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Claraa, 21 ans, Narbonne
J'avoue être amoureuse de lui depuis bientôt un an, mais j'avoue que ces petits mensonges à répétition et surtout pour rien me saoulent.
J'avoue que je ne sais plus où j'en suis même si j'avoue que j'ai envie d'y croire. Au final, j'avoue ne pas savoir quoi vouloir ni quoi faire.
J'avoue que je t'aime comme personne mais j'avoue que tu m'as horriblement déçue.
J'avoue, je ne sais plus quoi penser ni où j'en suis...
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Chloé, 20 ans, Biarritz
J'avoue que je suis toujours amoureuse de toi, que ça fera 2 ans si on ne compte pas nos pauses. Voilà 2 mois que je n'ai plus de nouvelles de toi et tu me manques terriblement. Je me vois pas avancer sans toi, j'avoue que je ne sais pas où on notre vie va nous mener tous les deux.
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Anne Laure, 27 ans, Paris
Patrice, je t'aime.
Toi non.
Ou en tout cas pas assez.
Pas comme il faudrait...
Je le sais.
J'essaye de me détacher de toi.
Mais je n'y parviens pas.
Je ne sais pas pourquoi...
Pourtant, je dois me préserver.
Notre dernière soirée ne va pas m'aider...
Tout était magique.
Je me sens si bien avec toi.
Et il y a tant de choses que j'aime en toi.
En voici une liste non exhaustive.
Danser chez toi, danser chez toi sur de la Newwave, boire avec toi, parler de trésors, rire avec toi, ton visage, faire l'amour, discuter de n'importe quoi... Tu m'émerveilles.
J'aimerai vraiment t'oublier. Ce serait tellement plus reposant...
Pourtant, il m'est difficile de t'effacer.
De toute façon, peu importe mes sentiments ou tes sentiments, notre différence d'âge ne permet pas - tragiquement - un avenir entre nous. J'avoue que tu me manques.
J'avoue que je suis amoureuse de toi. Et uniquement de toi. J'avoue que ton indifférence me fait souffrir.
J'avoue que je suis perdue.
J'avoue que je voudrais te sortir de ma tête mais rien à faire, je ne distingue que toi.
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Fame, 45 ans, Montpelliers
J'avoue avoir succombé au désir de cet homme. D'avoir, contrairement à mes principes, eu un flirt poussé avec lui dès la première rencontre, et j'avoue avoir couché avec lui dès le lendemain.
J'avoue que j'avais très "faim" après 1 an de disette sexuelle post divorce mais j'avoue que c'est son désir pour moi qui a été contagieux.
J'avoue que l'on se voit quand on le peut - c'est à dire rarement, il est loin et marié - uniquement pour le sexe et la tendresse. Il peut faire très longtemps l'amour et j'avoue que j'adore ça.
J'avoue que ma meilleure amie - qui me l'avait présenté - a fini par le savoir et que maintenant elle n'est plus du tout ma meilleure amie : jalousie, hélas.
Mais j'avoue que je ne regrette rien.
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Sonar, 25 ans, Belgique
Chère amie de 23 ans de Cassis,

Par nostalgie de mon adolescence et de ses prétendus mystères à confesser en des lieux sûrs et intimes, j'ai tapé « javoue » dans google, dans l'espoir de retrouver ce fameux site qui, jadis, permettait à nos jeunes âmes d'épancher nos ardents méfaits et brûlantes culpabilités sans que nul ne fût à même de deviner la provenance desdits aveux.

Le premier message qu'il me fût donné de lire, il n'y a même pas une heure, fut le tien, qui me paru étonnamment à propos compte tenu des confessions qui me titillaient et des expressions qu'il me tardait de faire.

Tout comme toi, j'éprouve un violent amour pour un homme, en concubinage depuis moins d'une quinzaine d'année et père de deux enfants, de vingt ans mon aîné. Je n'ai que peu de considération pour sa situation familiale – il fait ses choix, il les assume - , et j'en ai encore moins pour son âge qui, à défaut de n'être qu'une donnée numérique sur une carte d'identité, n'a d'importance que dans l'idée que nos collègues, nos comparses, se font d'inconcevable de notre union.
Pour autant, l'inaccessibilité fondamentale de nos relations est le fondement même de mes états d'âme, autant qu'elle facilite ma vie, autant qu'elle apaise mon cœur parfois - alors longuement - meurtri de son absence, de son évanescence, de son incoercibilité.

