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Homme55, 55 ans, Lyon
J'avoue que je suis allé dans un club libertin avec ma femme. J'avoue que quelques minutes après notre arrivée, ne sachant trop quoi faire, nous avons pris le 1er type de la meute qui la suivait et nous sommes isolés dans une pièce qui fermait. J'avoue que la voir sucer, se faire prendre par un inconnu beaucoup plus jeune était excitant. Elle a été surprise lorsqu'il l'a prise par derrière sans lui demander, mais lorsque plus tard il lui a demandé où elle voulait qu'il passe, elle l'a laissé choisir alors qu'elle n'avait jamais fait ça. J'avoue que je ne l'ai jamais vu jouir comme ça.
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Max, 46 ans, Québec
J'avoue me masturber plusieurs fois par semaine en pensant à une amie... Je la connais depuis plus de dix ans mais je n'ai jamais pu lui avouer mon désir pour elle. Je la vois occasionnellement et elle m'excite toujours autant... Un beau visage, des cheveux magnifiques, un corps de rêve... Je prends plaisir à me masturber en pensant à elle dans toutes les situations sexuelles possibles... Je la respecte, mais au fond je ne pense qu'à la prendre d'une façon brutale et de faire d'elle mon esclave sexuelle.
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Chimen, 48 ans, Nancy
Lors d'un déplacement professionnel en Roumanie, ma chambre était séparée de la voisine par une double porte. Chacun pouvant ouvrir depuis sa chambre, ce système permet de relier deux chambres.

Le soir venu, un bruit ne laissait aucun doute sur l'activité dans la chambre voisine... Ça baisait avec passion ! Mon sang ne fit qu'un tour, je m'approchai de la porte pour épier le moindre bruit.
J'avoue que cette situation m'excitait au plus haut point.

Pour mieux entendre, j'avoue avoir ouvert la porte de mon côté, rendant le son parfait !
J'avoue m'être masturbé en imaginant mes voisins ! Puis plus rien, j'étais déçu de ne pas les avoir entendus jouir.... Enfin le bruit d'une chasse d'eau... j'étais toujours derrière la porte, l'oreille collée pour mieux entendre, et soudainement la porte de l'autre côté s'ouvre, et moi, debout le sexe à la main.... La honte de ma vie !

Ils referment la porte... après quelques minutes, ça frappe et la voisine me demande si je veux les regarder faire l'amour! Bien sûr ! J'avoue m'être régalé à mater ce couple baiser devant moi, nous avons tous joui ensemble !
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Gecko, 20 ans, Namur
Il est 2h quand j'écris ces lignes et je ne sais par où commencer, j'ai 20 ans je suis en études supérieur et j'ai un problème.

Ma dépendance affective me rend complètement marteau, je ne peux pas m'imaginer seul un instant. J'ai été trompé lors de mes 2 premières relations, pour la troisième je me suis senti partir, un amour inconditionnel pour une personne adorable mais pourtant avec qui rien n'étais plus vrai que lorsque nous faisions l'amour, je me suis fais évincer pour qu'il retourne auprès de son ex et depuis j'ai un rapport très compliqué avec mon corps. Je m'accepte entièrement mais pourtant une part de moi essaye de plaire constamment lorsque je suis seul.
Quand je suis seul j'ai toujours ce besoin viscéral de chercher de l'attention, au de it il ne s'agit que d'attention « psychologique » mais ensuite viens une période « sombre » je déteste cette partie de moi qui cherche à coucher avec des personnes lorsque son cœur n'est plus assez fort pour supporter la solitude. Ici par exemple, après 1an de célibat ou j'ai réussi à rester « sobre » sans chercher l'attention là où elle pouvait être, j'ai rencontré quelqu'un, un garçon charmant avec qui je discutais à distance, je me suis senti si bien durant cette période (de plus d'un an) où nous discutions, plus de point commun avec lui qu'avec aucun autre, malheureusement je suis tombé complètement et éperdument amoureux de lui, nous nous sommes rencontrés après un an, je me suis donné à lui entièrement.
Lors du retour en Belgique, j'étais perdu je savais que cette relation n'avait aucun espoir mais pourtant je m'accrochais à lui.
Nous avons pris la décision réfléchie de laisser tomber (et ce depuis uniquement 3 jours) et me voilà retombé dans mes travers, je ressens le besoins constant de plaire et de me sentir désiré, aimé, ou bien même juste que quelqu'un me fasse sentir vivant le temps d'un instant.
Je suis arrivé à un stade ou je déteste la personne que je suis, j'ai une peur bleue de l'abandon et de l'oubli, je ne conçoit pas le fait d'être mis à l'écart ou de n'être relayé qu'au second plan, celui qu'on écarte lorsqu'un meilleur choix s'offre à nous.
Je suis perdu, j'essaye de combattre ces idées et ces envies mais il m'est quasi impossible de les faire partir, j'ai besoin que quelqu'un se blottissent contre moi pour me faire sentir vivant et il est devenu impossible pour moi de me sentir vivant autrement.

