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Julie, 24 ans, Tours
J'avoue que je suis au travail en ce moment même et que ça fait du bien d'écouter votre émission de radio J'avoue sur Fréquence 3.
Un très beau duo. Une magnifique voix et des compositions très émouvantes.
J'ai hâte d'écouter ce futur album très prometteur.
Merci pour ce moment
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Bloody Mary, 26 ans, Lille
J'avoue que je pense que je ressens juste beaucoup de choses différentes en ce moment sur le plan émotionnel, qui se manifestent par des problèmes de santé.
C'est une situation étrange dans laquelle je me trouve et je pense que la plupart des gens sauraient exactement quoi faire lorsqu'ils réalisent que quelque chose ne les sert plus de la bonne manière, je suis dans la même relation depuis que j'ai 17 ans et je ne sais pas quoi la vie peut être comme en dehors de ça - et je suppose que ça me fait très peur.

Mais j'avoue que je ne pense pas pouvoir continuer avec le manque de travail et d'engagement, la consommation constante d'alcool et de violence psychologique, les mensonges. Je sais qu'il y a plus à faire pour moi, mais pour le moment, je suis coincé au fond des tranchées.
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Eugénie274, 27 ans, Bordeaux
J'avoue un soir avoir commencé à chauffer par message un de mes ex plan cul.
Yoan fin de trentaine, pas du tout prêt à être daron même si il a déjà les vannes..
Il me dit je veux te voir te faire baiser par un inconnu devant moi.
J'accepte.
Je descends dans la rue, perçois au loin un garçon autour de 24 ans, timide inoffensif, passif, sage...
Il rentrait chez lui.
Je l'amène dans notre délire et voilà.
Mais tout ceci aurait pu mal se terminer, parfois on est plus attaché que ce que l'on s'imagine.
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Fouinybabe, 34 ans, Paris
Il y a plusieurs années, j'ai commencé un job dans une boîte où j'avais déjà bossé plusieurs étés auparavant. Je venais de quitter mon boulot précédent, j'étais dégoûtée, et je ne calculais pas grand monde (il paraît même que je faisais carrément la tronche).
Un jour, à un pot de boulot, j'ai discuté avec ce collègue ; nous avons parlé de la série The walking dead, et je me suis dit qu'il avait l'air cool, ce mec.
Par la suite, nous avons fini par être toujours fourrés ensemble, les collègues nous charriaient pas mal à ce sujet.
Je détestais mon job, mais la perspective de le voir me motivait et quand il n'était pas là c'était la déprime, il me manquait trop. Le matin on arrivait plus tôt que les autres, et mon petit rituel était de prendre mon petit déjeuner à son bureau pendant qu'on papotait. Le soir on prenait le métro ensemble, parfois on continuait le chemin à pied jusqu'à sa gare.
J'avoue que j'ai eu un gros coup de cœur pour lui, je parlerais même de gros sentiments.
Quand j'étais arrivée, il était séparé de sa copine, mais je ne le savais pas. Quelques mois plus tard ils se sont remis ensemble, puis ils ont prévu le mariage. Jusqu'au bout j'ai espéré au fond de moi que ce mariage n'ait pas lieu. Mais qu'est ce que je m'imaginais ? Qu'il la larguerait pour moi ? Au nom de quoi, quel poids avais-je face à elle, avec qui il avait un enfant... J'ai tellement espéré mais non, il a eu lieu, ça m'a pincé le cœur.
J'avoue qu'on avait les mêmes délires, le même humour, je crois que je n'ai jamais autant ri avec un mec, le nombre de fous rires aux larmes que j'ai eu... J'avoue qu'il était tactile aussi, je ne disais rien, jamais je n'ai tenté quoi que ce soit, mais souvent ça a été difficile de me retenir. Je me rappelle cette fois dans le métro bondé où je tenais sa main soit-disant pour ne pas tomber, belle excuse... J'avoue que nous portions des gants, je n'ai pas senti sa peau, et je n'aurais probablement pas osé le faire à mains nues.
Puis j'ai rencontré quelqu'un, et j'ai également démissionné. Cela fait deux ans que je ne le vois plus (mais nous nous donnons des nouvelles), ne pas le voir me manque.
J'avoue qu'il y a quelques mois il m'a dit "si un jour on est célibataires en même temps, je t'envoie mon cv". Ça me fait penser à ces films où le timing n'est jamais le bon.
J'avoue qu'il y a une chanson qui me fait toujours penser à lui, les quelques paroles qui disent "J'ai peur de nous, j'ai pas envie de résister / J'ai peur de nous, la raison n'est pas notre alliée / Tour à tour on se tourne autour / Sans jamais avoir basculé / Les jeux interdits, ton humour abstrait / Me font toujours autant d'effet". Pas au mot près bien-sûr, mais dans l'idée...
J'avoue que je me suis souvent demandé s'il avait ressenti quelque chose pour moi aussi, ou si ce n'était qu'un jeu, qu'un léger flirt pour se rassurer. Je ne le saurai de toutes façons jamais.

