ce fut pour moi un bouleversement physique, psychologique et ... professionnel !
J'avoue que j'ai été étonnée que tu prennes contact avec moi après notre rencontre et que j'ai adoré nos échanges par mail durant des mois.
J'avoue que durant notre premier rdv, je n'attendais que cela, que tu m'embrasses et tu l'as fait et bien fait...
La suite, on la connaît...
Tu me manques terriblement...
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Z, 28 ans, Quimper
J'avoue : il y a quelques temps, ma belle-sœur, mon beau-frère et leurs enfants sont venus passer le week-end à la maison. Ma belle-sœur est jolie, bien faite, et elle a environ 10 ans de plus que moi. Je ne la connais pas depuis très longtemps.

Nos chambres respectives étaient côte-à-côte. Ma compagne s'est levée tôt, ainsi que mon beau-frère. J'étais seul dans ma chambre, et ma belle-sœur également. Sachant cela, une pulsion m'a envahi : je voulais absolument qu'elle me voie complètement nu, et que je puisse observer sa réaction à ce moment-là.
J'ai donc discrètement ouvert les volets de ma chambre, pour que la lumière emplisse la pièce, j'ai ouvert la porte de ma chambre aux trois-quart, et comme nos deux portes de chambres respectives formaient un angle, je pressentais qu'en sortant de la sienne, elle allait fatalement regarder dans la mienne.

Je dormais sur un matelas posé à même le sol, et je me suis mis nu, la couette savamment disposée pour qu'elle ne couvre qu'une de mes jambes, et que le reste de mon corps lui soit complètement exposé. Je voulais qu'elle me croie endormi et dénudé par inadvertance, et qu'elle puisse ainsi m'observer tant qu'elle le souhaitait, puisque je n'en avais pas conscience. Je me suis ensuite légèrement masturbé en pensant à elle, de manière à gonfler mon sexe, sans aller jusqu'à une érection complète, mais pour qu'il paraisse encore au repos, mais bien gonflé.

Il est vrai que j'ai un sexe de belle dimension, et je voulais qu'elle le voie, comme "par accident". J'ai attendu dans cette position jusqu'à entendre son lit faire du bruit, moment où elle se lève enfin. J'ai tourné légèrement la tête sur le côté, et gardé les yeux presque clos, juste assez pour voir l'encadrement de la porte où elle n'allait pas tarder à se présenter.

Là, sa porte s'ouvre doucement, je la vois sortir lentement dans sa nuisette blanche au décolleté plutôt profond, pieds nus, ce qui la rendait très sensuelle... Et là, comme je l'espérais, elle tourne la tête vers ma chambre, et elle me voit sur mon matelas, par terre, entièrement nu et à 2 mètres d'elle. Elle a d'abord regardé si je dormais, et ensuite son regard est descendu sur mon sexe, qui s'était un peu plus gonflé que prévu sous le coup de l'excitation, mais sans qu'il paraisse en franche érection. Elle est resté environ 10 secondes à me contempler, avec l'air de ne pas comprendre tout de suite ce qu'elle était en train de voir, elle s'est ensuite dirigée vers l'escalier, m'a regardé une dernière fois avant de descendre, puis elle partie.

J'avoue, peut-être que je passe pour un pervers exhib, mais mon fantasme s'est réalisé, elle m'a vu nu, et elle sait que j'ai un gros sexe. Et à chacune des occasions où l'on se voit dans l'année, je sais qu'elle se remémore mon joli sexe en me faisant la bise... Et je suis descendu 10 minutes après elle, et l'ai regardé dans les yeux, elle au milieu des 8 personnes présentes. J'avoue, j'ai adoré ça !
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Bellerive, 44 ans, Lyon
Mon amour de mari,
J'avoue, malgré tout mon amour que j'ai pour toi, lors du séminaire à Paris en Janvier avec ma société, le soir à l'hôtel, je n'ai pas résisté à trois jeunes commerciaux, qui étaient là aussi en séminaire. Émoustillée par les bons vins, on s'est tous retrouvé dans ma chambre après le repas du soir : en toute discrétion tout de même. Là, oubliant tout et tous, ne cherchant qu'à prendre et à donner du plaisir, je me suis exhibée, offerte à tous les trois...

