Nous sommes sur la page
13 / 121
Simsim, 18 ans, Creil
|
J'avoue me sentir ridicule à croire en ce qu'à pu dire mes deux seules petites amies qui m'ont trompé bon nombre de fois, et qui ont cru bon de me dire que tout cela était de ma faute. J'avoue être trop gentil et en souffrir depuis toujours, c'est peut être dû au faite que j'ai été en surpoids plus jeune et que le regard méprisant des autres m'attristait. J'avoue encore en souffrir alors que le monde qui m'entoure me fait croire le contraire. J'avoue enfin maudire cette apparence qui nous sépare tant les uns des autres.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Betrand, 28 ans, Compiègne
|
J'avoue que je n'ai pas compris pourquoi tant de monde se sont empréssés, rués pour fêter la Saint Patrick ? Il y aurait-il une tendance, une mode tournée vers l'Irlande ? Tout le monde serait devenu Irlandais en ces temps de débat sur l'identité nationale ? Pour ma part, je n'ai jamais entendu parler de cette fête et j'avoue que je ne l'ai pas fêtée et je m'en porte pas plus mal.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Miss, 21 ans, Aubervilliers
|
J'avoue que j'en ai marre et que je ne peux pas (plus ?) en parler. Tout a commencé à cause de cette fille immature et fade. Tu dis que ce n'est qu'une amie mais plusieurs sms par jours moi ça me gave, si tu peux pas comprendre ça, c'est qu'il y a un problème... Je n'en peux plus, quand je dis quelque chose, je suis une garce jalouse et quand je ne dis rien, tu as la vie belle. Je trouve ça un peu facile tu vois. Je ne sais pas si on va pouvoir vivre comme ça continuellement tu vois... J'avoue que je n'ai que très peu d'espoirs concernant notre relation, si tu ne changes pas, si tu ne la vires pas de notre vie on va pas s'en sortir, tu comprends ? Je suis à bout de nerfs, j'essaie d'être compréhensive mais j'ai mes limites. Aujourd'hui, c'était le premier jour "sans" elle dans le sens où elle n'est plus sur ton lieu de travail, tu lui as envoyé 5 sms et un mail, et il faudrait que je sois heureuse comme ça ? Franchement, je me demande si le jeu en vaut la chandelle.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Katia, 17 ans, Paris
|
J'avoue que j'en ai marre de cette ambiance de merde à la maison, j'avoue que tout le monde refait l'histoire à l'envers et me désigne comme étant la méchante alors même que je suis l'une des victimes.
J'avoue que toi, ma grande soeur chérie, tu me reproches de ne pas assez m'intéresser à la vie des autres alors même que je connais toutes les péripéties de ton histoire palpitante par coeur tandis que tu ignores tout des miennes.
Tu n'as pas été foutue de me demander si j'avais perdu ou pas ma virginité alors que ça fait bientôt un an que je suis en couple. C'est toi qui ne sais rien de ma vie, c'est toi qui fait de ton mélodrame personnel le centre du monde.
J'avoue qu'on essaie de me fait croire que c'est moi qui ne vais pas bien alors que je n'ai jamais été aussi heureuse, je ne me suis jamais sentie aussi vivante que dans ses bras. Mais ça, vous ne voulez pas le voir.