J'avoue que je culpabilise d'écrire cet aveu car je suis avec un mec super, gentil et que j'aime ; je pense que je ne reverrai jamais ce collègue et que tout restera un souvenir, mais B.Q., je me demande quand même ce que ça aurait donné nous deux.
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Blackbird, 17 ans, Paris
Ne pas aimer sourire, j'avoue détester les autres et leurs comportements futiles. J'ai mal, j'ai peur, mais je ris, je ris parce que je n'ai bien sûr plus le choix. J'avoue vouloir trouver une personne qui me comprenne puis avoir peur de celle-ci, ma belle inconnue où es-tu ? Tu sais je t'attend avec impatience, les autres sont cons mais je ne suis pas mieux. Je suis une trouillarde, la pire de mon espèce, fuyant avec conviction les problèmes, une petite flippète qui n'a qu'une envie, celle de fuir sans me retourner, celle d'emmerder mes semblables et d'arrêter de sourire. Ouais je crois que je finalement, ras le bol, ras le bol d'autrui mais surtout ras le bol du torrent d'émotions qui me plongent dans un gouffre sans fin. Ras le bol, de mes pensées sourdes et de mon envie débordante de vouloir être aimé, désirer et admirer. Marre d'en attendre des autres.
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Bonbon, 26 ans, Paris
J'avoue que Noël c'était mieux avant.
J'avoue qu'on avait la neige avant, on avait juste à poser les pieds sous la table et ouvrir les cadeaux...
Maintenant, j'avoue, c'est tout un autre son de cloche.
J'avoue que c'est devenu un stress et une pression cette obligation de visite familiale, sorte de thérapie où chacun vient raconter sa vie pour chercher l'approbation des pairs...
Et cette injonction de la fête, alors que c'est plus trop le moment bof bof !, J'avoue, je ne dis rien parce que je veux pas passer pour l'aigrie de service mais c'est tout comme le 31 décembre, j'avoue que je m'en fous royal.
Allez bonne année quand même...
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Sibylle, 25 ans, Marseille
J'avoue avoir terriblement peur de rater mes examens, j'avoue être terrifiée à l'idée même de changer de voie, j'avoue que j'en ai marre de stagner et que je veux avancer. J'avoue que même si j'ai l'air zen je suis complètement angoissée et pas sereine !!
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L., 23 ans, Mons
J'ai l'impression que rien ne va dans ma vie en ce moment. Je suis en très grande partie au chômage à cause du covid. Suite à ça (mais pas que), tout mes proches veulent que je trouve un travail ailleurs. Mes recherches n'étant pas très fructueuses, mon copain (et d'autres proches je pense également) doute que je cherche réellement un autre job... Cela me décourage parfois dans mes recherches et me fait sentir mal à l'aise, car c'est vrai que je pourrais postuler plus mais je ne le fais pas.
Pendant tout ce temps libre, je culpabilise de ne pas travailler ou de vouloir faire des choses qui me font envie. Ca me donne aussi beaucoup trop de temps pour réfléchir.
Réfléchir à des choses qui me font douter. Est-ce que c'est normal que mon copain et moi n'avons pas beaucoup de conversation ? Pourquoi on ne s'appelle pas quand on n'est pas ensemble pendant plusieurs jours ? J'ai l'impression qu'on n'a pas grand chose à se dire. Est-ce que c'est normal que j'aille beaucoup plus souvent chez lui que l'inverse ? Est-ce que c'est une bonne idée d'acheter une maison ensemble directement ? Est-ce que notre relation fonctionnera quand on habitera ensemble ? Est-ce que je serai heureuse, est-ce qu'il me laissera faire des choses qui me font envie (partir en vacances, faire des activités, sortir...) ? Est-il seulement attentionné quand il veut faire l'amour ?
Y a-t-il quelqu'un à qui je peux/veux me confier ?
J'ai donc beaucoup de craintes en ce moment, et je me rends compte qu'une grande partie de mes craintes concerne mon copain ... Je l'aime, je ne veux pas le quitter mais j'ai l'impression qu'on est tellement différents. Peut-on vivre ensemble en étant si différents, en ayant des centres d'intérêts si éloignés ?
Puis-je vivre en me posant tant de questions ?
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Virginie, 35 ans, Nanterre
J'avoue me poser des questions de savoir si je me suis pas trompée en retournant vite vers quelqu'un, même si on s'était dit "plus de contact quand tu trouveras quelqu'un", ayant encore des sentiments pour toi (c'est fort probable que j'en ai, sinon je réagirais pas comme ça).
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Ninie, 35 ans, Nanterre
J'avoue ne pas pouvoir m'empêcher de reparler avec mon ex (étant en couple depuis 6 ans et demi), ce faisant 6 ans et demi qu'on a rompu officiellement. Est-ce que ce court écart entre la rupture avec mon ex et la rencontre avec mon conjoint (environ 2 mois d'écart) a une incidence ?
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Mélissandre, 30 ans, Montréal
J'avoue que je ne désire pas mon mari. Il est génial, c'est un homme bien, mon ami, et je veux rester avec lui pour toute la vie. Mais je ne ressens pas la moindre étincelle de désir sexuel à son égard. J'attends qu'il ne soit pas à la maison pour assouvir mes désirs sexuels seule.
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Badaboom, 26 ans, Lyon
J'avoue, j'ai tapé dans ta caisse en reculant avec la mienne...
Juste parce que je me regardais dans le rétroviseur.

