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Lane, 19 ans, Marseille
J'avoue qu'à 19 ans je n'ai jamais embrassé un garçon, j'avoue me trouver nulle et même très laide, mais pas stupide. J'avoue en avoir assez des gens qui, en me voyant sourire, refusent de croire que j'ai été une enfant battue et que mes parents continuent à me rabaisser continuellement, me souhaitent de mourir et me rappellent à quel point mon état de femelle me rend inférieure. J'avoue que j'ai eu envie de pleurer lorsque mon amie m'a parlé du lien fort et tendre qui la lie à sa mère, parce que moi je n'aurai jamais l'occasion de connaître ça. J'avoue avoir appris à fermer ma gueule à défaut d'être comprise par les autres. J'avoue être conditionnée par la peur du monde extérieur depuis toute petite. J'avoue avoir peur de passer le restant de mes jours près de gens qui me haïssent.
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Missy, 33 ans, Paris
J'avoue j'en ai ras le bol d'être la seule célibataire de ma famille, de me dire que tous les hommes bien sont déjà pris et que de toute façon si je suis toujours seule c'est sans doute que je ne fais pas partie des filles bien.
J'avoue en avoir marre d'entendre des copines m'annoncer qu'elles sont enceintes.
J'avoue en avoir marre de celles qui partent en voyage en amoureux.
Moi j'ai toujours droit au supplément single... J'avoue en avoir marre qu'on me dise qu'à mon âge je ne peux plus faire la difficile en matière d'homme. J'avoue que j'ai 33 ans et qu'on ne m'a jamais dit "je t'aime".
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Carton21, 21 ans, Paris
J'avoue que quand je suis passée à l'auto-école pour obtenir une date pour passer l'examen du code pour la troisième fois, j'étais confiante.
Mais j'avoue, que quand ce jeune bouffon qui est censé me trouver une date m'a dit que je devais venir réviser plus souvent pour avoir une date d'examen, j'ai eu envie de lui clouer le bec !
Ce gars qui ne sait pas faire une phrase sans faire de fautes, s'est permis de juger mes études ! Lui qui n'en a probablement jamais fait. Il m'a balancé à la tête que je m'obstinais à passer mon code, et que l'avoir déjà loupé deux fois était peut être un signe pour que j'arrête.
J'avoue j'aurais aimé dire ma façon de voir les choses à cet abruti ! Lui expliquer que lorsqu'il me dit que c'est pareil de réviser pour ses études que pour le code, ce n'est pas vrai ! Lui faire comprendre que la fac c'est un système où si tu te donnes pas à fond tu te fais bouffer. Mais ça, il n'a jamais probablement connu.
J'avoue que je me sens supérieure à lui sur bien des points et que ça me saoule de ne pas pouvoir lui dire ce que je pense de lui, simplement pour parce qu'il faut rester poli.

J'avoue, je ne me laisserais pas décourager par cet abruti sans cervelle, qui n'y connait rien à la vie d'un étudiant, et que mon code je l'obtiendrais !
Mais j'avoue aussi, qu'est-ce que j'aimerais lui mettre mon point dans la figure...
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Médiane, 23 ans, Mulhouse
J'avoue que j'ai peur de tomber malade, physiquement et mentalement.
J'avoue que je fais une dépression.

J'avoue que j'ai l'impression que je ne vis pas ma vie, que je suis une moins que rien alors que les gens que j'ai connu s'amusent avec leurs amis et voyagent partout dans le monde.

J'avoue que mes frères et soeurs s'en cognent complètement, allant jusqu'à dire que je vais parfaitement bien et que je mens pour me "rendre intéressante".

J'avoue que je n'ai presque pas de copines, que je n'aime pas mes études, que je déteste cette ville où on ne rencontre presque personne.

J'avoue que je veux de l'indépendance, des amis, une ville qui bouge.

