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  Meilleurs aveux

Lola, 22 ans, Paris
Je travaille depuis 2 semaines dans une grandes surface au rayon fruits et légumes et on ne m'avait jamais dit de porter une blouse spéciale. Comme je n'avais pas grand chose de dur ou salissant à faire, je venais au boulot en tenue "sexy", petit débardeur décolleté, jupe moulante etc. J'avoue que je m'amusai souvent à faire les comptes bien penchée sur le bureau, mon décolleté juste devant le nez des clients qui me rachetaient du coup des tonnes de fruits. Mais un jour la chef du personnel est passée sans prevenir, c'était la premiere fois en 15 jours. Elle me pria de me mettre droite et balayer le rayon, assez froidement .
Le lendemain, mon chef me donnait une blouse rouge et blanche 15 fois trop grande pour moi, que je dois porter dorénavant.
J'avoue que du coup le chiffres d'affaire de mon rayon va tomber en chute libre.
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Samantha, 24 ans, Paris
Je tiens anonymement à m'excuser auprés du propriétaire d'une certaine clio blanche garée dans le 78. j'avoue que c'est moi qui est surement raflé la moitié de l'aile de ta voiture. J'avoue ne pas être une as du volant (il est vrai que c'est la troisième fois que ça m'arrive).
J'avoue être partie comme une voleuse de poules... Eh oui ça s'appelle un delit de fuite !!! (mais je tiens à signaler que tu n'étais pas dans le véhicule et que personne n'était blessé) je t'avouerai que j'ai eu trés peur que des gens notent ma plaque et que tu me retrouves mais là le temps est écoulé et je pense que t'es simplement énervé. Pour te rassurer saches que ma voiture aussi a pris un sacré coup (mon père était fou).

Pour la petite fin, saches que mon père a décidé de m'acheter une nouvelle voiture (de peur que je finisse par lui encastrer définitivement la sienne) et que c'est une clio. eh oui c'est dur à entendre !!!
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SenSen, 24 ans, Paris
Un soir, nous étions conviés à une soirée sur une péniche parisienne.
Le prix ayant été très attractif beaucoup trop de monde s'y était rassemblé. On se bousculait les uns les autres, se marchant dessus pour passer d'une salle à l'autre, j'étais, je l'avouerais, de mauvaise humeur ce soir là et pour les raisons citées ci-dessus.

Ayant trouvé un endroit où nous pouvions nous reposer quelque peu à l'abris des mouvements de foule, un petit mec écrasa sans le faire exprès, je supose, le pied de l'un de mes vieux potes. Mon ami se retourne et observe que le bonhomme n'est presque pas dérangé de faire sa semelle sur le panard de ce dernier. Gentillesse profonde de mon ami, il retire le bas de sa jambe. Mais moi étant derrière ce personnage un peu bizarre, j'avoue avoir laissé consumé ma cigarette sur la toile de sa jolie veste de grande marque.

Pourquoi avoir fait cela me diriez-vous, je ne sais pas, c'est bête et méchant. Peut être était-ce la petite taille, peut être était-ce mon âme de vengeur inestimable à quelques centimes près. Toujours est-il que si vous observé un jour, un trou de mégot dans votre costard, demandez-vous au préalable, si vous n'avez pas marché malencontreusement sur le pied d'un individu.