Oups.

Et puis je ne t'ai absolument rien dit. Mais t'as rien vu. Tant pis pour toi !
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Irishsim, 24 ans, Waterloo
Je voudrais réellement chatouiller les pieds d'une femme très chatouilleuse. Je n'en ai jamais parlé et n'ose pas aborder le sujet car je pense vraiment passer pour quelqu'un de bizzare. Pourtant c'est la vérité. Je suis particulièrement sensible aux pieds féminins et au fait que ces femmes soient chatouilleuses. Je rêve de partager un moment de rigolade et de détente pure (sans rien d'autres derrière) juste des chatouilles.
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Saphir, 21 ans, Paris
J'avoue, aujourd'hui c'est mon bilan de stage. Je suis toute stressé. J'ai peur, j'ai hâte, j'ai pas envie de le passer et en même temps que cela soit fait.

Je vois ce bilan comme l'avenir de mon destin. Il faut que je l'accepte quoi qu'il arrive.
Je dois recevoir la critique comme conseil et non comme un poignard.
Je suis toute excitée. J'ai beaucoup fumé.
Tout va bien se passer.
Tout va bien se passer.
Tout se passera.
Et c'est tout.

Aller à plus.

Je vous aime.

J'y vais.
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Saphir, 21 ans, Paris
J'avoue que je ne sais plus comment faire.
J'avoue que je ne sais plus comment agir.
J'avoue que je ne sais plus comment oublier.

J'avoue que j'en peux plus. J'en peux plus de mes angoisses, de cette peur.

Comment ça se fait que je pouvais passer une mauvaise journée et l'oublier le lendemain.
Aujourd'hui je suis hanté par tout ce que je vie. Chaque chose que l'on me dit est une claque, chaque critique est un coup. J'avoue que la nuit je n'en dors pas, je n'arrive pas à passer à autre chose. Je revois tout, je revis tous, chaque instant est repassé au peigne fin de ma mémoire. Une lutte entre mon mal être et moi se fait.
J'avoue, je me fais passer à tabac par ce moi qui est mon mal être.
Tout devient plus fort et plus violent car je n'oublie pas les moments passés après plusieurs mois.
Je suis sur mes gardes, paranoïaque.
Il fut même un temps où je buvais pour essayer d'oublier.
La cigarette et le lexomil sont mon eau et mon oxygène.
Je n'en peux plus.
J'en ai marre.
Pourquoi est ce que tout le monde réussit et moi j'échoue.
J'avoue je suis perdu.
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Saphir, 21 ans, Paris
J'avoue, je suis étudiante infirmière en troisième année (à quelques mois du diplôme).

Je vous écris car je ne vais plus et pourtant on pourrait dire que j'ai tout pour plaire, la jeunesse, la beauté, l'amour.... Blabla.

Depuis que je suis entrée à l'école infirmière je ne vais plus. Avant j'étais une optimiste, quand quelques chose me prenait la tête je passais à autre chose et j'en avais rien à faire de ce que les autres pouvait me dire.
Aujourd'hui, je suis pessimiste. Je ne m'aime plus j'ai l'impression d'être débile et nul, j'enchaîne une succession d'échecs, je rate tout.

Je passe ma vie à avoir des période dépressive et des période où je me maintiens. Je deviens malade de plus en plus et le fait de savoir que je ne serai pas diplômé et que je vais peut être redoubler m'achève.
Je me dégoute, je me déteste, je vois tout mes efforts qui ne servent à rien. Je n'arrive plus à me motiver.
J'échoue mes partiels, mes stages et mon mémoire est devenu ma bête noire.
Je suis dans cet état car le diplôme est très important pour moi. C'est mon billet pour l'indépendance. Car derrière tout ce mal être scolaire se trouve un mal être familial.

Je ne supporte plus ma famille, je suis la dernière et pas du tout la préféré. Je suis la troisième roue du carrosse. Mes parents font du favoritisme : ma mère préfère ma sœur bipolaire qui ne fait rien de sa vie (27 ans ne tient pas un boulot de plus de 6 mois et compte se marier avec un gars qu'elle a rencontré il y a 5 mois) et mon père préfère mon frère qui ne fait rien, addict au stupéfiants et vient de perdre son permis.
Le problème est qu'ils sont laxiste avec eux mais strict avec moi. Ils ne me prennent en compte que quand ils ne sont pas là ou ont besoin de moi. Ils en ont rien à faire de ma personne.

Je suis au bord du gouffre, mes copines ne vont pas bien elles aussi. Il y a juste mon copain qui m'épaule et est mon roc. Je culpabilise d'infliger ça a mon copain.