J'avoue que je me sens seul.
J'avoue que je veux dormir jour et nuit. Je ne veux pas mourir, je veux dormir pendant des jours puis me réveiller et réaliser que cette sensation de peur en moi a disparu.

J'avoue que je déteste aller chez le psychiatre, parce que je ne sais jamais quel état d'esprit va encore remonter en moi et me faire du mal.
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Alice, 20 ans, Toulouse
J'avoue monsieur que vous êtes un sale con, lubrique et vicieux comme le vieux prof de philo aigri que vous êtes. Vous êtes misogyne, vulgaire et grossier.
Honnêtement, j'étais "super sexy, la petite cavalière" ? Je portais un pantalon tâché de goudron, un maillot des Springboks millésime 95 taille XL, de vieilles bottines déformées et boueuses et une paire d'éperons dont la lanière n'était même pas de cuir. Vos sales petits yeux porcins ne voyaient plus que la cravache dans ma main noire et calleuse et suivaient le zip ouvert de mon sous-pull qui dépassait du col de mon maillot.
Non, franchement, vous êtes un vieux dégueulasse.
Voilà, c'est tout ce que j'avais à vous dire, trois ans après, mais bordel que ça fait du bien.
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Virginie, 25 ans, Vaucluse
J'avoue en avoir marre de ces probleme d'argent. De cette sensation que jamais ca ne finira. Cela fait 7ans, et je me demande si j'avais pas cassé un miroir, dans l'espoir que ça devrait pas tarder à se terminer. J'en ai marre, que les papier ça met 10 ans à se faire. Que plus le temps passe et plus je m'enfonce. Quand je suis au plus bas je me relève avec une miraculeuse chance, pour mieux retomber toujours plus bas. C'est pénible.
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June, 19 ans, Paris
J'avoue que je n'en peux plus des gens. J'ai toujours l'impression qu'ils se fichent de moi, en particulier mes ami(e)s. Parfois j'ai l'impression qu'ils ne font que profiter de moi.
J'avoue que je n'en peux plus non plus de mes parents et que, dès que je pourrais, je déménagerai...
J'avoue également que ce mec me rend dingue et que je voudrais bien savoir ce qu'il veut de moi, et s'il s'amuse ou pas.
J'avoue que ça fait du bien d'écrire sur javoue.com
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Expat, 27 ans, Londres
J'avoue que ce soir j'achève ma deuxième semaine en coloc, et que je sature grave. Pourquoi ? Parce que l'un de mes coloc est un véritable porc qui crache dans les toilettes ou y jette son mégot sans tirer la chasse, et qui fume énormément à l'intérieur, ce qui me gêne à un point indicible, surtout le week end où il doit bien frôler les 30 clopes par jour. Un peu beaucoup pour un petit appart comptant peu de fenêtres.

J'avoue que j'en ai ras-le-bol d'avoir l'impression d'être la personne désagréable dans l'histoire, celle qui en demande trop, alors que tout le monde sait combien le tabagisme est encore plus nocif lorsqu'on est non-fumeur que lorsque l'on est fumeur. J'avoue que j'en ai marre de devoir attendre qu'il ait regagné sa chambre pour pouvoir vaporiser abondamment du spray anti-tabac pour ne pas passer pour une dingue, que je déteste vraiment cette odeur qui m'oblige à laver mes fringues 50 fois par semaine et mes cheveux tous les jours. J'avoue que j'en ai marre des concessions que suppose la colocation, comme accepter qu'on ne peut changer les gens avec qui l'on vit, qu'on ne peut changer que le regard que l'on porte sur eux ou bien déménager. J'avoue qu'aujourd'hui j'ai bien failli craquer et que je suis sortie un long moment pour me passer les nerfs. J'avoue que j'espère que demain j'aurai le courage de parler à la personne concernée pour voir s'il peut faire encore un petit effort.

