1 aveu trouvé
Nous sommes sur la page 1 / 1
|
Pascal, 34 ans, Grenoble
|
J’avoue que mercredi après-midi, je viens de passer la plus torride des après-midi de boulot. Avec une collègue de travail, nous nous étions mis un peu à l’écart (on travaille dans un open-space), pour pouvoir réaliser une étude sur un logiciel et rédiger un document technique. Assis l’un à côté de l’autre, nous réfléchissions ensemble aux problèmes, aux solutions, et je tapais tout ça au clavier sur mon portable… Ma collègue est une très belle femme, magnifique, et nous avions déjà eu quelques discussions très franches sur le sexe et le plaisir à l’intérieur du couple (de nos couples respectifs, d’ailleurs). Mais là… nos mains se frôlaient, nos genoux parfois aussi, et tout à commencé avec ce petit jeu de séduction : on essayait d’exciter l’autre, de lui lancer des regards de braise sans que cela se voie (des personnes passaient régulièrement devant notre table). Et puis, c’est devenu de plus en plus grave : on a surfé ensemble sur des sites de jouets érotiques, et l’on commentait à voix basse les avantages et les inconvénients de chacun… Mais ce qui m’excitait le plus, c’était nos échanges à demis mots, d’autant plus excitants que l’on avait perdu la notion de jeu, et que nos regards devaient vraiment trahir le fond de notre pensée. On a échangé entre autre des : « J’ai envie de toi » « moi aussi » « là, tout de suite ? » « oui, si on pouvait » « dans les toilettes, alors » « t’es folle. » « oui, de toi » « j’ai jamais été autant excité » « tu bandes ? » « tu oses demander ? Vérifie » « J’vois pas » « Et toi ? » « j’te sauterais dessus » « Ce soir, je t’emmène à l’hôtel. Je te ferais subir les derniers outrages. » « Tu vas me punir ? » « D’abord t’attacher, puis abuser de toi » « Wouaaah ! arrête… Et si on faisait ça chez mon ex ? » « Ton ex ? T’es folle » « J’ai gardé les clés. Il ne rentre jamais à midi… On ferait ça dans son lit… Je laisserais ma petite culotte et toi une capote usagée… Comme ça, s’il ramène une pouff’… » « T’es méchante » « ouais » « Vicieuse même » « pas autant que toi… tu m’attacherais vraiment ? » Et ainsi de suite… Et le plus étonnant, c’est qu’on est quand même arrivé à pondre un vrai document, et à finir le boulot… Je crois qu’il n’y a rien de plus stimulant que de basculer ainsi sans arrêt de l’excitation intellectuelle à l’excitation sexuelle. Contrairement à ce que beaucoup pensent, on baise plus avec sa tête qu’avec son sexe. (d’ailleurs, elle est d’accord…) Peut-être une suite plus tard… Un autre aveu… Merci pour ces moments, C.K. ! Bisous... Partout... Si tu veux... Quand tu veux... Comme tu veux... Aussi longtemps que tu veux...
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
© 1998 - 2025 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|