Je sais que tu ne passeras jamais par ici A mais je t'aime, je ne veux pas t'oublier comme tu me le suggère, tu feras toujours partie de moi et ce week end à tes côtés fut un des meilleurs de ma courte vie.
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Homme55, 55 ans, Lyon
J'avoue que je suis retourné dans un autre club libertin avec ma femme (lire mon précédent aveu). Cette fois nous voulions un couple. Nous en avons trouvé un d'environ notre âge. Après des caresses dans le jacuzzi, nous nous sommes isolés dans une pièce. J'avoue que ma partenaire ne me plaisait pas, surtout en ayant ma femme à côté pour comparer. Elle n'était sensible à aucune de mes caresses. J'avoue n'avoir pas pu bander.
J'avoue que j'avais mal de voir ma femme crier sous les doigts ou la langue de son partenaire, voire de son sexe quand il a difficilement réussi à la pénétrer car il bandait mou. Mais il a quand même réussi à lui arracher quelques cris de plaisir. J'avoue que j'ai été plus jaloux que quand elle avait des orgasmes à répétition avec un autre inconnu plus jeune quelques jours plus tôt. Peut-être parce que je la voyais sous un autre angle ou parce que je ne pouvais ni la toucher ni l'embrasser cette fois-ci. J'avoue que je n'ai plus envie de la voir pénétrée par un autre.
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Machine, 22 ans, Nantes
J'avoue... tout.
Il y a tant d'années que je te regardais, toi son meilleur ami, tant d'années que tu m'avais repoussé mais que tu continuais à me regarder. Tant d'années que je te voyais comme mon meilleur ami mais pour qui j'avais tant de pensées lubriques.
J'avoue que quand j'ai décidé de divorcer, ça n'avait rien à voir avec toi. Je ne pensais même pas que ça changerait ce statut quo entre nous.
Je pensais ta loyauté envers lui éternelle.
Je ne suis pas encore libre, séparée mais en cohabitation.
Et pourtant, quand je t'ai proposé, après des semaines de discu plus hot les unes que les autres, de se voir pour tenter notre histoire, pour de bon cette fois... je ne pensais pas une seule seconde que tu viendrais vraiment et que tu m'embrasserais.
J'avoue que ça fait peu de temps, mais j'en suis plus heureuse que je ne pensais l'être. Tu m'apportes tellement... et j'ai si peur de te perdre. Quelle folie douce...
J'avoue que chacun de nos rendez vous secrets sont un bonheur absolu.
Je ne veux que tes bras, je ne pense plus qu'à toi, à nous.
J'ai tellement hâte de te revoir. A peine sur le pas de la porte, j'ai déjà envie de rentrer à nouveau...