J'avoue que si rien n'est fait je me chercherai un autre logement dès le mois prochain, en espérant ne pas tomber encore sur un fumeur... J'avoue que ça m'a fait du bien de dire ça parce que j'ai eu envie de hurler toute la journée. J'avoue que ce soir j'aurais aimé être chez mes parents plutôt que dans cette coloc. J'avoue que j'ai peur à l'idée de parler à mon coloc car par ailleurs on s'entend très bien et que je ne voudrais pas gâcher nos rapports. J'avoue que l'être humain est par essence un éternel insatisfait qui devrait apprendre à se contenter de ce qu'il a au lieu de toujours vouloir autre chose. J'avoue que j'aimais tant vivre seule et que j'aimerais savoir si d'autres personnes ont déjà vécu ce que je vis, si elles ont réussi à relativiser et si oui, comment...
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Lili, 29 ans, Rennes
J'avoue que ce boulot me plaisait vraiment au début, tant par son contenu que par son environnement (2 chefs hommes, 35 et 37 ans).
J'avoue que quand l'argent a commencé à se faire rare, l'ambiance est devenue de plus en plus insupportable au fil des jours.
J'avoue que je suis sous antidépresseurs depuis 15 jours, sous anxiolytiques depuis 3 mois (j'ai entre temps doublé la dose) et que la seule chose qui m'empêche d'accepter de me mettre en arrêt c'est l'absence de maintien de salaire pour les salariés ayant moins de 2 ans dans l'entreprise - j'aurai 2 ans de présence en avril mais je ne suis pas sûre de tenir aussi longtemps.
J'avoue que ça finira mal, très mal, soit pour moi avec craquage nerveux sous forme de crise de larmes sur mon lieu de travail, soit pour mon directeur commercial qui risque fort de prendre ma main dans la figure (dans le meilleur des cas).
J'avoue en être au point où j'aimerais arriver un matin pour apprendre ou que les locaux ont brulé/ été cambriolés, ou qu'on est ruinés (pour être licenciée), ou que mes chefs ont eu un accident sur la route (je sais c'est pas gentil).
J'avoue avoir perdu le goût pour beaucoup de choses et n'avoir envie que de me coucher quand je rentre le soir.
J'avoue que mon mari se retient difficilement d'aller casser la gueule à mon patron en réponse au harcèlement moral que je subis de la part du patron en question.
J'avoue, j'en peux plus...
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Bouclette, 23 ans, Tarascon
J'avoue que j'en ai marre de t'entendre te plaindre mon amour. J'avoue que je n'écoute même plus ce que tu dis. J'avoue que la vie sans toi ne m'intéresse pas, mais j'avoue aussi que je n'en peux plus de toi. J'avoue que de te voir mal ne me fait plus autant de mal qu'avant. J'avoue que des fois, j'aimerais bien moi aussi pouvoir me défouler comme tu le fais, mais je ne peux pas, parce que je dois te soutenir sans arrêt. J'avoue que j'en ai marre que tu me fasses ces blagues stupides à longueur de journée, qui en fait, ne font rire que toi. J'avoue aussi qu'en ce moment j'ai envie d'aller voir ailleurs, car lorsque tu quittes la maison, j'avoue avoir le sentiment d'être libérée. Alors que ça ne devrait pas être le cas. Pourtant, je t'aime. Pourtant, je ne suis rien sans toi. Mais j'avoue que je ne sais plus quoi faire...
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Julibar, 25 ans, Puteaux
J'avoue qu'au début je trouvais ça trop mignon de t'entendre respirer fort, ronflotter et parler dans ton sommeil.
J'avoue, maintenant ça m'insupporte, je n'arrive pas à dormir et ça me soule !
J'avoue que je pense qu'on fera bientôt chambre à part mon loulou, désolé !
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Guyguy, 23 ans, Paris
J'avoue que je suis surpris de voir que tout le monde super excité à l'idée de passer en 2011.
J'avoue que je ne comprends pas pourquoi tout le monde devient heureux et gentil juste pour les fêtes de fin d'année ?
Pourquoi cette euphorie temporaire car après il va falloir galérer.
Je ne comprends pas cette médiocrité de l'Homme.
J'avoue que je devrais faire philosophe...
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Marinette, 19 ans, Lyon
J'avoue que ce réveillon de Noël est le pire que j'ai passé.
J'avoue qu'au cours du repas, belle maman a parlé toute seule. J'avoue que beau papa est parti se coucher en larmes, poursuivi par ses souvenirs.
J'avoue que belle mamie a passé le réveillon de Noël à l'hôpital, seule, et que j'en suis malade.
J'avoue que le bruit de la paille par laquelle mange mon beauf suite à une opération lourde m'écœure.
J'avoue que j'ai fondu en larmes au cours du repas pour n'importe quoi, mais que les raisons de mes larmes étaient plus profondes que ce qu'il n'y paraissait.
J'avoue que j'aurais voulu être avec ma famille ce soir, mais que je ne sais plus vraiment ce que c'est, ma famille.
J'avoue que mes parents ont divorcé il y a quelques mois et que je m'en tape d'avoir deux cadeaux.
J'avoue que deux personnes qui m'étaient chères sont parties et que pour la première fois, je passe Noël sans elles.
J'avoue que je me sens seule, très très seule, malgré la présence de l'amour de ma vie.
J'avoue que cette année j'ai pas envie de la fêter la naissance du petit jésus, parce qu'il m'a franchement laissée tomber et parce que je lui en veux. J'avoue que cette année j'aurais plutôt envie de lui faire sa fête, au petit Jésus...
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Serpent, 30 ans, Paris
J'avoue que j'en ai assez que mes collègues (plus âgés et expérimentés) entrent dans mon bureau sans frapper pour me demander s'ils ont bien travaillé !
J'avoue que c'est surtout parce qu'ils ne savent pas que je surfe sur le net.
J'avoue également que j'en ai aussi assez qu'ils me prennent la tête avec leur future retraite. Est ce que j'y pense moi à ma retraite ?!
Mais foutez moi la paix !
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Richie, 20 ans, Paris
J'avoue qu'il n'y a rien de plus chiant que ces abrutis qui passent leur temps à faire du ménage dans leur amis facebook. Chaque jour t'as une surprise de plus en plus étonnante. Alors qui m'a supprimé aujourd'hui... En mode incognito, ni vu ni connu je t'embrouille.
Punaise mais ça vous tue d'avoir un ami en plus ? Ou cela traduit-il l'étroitesse de votre ouverture d'esprit ? Ou votre manque de générosité ? Peut-être tout cela d'un coup ?