C'est une passion que j'ai pour lui depuis 3 ans, et dont les modalités, « l'envie irrépressible et incompréhensible que j'ai pour lui » comme tu dis, ne s'altèrent ni avec le temps, ni avec l'ennui, ni avec la distance qui nous sépare chaque fois un an durant, ni avec la nonchalance qui caractérise notre abandon, nos ébats comme notre raison.

Je suis moi-même engagé dans une relation amoureuse depuis 3 ans, qui a commencé juste un peu après l'avoir quitté pour la première fois pour de vrai pour mieux le retrouver un an plus tard, dans une bulle protégée hors du temps et de la réalité, parfaitement loin de mes aspirations élémentaires et de mes ambitions véritables, et dans laquelle je n'éprouve pas une once de culpabilité pour cet amour sauvage et insoumis qui m'attire irrémédiablement, m'indispose, m'oublie et disparaît dans le tourbillon des évidences réelles, des volontés assumées et des constructions établies.

Et pourtant chaque année j'ai le cœur broyé de le quitter encore une fois, lui échapper comme on se réveille d'un doux et intense rêve, la poitrine toute endolorie des délices immatériels dont on aurait du mieux s'abreuver, des tendres histoires fécondes dans lesquelles on aurait du plus longtemps se réconforter. J'ai le cœur piétiné, lapidé, immolé. J'ai les entrailles qui se retournent et j'ai beau oublier, j'ai beau oublier, son visage, son odeur !, me reviennent mille fois et m'évanouissent encore de leur splendeurs, de leurs voluptés, comme des drogues romantiques et exotiques qui font chavirer l'esprit et le corps dans des endroits secrets, les secrets des dieux violés au nom de la Beauté.

Voilà ce que je ressens vraiment. Je n'y peux rien, ça me désespère, même, et je ne lui demande rien. Je ne lui demanderai jamais rien. Une bribe de son parfum et l'écume de son regard embaumés dans un souvenir éternels, voilà tout ce que je veux posséder. Voilà tout. Je ne le voudrais pas au quotidien, je ne l'aimerais pas assez pour lui manquer, ce tournis ralentirait jusqu'à s'éteindre dans la routine, les lieux communs, les évidences. Je veux conserver ces moments enflammés et embellis, je veux éclore encore dans ces mensonges et dans ces précipices et le prix à payer est celui de la mémoire défaillante qui vivra de nouveau un an plus tard. Et c'est terrible, de l'oublier. C'est une terrible délivrance.