Prends moi ! Où, quand, comme tu veux ! Je suis à toi.
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Truc machin chose, 44 ans, Bruxelles
J'avoue que, depuis qu'on s'est parlé au téléphone, je suis sur un petit nuage.
Ça faisait des années que je ne m'étais pas sentie aussi bien...
C'est vrai qu'on a tout pour être heureux chacun de notre côté, et qu'être à nouveau en contact c'est prendre le risque, une fois de plus, de tout perdre. Mais je crois que je t'ai dans la peau, simplement. Sans toi, il me manque un truc pour que mon bonheur soit total.
On sait tous les deux que se revoir n'est pas une bonne idée, mais il va falloir que tu sois fort pour deux, car en ce qui me concerne, je n'attends que ça! J'y pense à chaque instant, j'espère te voir débarquer toute la journée, ce qui est impossible puisque tu ne sais même pas où je suis, mais je ne peux pas m'empêcher d'être fébrile dès que quelqu'un entre dans la même pièce que moi.
J'imagine ce que je te ferais, ce que je te laisserais me faire... et c'est un peu comme si mon esprit était coincé sur une chaîne pour adultes en permanence! Je ne sais pas combien de temps je vais tenir comme ça, j'en attrape mal au ventre tellement j'ai envie de toi...
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Lionel, 52 ans, Nîmes
J'avoue avoir dialoguer et fait quelques cam avec une certaine Justine.
j'avoue qu'elle avait 20 ans.
J'avoue que le courant passait vraiment bien.
J'avoue que je suis marié.
J'avoue que rien de va plus dans ma vie de mari.
J'avoue qu'un jour on a eu la possibilité de se voir.
J'avoue qu'un 16 aout ça restera gravé et ce fut une expérience de folie qui restera secrète entre nous deux.
J'avoue que je n'ai jamais oublier cet après midi là.
J'avoue que ça a duré deux ans.
J'avoue que je savais que notre relation était pas viable.
J'avoue qu'elle m'a ouvert les yeux sur beaucoup de choses.
J'avoue que j'ai fait beaucoup de choses pour qu'elle arrive à me détester.
J'avoue malheureusement que j'ai réussi pour qu'elle passe a autre chose.
J'avoue que je lui souhaite tout le bonheur du monde.
J'avoue que je l'oublierai jamais.
Justine où que tu sois, c'est encore moi.
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Jobijoba57, 50 ans, Thionville
J'avoue qu'hier, ma femme et moi étions seuls à la maison sans les enfants l'après-midi. Ma femme n'a pas été trop tenté par une culbute, que je suggérais, si bien qu'au sortir de la douche, elle est allée dans le salon regarder des séries. Moi, je suis resté dans la chambre et j'avoue qu'après le repas, sur mon lit, j'ai pris mon sexe entre les mains, pris des mouchoirs et me suis discrètement branlé, espérant ne pas me faire surprendre par Madame. Je m'en suis mis partout en plus. Je n'avais jamais fait ça auparavant mais ma femme m'a excité et il fallait que je me vide les couilles. J'avoue aussi qu'au moment où mon sperme a coulé dans le mouchoir, je pensais à une autre aussi. Rien que d'écrire ça, j'ai envie de recommencer et de me masturber... Ce matin au réveil, je me suis collé à ma femme et je l'ai ensuite tringlée. Curieux car je n'ai pas senti après le même bien-être que jeudi dernier, date de notre dernier rapport.
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Lulu, 38 ans, Quimper
J'ai depuis 8 ans un homme que j'aime tendrement. Cependant, depuis que je le connais, c'est son frère qui me fait fantasmer... Je m'imagine des choses très soft mais terriblement excitantes pour moi... J'avoue faire exprès de lui toucher le bout des doigts quand on s'échange quelque chose, j'avoue le regarder intensément quand je suis dans la maison et lui dehors, j'avoue chercher son regard et ne pas le laisser fuir quand je le tiens... J'avoue aimer ce petit jeu de séduction... J'avoue aussi que j'aurai l'air ridicule s'il me proposait d'aller plus loin car c'est hors de question... Mais arriverais je à tenir le coup ? À refuser ses baisers ? Refuser ses caresses qui me font vibrer rien qu'à les imaginer... J'avoue que c'est pour ça qu'on évite de se retrouver seul tous les deux...
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Bonbon, 22 ans, Montréal
Je ne suis attirée sexuellement que par les hommes mûrs depuis toujours. J'ai en ce moment une liaison avec un ami de mon père dont je connais l'épouse que j'aime beaucoup. Je me sens un peu coupable et je veux toujours tout arrêter mais quand il m'appelle je ne peux pas résister. Ce qui m'inquiète c'est que notre relation devient de plus en plus passionnée et il prend des risques. J'ai peur de ce qui pourrait arriver.
Mais quand il pose ses mains sur moi j'oublie mes bonnes résolutions. Je sais que je devrais m'éloigner de lui mais lui et sa femme font partie des amis proches de mes parents depuis avant ma naissance. Et étant aux études je vis encore chez mes parents. Il veut que je déménage en appartement pour nous donner plus de liberté. Je ne sais plus quoi faire.
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Lola, 22 ans, Caen
J'avoue, je ne me sens pas épanouie dans ma vie sexuelle. Je vis avec mon copain, mais je trouve qu'on ne fait pas assez l'amour. J'ai des envies démesurées, je ne l'ai jamais trompé mais parfois j'ai d'autres envies...
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Sandy, 28 ans, Dijon
J'avoue, chaque soir, quand je ferme les yeux, même dans les bras de l'époux, c'est vers toi que mes pensées s'envolent.
J'avoue que je nous vois enlacés tendrement sur ton canapé.
J'avoue que je l'aime et que je t'aime aussi. Je sais que vous n'y comprendriez rien ni l'un ni l'autre. Je sais que je ne veux perdre aucun de vous.
J'avoue que j'ai envie, putain tellement envie !, De savoir comment tu embrasses et caresses.
J'avoue que ça fait une putain de décennie que je pense à toi. Et que rien ne bouge. Parfois tu m'envoies des messages ou des photos de plus en plus tendancieux voire osés mais dès que je me rapproche tu files comme une anguille.
Je ne te comprends pas. Ou peut être que si. Mais je ne veux pas admettre que tes raisons soient valables. La loyauté... C'est beau et chevaleresque... Mais tellement désuet. Et frustrant surtout.