J'avoue que vous me croyez mal... avec vous, je le suis assurément. Quant au reste... j'avoue que vous êtes loin du compte.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Izzie, 19 ans, Toulouse
|
J'avoue que cette année, j'ai recommencé quelque chose de neuf en quittant la prépa dans laquelle j'étais depuis un an, pour me réorienter vers une école d'ingénieurs postbac. J'avais des espérances, des attentes, celles d'enfin m'épanouir... D'avoir du temps, de m'amuser, d'enfin réussir... Mais j'ai dû en attendre un peu trop, car j'ai l'impression de perdre tous mes repères et d'aller d'échec en échec cette année : déménagement et rupture avec mes amis de CPGE, rupture aussi avec mon copain de l'époque, difficultés pour m'intégrer dans cette nouvelle école en étant nouvelle entrante, le sentiment de ramer dans certaines matières alors qu'on m'a gentiment insufflé que c'était déjà une "régression" d'intégrer une école postbac (oui certains élèves méprisent ceux qui ne passent pas par deux ans de prépa), une estime de moi qui va de mal en pis, l'impression d'être affreusement seule, d'être vide, de ne pas me reconnaitre dans ce que je fais, de ne pas être capable de montrer ma pertinence, seulement de montrer l'image d'une fille insipide, de ne pas être appréciée alors que j'étais tellement entourée en prépa, que j'avais tant d'amis... J'avoue, cette prépa que je voulais tant quitter à cause du rythme de travail me manque. Ils me manquent, tous, ces gens de prépa, ces gens qui savaient me comprendre, ceux avec qui je pouvais rire à foison, ceux avec qui j'ai partagé tant de galères... J'avoue. Je suis peut-être une éternelle insatisfaite... Et je ne sais pas ce que je cherchais en quittant tout, en recommençant tout... Mais je pense que je ne l'ai toujours pas trouvé.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Lane, 19 ans, Marseille
|
J'avoue qu'à 19 ans je n'ai jamais embrassé un garçon, j'avoue me trouver nulle et même très laide, mais pas stupide. J'avoue en avoir assez des gens qui, en me voyant sourire, refusent de croire que j'ai été une enfant battue et que mes parents continuent à me rabaisser continuellement, me souhaitent de mourir et me rappellent à quel point mon état de femelle me rend inférieure. J'avoue que j'ai eu envie de pleurer lorsque mon amie m'a parlé du lien fort et tendre qui la lie à sa mère, parce que moi je n'aurai jamais l'occasion de connaître ça. J'avoue avoir appris à fermer ma gueule à défaut d'être comprise par les autres. J'avoue être conditionnée par la peur du monde extérieur depuis toute petite. J'avoue avoir peur de passer le restant de mes jours près de gens qui me haïssent.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Missy, 33 ans, Paris
|
J'avoue j'en ai ras le bol d'être la seule célibataire de ma famille, de me dire que tous les hommes bien sont déjà pris et que de toute façon si je suis toujours seule c'est sans doute que je ne fais pas partie des filles bien. J'avoue en avoir marre d'entendre des copines m'annoncer qu'elles sont enceintes. J'avoue en avoir marre de celles qui partent en voyage en amoureux. Moi j'ai toujours droit au supplément single... J'avoue en avoir marre qu'on me dise qu'à mon âge je ne peux plus faire la difficile en matière d'homme. J'avoue que j'ai 33 ans et qu'on ne m'a jamais dit "je t'aime".
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Carton21, 21 ans, Paris
|
J'avoue que quand je suis passée à l'auto-école pour obtenir une date pour passer l'examen du code pour la troisième fois, j'étais confiante. Mais j'avoue, que quand ce jeune bouffon qui est censé me trouver une date m'a dit que je devais venir réviser plus souvent pour avoir une date d'examen, j'ai eu envie de lui clouer le bec ! Ce gars qui ne sait pas faire une phrase sans faire de fautes, s'est permis de juger mes études ! Lui qui n'en a probablement jamais fait. Il m'a balancé à la tête que je m'obstinais à passer mon code, et que l'avoir déjà loupé deux fois était peut être un signe pour que j'arrête. J'avoue j'aurais aimé dire ma façon de voir les choses à cet abruti ! Lui expliquer que lorsqu'il me dit que c'est pareil de réviser pour ses études que pour le code, ce n'est pas vrai ! Lui faire comprendre que la fac c'est un système où si tu te donnes pas à fond tu te fais bouffer. Mais ça, il n'a jamais probablement connu. J'avoue que je me sens supérieure à lui sur bien des points et que ça me saoule de ne pas pouvoir lui dire ce que je pense de lui, simplement pour parce qu'il faut rester poli.