Chère amie de 23 ans de Cassis, vois-tu à quoi tu échappes, si tu n'as pas encore goûter à sa chaleur, à ses exhalaisons, à ses regards pétris de plaisir... dont tu ne te remettrais pas, ne voudrais pas te remettre... et ferais mieux de vivre pour mieux en mourir.
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Anco, 27 ans, Strasbourg
Tu étais la perle rare que je cherchais pour m'évader de cette vie trop fade et sans sensualité, et la seule personne avec qui je peux vivre ce genre d'expérience.
Je suis passée à côté malgré tes appels flagrants pour tout le monde. J'espère juste que tu voudras bien me revoir et m'accorder une session de rattrapage.
Je brûle encore de tes regards et n'ai jamais vibré de la sorte. Tu as réveillé une passion en moi que je ne soupçonnais pas. Tu m'as réveillé. Le réveil est brutal, mais un changement va s'opérer. Mon sang coule enfin dans mes veines. Les larmes aussi d'ailleurs et toi seul pourras les arrêter.
Te quiero.
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Pandouillette, 20 ans, Amiens
J'avoue, je n'arrête pas de penser à toi. Je suis tombée amoureuse de toi beaucoup trop vite et je n'arrive pas à passer à autre chose. Tu m'as vite oubliée, mais j'ai hâte de retourner à la fac pour te revoir et t'attirer dans mes filets car je ne supporte pas notre situation actuelle. Tu seras mien, un point c'est tout !
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Lilo, 28 ans, Paris
J'avoue je t'aime. J'avoue tu m'aimes. C'est joli et mignon. Mais j'ai tellement peur qu'un jour quelque chose se produise.
J'aimerai qu'on me montre un couple qui n'a jamais failli. Parce qu'autour de moi, je n'ai vu que des tromperies et séparations.
L'amour éternel existe-t-il ? Pouvez-vous me le prouver ?
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Kim, 18 ans, Montpellier
J'avoue que je l'aime mais je le hais, que quand je le vois il m'énerve, mais que je pleure quand je me rend compte qu'il n'est plus à mes côtés, j'avoue que je l'ai quitté et que je regrette parfois, alors que d'autres fois je suis sûre de ma décision.
J'avoue que je l'aime, qu'il m'aime mais que j'ai du mal à le supporter, que malgré toutes les bonnes choses qui me sont arrivées récemment, je suis perdue, je doute... et je pleure.
J'avoue que ça fait du bien de dire les choses.
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Pierre qui roule, 30 ans, Montpellier
J'avoue que je n'y croyais plus et que notre rencontre, trop brève à mon goût, me refait croire à cette belle légende qu'est le coup de foudre.
Je sais que ce n'est pas le moment pour toi, qu'on ne se reverra sans doute jamais, mais je voulais par cet aveu te dire merci pour ces moments si doux et si intéressants, merci pour la complicité, merci pour l'abandon, merci pour ce sentiment de plénitude. Finalement je me dis que peut-être l'important ce n'est pas la destination...
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Coeur en prison, 20 ans, Paris
J'avoue que tu me fais souffrir.
J'avoue que te trouve ignoble avec moi. J'ai des doutes sur toi en ce qui concerne ta fidélité.
J'avoue que quand tu me dis que tu aimerais m'épouser je ne te crois pas. Je pense que tu es perdu; tu restes parce que je t'aime et que je suis là pour toi.
J'avoue que j'aurais aimé être la perle de ton coeur, la femme de ta vie, celle pour qui tu donnerais corps et âme.
J'avoue que tu a tenu des propos à mon égard qui résonneront toujours dans ma tête et qui me font à chaque fois que j'y pense, terriblement mal.
J'avoue que je suis en couple avec toi mais je me sens seule et inexistante à tes cotés.
Pas un seul de tes amis ne connait mon existence, pas un membre de ta famille quelconque personne ne sait que j'existe pour toi et après 2 ans de relation.
J'avoue que ça me tue car si demain tu me laisses tu n'auras personne pour te crier combien tu regretteras ce que tu auras fait.
J'avoue que parfois je me demande pourquoi je reste...
J'avoue que je supporte tout ça parce que je t'aime mais qu'au final je me demande si je m'aime.
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Blabla, 21 ans, Gstaad
J'avoue qu'à la base, j'aime les femmes féminines, classes, qui dégagent de la sensualité, qui sont portées sur les belles et longues phrases ; sur la réflexion.

Toujours quelque chose à redire, toujours un détail qui fait que "je l'aime bien, MAIS."

Tu n'as rien de tout ça. Tu as débarqué avec ta nonchalance, en jogging et casquette à l'envers, démaquillée, des cernes sous les yeux. Avec tes immondes fautes d'orthographe, ton côté détaché, froid, distant et tes "meuf" à chaque fin de phrase.

J'ai littéralement craqué. Pour une fois dans ma vie, j'étais charmée en tout et pour tout. Tu ne rentres pas dans mes critères et pourtant, je te veux, oh oui je te veux...

J'aime cette simplicité, ce tempérament de dominatrice, tu me rends fragile, docile, malléable... Tout ce que je ne suis pas habituellement.

Tu as tout cassé. Je voudrais... je veux... Pardon, j'aimerais tant...

Mes mots s'emmêlent, je bafouille...
Vais-je repartir bredouille ?