Jamais je n'avais fait cela, mais aussi, jamais de ma vie je n'ai connu un tel plaisir... Jusqu'à épuisement total, avec des préservatifs ils m'ont prise, et reprise dans toutes les positions, tous les endroits de ma chambre... Au plus fort de nos ébats, j'ai même adoré, que l'un d'eux m'urine dans la bouche deux secondes... J'étais follement excitée d'être traitée de pleins de noms d'oiseaux..., de mots des plus crus, qui ne faisaient qu'augmenter mon excitation. Au petit matin alors qu'un seul était resté dans ma chambre, sans beaucoup de prémices, sous la douche par derrière il m'a prise dans les fesses, sans ménagements. Là réellement, je désirais que tu sois là pour entrevoir ton épouse comme elle se comportait. Je pense que tu aurais été fière de me voir aussi docile...
Maintenant je te l'avoue : tu le voulais..., j'ai osé, et je suis fière d'être ton épouse quelque peu coquine..., cochonne...., salope !
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Candesart, 44 ans, Lyon
Mariée, bien dans ma tête et mon corps, j'avoue prendre beaucoup de plaisirs, à sortir entièrement nue sous mes robes ou jupes...
J'avoue adorer quand mon mari me demande en tous lieux d'ôter mon string..., de m'exhiber ainsi en toute discrétion...
J'avoue adorer, le provoquer, l'exciter, stimuler ces folles envies....
J'avoue prendre beaucoup de plaisir quand je lui suis très « docile », en toutes circonstances, lieux... !
Oui, oui, dernièrement je lui ai avoué que j'adore lui être coquine, cochonne et même s... lors de nos ébats.
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Lajolie, 31 ans, Bergerac
Depuis quelques mois j'ai changé de lieu de travail et suis maintenant entourée d'hommes de tous âges en uniforme. J'avoue qu'ils sont quelques uns à me faire comprendre que je ne les laisse pas indifférents et si je pouvais, je ne dirais pas non à 2 ou 3 d'entre eux.. Un en particulier, depuis le jour où je l'ai vu je ne cesse de penser à lui et à ce qu'on pourrait faire tous les deux, au détour d'un bureau ou d'une place de parking.
J'avoue, j'ai une attirance très forte pour lui malgré qu'il ait 10 ans de plus que moi, d'habitude seuls les hommes de mon âge m'intéressent. Mais lui, il y a un truc entre nous, physique, je ne veux rien d'autre de lui que son corps, sa bouche, j'ai envie de lui dès que je le vois.

J'avoue que je ne suis pas célibataire et que je ne peux pas trahir mon mari mais je ne sais pas comment je vais tenir face à cette irrésistible envie. J'avoue que sa jalousie et suspicion excessives me retiennent énormément, rien qu'un baiser échangé ou même la simple envie, il le saurait ! Il sait tout, il devine toutes mes pensées... je ne peux rien faire.

J'avoue que je vais encore m'endormir ce soir en fantasmant secrètement sur lui. Pourvu qu'un jour cela se réalise...
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Madone, 36 ans, Paris
J'avoue me demander sans cesse comment j'ai pu en arriver à ce statut de seconde.
J'avoue avoir des principes et je ne pensais pas que ça m'arriverait, tellement droite que je suis.
J'avoue ne pas assumer et culpabiliser.
J'avoue ne rien demander sur ta famille pour ne pas avoir à encore plus culpabiliser.
J'avoue que tout nous sépare et j'avoue que tu n'étais pas du tout mon style d'hommes, pas du tout celui que je pouvais trouvais intéressant, ni sur lequel j'aurais pu poser mes yeux. J'avoue ne pas comprendre ce qui se produit.

J'avoue avoir aimé ta séduction, tu t'y est pris avec brio.
J'avoue te trouver merveilleux, à l'écoute, tendre, présent.
J'avoue que la femme qui partage ta vie a sacrément de la chance
J'avoue que si je t'avais connu avant, j'aurais été plus que partante pour faire un bout de chemin avec toi.