J'avoue, je ne me laisserais pas décourager par cet abruti sans cervelle, qui n'y connait rien à la vie d'un étudiant, et que mon code je l'obtiendrais ! Mais j'avoue aussi, qu'est-ce que j'aimerais lui mettre mon point dans la figure...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Médiane, 23 ans, Mulhouse
|
J'avoue que j'ai peur de tomber malade, physiquement et mentalement. J'avoue que je fais une dépression.
J'avoue que j'ai l'impression que je ne vis pas ma vie, que je suis une moins que rien alors que les gens que j'ai connu s'amusent avec leurs amis et voyagent partout dans le monde.
J'avoue que mes frères et soeurs s'en cognent complètement, allant jusqu'à dire que je vais parfaitement bien et que je mens pour me "rendre intéressante".
J'avoue que je n'ai presque pas de copines, que je n'aime pas mes études, que je déteste cette ville où on ne rencontre presque personne.
J'avoue que je veux de l'indépendance, des amis, une ville qui bouge.
J'avoue que je me sens seul. J'avoue que je veux dormir jour et nuit. Je ne veux pas mourir, je veux dormir pendant des jours puis me réveiller et réaliser que cette sensation de peur en moi a disparu.
J'avoue que je déteste aller chez le psychiatre, parce que je ne sais jamais quel état d'esprit va encore remonter en moi et me faire du mal.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Alice, 20 ans, Toulouse
|
J'avoue monsieur que vous êtes un sale con, lubrique et vicieux comme le vieux prof de philo aigri que vous êtes. Vous êtes misogyne, vulgaire et grossier. Honnêtement, j'étais "super sexy, la petite cavalière" ? Je portais un pantalon tâché de goudron, un maillot des Springboks millésime 95 taille XL, de vieilles bottines déformées et boueuses et une paire d'éperons dont la lanière n'était même pas de cuir. Vos sales petits yeux porcins ne voyaient plus que la cravache dans ma main noire et calleuse et suivaient le zip ouvert de mon sous-pull qui dépassait du col de mon maillot. Non, franchement, vous êtes un vieux dégueulasse. Voilà, c'est tout ce que j'avais à vous dire, trois ans après, mais bordel que ça fait du bien.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Virginie, 25 ans, Vaucluse
|
J'avoue en avoir marre de ces probleme d'argent. De cette sensation que jamais ca ne finira. Cela fait 7ans, et je me demande si j'avais pas cassé un miroir, dans l'espoir que ça devrait pas tarder à se terminer. J'en ai marre, que les papier ça met 10 ans à se faire. Que plus le temps passe et plus je m'enfonce. Quand je suis au plus bas je me relève avec une miraculeuse chance, pour mieux retomber toujours plus bas. C'est pénible.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
June, 19 ans, Paris
|
J'avoue que je n'en peux plus des gens. J'ai toujours l'impression qu'ils se fichent de moi, en particulier mes ami(e)s. Parfois j'ai l'impression qu'ils ne font que profiter de moi. J'avoue que je n'en peux plus non plus de mes parents et que, dès que je pourrais, je déménagerai... J'avoue également que ce mec me rend dingue et que je voudrais bien savoir ce qu'il veut de moi, et s'il s'amuse ou pas. J'avoue que ça fait du bien d'écrire sur javoue.com
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Expat, 27 ans, Londres
|
J'avoue que ce soir j'achève ma deuxième semaine en coloc, et que je sature grave. Pourquoi ? Parce que l'un de mes coloc est un véritable porc qui crache dans les toilettes ou y jette son mégot sans tirer la chasse, et qui fume énormément à l'intérieur, ce qui me gêne à un point indicible, surtout le week end où il doit bien frôler les 30 clopes par jour. Un peu beaucoup pour un petit appart comptant peu de fenêtres.