Tellement impatiente !
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A., 15 ans, Strasbourg
J'avoue n'avoir jamais cessé de te regarder depuis le premier jour.
J'avoue t'avoir aimé depuis que je t'ai vu.
J'avoue être devenue jalouse de cette fille avec laquelle tu es sorti et que tu aimais et qui était de la même origine que moi.
J'avoue que j'étais heureuse que vous ayez rompu.
J'avoue que quand tu étais assis à coté de moi en maths, je ne pouvais plus respirer et mon cœur battait très fort.
J'avoue que quand tu m'as parlé, j'étais si heureuse que j'ai voulu sauter de joie.
J'avoue avoir commencé à aimer mon nom de famille car je suis avant toi dans la liste d'appel.
J'avoue aimer le mois de septembre car c'est notre mois de naissance commun.
J'avoue que ça ne me dérange pas que tu sois un an plus jeune que moi.
J'avoue que je n'aimais pas quand tu t'es coupé les cheveux la deuxième fois dans l'année, tu ressemblais à un militaire.
J'avoue que je ne pouvais pas te regarder en face lorsque tu me parlais car tu m'intimidais.
J'avoue tous les jours penser à toi.
J'avoue que quand tu as enlevé ma main du clavier de l'ordinateur, j'étais heureuse que tu m'aie touché la main.
J'avoue avoir espéré être dans ta classe l'année prochaine pour continuer à te voir et à entendre ta voix.
J'avoue t'aimer du fond de mon cœur mais ne pas pouvoir te le dire à cause d'un grand manque de confiance en moi.
J'avoue écrire ce message et espérer que tu le lise pour que tu comprenne ce que je ressens.
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Marie, 19 ans, Lille
J'avoue que je pensais ne plus être amoureuse de toi.
J'avoue que je pensais que tu n'étais pas du genre à te mettre en couple, à tomber amoureux. J'étais folle de toi pourtant. J'ai réussi à tourner la page.
Mais j'avoue que te voir avec elle me fait mal. Les larmes que je n'ai pas pleuré ces dernières années, elles coulent aujourd'hui. Au fond de moi, je te pensais inaccessible. J'avais cet espoir de briser cette barrière entre nous. Je t'ai toujours aimé. Je n'aime pas la personne que tu es devenu, je ne supporte pas te voir avec elle. Mais je t'aime comme il y a 3 ans et je trouverais le moyen de ne plus t'aimer.
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Justine, 29 ans, Paris
J'avoue que je suis tombée raide dingue de mon infirmier.
J'avoue que dès que j'ai ouvert la porte, mon corps s'est inexplicablement contracté.
J'avoue que quand il m'a piqué, je n'ai pu faire autrement que de le regarder... il était si beau.
J'avoue que quand nos regards se sont croisés, il a dû sentir l'intensité de mon émoi.
J'avoue que j'ai presque regretté que tout soit allé si vite.
J'avoue que je ne cesse de penser à lui et j'avoue que j'espère au fond de moi que moi aussi je hante ses esprits.
J'avoue que je suis mariée.
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Alain, 38 ans, Suisse
J'avoue que Jessica me rend fou et plus en terme d'amour...
Comment peut-on laisser une personne sans nouvelles d'un coup après des mois passés ensemble ?!
J'avoue que je comprends pas.
Maintenant, j'avoue que je vais prendre la situation en main et cesser d'être gentil.
J'avoue que se faire jeter de la sorte me reste en travers de la gorge surtout si il n'y a rien eu de mauvais dans notre relation.

J'avoue que tu vas en baver et ta relation actuelle va bientôt se terminer ... de toute façon tu l'as terminée avec moi de manière pas honnête, ce n'est qu'un juste retour.
J'avoue que la seule manière qui pourrait la sauver est de me faire des excuses avec un bisou pour terminer le tout.
Doit-on vous avouer que nous les hommes on n'est pas aussi méchants que vous ? La preuve un bisou règlerai tout ...
J'avoue que ça me fait mal au coeur très mal mais il faut me comprendre il y a quelque chose je ne sais pas quoi qui me lie à elle et elle le sait très très bien car elle le ressent aussi et je me fais pas d'idées je le sais.
Quel gâchis vraiment quel gâchis...
L'humanité ne sait pas être heureux ...elle ne le cherche pas elle l'évite par peur du changement brutal. On évoluera jamais comme ça.
Malgré tout ça Jessica, j'avoue que je t'adore amoureusement ou en amitié aussi c'est toi qui décides mais je n'accepterai pas l'ignorance.
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Zyz, 19 ans, Paris
J'avoue avoir beaucoup de chance, beaucoup plus que je n'en mérite vraiment. J'avoue avoir fait souffrir des garçons, plusieurs fois, en sachant écourter la relation pas trop tard mais jamais assez tôt non plus, leur laissant le temps de tomber amoureux alors que je ne ressentais rien pour eux. J'avoue n'être jamais tombée amoureuse avant celui ci, et avoir eu des théories sur le couple et l'Amour que j'ai détruit à grand coups de niaiserie en rencontrant mon homme. J'ai tellement changé, je n'avais jamais été jalouse de ces couples câlins qui étalaient leur bonheur, je ne les enviais pas, je les laissais vivre, j'étais contente pour eux mais leur situation ne me tentait vraiment pas. D'ailleurs, quand j'ai rencontré B, je jurais à la face du monde que je rentrais dans une période de coucheries, que je profiterai enfin en prévenant tout de suite qu'on n'irait pas plus loin. Et pourtant, je n'avais couché qu'une fois et c'avait été horrible.