J'avoue que je déteste tout ces hypocrites.
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Lili, 17 ans, Paris
Je suis déprimée. Déprimée de voir tant de misère dans ce monde tant d'injustices. Voir ces gens qui souffrent, qui meurent au nom de qui ? Au nom de quoi ?
Ce continent doit se redresser et se battre... Oui mais pour quoi, pour mourir ? Des vies humaines qui s'envolent comme des petits pains et personne ne fait rien. J'ai envie de pleurer tellement que la vie est triste. Ces enfants, ces hommes, ces jeunes qui meurent !
Je me battrai un jour... pour tous ces gens là. Mais là je dois continuer avancer dans la vie sans pouvoir rien faire.
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La migraine, 32 ans, Montréal
J'ai commencé une thérapie il y a 3 ans parce que j'arrivais plus à vivre. J'ai toujours pensé cependant que j'avais de quoi rebondir, et que ça finirait par aller mieux.
Y a des moments de mieux, et d'autres où, j'avoue, j'en bave, j'en chie, je galère, je patine, je me dégonfle, j'en ai plein le cul, je suis triste et fatiguée, pleine de doutes et de ressentiment.
J'ai des envies mais j'ai quelque chose en moi qui m'empêche de les réaliser. Je me sens tellement seule que je n'envisage plus qu'il puisse en être autrement.
J'avoue que mon enfance n'était pas aussi rose que dans mes souvenirs, je me souviens de faits maintenant qui expliquent aujourd'hui bien des choses. Plus que les faits, les sensations et émotions me reviennent.
J'avoue que j'aurais jamais pensé évoluer autant et aussi vite, et me sentir parfois aussi, visqueuse, chialeuse, perdue, en attente, mais de quoi ?