J'avoue que j'en ai ras-le-bol d'avoir l'impression d'être la personne désagréable dans l'histoire, celle qui en demande trop, alors que tout le monde sait combien le tabagisme est encore plus nocif lorsqu'on est non-fumeur que lorsque l'on est fumeur. J'avoue que j'en ai marre de devoir attendre qu'il ait regagné sa chambre pour pouvoir vaporiser abondamment du spray anti-tabac pour ne pas passer pour une dingue, que je déteste vraiment cette odeur qui m'oblige à laver mes fringues 50 fois par semaine et mes cheveux tous les jours. J'avoue que j'en ai marre des concessions que suppose la colocation, comme accepter qu'on ne peut changer les gens avec qui l'on vit, qu'on ne peut changer que le regard que l'on porte sur eux ou bien déménager. J'avoue qu'aujourd'hui j'ai bien failli craquer et que je suis sortie un long moment pour me passer les nerfs. J'avoue que j'espère que demain j'aurai le courage de parler à la personne concernée pour voir s'il peut faire encore un petit effort.
J'avoue que si rien n'est fait je me chercherai un autre logement dès le mois prochain, en espérant ne pas tomber encore sur un fumeur... J'avoue que ça m'a fait du bien de dire ça parce que j'ai eu envie de hurler toute la journée. J'avoue que ce soir j'aurais aimé être chez mes parents plutôt que dans cette coloc. J'avoue que j'ai peur à l'idée de parler à mon coloc car par ailleurs on s'entend très bien et que je ne voudrais pas gâcher nos rapports. J'avoue que l'être humain est par essence un éternel insatisfait qui devrait apprendre à se contenter de ce qu'il a au lieu de toujours vouloir autre chose. J'avoue que j'aimais tant vivre seule et que j'aimerais savoir si d'autres personnes ont déjà vécu ce que je vis, si elles ont réussi à relativiser et si oui, comment...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Lili, 29 ans, Rennes
|
J'avoue que ce boulot me plaisait vraiment au début, tant par son contenu que par son environnement (2 chefs hommes, 35 et 37 ans). J'avoue que quand l'argent a commencé à se faire rare, l'ambiance est devenue de plus en plus insupportable au fil des jours. J'avoue que je suis sous antidépresseurs depuis 15 jours, sous anxiolytiques depuis 3 mois (j'ai entre temps doublé la dose) et que la seule chose qui m'empêche d'accepter de me mettre en arrêt c'est l'absence de maintien de salaire pour les salariés ayant moins de 2 ans dans l'entreprise - j'aurai 2 ans de présence en avril mais je ne suis pas sûre de tenir aussi longtemps. J'avoue que ça finira mal, très mal, soit pour moi avec craquage nerveux sous forme de crise de larmes sur mon lieu de travail, soit pour mon directeur commercial qui risque fort de prendre ma main dans la figure (dans le meilleur des cas). J'avoue en être au point où j'aimerais arriver un matin pour apprendre ou que les locaux ont brulé/ été cambriolés, ou qu'on est ruinés (pour être licenciée), ou que mes chefs ont eu un accident sur la route (je sais c'est pas gentil). J'avoue avoir perdu le goût pour beaucoup de choses et n'avoir envie que de me coucher quand je rentre le soir. J'avoue que mon mari se retient difficilement d'aller casser la gueule à mon patron en réponse au harcèlement moral que je subis de la part du patron en question. J'avoue, j'en peux plus...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Bouclette, 23 ans, Tarascon
|
J'avoue que j'en ai marre de t'entendre te plaindre mon amour. J'avoue que je n'écoute même plus ce que tu dis. J'avoue que la vie sans toi ne m'intéresse pas, mais j'avoue aussi que je n'en peux plus de toi. J'avoue que de te voir mal ne me fait plus autant de mal qu'avant. J'avoue que des fois, j'aimerais bien moi aussi pouvoir me défouler comme tu le fais, mais je ne peux pas, parce que je dois te soutenir sans arrêt. J'avoue que j'en ai marre que tu me fasses ces blagues stupides à longueur de journée, qui en fait, ne font rire que toi. J'avoue aussi qu'en ce moment j'ai envie d'aller voir ailleurs, car lorsque tu quittes la maison, j'avoue avoir le sentiment d'être libérée. Alors que ça ne devrait pas être le cas. Pourtant, je t'aime. Pourtant, je ne suis rien sans toi. Mais j'avoue que je ne sais plus quoi faire...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Julibar, 25 ans, Puteaux
|
J'avoue qu'au début je trouvais ça trop mignon de t'entendre respirer fort, ronflotter et parler dans ton sommeil. J'avoue, maintenant ça m'insupporte, je n'arrive pas à dormir et ça me soule ! J'avoue que je pense qu'on fera bientôt chambre à part mon loulou, désolé !
