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22409 aveux trouvés
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Bora-Bora, 40 ans, Meaux
J'avoue que j'en ai marre de cette femme, froide, autoritaire qui veux tout diriger même ce dont elle ignore tout...
j'avoue que j'aurais dû me barrer depuis longtemps mais que j'ai pas eu les couilles a l'époque...
J'avoue qu'aujourd'hui, c'est trop tard, parce qu'il y a mon fils qu'elle a 90% de chance d'avoir la garde si on se sépare et que sans lui je suis mort...
J'avoue que de l'extérieur on doit donner l'impression du couple sans histoires : bon boulot, belle maison, belle voiture... le bonheur quoi ! Mais en fait on en est loin.
J'avoue que mon boulot me gonfle, c'est de plus en plus dur de trouver une motivation pour y aller le matin...
J'avoue que mes anciens potes me manquent, mais ils n'étaient sans doute pas assez bien pour elle...
j'avoue surtout que je ne sais pas comment toute cette merde va finir...
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Steam, 25 ans, Toulouse
J'avoue Emmanuel, que cela fait trois mois que nous ne sommes plus ensemble.
J'avoue avoir tout aimé avec toi, du premier regard échangé à ce dernier baiser sur ce quai...
J'avoue je pensais réussir à t'oublier...
J'avoue aujourd'hui je t'aime encore comme le premier jour et c'est pas prêt de s'arrêter !
j'avoue Emmanuel je t'ai dans la peau...
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Allie, 25 ans, Paris
J'avoue avoir retrouvé tous mes aveux.
Le premier date d'il y a 10 ans maintenant...
J'avoue que depuis il s'est passé peu de chose et j'ai toujours les mêmes problèmes :
- Après 2 ans et demi d'amour et de tromperie on a fini par se quitter.
- Ce n'est pas grave j'ai retrouvé quelqu'un de formidable, qui me quittera ... comme tous les autres...
- Je ne cours plus après ce "fameux ex" mais je me consacre au dernier avec plus de difficultés
- J'ai toujours aussi peur pour mon avenir professionnel, malgré 3 diplômes en plus ... Je ne trouve toujours pas ma voie.
J'avoue avoir toujours aussi peur de ne jamais trouver une personne qui m'aime.
Et surtout j'avoue qu'à 19 ans en perdant ma virginité je ne pensais pas qu'à 25 ans j'arriverai à 15 partenaires sans jamais trouver le bon...
J'avoue ça me déprime encore plus.
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Capricam, 25 ans, Arras
J'avoue qu'en ce moment j'ai total la banane...
J'avoue que ce n'est pas grâce à mon "fiancé" qui ne l'est plus depuis qu'il m'a dit "je t'aime plus, ma demande ne tient plus".
J'avoue que je t'ai rencontré toi après qu'il m'est dit tout cela.
J'avoue que tu es tout ce que j'attends même bien plus encore.
J'avoue qu'également tu m'acceptes tel que je suis, défauts et qualités comprises mais tu acceptes également ce que j'ai (cf. aveux précédents) et tu n'as pas peur, tu t'en fiches.
J'avoue je suis totalement soufflée, j'ai l'impression d'être une ado, vivre dans le secret cette histoire pour le moment et y aller doucement et cela j'aime...
J'avoue j'ai envie de voir où nous allons car tu m'intéresses beaucoup plus cela ne devrait l'être...
Et j'avoue que je tiendrais malgré les soixante kilomètres nous séparant.
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Sentenza, 18 ans, Lyon
J'avoue être tombé amoureux de mon assistante de vie, une de ces personnes qui m'accompagnent pour palier à mon handicape et mes déficiences physique pour que je puisse être autonome. J'avoue n'avoir parlé à personne de mon amour pour elle, ni même à ma psy... et je compte ne jamais le faire !
Elle est si belle, si douce et si intelligente. Elle a une peau douce comme la soie, j'essaye, à chaque fois qu'elle me touche, de ne pas avoir d'érections, ça serait vraiment une catastrophe si elle voyait mon pénis au garde à vous devant elle...
J'avoue que je ne parlerai à personne de mes sentiments pour elle parce que je suis handicapé et hideux, elle est beaucoup trop belle pour moi, la belle et la bête n'existe qu'en fiction...
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Minth, 15 ans, Montpellier
J'avoue que j'aimerai ne plus être amoureuse. En fin de compte, ça fait mal, surtout dans ma situation.