J'avoue que ce jour là, seuls dans ton appart... Je me suis fait violence comme jamais pour ne rien tenter. Par respect pour toi, parce que je sais que tu préfères nier tes envies et tes sentiments. Mais je les vois sur ton visage. Je les entends dans ta voix. Et je les ai vu transparaître ce jour là. Je savais que j'aurais pu essayer mais je ne voulais pas que tu me repousses comme il y a 10 ans... Je ne l'aurais pas supporté, pas en ce moment.

J'avoue... Tu voudrais mais tu ne veux pas. Ça commence à me gonfler... Mais pourtant je continue chaque soir à penser à toi.

Malgré cette éternelle alternance de chaud et froid, je continues à avoir envie de toi. Ça m'énerve pourtant. En ce moment tu es dans le froid, tu ne m'écris presque plus. Et je suis un peu fâchée de ton attitude si changeante. Alors chaque jour je lutte pour ne rien T'écrire, pour ne pas être celle qui fait le premier pas encore... Mais...
J'avoue... Tu me manques de ouf.
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Accro, 28 ans, Paris
J'avoue que je prends mon pied uniquement quand le sexe est sale et que le langage est fleuri.
J'avoue adorer me sentir soumise et contrôlée.
J'avoue fantasmer sur mes collègues de travail, même plusieurs années après.
Hicham, tu ne liras jamais cet aveu, mais sache que je m'imagine dans ton lit chaque nuit.
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Swag, 39 ans, Biarritz
J'avoue, on a couché ensemble... C'était juste comme je me l'étais imaginé depuis plus de 3 ans que j'y pensais.

J'avoue, je savais qu'on allait prendre un pied d'enfer parce qu'on s'était juste embrassé, deux fois, à plusieurs années d'intervalle. Je suis en couple et mariée pourtant et je l'aime. Toi t'es célib mais t'as eu des histoires, ta dernière en date est foireuse, elle est en couple aussi. Elle depuis 7 ans, moi depuis presque 10 ans.

J'avoue qu'avec toi, je ne sais pas pourquoi mais tu m'a toujours attiré de folie, on est passés à côté d'une histoire, même si tu es plus jeune et que t'as pas les mêmes visions des choses que moi.. Je savais que sexuellement ça matcherait et je me suis pas trompée. C'était pas romantique pourtant...

Pas même un lit mais dans un bureau, le tien, sur une chaise pas très confortable ! Tu m'as fais jouir comme jamais, tu m'as fais des choses qu'on ne m'a plus faites depuis longtemps, je me suis sentie exister et ça m'a fait du bien.

