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| Moussette, 25 ans, Paris |
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J'avoue que je n'arrête pas de rêver que j'embrasse un autre homme que le mien. Pas de sexe, juste un baiser, le premier, celui où le coeur est sur le point d'exploser. J'avoue que mon actuel est aussi mon premier homme. J'avoue qu'une grande partie de moi aimerait passer toute sa vie avec lui, tellement il est génial. Mais j'avoue qu'une autre partie de moi voudrait vivre plusieurs flirts, premiers baisers, premiers rencards, première nuit etc. J'avoue ne pas vouloir gâcher cette relation. Mais j'avoue qu'il ne faut pas qu'un type me drague, un moment de faiblesse est si vite arrivé. |
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| Winda, 18 ans, Clamart |
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J'avoue que la petite garce d'ex copine de mon ex (vous avez suivi ? c'est elle avec qui il a baisé pendant 2 mois après m'avoir largué !) a découvert je ne sais comment que je fréquentais ce site et s'amuse à lire mes aveux. J'avoue que ça la fait rire et c'est bien normal ma vie est tellement plus passionnante que la sienne. J'avoue quand je pense que cette petite trainée pleure dans son coin alors qu'hier j'étais avec lui une bonne partie de la nuit, ça me fait bien marrer moi aussi ! ah ah ! J'avoue J. tu es pathétique mais maintenant que je sais que tu suis mes aveux je les écrirai avec encore plus de plaisir, sachant que c'est peut-être la seule chose qui va égayer les journées de ta minable petite vie d'opportuniste. |
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| Sweet, 18 ans, Nantes |
| J'avoue que quand j'ai voulu aller sur yahoo pour voir mon mail, et que juste avant moi quelqu'un venait de se déconnecter, le service m'a demandé : "souhaitez-vous supprimer ce compte ?" j'ai cliqué sur oui... Désolé mademoiselle. |
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| Tallulah, 19 ans, Paris |
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J'avoue j'ai 19 ans, je ne suis jamais sortie avec un garçon, je n'ai jamais embrassé qui que ce soit, je n'ai jamais couché avec qui que ce soit, je ne me suis jamais faite caresser par un garçon, ni même masser... J'avoue je suis plutôt pas mal, j'avoue les gens m'aiment beaucoup mais j'avoue je n'ai toujours pas trouvé celui qui me plaît. J'avoue j'ai 19 ans... et j'avoue je commence à être sérieusement frustrée. Suis-je trop exigeante ?! |
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| Aleajactaest, 30 ans, Paris |
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J'avoue que chaque fois que je te croise sur la ligne 8, ma charmante voisine, tu me troubles et que parfois ton silence courtois sans doute pour te déculpabiliser après une rencontre plus volubile la veille est encore plus lourd de desirs et de tentations. Cette façon de se rencontrer dans la rame comme si l'on ne s'était pas vu avant sur le quai, me trouble. Ce matin, je me suis retrouvé dos à dos avec toi et je me suis retrouvé au dessus de ton cou si gracieux, j'ai eu terriblement envie de l'embrasser, de t'enlacer... Toi et moi c'est sûr ce serait atomique ! Quel dommage que souvent je salue D. au coin des boîtes aux lettres et toi ma femme. Je suis pressé de vivre le prochain épisode. Amicalement je t'embrasse et je profite de javoue.com pour t'y voler un baiser. |
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| Lola, 22 ans, Lausanne |
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J'avoue que je ne sais pas, je ne sais plus que faire, samedi je t'ai croisé, tout mes sens se sont activés et j'avais qu'une envie te faire l'amour, les sens me travaille vraiment... Pourtant je suis prise. Que faire !? |
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| Aïeuuuh, 25 ans, Belgique |
| J'avoue que pour le moment j'ai une crise d'hémorroïdes et que rien qu'à l'idée de savoir que demain je vais devoir rester de 8h du mat à 18h au soir assise me donne l'envie de tomber dans les vaps tellement ça fait mal ! |
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| Francesco Amore Mio, 22 ans, Belfort |