On m'a demandé ce qui était le plus important dans la vie pour moi : j'ai été incapable de répondre !

J'ai peur de passer à côté de ma vie, j'avoue.
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Lilibus, 22 ans, Dijon
J'avoue en avoir ras le bol de tous ces mecs qui ne savent pas ce qu'ils veulent !
Entre ceux qui ne veulent pas s'engager, ceux qui ont peur, ceux qui prônent le "coup d'un soir" il en reste plus beaucoup des biens... Ceux qui sont là quand on va pas bien, qui n'ont pas peur de nous dire qu'ils nous aiment.
J'avoue tomber que sur des boulets, ces mecs qui sont plus intéressés par votre cu* que par votre tête. Ca suffit comme ça passez votre chemin !
J'avoue encore rêver du type bien même si j'ai tendance à y croire de moins en moins...
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Louane, 25 ans, Valras
J'avoue que j'en ai marre de ramasser tes chaussettes qui puent.
J'avoue que j'ai marché exprès sur ta serviette avec mes chaussures... après tout elle n'avait rien à faire par terre !
J'avoue que j'ai mis (par inadvertance sûrement) trop de poivre dans ton assiette ce midi !
J'avoue que je t'ai dit que je sortais cet après-midi juste pour t'ennuyer bébé.
J'avoue que j'en ai marre de te voir boire et jouer à ta console tous les soirs.
J'avoue que j'en peux plus et qu'à partir de maintenant c'est la guerre... Je ne ramasse plus tes affaires, je ne lave plus tes chaussettes, on mangera beaucoup de légumes et je mettrai un bon vieux-pyjama-pour-avoir-chaud-la-nuit !
J'avoue que je n'oublierai pas les chaussettes pour dormir.
J'avoue que je t'aime quand même alors réagit bon sang... Tire-moi les cheveux, arrache mes vêtements et fais moi vibrer bébé !
S'il te plaît ?
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Coquelicot2003, 41 ans, Nice
J'avoue aujourd'hui que je n'en peux plus et que je n'ai que des idées noires. Après plus de 4 ans de dépression, 25 kgs en plus, des problèmes respiratoires et de thyroide, je n'arrive plus à avancer malgré mon petit garçon et mon mari encore présent mais tellement absent aussi. Cela faisait un moment que je n'avais pas pleuré, cela m'a fait du bien d'écrire mon désespoir. Une vie de rien. Certains luttent pour la vie et d'autres veulent en finir. Ma meilleure amie me dit de regarder autour de moi mais je n'arrête pas et j'aimerai venir en aide à des gens malheureux car il y en a tant.
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GandhiLennon, 16 ans, Rennes
J'avoue que j'en ai marre que ma famille me voit en grand chirurgien alors que moi je me vois en chef cuisto.
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Sousou, 29 ans, Metz
J'avoue, moi, quand je me retrouve face à mon miroir ou seule à la fin de la journée, je me sens fragile.
J'avoue : mes sourires de la journée cachent toutes les larmes qui coulent le soir ; mes projets ressemblent à une course effrénée pour ne pas tomber dans le vide - comme les personnages de dessins animés qui courent jusqu'à ce qu'ils tombent en se rendant compte qu'il n'y a plus de sol en-dessous d'eux ; et si je secoue mon entourage, c'est moins pour les soutenir que parce que je crève de trouille de sombrer avec leurs idées noires.
J'avoue que je ne crois pas en l'avenir. Je me sens seule et pourtant j'ai une femme. Mais je n'existe pas dans sa vie, je n'y ai pas de place. Mais j'avoue aussi qu'il me manque quasiment l'essentiel. J'avoue que ça a de plus en plus tendance à m'angoisser parce que je me dis que ça ne m'arrivera jamais...
