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Banane, 35 ans, Lyon
J’avoue avoir trouvé mon autre, et c’est tellement énorme pour moi d’être dans cette satisfaction depuis ces années.
Toi aussi, tu l’as trouvé.
Mais alors, pourquoi ai-je la sensation qu’on a besoin de passer autant de temps ensemble ? On ne peut pas s’en empêcher. J’oublie tout pour venir te retrouver, je laisse tout en plan pour te voir rire à nos bêtises, comme deux gosses toujours partants pour sortir du cadre, jouer avec le feu, aller vers l’inédit. Tu en redemandes.
J’avoue, j’ai beau me raisonner, mais… je risquerais ma relation pour répondre à mes questions. Amitié fusionnelle ou réel désir ? Les deux m’iraient, j’aimerais juste que toi aussi, tu aies envie de savoir ce qui nous anime tant.
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Grenoblecentre, 50 ans, Grenoble
J’avoue avoir ouvert un compte Gleeden, mon fantasme une quinquagénaire de Chambéry mariée avec un mari candauliste. Très envie d’être le futur amant de Mme car mon fantasme est de baiser en étant vu, qui plus est par le mari. Trop bon rien que d’y penser.
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Pasla, 40 ans, Ain
J'avoue je suis une femme de 40 ans et qu'une autre femme de 34 ans d'une origine différente de la mienne, m'a avoué ces sentiments lors d'une soirée.
J'avoue que sur le moment, elle m'a dérouté car je n'ai rien vu venir ou plutôt je n'y ai pas prêté attention.
J'avoue qu'elle a tout d'une hétéro et qu'elle venait à peine de rompre avec son petit ami du moment avec qui elle est restée 3 mois seulement.
J'avoue que son ex n'a rien pour lui et qu'il n'est pas aimé de mon entourage.
J'avoue qu'en apprenant la nouvelle, je n'étais pas étonnée et j'étais même ravie de l'apprendre.
J'avoue que ce soir là, je lui ai proposé de la ramener en tout bien tout honneur sans arrière pensée.
J'avoue l'alcool aidant qu'elle m'a fait des avances pendant le trajet. J'ai alors posé ma main sur sa cuisse et elle s'est blottie contre moi.
J'avoue qu'à peine arrivée chez elle, on s'est embrassée passionnellement.
J'avoue lui avoir dis que j'avais envie d'elle.
J'avoue qu'on a fait l'amour plusieurs fois de suite dans la nuit et qu'on a recommencé au petit matin après n'avoir dormi que 3h.
J'avoue que j'étais sa première femme avec qui elle le faisait.
J'avoue que j'ai adoré et que je peux faire tout ce que je veux avec son corps.
J'avoue qu'elle est assez soumise et que ça me rend dingue d'elle.
J'avoue que j'ai tout le temps envi d'elle et que lorsqu'elle rentrera de voyage, je lui ferai l'amour très souvent.
J'avoue qu'à part le sexe, elle me plaît sur tous les points : intelligente, sensible, douce, naturelle, un soupçon de folie, une femme somptueusement belle à l'extérieur comme à l'intérieur.
J'avoue, je suis in love d'elle depuis cette fameuse soirée.
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Melle_printemps, 32 ans, Paris
J’avoue qu’il est 00h46 et qu’à nouveau, je ne dors pas. 10 putains d’années sont passées depuis notre séparation. Bientôt 8 ans que je suis avec quelqu’un d’autre, je l’aime ! … mais putain, tu es toujours dans mes rêves !

J’avoue, notre dernier contact date d’il y a environ un an, suite à un décès. On ne s’est même pas revus, on a juste échangé par texto. Quelques mois après, je t’ai dit qu’il était temps pour moi d’avancer. Puis, j’ai reçu un lien vers AEDE avec comme accompagnement « Je t’embrasse ». Je n’ai pas répondu.
J’avoue qu’un an après, j’ai toujours l’impression de ramer. Je suis pacsée, on envisage un bébé.
J’avoue, je me questionne sur ma relation actuelle, à savoir s’il n’a pas plus de sentiments qu’il ne le dit pour une « amourette de collège »… Est-ce en lien avec mes propres questionnements ? Je projette ? Je me fais des idées ? Est-ce pour ça que je rêve à nouveau de LUI ?
J’avoue que le psy m’a fait réfléchir sur le bénéfice de laisser du doute dans cette histoire : pourquoi est-ce toujours aussi important pour moi, parfois au détriment du présent ? Eh bien, j’en sais rien. Bordel.