J'avoue être stupide bien souvent, mais j'avoue que ma stupidité m'appaise parfois ;)
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SeNseN, 24 ans, Paris
Etant plus jeune, je travaillais le Samedi soir dans un de ces gros complexes aquatiques Parisien ( dans le 15 ème arrondissement pour être plus précis ) pour me faire de l'argent de poche et ils organisaient toutes les quinzaines une soirée dansante dites "les soirées rock".
Les personnes, d'un certain âge, venaient pour y apprendre à danser le rock'n roll avec un de ces animateurs recrutés chez le ClubMed. Imaginez un peu une bande de vieilles peaux se mettre à l'essais...
Mon vieux pote et moi étions Barman et nous servions ces personnes dignement afin qu'ils se raffréchissent pour partir de plus belle, et très ludique était le spéctacle.
Cette fameuse clientèle était d'origine assez modeste pour ne pas dire "pété de thunes". Plus nous servions des gobelets coûteux et plus notre salaire variait en conscéquence. Mais comme nous le savons tous, ce n'est pas les plus aisés qui dépensent le plus, d'autant plus que proche de la retraite il faut économiser un paquet pour payer les petits voyages vers la Floride, royaume des vieux croulants mal dans leur ( vieille ) peau. Ainsi, au lieu de commander de bons cocktails préparés par nos soins, ils nous (re)demandaient sans cesse des verres d'eau.
Logique commercial et bonne esprit étant de rigueur, nous les serions non sans peine et avec ce sourire forcé sur le coin de nos lêvres.
J'avoue avoir souhaité la mort à plus d'un.
Le clous de la soirée étant de voir déhambuler les pseudos vigiles tout vétû de noir et venir tapper sur le bar tel des CowBoys en plein far west pour nous réclamer de grands verres d'eau comme un dû et sans dire les fameux mots magiques mais important.
Il est vrai qu'il y en avait un que je n'appréciais que très peu, c'était le plus assoifé de tous et il se pointait tous les quarts d'heures.
Ce fameux soir, je m'étais pointé en retard, sans avoir pris la peine de laver quelques membres que ce soit. Après le neuvième passage de ce type, j'avais décidé, en collaboration avec mon vieux pote, de lui préparer son prochain verre.
Tout était là pour l'accueillir dignement, l'un des plus beau gobelet en plastique que nous avions dans notre service, quelques glaçon bien préparés et de l'eau pure et écarlatte. Je pris cette belle préparation, et profitant de l'absence des abitués du bar, je glissais discrètement le gobelet vers le bas pour qu'il échappe de la vu de tous, je déboutonna mon jean's et sortis mon zizi afin qu'il puisse se reposer quelque temps dans cette eau douce.
Quelques minutes plus tard, le fameux type se pointe et réclame son fameux verre d'eau.
Vous ne pouvez pas imaginez ce plasir que nous avons pris à le voir se désaltérer de cette manière. Surtout après avoir frotté sa bouche contre sa manche et déposé ce grand soupir "AAAHHHHHHHH" du bonhomme qui vient de satisfaire son besoin le plus naturel qu'est la soif.
Je suppose que depuis ce soir là, il n'a toujours pas compris pourquoi je lui avais servis ce fameux verre avec un sourire qui frolait l'éjaculation.
J'avoue avoir été vilain et j'en profite aussi pour avouer que ces soirées était belles et biens rentables sauf que la moitier de la caisse enregistreuse qui ne marchait pas passait dans nos poches. Elles étaient rentables... enfin pour nous.
J'avoue également que mon pote qui y travaillait également en journée dans un petit snack proche des grandes piscines a bien souvent fait tombé quelques frittes, steack haché, hamburger qu'il ne s'est pas empéché de reservir à cette clientèle dépourvu d'aimabilité.


Conclusion, des centaines de personnes ont été privés de ces soirées puisqu'elles ont étés clôturés ( faute de "rentabilité oblige), quelques personnes ont dû souffrir d'intoxications alimentaires et un vigile à gouté à la fleur de mon pénis malpropre.