Ah, et aussi, j'avoue que la majorité des filles de ma classe m'emmerdent.
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Sasha, 18 ans, Paris
J'avoue être complètement sous le charme d'un de mes professeurs. Plutôt grand, avec une tête de "jeune premier de la classe", il vient d'arriver dans l'établissement.
J'avoue que je ne peux m'empêcher de l'observer, dès que je le croise au détour d'un couloir ou dans une salle de classe. Qu'est qu'il est mignon !
J'avoue ressentir comme une pointe de jalousie lorsque je le vois rire avec une collègue.
Et, J'avoue que tout est prétexte pour lui adresser la parole, et quel bonheur, c'est de le voir sourire.
Mais, J'avoue être abattue de devoir rester, tout au plus, une élève qu'il apprécie.
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Alice, 20 ans, Toulouse
En juin dernier, j'étais chez mes parents pour une semaine de révisions. "Ah, bac de français ? T'en fais pas, c'est facile !"
Il y a peu, "Ah, t'es dans cette école ? Première année ?"
Eh non. Deuxième année validée, je mène ma barque en troisième année.

J'avoue que j'aime bien avoir une bouille d'ado : je n'en parais que plus brillante...
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Julie, 20 ans, Caen
J'avoue, c'est pas l'bonheur !
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Aubergine, 22 ans, Paris
J'avoue mon chéri que tu as très mauvaise haleine et que je me sens très gênée chaque fois que je t'embrasse ! C'est vraiment insupportable comme odeur mais je pense que tu en es conscient toi aussi... Et pourtant tu ne sauras jamais pourquoi je te propose toujours des chewing-gum ou alors ma bouteille d'eau! J'avoue que malgré cet inconvénient je t'aime comme une folle, mais j'avoue également que j'espère de tout mon cœur que ce fléau cessera un jour...
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Kikimoü72, 23 ans, Paris
J'avoue en avoir marre que tous mes potes se foutent de moi, oui je suis asiatique ! Mais pas Chinois ! Je suis Japonais et je pratique l'aïkido ! Stop les discriminations, même entre potes ça devient lourd... j'avoue j'en peux plus, soutenez-moi.
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6fax, 20 ans, Paris
J'avoue que je suis en train de parler à une nana dans le bus et elle me fait vraiment penser à quelqu'un... J'arrive plus à me souvenir. Ah si ! Elle ressemble à Thomas dans Carré ViiiP sur TF1 !!! Je lui dis ?
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Madamoiselle, 69 ans, Rouen
M. le bon queutar, vous m'inquiétez... Mon mec à 24ans, habite à Paris, et je n'ai pas de nouvelles de lui depuis deux jours... Serait-ce vous ? Serait-ce toi ? Aie aie aie ça craint !
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Tinapony, 45 ans, Versailles
J'avoue qu'il est temps d'avouer.
A ne plus être l'objet d'attentions, ni d'échanges « vrais » avec mon mari, je me suis petit à petit éloignée de lui.
Tout d'abord virtuellement, en m'intéressant à une autre personne, un célibataire de ma connaissance plus jeune que moi, et semblant avoir des difficultés personnelles. Petit à petit, cette correspondance du soir en instantanée m’est devenue essentielle, et presque quotidienne. Quel bonheur d’apprendre, d’échanger, de soutenir. Cela a duré presque trois ans. Que de l’amical, rien de charnel.
Comment n’ai-je pas vu qu’il s’agissait d’une fuite pour oublier que j’avais oublié mon couple ? Comment mon mari a-t-il pu supporter mes couchers tardifs ? Jamais de reproches, jamais de crise. Que de l’indifférence. 21 heures : que j’ai pu détester cet horaire. Celui où les enfants vont dormir, celui des retrouvailles supposées être en tête à tête entre conjoints.
Ce fut après un voyage avec mon mari sans nos enfants que la crise a commencé. Il s’agissait de notre premier voyage depuis que nous étions devenus parents, 12 ans plus tôt.
Un voyage à deux comme une seconde lune de miel, cela aurait dû être merveilleux. Nous partions en groupe pendant 15 jours selon un circuit bien rôdé. En apparence, tout allait bien. Les sites à visiter étaient merveilleux, le groupe très sympa. Oui mais voilà. Coté sensualité, pour ne pas parler love, rien du tout, le désert total. Pourtant il n’y avait plus de fatigue liée au travail, plus de transport en commun interminable. Nous étions à l’hôtel, la température dépassait les 30 degrés, c’était les vacances. Au retour, je ne pouvais plus nier l’évidence : 15 jours de vacances géniales sans sexe, la situation était grave.