J'avoue que quand je l'ai vu, je n'ai pas été déçue, mais je savais qu'il avait une copine, qu'ils vivaient ensemble et que même si ça n'allait pas entre eux, je ne pouvais pas faire foirer leur couple juste pour une nuit sous la tente. Alors je me retenais, je ne faisais que baver sur ses yeux, son sourire, son attitude, ses fesses... Mais je n'ai tenu qu'un jour, quand il m'a demandé que je le prenne dans les bras, et qu'il m'a embrassé, je n'ai même pas pensé une seconde à le repousser, le soir même, nous passions la nuit entière à suffoquer sous la tente et c'était une des plus belles nuits que nous ayons passé ensemble. Même là, je pensais que ça ne pouvait durer qu'une semaine, il habitait à l'autre bout de la France, il était avec cette fille, et moi, j'avais toujours pas envie de m'enfermer dans une histoire sérieuse. Mais à la fin de la semaine, quand il a dû repartir, je l'ai serré dans mes bras et je savais que je voulais le revoir. C'est quand il m'a dit par sms qu'il avait quitté sa copine que c'est devenu très clair, je n'attendais que ça, même si j'ai eu mal pour elle, je me sentais exister et pour une fois, je n'avais pas peur qu'il m'aime plus que je ne l'aime.

Et voilà. Cela fait bientôt 9 mois qu'on est ensemble, je n'aurais jamais cru que mon premier amour soit une telle réussite, aujourd'hui, il est rentré chez lui après avoir passé deux mois chez moi. Je pensais me lasser de sa présence, au contraire, je n'attends plus qu'une chose, qu'on vive ensemble, que tous les deux, qu'on ait notre bulle à nous où on n'appellera pas notre niaiserie par son nom, où on pourra juste être ceux que nous sommes...
Il me manque déjà tellement, encore deux semaines avant qu'on ne se revoit, qu'on puisse à nouveau se blottir dans les bras l'un de l'autre. J'avoue, dans mon entourage, peu de personnes comprennent qu'on puisse souffrir de ne pas se voir deux semaines, je pense que tout le bonheur que je collectionne les rend jaloux, je ne les comprends pas et ça me fait de la peine.
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Nanaonweb, 50 ans, Namur
J'avoue t'aimer depuis 30 ans, j'avoue avoir quitté tous les autres à cause de toi, pour avoir fait la comparaison, j'avoue avoir raté ma vie pour toi.
J'avoue avoir raté toutes mes relations à cause de toi, j'avoue avoir été une conne.
J'avoue tu restes mon seul amour, brillant, éclatant, j'avoue j'ai été aveugle.
J'avoue je suis passée à côté de la vie, j'avoue j'en ai voulu à tes femmes, j'avoue je leur aurais fait du mal, j'avoue je t'ai un peu harcelé.
J'avoue je t'aime toujours, j'avoue tu me ferais un signe je viendrais, je volerais. J'avoue, tu n'en n'avais rien à foutre, j'avoue, je n'ai pas compté.
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Yop, 29 ans, Liège
J'avoue qu'après tant d'années de rupture, je suis toujours aussi amoureux de toi. Nos chemins ce sont croisés en 2003 et tout s'est terminé, de ma faute 3 ans après. Tu m'as blessé en me quittant mais d'un côté, je l'ai plus que mérité, car je ne prêtais pas attention à toi comme j'aurais dû le faire... tu as maintenant construit une nouvelle vie avec un autre, et même un enfant... ces projets, nous en avions parlé à l'époque.

J'ai de mon coté, refais ma vie mais je ne l'aime pas autant, comme je t'ai aimé toi. Malgré tout le mal que tu m'as fait, quoi qu'il puisse arriver, je te pardonnerai car, je t'aime M.

J'aimerai tant te croiser, et discuter avec toi même si je sais, que cela n'arrivera jamais plus.

J'ai tenté à plusieurs reprises de tourner la page mais c'est impossible pour moi, tu es toujours dans mes pensées.