Moralité : depuis ce jour, je reste sympas avec les types qui servent mes plats au restaurant.
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Antibiotik, 31 ans, Paris
La semaine dernière, on était en plein "déménagement des bureaux, nouvelle répartition des employés dans les bureaux de l'entreprise".
Je travaille toujours avec un vieux bonhomme qui a plutôt mauvais caractère et qui se croit toujours dans son bon droit.
Je travaille aussi avec un gars un peu plus jeune que moi qui est super cool.
Le Vieux mange sur place à son bureau tous les jours depuis que je bosse avec lui.
(Ca fait 30 ans qu'il est là, personne ne va s'opposer à ce connard).
Il dit que c'est économique, que c'est meilleur qu'à la cantine ... mais ça pue grave parce qu'il ne mange pas que des légumes (exemple : reste de raclette au micro-ondes, ça fait mal aux narines les plus solides).
Moi et le Jeune, on ne supporte plus depuis longtemps ces odeurs de cuisine réchauffée nauséabondes. Alors, on a mis à exécution un plan machiavélique.
Profitant de son départ en vacances mi-juillet et le déménagement la semaine dernière (les déménageurs ne sont pas toujours tendres avec les affaires de bureau), Moi et le Jeune, on savate le micro-ondes jusqu'à ce qu'il ne marche plus (Il a 10 ans, il n'est donc plus sous garantie).
C'est ce qu'on a fait : coups de savate dessous et derrière pour secouer l'intérieur sans faire de bosses ... mais rien à faire, il résiste toujours. Alors on l'a soulevé d'assez haut et on l'a laissé tomber par terre.
Là, c'est bon, il ne marche plus. On l'a eu !
Le Vieux est donc rentré ce matin de vacances, et bien sûr, à midi pile, il fait chauffer son tupperware.
Rien à faire, ça s'allume pas.
Alors je lui dis :"On dirait qu'il a souffert ton micro-ondes pendant le déménagement."
Furieux, il va voir le responsable des services généraux et le coordinateur des déménageurs.
"On n'est pas responsables, c'était à toi de l'emballer. Ca fait partie des affaires personnelles."
Il revient et nous annonce que son micro-ondes est cassé. Double-victoire car il a dit aussi : "Je n'en rachèterai pas un autre à 2 ans de la retraite".
Demain midi, Moi et le Jeune, on va au resto pour fêter ça !
J'avoue qu'on a été des batards comme pas permis.
J'avoue que ce porc de 58 ans n'a pas le droit de nous faire sniffer sa bouffe merdique chaque midi.
J'avoue que j'ai eu peur de voir le micro-ondes se disloquer quand on l'a lâché.
J'avoue que le Jeune est un gars super et qu'il se laisse pas dégonfler.
J'avoue que je suis content de respirer de l'air normal le midi.
J'avoue que je suis prêt à refaire le même coup si un nouveau collègue se ramène avec son micro-ondes quand le Vieux partira en retraite.
Changement de sujet : je réponds à Canette avec son problème d'hémorroïdes.
Si t'as le trou du cul qui descend jusqu'au baskettes, n'attends pas pour consulter. Plus tu attends, et plus ça peut faire mal pendant le traitement. J'imagine que ce n'est pas facile d'aborder le sujet, même avec un spécaliste, mais prends ton courage à deux mains et prends rendez-vous. Et je suis sûr que ça te fera un super aveu à raconter.
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Antibiotik, 31 ans, Paris
J'ai une voisine atteinte d'un grave syndrôme : la surveillance conciergique.
Cette infâme pétasse s'ennuie à mourir dans son appartement enfermée avec ses 4 gamins et son mari qui n'est là que le week-end pour accueillir ses pôtes autour du liquide fétiche des beaufs : le pastis 51 !
Elle passe ses journées à l'affût de la moindre information lui permettant de connaître un petit bout de la vie de chacune des personnes habitant l'immeuble.
Apparemment, depuis qu'on est rentré de vacances, je suis sa cible prioritaire.
Elle sait plein de choses : j'ai un ordinateur à la maison, je me trimbale en caleçon dès que je suis seul à la maison, je descends pas toujours mes poubelles tout de suite, je travaille loin de mon domicile, j'aime bricoler, je suis au régime, je fais les courses par Internet ...
Incroyable.
J'avoue ne pas comprendre comment un corps humain d'1m60 puisse abriter autant de stupidité.
J'avoue que ça me fait flipper d'être surveillé à ce point-là.
J'avoue qu'avec sa sale gueule de thon écrasé à coups de matraque, elle ne pouvait de toute façon rien faire d'autre dans la vie.
J'avoue que quand je la vois, j'ai envie de l'achever pour débarasser le monde de sa présence.
J'avoue qu'elle me saoûle à me tenir la patte pendant d'affreuses minutes ennuyeuses quand je sors de chez moi.