Je sais plus quoi faire, je n'arrive pas accepter les choses. Je n'arrive pas à envisager le redoublement comme quelques chose de bénéfique.
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Emy, 19 ans, Nice
J'avoue que là, tout de suite, je me sens comme égarée au milieu un océan, submergée par toutes ces difficultés et toutes ces choses que je dois faire. Je me noie dans des décisions plus dures les unes que les autres à prendre. J'ai le sentiment d'être le pilier de ma famille, famille qui d'ailleurs part en lambeau depuis maintenant 3 ans. Tout le monde compte sur moi mais j'ai la sensation d'être si faible même si certains disent le contraire. Parfois, je me demande ce que serait ma vie si je n'avais pas eu tout ces accidents de parcours, ce qu'elle serait si j'avais un peu de soutien, si pour une fois dans ma vie j'avais une figure masculine qui m'épaulerait. Puis je me dis que sans ça, sans ces blessures qui ne cessent de saigner et sans cette douleur qui m'étouffe jour après jour, je ne serais pas celle que je suis.
Et comme j'ai conscience que je suis jeune, si vous aviez comme j'en ai conscience, je sais que j'ai la vie devant moi mais vivre sa vie sans équilibre s'avère être tellement difficile. Si vous me croisiez dans la rue, aucun d'entre vous ne saurez à quel point je souffre, j'ai mal et je suis fatiguée, personne parce que ouais, je suis une bonne comédienne comme pas mal d'entre vous.