J'avoue trouver tout cela troublant et déstabilisant : pas besoin de communiquer pour se comprendre, échanges de sms, mails au même moment.

J'avoue avoir conscience que tout ça n'est pas bien mais qu'il y a une partie de moi qui me dit oui et une autre non.
J'avoue que quand je te demande d'arrêter de me séduire et de partir, j'en pense le contraire.
J'avoue que je suis impatiente à chaque fois que je sais qu'on va se croiser

Toi et moi, c'est une histoire impossible mais j'avoue penser qu'on a qu'une vie et que désormais, au vu de mon vécu, il faut en profiter.

J'avoue ne rien attendre de toi et surtout pas que tu changes de vie.
J'avoue trouver une sorte de complémentarité avec toi, un apaisement, une douceur.
J'avoue aimer quand tu me prends dans tes bras.

J'avoue que quand je te repousse, c'est pour me protéger et te protéger toi aussi.
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Zaï, 33 ans, Suisse
J'avoue que je suis dans le même pétrin que toi : J., 35 ans, Paris, et ce depuis une année... Oui j'avoue que je n'arrive pas me sortir de la tête ce collègue, lui aussi plus jeune, lui aussi en couple et lui aussi qui a l'air de s'en foutre royalement ! Et bientôt une année que ça dure...
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Melle l., 23 ans, Paris
J'avoue qu'il me plait.
J'avoue qu'il m'a couru après il y a de ça trois mois au métro pour m'avouer qu'il me désirait depuis des mois sans jamais me le dire, mais qu'il craquait.
J'avoue que je me suis rendue compte instantanément que moi aussi, ça durait depuis des mois.
J'avoue que ça n'allait pas avec mon chéri.
J'avoue même avoir passé de supers moments avec lui.
J'avoue une nuit avec lui.
J'avoue des matinées entières avec lui.
J'avoue tous ces regards au boulot.
J'avoue qu'il est mon patron.
J'avoue qu'on a 15 ans d'écart, mais que je m'en fous.
J'avoue que j'ai quitté, puis me suis remise avec mon chéri en un mois de temps.
J'avoue que je ne pense qu'à lui quand on fait l'amour, que je ne pense qu'à lui le soir dans mon lit.
Dès qu'il est là, je sens quelque chose monter en moi.
J'avoue qu'il me rend complètement dingue, malgré un caractère de FEU, je n'ai jamais vu ça.
J'avoue ne pas comprendre, il a quelqu'un, j'ai quelqu'un mais il m'a déjà dit qu'il serait le plus heureux du monde s'il pouvait m'avoir.
Je ne sais pas comment lui faire comprendre que je suis dingue de lui, mais plus fort qu'il ne se l'imagine, car j'ai peur de lui dire tout simplement.
J'avoue qu'on continue de bosser ensemble parfaitement bien, on fait la part des choses, réellement, inimaginable, mais vrai.
J'avoue que je n'ai jamais eu autant envie de quelqu'un.
J'avoue que je n'ai jamais autant merdé avec quelqu'un qu'avec lui.
Il me fait perdre tous mes moyens.