Je savais qu’un jour je referais une thérapie, j’ai utilisé la situation pour en commencer une dès le retour. Bien évidemment, j’ai mis 5 mois à parler de mes problèmes de couple à ma psy. Officiellement, je venais pour un surpoids, pour des angoisses et des doutes et pour mon travail qui me prenait la tête.
Qu’il est dur d’avouer, même en séance de psy.
Mon ami sentait ma souffrance, il avait deviné je ne sais comment qu’elle n’était pas seulement liée à mon travail. Un premier mail de sa part m’expliquant qu’il était malheureux de me voir souffrir inutilement a tout déclenché. Il expliquait qu’il comprendrait que je sois amenée à lui tourner le dos, car inconsciemment j’avais peut-être deviné que je lui plaisais, même s’il savait pertinemment que c’était sans espoir, mais juste parce qu’il aimait les personnes qui ont du charme et qu’il ne voyait aucun mal à vivre avec cette idée. Il expliquait que cela pourrait peut-être avoir des conséquences sur ma thérapie.
Ce mail, je ne l’ai même pas « compris », je l’ai mis de côté ! Mais il était là et il faisait son œuvre. Deux mois plus tard, toujours par mail, je lui exposais ma situation conjugale. Que ce fut dur. Il a été très honoré et peiné d’apprendre tout cela, mais en même temps il reconnaissait avoir flairé l’affaire, même si je prenais soin de ne rien dire.
Peu après il m’apprenait qu’il avait eu récemment une liaison furtive avec une ex petite amie datant du lycée. Elle était mariée depuis quelques années, avait un enfant, et s’ennuyait. D’apprendre cette nouvelle, cela m’a fait comme une autorisation.
Et moi qui n’avait jamais été « voir ailleurs », et bien je l’avoue, je suis allée le trouver chez lui peu après pour lui dire à quel point j’étais heureuse de son amitié, mais aussi de son regard sur moi. Je n’ai pas su résister à ce regard, à cette admiration.
Notre liaison a duré quatorze mois. Quatorze mois de vie, de désir, de jouissance, mais aussi quatorze mois de culpabilité, de peur et de tristesse. Comment ai-je pu ne pas éviter cela ?
Heureusement pour moi, ma psy a été mon meilleur soutien. J’ai pu, à cause de cette situation, lui parler (enfin !) de mes problèmes conjugaux et de cette liaison. J’ai été soutenue par elle pour parler à mon mari afin de lui dire que rien n’allait plus. Il ne m’a pas entendue, alors je lui ai fait une longue lettre. Il m’a répondu et nous sommes convenus qu’une thérapie de couple semblait être la seule issue. Comme il freinait, nous avons lu pendant trois mois chacun de notre côté le même livre sur les thérapies de couple, pour comprendre de quoi il retourne. A l’issue, il s’est demandé s’il ne valait pas mieux pour lui de faire une thérapie individuelle. Ce qu’il a commencé, toujours pendant ma parenthèse amoureuse, qu’il ignorait bien sûr. Il n’a jamais su. Sa thérapie a été bénéfique et a lui permis de comprendre pourquoi il laissait faire cette situation et pourquoi il aimait si peu les échanges personnels (comprendre introspectifs) avec moi. La raison était complexe, ancienne, et le fait qu’il soit comme cela m’avait bien sûr convenu pendant fort longtemps, pour reproduire une histoire qui n’était pas la mienne.
Nous avons pris notre temps, mais avons quand même entrepris une thérapie de couple, tout juste achevée.
La tornade est passée, la montagne est grimpée, nous redescendons vers la vallée. Nous savons qu’en cas de problème, il y aura notre thérapeute de couple au cas où.
Nous ne divorcerons pas.
Nous avons décidé de mieux nous occuper de nous.
Mon ami, ex amant, prépare son départ. Il va partir loin. Je n’y suis absolument pour rien, c’est un vieux rêve pour lui, et je ne l’aurais pas empêché de le réaliser. Nous avons donné à l’autre le meilleur de nous même, ce qui nous a permis de vivre une histoire merveilleuse, mais irréelle, et impossible à poursuivre. Une histoire-médicament.