Tu es tout pour moi et j'espère vraiment pouvoir un jour, te dire à nouveau je t'aime, fonder avec toi la famille dont nous rêvions à l'époque, être heureux... avoir notre nous...
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Kerlane, 23 ans, Paris
J'avoue, j'ai passé plusieurs mois de pur plaisir avec mon Plan Cul. On s'appelait uniquement pour du sexe, on passait la nuit ensemble, on riait, fumait, baisait. Il savait être tendre et sauvage. Le bonheur.
J'avoue, j'ai fini par dire à M. qu'il me plaisait beaucoup. M. qui vit à 300 kms de moi, et surtout, qui est un très bon ami à N., mon ex...

Je ne pensais pas que ce serait réciproque, et encore moins qu'il se passerait quelque chose.
J'avoue que trois semaines après, il est venu à Paris et on est allé au restau ensemble, puis à l'hôtel... Et depuis, on est ensemble. On se voit toutes les deux semaines.
J'avoue qu'on est ensemble depuis à peine un mois, et je pars déjà quelques jours en vacances avec lui à la fin du mois.

J'avoue que pour la première fois depuis J. , je me sens bien avec un homme, et ca fait un bien fou.
Dommage que ma complicité avec J. me manque tant...
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P'tite fille, 23 ans, Paris
J'avoue je te connais depuis bientôt 4 ans et tu m'as toujours attiré. Mais quand je t'ai connu, si brièvement il est vrai, tu étais en couple et tu avais l'air d'être sérieux donc je te regardais de loin.
J'avoue qu'il n'y a pas longtemps on a repris contact, toi ça n'allait pas tu vivais une rupture difficile.
J'ai essayé de t'aider du mieux que je pouvais, mais comme j'avais quelqu'un de mon côté pas d'arrière pensée.
Et puis ça s'est fini avec mon copain et on a commencé à se parler tous les soirs et je t'avoue que c'est une véritable bouffée d'air frais.
Tout en toi me plait, ton âge, ça pourrait me rebuter mais en fait le fait que t'ai la trentaine me fait limite fantasmer, et c'est bien parce que c'est toi car les autres trentenaires ne m'intéressent pas le moins du monde.
Le fait qu'on délire autant, que t'ai l'air un peu fragile, le fait de devoir te résister, mon dieu !
J'avoue demain je dois te revoir après tout ce temps et j'en suis toute chamboulée, en mode je mange à peine, je dors pas tellement je suis surexcitée et stressée !
J'avoue j'ai peur de te décevoir, mais t'as l'air d'avoir la même peur donc tout va bien !

J'avoue si ça continue comme ça je vais tomber folle amoureuse de toi, ou folle tout court d'ailleurs !
J'avoue c'est trop bon d'être désirée et de désirer quelqu'un !

J'avoue j'ai envie de toi c'est juste un truc de fou !
J'avoue je repense au souvenir que j'ai de toi (toujours intact, ça me fait flipper) et j'avoue ton mètre 94 me donne envie de pleins de choses et pas toujours très catholique.
J'avoue je suis pathétique mais au moins je me sens vivante !
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Melle printemps, 21 ans, Paris
J'avoue il s'est passé tellement de choses depuis que je t'ai quitté. J'avoue, quand tu m'as rappelé quelques semaines plus tard, complètement désespéré, je suis venue.
Tu me l'as reproché. Mais n'importe qui recevant un texto comme ça serait venu, même ton pire ennemi. Question de conscience morale.

J'avoue j'étais sûre de moi, je t'avais prévenu qu'il ne se passerait rien. Mais tu as insisté, et insisté pendant des heures que j'ai fini par craquer. J'avoue j'ai été faible. Mais tu m'as dit tellement de belles paroles et j'y ai -encore- cru.

J'avoue "mon p'tit chat" que je pensais vraiment pouvoir te faire confiance maintenant, vu ce qui s'était passé et ce dont on avait parlé. J'ai passé le noël le plus magnifique de toute ma vie, jusqu'à nos 1 an c'était le bonheur.
"Attends-moi" tu disais. Je n'ai fait que ça. Et puis quoi ? Tu me largues comme une vieille chaussette en me disant que tout est de ma faute ? J'avoue, là, c'est plus possible. J'avoue tu as un réel problème.