J'avoue que je ne sais plus quoi faire, mais j'avoue surtout que j'adore ça.
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Babygirl, 28 ans, Lyon
J'avoue coucher avec mon collègue chaque semaines depuis 2 ans.
J'avoue que c'est mon meilleur coup, un vrai dieu au lit.
J'avoue que c'est toujours si torride entre nous...
J'avoue que nos collègues s'en doutent mais qu'on a toujours nié.
J'avoue être folle de lui et que je ne laisse rien paraitre.
J'avoue que ça me rend dingue de savoir qu'il se tape d'autres filles.
J'avoue bien me venger de mon côté avec plein d'autres hommes.
J'avoue que mes sentiments commencent à être trop lourds à porter.
J'avoue lui avoir dit la vérité et avoir mis un terme à cette relation pour ne pas souffrir davantage.
J'avoue qu'il l'a mal pris, qu'il n'a pas cherché à me retenir et qu'il m'ignore totalement au boulot depuis.
J'avoue avoir envie de pleurer dès que je l'aperçois mais que je le cache bien.
J'avoue vouloir tellement l'oublier mais comment faire ?!
J'avoue attendre et espérer secrètement qu'il revienne et qu'il m'offre une vraie histoire d'amour...
J'avoue, ça fait du bien d'avouer !
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X, 23 ans, Paris
J'avoue que tu me perturbes, depuis des mois.
J'avoue que pendant quelques mois, je ne faisais pas attention à toi, du tout.
J'avoue qu'aujourd'hui je ne sais plus comment t'oublier, passer à autre chose.
J'avoue que je me suis quasiment remise avec lui disons que ça ne devrait pas tarder, pur confort, et que je n'arrive pas à te le dire.
J'avoue que si toi et moi on s'était rencontrés dans une autre vie, je n'aurai eu d'yeux que pour toi.
J'avoue que l'âge entre nous me dérange et en même temps, j'adore ça.
J'avoue que je suis mauvaise, je suis invivable, et incroyablement sans cerveau.
J'avoue que tu me fais fondre, complètement.
J'avoue aussi que je ne sais pas quoi faire.
Je me sens perdue, si tu savais à quel point.
Tout lâcher ? J'en suis capable, c'est juste tellement injuste de pas passer le cap sous prétexte qu'on a peur.
J'adore ces moments, j'aime tellement, j'aime tout court ces moments, avec toi, tes baisers, tes regards, nos corps l'un contre l'autre, il se passe quelque chose.
Je n'arrive pas à me passer de toi.
Je n'arrive pas à me passer de lui.
Je ne me sens pas amoureuse de toi, mais je me sens terriblement attirée, aimantée, folle, tu m'excites, tu m'énerves, tu me perturbes, tu as bouleversé ma vie.
J'avoue que je ne sais pas comment faire.
Comment me sortir de cette situation, comment me libérer de tout ça.
Tu ne seras jamais à moi complètement, et je ne serai jamais à toi entièrement, on ne peut pas le montrer, on ne peut pas le dire, et on ne tiendrait pas, au quotidien.
J'avoue que je ne peux pas m'empêcher de penser à toi, trop souvent, depuis ce jour au métro.
J'avoue qu'il faudrait que j'arrête, mais je n'y arrive pas, j'adore penser à toi. J'adore te voir, te rejoindre, nos cafés, nos clopes, nos regards. Bref, j'avoue tout.
J'avoue, j'aimerai plus que ça encore, je n'ai pas de cerveau : je n'arrive pas à te dire que j'aimerai plus, moi aussi, ne jamais me remettre avec lui, et être avec toi.
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Lilix, 19 ans, Toulouse
J'avoue être différente. J'avoue me sentir en décalage. J'avoue ne jamais rien faire comme les autres. J'avoue avoir des fantasmes et des envies brutales. J'avoue être une garce. J'avoue adorer manipuler les hommes. J'avoue de jouer de mon corps pour les séduire, en user, en abuser pour mon plaisir et les rejeter quand ils ne me sont plus utile.
J'avoue rechercher toujours plus de plaisir et de pouvoir sur des hommes généralement bien plus âgé. J'avoue faire tourner en bourrique mon prof de droit loin d'être insensible à mes charmes. J'avoue adorer que l'on me désire, que l'on me flatte.
J'avoue avoir rencontré un homme différent. J'avoue que je le hais de l'effet qu'il me fait. Je hais qu'il me connaisse autant, qu'il sache ce que je suis, ce que je fais. Et en même temps je dois avouer que ça me soulage de ne plus porter le fardeau de ma différence seule.
J'avoue ne pas vouloir changer. J'avoue me complaire dans ma différence. J'avoue être une image, une apparence normale. J'avoue que cela boue en moi. J'avoue avoir peur de retirer mon masque. J'avoue avoir peur d'être simplement moi.
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