J'avoue que ma femme est sur le point de la massacrer mais que c'est moi qui calme le jeu.
J'avoue que je comprends maintenant pour qui les allocations familiales ont été inventées.
J'avoue que ce genre de personne me motive à faire des économies pour acheter une maison loin de la région parisienne et de ses HLM.
J'avoue que j'ai donné des consignes à mes gamines pour ne pas parler à leurs enfants car je le sens trop bien venir le coup de l'invitation un soir chez eux car "les enfants se connaissent, on pourrait se connaître aussi".
J'avoue que j'ai jamais réussi à la choper quand elle est en pleine surveillance de l'immeuble.
J'avoue qu'à mon prochain déménagement, je rencontrerai les voisins pour savoir qui ils sont.
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Antibiotik, 31 ans, Paris
Je prends le train tous les jours pour aller bosser. Et presque tous les jours, j'ai le droit au bohémien/bohémienne de service qui vient poser son petit carton à côté de moi qui dit : "je suis réfugié, j'ai 40 gosses, j'ai besoin d'argent".
Je pense que c'est la même famille qui envoie régulièrement à tour de rôle le frère, la soeur, le cousin, la grand-mère qui pue, le paternel ... Et quand tu ne donnes pas d'argent ou de tickets-restaurants (qui en donne d'ailleurs ??), il/elle se ramène pour reprendre son petit carton de merde en faisant cliqueter les pièces de monnaie qu'il a dans sa main.
C'est vraiment la technique du faux-mendiant par excellence qui cherche à t'entuber par tous les moyens.
Et ce matin, bien sûr, je tombe encore sur un de ces putains de gitans. Là, c'est trop, je suis de super mauvaise humeur en plus.
Et je garde son petit carton. Le mec revient vers moi, regarde sur le siège et voit que son petit carton a disparu.
Il me regarde et dit : "Carton s'il vous plaît, Carton".
"Je le garde. J'en fais la collection."
Le mec insiste et je lui dis exactement la même phrase pour que ça reste bien imprimé dans son crâne.
Il n'a pas insisté plus et est parti vers le wagon suivant.
Autour de moi, j'ai pu voir le visage approbateur des autres voyageurs qui eux aussi semblent également dérangés par ce genre d'énergumènes, mais n'osent pas bouger de peur de se faire agresser.
J'avoue que ce petit carton est le premier d'une longue série.
J'avoue que les gens m'ont quasiment regardé comme celui qui a "osé" défier la gitanierie parisienne.
J'avoue que je regrette pas mon geste et que j'ai hâte de refaire le même coup.
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Antibiotik, 31 ans, Paris
Un de mes bons copains d'école travaille à Hewlett-Packard et était venu exécuter deux jours de maintenance sur nos servers.
Le lendemain, il repasse à ma boîte vers 11h30 et m'emmène déjeûner pour fêter ça.
Ce midi-là, on a tellement mangé et bu (sur le dos d'HP bien sûr) qu'on est ressorti du restaurant à 16h30 environ ... bien arraché évidemment. Une belle addition de presque 900 Frs à deux (que j'ai conservé en souvenir) !
Comme je trouvais qu'il était trop tard pour retourner au boulot, je lui ai demandé de me ramener chez moi directement.
Le lendemain, je suis retourné au travail comme si de rien n'était. Personne ne s'était aperçu de mon escapade gastronomique.
Comme quoi, on vient au travail pour rien des fois.
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Antibiotik, 31 ans, Paris
Quand j'étais en BTS, j'avais un très bon copain (Arnaud), très sympa mais qui roulait vraiment comme un cinglé.
Provenant d'une famille aux revenus très confortables, il avait déjà à l'époque une voiture sportive puissante.
Un soir, on allait au ciné et on était arrêté à un feu rouge. Un mec dans nos âges s'approche de nous, tapotte à la vitre et nous demande si on pouvait le déposer (il allait presque à l'autre bout de la ville).
Arnaud et moi, on se regarde en souriant et on lui dit qu'il n'y a pas de problèmes mais que l'on va faire vite car on doit aller au cinéma.
Et c'est parti !
Moi-même habitué à sa conduite, j'ai eu assez peur pendant le trajet. Quant à notre auto-stoppeur, il a demandé à ce qu'on le descende 5 minutes plus tard car il était soi-disant arrivé. Je pense qu'il a eu tellement peur qu'il a préféré finir le chemin à pied.
D'autant plus que les sièges à l'arrière n'étaient pas équipés de ceinture.
En tout cas, on rigole encore du visage livide qu'il avait en ressortant de la voiture.
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Prince080, 26 ans, Paris
J'avoue que j'ai menti dans mes cv pour trouver mon job
J'avoue etre bien payé et ne rien foutre de la journée.
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