J'avoue que je veux ce que je ne pourrais jamais avoir. J'avoue que j'en ai ras le cul de cette relation, où tu te rends pas compte de la patience que tu me demandes, j'avoue que je sais pas quoi faire, râler ou supporter, j'avoue qu'a force je devient une personne très froide, j'avoue que les seules moments que tu me donne de l'affections tu les passes comme un TGV pas le temps de gouter de savourer ni d'apprécier, j'avoue être en manque de complicité, d'affection, d'amour, de sex et de la féminité dans ma vie.
J'avoue que je passe mes journées a pensée qu'à ça, j'avoue que tu est la femme de ma vie parce que j'ai jamais aimé une autre comme toi, j'avoue que je crois vraiment que je ne suis pas l'homme de ta vie.
J'avoue que ça fait 8 ans nous deux et que je ne te connais pas encore tu te laisse jamais aller avec moi tu contrôles tout tes faits et gestes.... En 8 ans tu as tout fait pour que je te trompe ou te quitte, j'avoue que tu te donnes à fond pour ne pas montrer tes sentiment tes envies envers moi et tu fais le minimum pour me prouver que tu m'aimes et que je compte dans ta vie. J'avoue que tu ma tellement privé de l'essentiel que je suis en manque de tout. J'avoue pour finir, je t'aime et je donnerai ma vie pour toi.
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Alice, 20 ans, Toulouse
J'avoue que je n'ai pas monté à cheval depuis septembre. J'avoue que je crève d'envie de reposer mes fesses sur une selle. J'avoue que je viens de passer deux heures à consulter les petites annonces de chevaux à vendre, de poneys à louer, de jument à confier... J'avoue que j'ai craqué sur un joli petit poney pie qui saute des montagnes, sans l'avoir vu ni rien. Il a une belle robe, de grandes balzanes très blanches, une crinière en brosse... Tout ce que j'aime. J'avoue que je vais retourner éplucher les petites annonces en me maudissant de me faire mal comme ça.
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TexasArt, 18 ans, Paris
J'avoue que ma jalousie extrême pour une amie me bouffe la vie. Elle est si belle... mais la beauté n'est qu'un élément mis en place par la société elle même alors je n'ai pas de raison de m'enfouir je le sais mais je n'arrive pas à contrôler mes émotions dans la vie directe et cela me fait souffrir.
Je suis quelqu'un de modeste mais j'ai aussi des qualités, je suis créative, rêveuse et hypersensible et ça me convient. Je m'aime pas spécialement physiquement mais j'aime ma personnalité, je suis contente d'avoir hérité de cet esprit car tout le monde n'est pas émotif à la beauté spirituelle, des choses tels qu'elles sont.
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Marinette, 19 ans, Lyon
J'avoue que je veux me marier, un jour, en robe blanche. Avoir un voile, de belles chaussures, une journée de princesse.
J'avoue que je voudrais avoir moi aussi droit à cette journée là, une journée qui soit la mienne, et celle de l'homme que j'aime(rai?).
J'avoue que je suis bien avec lui depuis plus de deux ans. J'avoue qu'il m'a rendue heureuse et qu'il a toujours fait des efforts pour moi.
Mais j'avoue que je ne me marierai jamais avec lui, quoi qu'on en dise. J'avoue que je ne sais plus si je suis capable de passer ma vie avec lui. J'avoue que je ne peux pas imaginer que lui, sa famille et ses amis soient saouls à notre mariage (ce qui arriverait de toute façon). J'avoue que je ne veux pas d'un mariage sans toute ma très grande famille. J'avoue que même si je ne suis pas très pratiquante, je veux aller à l'église, je veux qu'on m'offre une alliance "en signe d'amour et de fidélité".
J'avoue que je ne sais plus quoi faire...
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