J'avoue que tu m'as retournée le cerveau et le cœur et le pire, c'est que je ne culpabilise pas du tout ! Pire je ne pense qu'à la prochaine fois, si elle a lieu car avec nos emplois du temps et nos vies de tous les jours c'est bien compliqué. Je t'ai proposé un hôtel un après midi, tu n'as pas dis non, tu as même cherché comme moi sur le net ! C'est bien que ça te séduis. Je veux que tu ai à nouveau envie de moi, que tu oses m'envoyer le même message que la première fois... Tu m'as ensorcelé, putain...
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Ben, 31 ans, Liège
J'avoue, je dois te dire merci pour certaines choses. Merci à toi d'être toi. Merci de m'avoir écouté, merci d'avoir cette honnêteté et cette franchise, merci d'être toi tout simplement.
J'avoue que je suis tombé sous ton charme et j'ai du mal à me dire que ça ne sera pas possible de t'embrasser, de te serrer contre moi, de sentir ton parfum, de tenir ta main, de passer du temps à te regarder de face ou de dos.
Tu n'es pas libre, je ne le suis pas non plus et pourtant je brûle d'envie de t'emmener avec moi au bout du monde.
Je suis désolé, je ne devrais pas te raconter tout cela et je n'arrive pas à t'expliquer pourquoi je ressens cela, peu t'importe mais rationnellement c'est difficile. Pire que l'historique de la fougère.
J'ai une boule au ventre en pensant à toi et j'ai bien peur que celle-ci ne fasse que grossir.
Difficile dans un texte de mettre de l'intonation alors je vais simplement te dire...Oh bordel tu me plais !
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4:20, 20 ans, Bordeaux
J'avoue qu'on a craqué hier soir, qu'on devrait pas, c'est une liaison interdite. Mais ça la rends encore plus désirable, tu m'attires vraiment énormément.
J'avoue avoir quelque problème de santé que je ne parle pas. Mais hier, grâce à toi, je me suis endormie sans la boule au ventre. Tu as apaisée mes maux, et je n'attendais pas à au temps de douceurs de ta part. Merci.
J'avoue qu'il faut vivre ça vie, car on en a qu'une.
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Sun95l, 17 ans, Louvain la neuve
J'ai 17 ans et je vis avec des parents géniaux. J'ai une vie à quelque détails prêt parfaite mais il y a un trou noir à tout ça. Je n'ai jamais vraiment eu de relation sérieuse parce que en même temps je ne sais pas pour qui je dois ressentir quelque chose. Je suis complètement perdue. Je ne suis pas lesbienne mais je ne crois pas être hétérosexuelle non plus. Je suis perdue entre tout. Je n'ose pas en parler avec mes parents mon père est pas très réceptif pour ce genre de chose. Parfois ma vie est comme une attraction. Un moment je suis comme une reine en haut et un autre moment je suis au bout du rouleau. Je ne sais pas ce que je dois faire.
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Linda, 32 ans, Paris
J'avoue avoir très envie de mon voisin. J'avoue que j'ai envie qu'il me propose de venir chez lui et qu'il me fasse l'amour, que l'on garde ça pour nous. Mais je suis mariée et rongée par le remord de ces envies.
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Mysterieusemadone, 37 ans, Paris
Je pense qu'il faut qu'on arrête mais je ne sais pas comment faire.
La dernière fois que j'ai été très proche de toi, avant ton déménagement, tu ne m'as sûrement pas reconnue puisque je n'avais jamais été aussi tactile et aussi proche de toi
Je t'ai expliqué que c'était parce que je ne pourrais plus t'embêter une fois que tu aurais déménagé.
Tu m'as répondu spontanément et d'un ton assuré, qu'on trouverait une autre solution.
Le temps a passé et je n'ai pas vu de solution arriver ou proposée de ta part.
Je m'éloigne peu à peu et prends mes distances.
Tout ce temps loin de toi, me confirme dans mon choix d'arrêter alors que j'avoue aujourd'hui, par écrit, que je ressens des choses profondes pour toi.
Je pense même t'aimer mais ce n'est ni raisonnable ni inavouable.