J’avoue, je ne sais pas, mais il fallait que ça sorte.
J’avoue, je vais avoir une sale tête pour le travail demain à force d’écrire sur javoue.com au lieu de dormir.
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Baiseur masqué, 52 ans, Paris
J'avoue que j'ai eu une aventure avec la mère d'un copain de classe de ma fille.
J'avoue que ça a commencé tout simplement par des balades, et puis un jour dans les bois, on s'est retrouvé collés.
J'avoue que c'était irréel quand elle m'a invité prendre le thé chez elle.
Sincèrement je ne pensais qu'il allait se passer quelque chose.
Il faut croire que je dois être un peu naïf.
On a baisé sur son canapé.
C'était une expérience hors du temps de la voir me chevaucher et de la remplir de moi.

J'avoue qu'on s'est revu plusieurs fois dans des bois, dans d'autres villes pour baiser.

Puis, tout s'est arrêté...

J'avoue que c'était vraiment bien.
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Lamarmotte, 35 ans, Paris
J'avoue que je suis amoureux de ma cheffe. Les séances hebdomadaires seul à seul, je savoure ces moments, en essayant de ne rien faire paraître.
Je sais que ce n'est pas une bonne idée, mais on ne choisit pas toujours.
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Pasla, 40 ans, Ain
J'avoue je suis une femme de 40 ans, bi mais avec une grande préférence pour les femmes.
J'avoue qu'une femme de 34 ans qui venait de quitter son petit ami, m'a clairement fait des avances auxquelles j'ai cédé.
J'avoue qu'elle m'a confessé que je suis sa première fois avec une femme.
J'avoue que ça m'a encore plus excité.
J'avoue qu'on l'a fait plusieurs fois dans la journée.
J'avoue que c'est devenu plus intense au fur et à mesure.
J'avoue que j'ai tout le temps envie d'elle dès que je la vois.
J'avoue que je lui ai dis je t'aime assez rapidement.
J'avoue que je pense avoir merder à l'annonce de ces mots.
J'avoue que ça va faire bientôt 3 semaines que je ne l'ai pas vu parce qu'on était toujours avec du monde.
J'avoue que quelques amis de nos entourages sont au courant.
J'avoue que je ne sais pas trop m'y prendre avec elle.
J'avoue que je commence à vouloir rompre cette relation.
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Kimono28, 53 ans, Vesoul
Ce matin, tu m'as fait attendre comme d'habitude mais peu importe, j'aurais patienté deux heures si nécessaire. On ne s'était pas vu en privé depuis longtemps et je constate avec satisfaction qu'on a repris les bons réflexes. Je t'ai trouvée magnifique, plus belle que jamais, quel bonheur ces quelques minutes avec toi. Comme souvent hélas, ce fut bien trop court mais c'est ainsi, je dois faire avec et je crois bien que dans une autre vie, toi et moi serions sans doute ensemble. C'est une belle histoire, ce qu'il y en a entre nous.
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Riverloverr, 25 ans, Réunion
J'ai l'impression de devenir la pire version de moi-même en ce moment. Je mens à tout le monde et surtout à moi-même. Je fais comme si tout allait bien mais au fond je suis mal. Je juge tout le monde dans ma tête et parfois je suis très méchante et égoïste. J'ai constamment envie d'attirer l'attention et je veux faire croire que tout se passe très bien dans ma vie. Je suis hypocrite, je ne dis pas ce que je pense réellement, j'ai l'habitude de parler dans le dos des gens pour plaire aux autres. Je cache ma vraie personnalité et je me cache derrière un ou plusieurs personnages. Je me déteste, j'aimerais tellement changer mais je n'arrive pas, je procrastine tout le temps.
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Renegade, 24 ans, Nimes
J'en ai marre et j'ai peur. J'avoue les personnes avec qui j'ai passé des années à leurs cotes et que j'ai laissé partir, me manquent.
J'avoue j'ai peur que ma situation ne s'améliore jamais. J'ai peur de ne pas retrouver des amis, de ne plus avoir de vie sociale, j'ai peur de la solitude, de l'éloignement.
J'ai peur de passer ma vie toute seule, de ne plus jamais oser faire confiance à un homme.
J'ai peur d'avoir toujours cette image des hommes, incapable de me soutenir et d'être à la hauteur.
J'avoue, j'ai peur de ne jamais oublier mon ex.
J'ai peur de ne pas être assez forte, de ne pas tenir, de ne pas y arriver.
Je ne veux pas être cette personne mais pourtant aujourd'hui je tends à l'être.
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Jinx, 44 ans, Metz
J’avoue qu’après notre première rencontre, je n’étais pas sereine à l’idée de travailler avec toi. Je te trouvais assez intimidant, froid, et peu enthousiaste à l’idée de m’avoir dans l’équipe…