Je n'ai jamais rien demandé d'extraordinaire à mon sens, seulement à ce que l'on me voit comme je suis réellement et que l'on m'accepte avec toutes mes cassures.
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Adj, 39 ans, Paris
J'avoue que j'adore les militaires.
Ça tombe bien, j'en suis une moi aussi.
J'avoue que vos fesses musclées en treillis, vos pectoraux saillants sous une chemise de combat, vos nuques rasées ne me laissent pas indifférente.
Mais au delà de ça, j'avoue que j'aime échanger avec vous. Je sais ce que vous vivez, ce que vous n'osez pas évoquer avec vos collègues masculins de peur d'être jugés. Je sais que vous avez besoin parfois d'une oreille, de relâcher la pression. Je sais que vous pouvez me dire des choses que vos compagnes ne peuvent pas comprendre. J'ai plaisir à vous écouter, à partager un peu vos fardeaux. À être là pour vous.
J'avoue, j'aime prendre soin de vous. Vous offrir quelques heures de répit, de douceur, d'humour à la con, de nouveauté et plus si affinité. Ce n'est pas un but en soi, mais c'est toujours un bonheur...
J'avoue, j'ai aimé faire l'amour avec chacun d'entre vous. J'ai fait de mon mieux pour qu'à chaque fois, le concerné se sente unique, choisi, chanceux. C'est bien peu comparé à ce que vous donnez.
J'avoue que certains d'entre vous sont au-delà de toutes descriptions côté sexe ! À ceux-là, merci pour votre endurance, votre imagination et votre savoir-faire ! Merci pour m'avoir fait me sentir belle dans vos yeux, et bonne dans vos lits. Merci pour tous ces endroits insolites où nous avons échangé nos salives, nos sueurs et nos fluides corporel. Merci pour le respect que vous m'avez témoigné, en acceptant systématiquement la capote. Merci malgré les longues périodes d'abstinence qui vous sont imposées d'avoir toujours fait passer mon plaisir avant le votre.
Et merci à ceux à qui j'ai simplement dit non et qui n'ont pas insisté.
J'avoue qu'une fois je suis tombée amoureuse. Au point de me résoudre à la fidélité depuis plusieurs années et de l'avoir épousé. Je sais qu'il se croit unique mais force est de constater qu'avant lui quelques uns ont emprunté le même chemin.
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Jaipasdepseudo, 21 ans, Dijon
J'avoue que je me sens seule souvent, j'aime pas ma vie actuelle. Je suis proche de personne, ni de ma famille ni de mes amis. La plupart des amis que j'ai c'est grâce à mon copain comme si j'étais incapable de m'en faire. J'aime de moins en moins qui je suis.je crois que mon copain aussi. Ma confiance en moi baisse. J'ai l'impression que les gens ne m'aiment pas. J'ai l'impression de pas être normal. Les gens m'abondonnent petit à petit. Je ne sais pas ce que je vais devenir. Je me hais de plus en plus, je me supporte de moins en moins. J'ai aucune volonté.
Que vais-je devenir ?
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Littlestrawberry, 23 ans, Évreux
J'avoue que je ne sais pas où j'en suis. J'avoue que je l'aime, j'ai quitté ma région, ma famille pour lui...