Et le comble, c'est que tu viens me parler comme si de rien n'était une semaine plus tard... Et tu m'en veux de mal réagir ?! Mais b*****, ça fait un an que tu agis mal, la seule chose dont je suis fautive c'est de t'avoir laisser faire et d'être tombée amoureuse de toi !
Dans un couple, on est deux, celui qui n'a jamais assumé tout ça, ce n'est pas moi !
Alors au lieu de me dire de me regarder dans un miroir fais le toi-même !

Tu n'es même pas capable d'être franc avec moi. J'avoue, tu ne te rends juste pas compte de la portée de tes mots. Comme un enfant. Tu ne peux pas dire à quelqu'un qu'il devient important pour toi si ce n'est pas le cas. Essayer de la convaincre qu'elle a tort quand elle dit 'Mais si tu n'est pas amoureux de moi, ça ne s'appelle pas faire l'amour ça s'appeler b*****', la retenir quand elle veut partir, la rappeler à chaque fois, utiliser 'NOUS' alors qu'elle disait toi et moi parce qu'elle n'y croyait pas. Tout faire pour qu'elle s'accroche pour au final la laisser tomber. Pourquoi faire tout ça si au final tu ne le penses pas vraiment ? Surtout quand tu es capable de dire des choses tellement horrible ensuite 'Je n'ai jamais voulu être avec toi', 'bah vas-y jette-toi d'un pont tant que tu y es !', 'je sais que tu as mal, ça s'appelle grandir, ce n'est que le début tu en verras d'autres !', et j'en passe...

J'avoue je n'en peux plus de t'entendre dire une chose puis son contraire. Tellement de belles choses (que j'aurais soit disant imaginé) et tellement de mauvaises aussi (lesquelles bizarrement sont passées inaperçues).

J'avoue j'ai l'impression de crever à petit feu.
J'avoue j'ai mal. J'avoue Tu me manques. Malgré tout, je t'aime quand même. Mais plus jamais revivre ça. Le problème reste encore que c'est moi qui souffre et pas toi. J'espère qu'un jour, tu te rendras compte de ton attitude vraiment *********** avec moi.
J'avoue, c'est peut-être mieux ainsi pour toutes les raisons qu'on connait si bien. L'avenir que nous n'aurons pas ensemble ce ne sera pas à cause de toutes les complications environnementales (notamment la différence d'âge et nos passés respectifs assez conséquents) mais bien de ton attitude pas constructive du tout. Je trouve ça écœurant que tu n'aies même pas fais l'effort d'essayer. J'avoue que tu as agi comme le pire des s*****. Et que tu es persuadé que tu as raison. C'est triste. J'avoue, Je préfère ne pas m'étendre davantage pour ne pas dire des mots qui dépassent ma pensée.

J'avoue, de toute façon c'est trop tard maintenant.
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La grinche, 24 ans, Bordeaux
J'avoue que malgré le temps qui passe, je pense toujours autant à lui ! J'avoue que si j'ai fait ma demande de stage dans sa boîte, c'est juste pour avoir une infime chance de le revoir, le reste je m'en fous...
J'avoue fantasmer sur lui toutes les nuits, sur ses beaux yeux, sur sa beauté, sur sa voix... J'avoue que je ferais n'importe quoi pour le revoir un jour... Mais j'avoue que c'est mal barré !
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Bébé xx ou xy ?, 28 ans, Lille
J'avoue que c'est moi qui t'ai poussé à partir skier avec tes amis... "Vas-y, c'est peut-être la dernière fois avant longtemps !"
J'avoue que je ne pensais pas que cela arriverait si vite !
J'avoue que, du coup, je regrette de ne pouvoir t'annoncer cela aujourd'hui !

J'avoue... que... tu vas être papa.

Et... j'avoue, j'espère que ce sera une petite fille !

Je t'aime.
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Ursula, 23 ans, Paris
J'avoue que malgré mes grands sourires, G. m'a brisé le coeur et je pense encore à lui, tous les jours.
J'avoue que parfois je regarde ses nouvelles photos, et que je me fais du mal en le voyant fou amoureux de celle qui m'a remplacée si vite.
J'avoue que je lui en veux, j'ai envie de lui hurler tout le mal qu'il m'a fait en m'abandonnant, tout ce que j'ai sacrifié pour lui, l'humiliation qu'il m'a fait subir en se remettant en couple si vite...

J'avoue qu'avec ou sans lui, moi aussi j'aimerais être heureuse, voilà tout.
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