J’avoue m’être trompée ! Tu es drôle, mais vraiment, à un point ! J’adore ton humour irrévérencieux, j’ai rarement autant ri de ma vie qu’avec toi.
Tu es prévenant et attentionné. J’ai remarqué tes efforts pour m’intégrer après que tu m’aies entendue dire à quel point mes anciens collègues me manquaient, et ça m’a beaucoup touché.
Ton côté râleur et bougon, brut de décoffrage, ne suffisent pas à cacher ton cœur en or et ta sensibilité.

J’avoue que tu as rebattu les cartes dès notre premier jour de travail ensemble et que c’est un bonheur de bosser avec quelqu’un avec qui je partage tellement de goûts.

J’avoue que quand nos collègues me disent qu’on est trop mignons tous les deux, que tu as changé depuis mon arrivée ou que je semble t’apaiser, ça me fait quelque chose.

J’avoue que je suis plus que sensible à ton sourire de fauve, à ton odeur, à la lumière dans ton regard quand tu me parles. J’adore quand tu t’assois près de moi, quand on se frôle par accident, quand tu me tapotes la tête en disant « elle est gentille » et que ta main reste une seconde de trop sur mes cheveux.

J’avoue, j’ai très, très envie de toi. Je ne peux qu’imaginer l’alchimie que nous avons déjà, transposée dans un lit. Ou sur ton bureau. Où tu veux, quand tu veux, autant que tu veux. Que ce soit sage, sale, fou, plein de tendresse ou très vilain, je suis certaine qu’on saurait se faire jouir à en perdre le souffle. Tu n’imagines pas combien de fois par jour je pense à ce que je te ferais si….

… si nous n’étions pas tous deux mariés et heureux dans nos vies de couple, si tu n’étais pas mon chef, si nous n’étions pas l’un comme l’autre des gens raisonnables et avant tout professionnels.

Alors j’avoue, je garde pour moi mes envies, je fais taire mes sentiments, et je me contente de mesurer la chance que j’ai de t’avoir, toi mon « mari de bureau » (comme te surnomme le mien), en tant qu’ami.

Et j’avoue n’avoir pas du tout hâte de venir dîner chez vous ce week-end, de peur que ne saute aux yeux de ceux qui partagent nos vies depuis si longtemps, ce que toi et moi faisons mine d’ignorer depuis toujours.
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Aldo, 49 ans, Toulouse
Il y a dix ans, j'avais avoué cela :

J'avoue que, lorsque j'ai appris que tu m'avais trompé avec ton collègue de bureau, à quelques mois de notre mariage, je suis tombé plus bas que tout. J'avoue que, lorsque je regarde les photos de notre mariage, je suis triste. Tu t'es mariée alors que tu en aimais un autre, et moi, je ne voyais rien.

Aujourd'hui, nous avons trois enfants magnifiques et je te trouve resplendissante, mais je suis malheureux. Tu m'as trompé il y a dix ans et pourtant je n'oublie pas, et je ne peux pas te pardonner non plus. J'avoue que je ne t'ai pas cru une seule seconde quand tu m'as dit que tu n'avais couché qu'une seule fois avec lui. Je me sens mal à cause de cette histoire. J'avoue que c'est lourd à porter et que tu ne le vois même pas. J'avoue que je t'aime autant que je te hais. Si un jour je te quitte, ce sera à cause de tout ça.