Mais 3 ans plus tard, j'avoue que je suis à bout. J'avoue que j'ai du mal à supporter son mal être qui déteint sur moi, j'avoue que ça m'énerve l'entendre râler sans qu'il ne fasse rien, j'avoue que ça m'épuise de le voir déprimer... Quand c'est moi qui est au fond du trou, il me dit ne pas pouvoir prendre ma peine sur ses épaules. J'avoue que moi, je dois toujours l'aider à se relève, même si ça me fatigue. J'avoue faire des efforts, je ne sais pas s'il en fait réellement. J'avoue ne pas savoir si j'ai la force de continuer. J'avoue que si je pars, il sera dans une situation compliquée. Est ce de la pitié ? J'avoue que je ne sais pas. Je suis fatiguée.
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444, 21 ans, Paris
Ma mère me dit tout le temps que je suis grosse. Elle me trouve pas assez grande pas assez fine, pas assez mince, pas assez intelligente. Je suis juste une grosse chose stupide moche à ses yeux.
C'est pour ça que j'ai toujours déteste les photos, miroir, tout ce qui était près du corps. Car je savais que j'étais moche, laide. Que j'étais pas féminin vu que je porte que des vêtements ample et des pantalons.
Lorsque j'ai des problèmes de peaux je lui dis que c'est le stress mais non elle me sort que c'est parce que je suis grosse !
En vrai j'en peux plus de cela. Je n'en peu plus de ce type de vie, où ta propre mère te juge sur ton apparence et non ce que tu es vraiment.
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Justemoi, 21 ans, Dijon
J'avoue que je suis bien en couple mais parfois je sens un vide, les amis que j'ai maintenant c'est grace à mon copain, j'arrive pas à m'en faire seule, je me sens bizarre parfois. Ou je rencontre des gens via le net, ça me déprime parfois.
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Jb2100, 22 ans, Liège
Je n'arrive pas à oublier mon premier amour, elle m'obsède, je rêve d'elle toutes les nuits, je me réveille en sueur. J'ai du mal à me faire des amis, j'ai du mal à contrôler mes émotions, je me sens fort seul.
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Debby, 15 ans, Le Mans
J'avoue, j'ai vraiment besoin de parler de mon copain qui part en sport étude l'année prochaine. Ca peut paraître totalement enfantin et encore plus à mon âge, mais c'est ce qui signifie qu'on se verra que très rarement puisqu'il est à des heures d'ici, et même si il reviendrait les week-ends, il les passerait avec sa famille, mais est-ce qu'on gardera la même complicité ? Est-ce qu'on supportera la distance ?
Est-ce qu'on va s'oublier petit à petit ? J'ai réellement un gros poids sur mes épaules, j'ai si peur de le perdre et de me perdre moi aussi, je suis totalement perdue, est-ce que je vais pouvoir tenir ?
J'ai confiance en nous et pourtant.
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Trinity, 36 ans, Paris
J'avoue en avoir marre... maladie pourrie, mon concubin qui vit avec moi mais n'est jamais là.
J'avoue parfois avoir envie d'en finir mais un bout de chou me retient et je ferais tout pour lui.
J'avoue qu'il devient le seul amour de ma vie et heureusement qu'il est là.
J'avoue ne plus savoir où j'en suis.
J'avoue pleurer tous les jours mais sourire devant les gens pour ne pas avoir à répondre à des questions.
Plus les jours passent plus il est difficile de garder le sourire.
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