A chaque fois que j'y pense, ça me déchire le cœur mais c'est mieux ainsi.
Jamais je n'aurais imaginé un seul instant développer les sentiments que j'ai développé aujourd'hui envers toi
J'avoue écrire tout ça avec les larmes aux yeux mais je ne peux en parler à personne... personne ne comprendrait.

Je pense que je ne vais rien te dire mais continuer à être distante pour que tu comprennes et que tout s'arrête te tu retournes à ta petite vie d'avant, avant que l'on se rencontre.
J'aurais toujours une profonde affection et tendresse envers toi même si je vais tout faire pour ne rien montrer.
J'avoue que je crois, pour ton bien et mon bien, que nous devenions de simples collègues.
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Boudeuse, 35 ans, Toulouse
J'avoue m'habiller en pensant à toi le matin.
J'avoue mettre d'excitant dessous en pensant à toi qui relève ma robe.
J'avoue adorer tes coups de reins.
J'avoue que ce jeu est vraiment trop dangereux.
J'avoue perdre pied et vouloir plus.
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Enmaldamour, 22 ans, Istres
Je t'aime plus que tout. Même si j'ai une copine, tu as pris une telle place dans ma vie que tu la surpasse aisément, je pense à toi tous les jours, quand je me lève, quand je me couche, et entre les deux... J'aimerais tout te dire et que tu te rendes compte de ce que j'éprouve pour toi.
Je t'aime E.
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Mysterieusemadone, 35 ans, Paris
Je pense qu'il faut qu'on arrête mais je ne sais pas comment faire.
La dernière fois que j'ai été très proche de toi, avant ton déménagement, tu ne m'as sûrement pas reconnue puisque je n'avais jamais été aussi tactile et aussi proche de toi.
Je t'ai expliqué que c'était parce que je ne pourrais plus t'embêter une fois que tu aurais déménagé.
Tu m'as répondu spontanément et d'un ton assuré, qu'on trouverait une autre solution.
Le temps a passé et je n'ai pas vu de solution arriver ou proposée de ta part.
Je m'éloigne peu à peu et prends mes distances.
Tout ce temps loin de toi, me confirme dans mon choix d'arrêter alors que j'avoue aujourd'hui, par écrit, que je ressens des choses profondes pour toi.
Je pense même t'aimer mais ce n'est ni raisonnable ni inavouable.

A chaque fois que j'y pense, ça me déchire le cœur mais c'est mieux ainsi.
Jamais je n'aurais imaginé un seul instant développer les sentiments que j'ai développé aujourd'hui envers toi.
J'avoue écrire tout ça avec les larmes aux yeux mais je ne peux en parler à personne... personne ne comprendrait.

Je pense que je ne vais rien te dire mais continuer à être distante pour que tu comprennes et que tout s'arrête te tu retournes à ta petite vie d'avant, avant que l'on se rencontre.
J'aurais toujours une profonde affection et tendresse envers toi même si je vais tout faire pour ne rien montrer.
J'avoue que je crois, pour ton bien et mon bien, que nous devenions de simples collègues.
J'avoue m'en vouloir quand j'ai pu penser que tu m'aimais comme moi je t'aime.
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Abricot, 30 ans, Rouen
J'avoue Mlle stagiaire que tu m'excites et que je me suis aperçu que tu avais l'air d'être Coquine.
J'avoue que j'aurais bien envie qu'on se face plaisir ensemble un midi ou un soir au bureau et que si tu me faisais signe ou que tu lis cet aveux, j'attends une réponse de ta part.
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Alicia75, 35 ans, Paris
Mon Charlie que notre aventure est gravée à vie.
Nos échanges m'ont fait tellement vibrés, m'ont enflammé. J'ai pris mon pied avec toi et tout ce que tu rêvais de me faire.
Je n'ai pas compris la rupture, l'abandon et je pleure mon Charlie, depuis ce matin.
Tu as choisis de me larguer comme on s'est connu, par écran interposé... Tu as choisi ta femme, j'étais déjà mariée. Merci pour ces jours et ces nuits blanches mon trésor.
Ça fait mal d'aimer si vite et si fort quelqu'un qu'on a jamais vu.
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