Aujourd'hui, dix ans plus tard, nous sommes à quelques jours de nos 20 ans de mariage et la douleur de ta tromperie est toujours là. J'avoue que je n'ai pas envie de célébrer ce qui, pour moi, représente le jour du mensonge. Avec le recul, je regrette de ne pas t'avoir quitté avant d'avoir eu des enfants. J'ai le sentiment d'être passé à côté de mon bonheur. Maintenant, je fais de mon mieux pour nos enfants, pour qu'ils deviennent les meilleurs possibles et qu'ils acquièrent le sens du respect de l'autre et de soi-même. Te quitter serait très difficile pour eux, alors je laisse grandir autant que possible la petite dernière avant de l'exposer à une éventuelle séparation. Personne n'y croirait si je te quittais maintenant, tellement l'écran de fumée est épais.

L'ironie du sort, c'est que, comme un signe du destin, je suis tombé amoureux d'une collègue de travail… moi aussi. Quel bonheur de sentir mon cœur battre si fort, de voir son sourire le matin, de parler avec elle, d'échanger des regards complices. Pourtant, il ne se passe rien entre nous, mais ses mots et ses yeux me disent "je t'aime", et c'est tellement agréable.

Il ne se passe rien, car elle aussi est en couple et elle aussi a été trompée. C'est pour cela qu'il ne se passe rien d'ailleurs : on se respecte et on respecte encore l'autre (pour combien de temps ?). Alors, cet amour inattendu m'aide à comprendre certaines choses : tu es tombée amoureuse de ton collègue, et je ne t'en veux pas pour ça. On ne contrôle pas ce sentiment-là, ça arrive sans prévenir et on ne peut pas lutter. Par contre, pour le mensonge, la partie de jambe en l'air et toutes ces moqueries devant une de tes copines qui savait que tu me trompais… je ne te pardonnerai jamais.

Des enfants merveilleux, pas de problème d'argent, une belle maison, le tableau est idéal et nos amis nous félicitent régulièrement pour cette relation de 20 ans. Et d'ailleurs, je me suis toujours dit que, malgré ma souffrance, j'étais bien avec toi. Et dans un sens, c'est plutôt vrai. Alors oui, j'ai tout pour être heureux, mais ce n'est pas le cas. Le pire, c'est que tu ne t'en rends même pas compte.

Si ma relation évolue avec J., je te quitterai, et ce, avant de me retrouver avec elle dans un lit. Je me respecte, je la respecte et je te respecterai jusqu'au bout, parce que tu es quand même une femme formidable et une super maman. Mais je suis toujours coupé en deux : une partie qui t'aime et l'autre qui te déteste. Malheureusement, cela fait quelques années que la deuxième partie empiète sur la première.

Moi aussi, j'ai droit au bonheur et je compte bien en profiter… mais probablement pas avec toi.
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St4r, 69 ans, Lyon
On avait cette histoire digne d'un compte de fée. La vie nous a mis des étoiles dans les yeux et le corps. C'était un rêve, magnifique. Honnêtement, tout était aligné pour nous.

Seulement, elle était là. Tu l'as gardé auprès de toi au cas où.

Alors j'avoue que cette ombre au tableau, ça brise un peu l'enchantement.

Je t'en veux toujours, et on ne pourra jamais recommencer le début de ce livre. Par ta faute. Tu as gâché un début si fort, si unique...

Dis-moi, combien de temps attendais-tu après nos appels pour vite la recontacter ? T'étais si fier de me dire qu'elle t'écrivait.
Parfois, j'avoue vouloir n'avoir jamais ouvert ce chapitre de nos vies.

Si dès l'envoûtement, tu te gardes cette fille de côté, où irons-nous ?
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Kaira, 25 ans, Orleans
J’avoue que depuis quelque temps que je suis inscrite sur deux sites de rencontres pour un plan d’un soir. Dont un qui est extraconjugal, libertin. J’ai de nombreux fantasme dont avoir un Daddy et une Mommy, que l’on me fouette très fort les fesses et le dos avec un fouet. Mais aussi que l’on m’appelle Baby et porter une couche, me comporter comme un bébé. Je suis surtout attirée par les personnes bien plus agées.
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