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Guyguy, 23 ans, Paris
|
J'avoue que je suis surpris de voir que tout le monde super excité à l'idée de passer en 2011. J'avoue que je ne comprends pas pourquoi tout le monde devient heureux et gentil juste pour les fêtes de fin d'année ? Pourquoi cette euphorie temporaire car après il va falloir galérer. Je ne comprends pas cette médiocrité de l'Homme. J'avoue que je devrais faire philosophe...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Marinette, 19 ans, Lyon
|
J'avoue que ce réveillon de Noël est le pire que j'ai passé. J'avoue qu'au cours du repas, belle maman a parlé toute seule. J'avoue que beau papa est parti se coucher en larmes, poursuivi par ses souvenirs. J'avoue que belle mamie a passé le réveillon de Noël à l'hôpital, seule, et que j'en suis malade. J'avoue que le bruit de la paille par laquelle mange mon beauf suite à une opération lourde m'écœure. J'avoue que j'ai fondu en larmes au cours du repas pour n'importe quoi, mais que les raisons de mes larmes étaient plus profondes que ce qu'il n'y paraissait. J'avoue que j'aurais voulu être avec ma famille ce soir, mais que je ne sais plus vraiment ce que c'est, ma famille. J'avoue que mes parents ont divorcé il y a quelques mois et que je m'en tape d'avoir deux cadeaux. J'avoue que deux personnes qui m'étaient chères sont parties et que pour la première fois, je passe Noël sans elles. J'avoue que je me sens seule, très très seule, malgré la présence de l'amour de ma vie. J'avoue que cette année j'ai pas envie de la fêter la naissance du petit jésus, parce qu'il m'a franchement laissée tomber et parce que je lui en veux. J'avoue que cette année j'aurais plutôt envie de lui faire sa fête, au petit Jésus...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Serpent, 30 ans, Paris
|
J'avoue que j'en ai assez que mes collègues (plus âgés et expérimentés) entrent dans mon bureau sans frapper pour me demander s'ils ont bien travaillé ! J'avoue que c'est surtout parce qu'ils ne savent pas que je surfe sur le net. J'avoue également que j'en ai aussi assez qu'ils me prennent la tête avec leur future retraite. Est ce que j'y pense moi à ma retraite ?! Mais foutez moi la paix !
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Richie, 20 ans, Paris
|
J'avoue qu'il n'y a rien de plus chiant que ces abrutis qui passent leur temps à faire du ménage dans leur amis facebook. Chaque jour t'as une surprise de plus en plus étonnante. Alors qui m'a supprimé aujourd'hui... En mode incognito, ni vu ni connu je t'embrouille. Punaise mais ça vous tue d'avoir un ami en plus ? Ou cela traduit-il l'étroitesse de votre ouverture d'esprit ? Ou votre manque de générosité ? Peut-être tout cela d'un coup ?
J'avoue que je déteste tout ces hypocrites.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Lili, 17 ans, Paris
|
Je suis déprimée. Déprimée de voir tant de misère dans ce monde tant d'injustices. Voir ces gens qui souffrent, qui meurent au nom de qui ? Au nom de quoi ? Ce continent doit se redresser et se battre... Oui mais pour quoi, pour mourir ? Des vies humaines qui s'envolent comme des petits pains et personne ne fait rien. J'ai envie de pleurer tellement que la vie est triste. Ces enfants, ces hommes, ces jeunes qui meurent ! Je me battrai un jour... pour tous ces gens là. Mais là je dois continuer avancer dans la vie sans pouvoir rien faire.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
La migraine, 32 ans, Montréal
|
J'ai commencé une thérapie il y a 3 ans parce que j'arrivais plus à vivre. J'ai toujours pensé cependant que j'avais de quoi rebondir, et que ça finirait par aller mieux. Y a des moments de mieux, et d'autres où, j'avoue, j'en bave, j'en chie, je galère, je patine, je me dégonfle, j'en ai plein le cul, je suis triste et fatiguée, pleine de doutes et de ressentiment. J'ai des envies mais j'ai quelque chose en moi qui m'empêche de les réaliser. Je me sens tellement seule que je n'envisage plus qu'il puisse en être autrement. J'avoue que mon enfance n'était pas aussi rose que dans mes souvenirs, je me souviens de faits maintenant qui expliquent aujourd'hui bien des choses. Plus que les faits, les sensations et émotions me reviennent. J'avoue que j'aurais jamais pensé évoluer autant et aussi vite, et me sentir parfois aussi, visqueuse, chialeuse, perdue, en attente, mais de quoi ?
On m'a demandé ce qui était le plus important dans la vie pour moi : j'ai été incapable de répondre !
J'ai peur de passer à côté de ma vie, j'avoue.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Lilibus, 22 ans, Dijon
|
J'avoue en avoir ras le bol de tous ces mecs qui ne savent pas ce qu'ils veulent ! Entre ceux qui ne veulent pas s'engager, ceux qui ont peur, ceux qui prônent le "coup d'un soir" il en reste plus beaucoup des biens... Ceux qui sont là quand on va pas bien, qui n'ont pas peur de nous dire qu'ils nous aiment. J'avoue tomber que sur des boulets, ces mecs qui sont plus intéressés par votre cu* que par votre tête. Ca suffit comme ça passez votre chemin ! J'avoue encore rêver du type bien même si j'ai tendance à y croire de moins en moins...
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Louane, 25 ans, Valras
|
J'avoue que j'en ai marre de ramasser tes chaussettes qui puent. J'avoue que j'ai marché exprès sur ta serviette avec mes chaussures... après tout elle n'avait rien à faire par terre ! J'avoue que j'ai mis (par inadvertance sûrement) trop de poivre dans ton assiette ce midi ! J'avoue que je t'ai dit que je sortais cet après-midi juste pour t'ennuyer bébé. J'avoue que j'en ai marre de te voir boire et jouer à ta console tous les soirs. J'avoue que j'en peux plus et qu'à partir de maintenant c'est la guerre... Je ne ramasse plus tes affaires, je ne lave plus tes chaussettes, on mangera beaucoup de légumes et je mettrai un bon vieux-pyjama-pour-avoir-chaud-la-nuit ! J'avoue que je n'oublierai pas les chaussettes pour dormir. J'avoue que je t'aime quand même alors réagit bon sang... Tire-moi les cheveux, arrache mes vêtements et fais moi vibrer bébé ! S'il te plaît ?
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Coquelicot2003, 41 ans, Nice
|
J'avoue aujourd'hui que je n'en peux plus et que je n'ai que des idées noires. Après plus de 4 ans de dépression, 25 kgs en plus, des problèmes respiratoires et de thyroide, je n'arrive plus à avancer malgré mon petit garçon et mon mari encore présent mais tellement absent aussi. Cela faisait un moment que je n'avais pas pleuré, cela m'a fait du bien d'écrire mon désespoir. Une vie de rien. Certains luttent pour la vie et d'autres veulent en finir. Ma meilleure amie me dit de regarder autour de moi mais je n'arrête pas et j'aimerai venir en aide à des gens malheureux car il y en a tant.
|
Voir les autres aveux de cette personne -
Envoyer cet aveu à un ami
|
Page Précedente Page Suivante
© 1998 - 2025 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|