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J'avoue que ce matin je m'étais levée exprès pour te voir. J'avoue que je voulais essayer de te donner ce baiser qui me brûle tant les lèvres depuis le jour où tu as bouleversé ma vie. J'avoue que je t'ai attendu 1/2h dans ma voiture, dans ce froid. J'avoue que quand je t'ai vu arriver, j'ai senti mon coeur battre et mes tripes se serrer. J'avoue que tu t'es contenté d'un sourire et d'un signe de la main, et que tu es rentré chez toi retrouver ta femme. J'avoue que ça m'a fait très mal, j'étais si pleine d'espoir. J'avoue que même si tu étais pressé, tu aurais quand-même pu venir m'embrasser, ça ne t'aurait pris que deux minutes. J'avoue que je t'en veux de me faire si mal. J'avoue qu'à la fois je t'aime et je te hais. J'avoue que j'ai tout de même hâte de te revoir, et que je serai là la semaine prochaine, comme je l'ai toujours été. J'avoue que je t'embrasse très, très fort, et que je t'aimerai toute ma vie quoi que tu fasses. J'avoue que ça fait du bien de mettre des mots sur ce qu'on ressent, et que j'espère que le hasard te fera tomber sur cet aveu. |
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| Made_in_france, 22 ans, Reims |
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J'avoue qu'au départ, c'était une plaisanterie... L'idée nous était venue pour nous faire du bien... Et si on couchait ensemble ? J'avoue qu'à chaque fois que l'on se voit, on remet ça et on le sait tous les deux qu'on est parfaitement compatibles. J'avoue que pourtant, même si aucun obstacles n'entravent notre route, nous ne sommes pas ensemble... J'avoue que ça commence à me faire de plus en plus mal et que j'aimerais faire demi-tour pour retrouver l'ami que je connaissais... J'avoue que même si les moments que l'on passe sont vraiment inoubliables, j'aimerais que tu sois plus disponible et que tu éprouves les même sentiments que moi. J'avoue qu'en ce moment, j'ai vraiment l'impression de te servir d'objet sexuel et qu'en tant que meilleure amie, ça me fait mal de ne plus avoir mon ami pour discuter... J'avoue que j'aimerais que tu sois l'ami et l'amant en même temps et que tu éprouves ce que je ressens... |
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| 0rgullosa, 21 ans, Liège - Belgique |
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J'avoue que je suis plutôt maladroite comme fille. A l'époque où j'étais encore en école d'arts (il y a deux ans de cela, avant que je ne change d'orientation... J'aime diversifier les plaisirs).. Par une fin d'après-midi grise et morne, me voilà entrant dans un bus très fréquenté avec mes deux seules amies, qui s'avèrent être également mes collègues de cours depuis des années. Je suis très sélective. Mais j'ai beaucoup de copines, rassurez-vous... Nous sommes compressées contre la vitre, mon énorme farde verte et noire (la très caractéristique farde des artistes) emmerde les passagers près de moi, mais je m'en fous car je les emmerde aussi parce qu'ils respirent trop et que la buée dégoulinante sur les fenêtres me dégoûte. On en était là de cet agréable trajet lorsque 10 minutes plus tard, nous voici arrivées à notre arrêt. Qui se trouve être l'arrêt "principal", à savoir celui hautement fourni en usagers des transports en communs. Enfin libre, je sors de ce maudit bus, toute guillerette et conversant avec mes deux potesses. Nous descendons sur la route pour la traverser (il faut savoir que c'est une route large, uniquement empruntée par les bus, et entre l'arrêt "aller" et celui "retour" en face...il y avait donc beaucoup de monde). Donc, emportée par le flot intarissable de l'histoire extraordinaire que je leur contais, je ne vois pas cette excroissance du macadam vers laquelle mon pied se dirige et... Et je vole littéralement en avant, un pied cognant contre la bosse, l'autre s'envolant en l'air en même temps qu'une de mes chaussures, qui devait retomber deux mètres plus loin tandis que ma farde à dessin m'échappe des mains et s'en va un peu plus loin sur la route. Moi, je me retrouve à genoux au milieu de la route, un bus à trois centimètres de ma tête et en plein fou rire. Le temps de récupérer ma farde et ma chaussures, et je continue mon chemin comme si de rien n'était, avec une chaussures en main et devant les passants époustouflés par tant de grâce. Plus de deux ans après, mes amies en reparlent comme de l'évènement classé dans le Top 10 des plus drôles que l'on ait vécu ensemble. Heureusement, le ridicule ne tue pas... |
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| Winda, 18 ans, Clamart |
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J'avoue qu'il m'a plaqué. J'avoue qu'il ne sait pas ce qu'il perd. Ni ce qui l'attend ! J'avoue que j'ai une furieuse envie de me venger. Pour commencer en foutant le bordel dans sa vie. Et puis aussi, je risque de me taper tous ses amis histoire de bien enfoncer le clou. J'avoue S., je crois que tu vas regretter ce que tu m'as fait ! Pour finir, j'avoue que je vais passer mes nerfs sur mon pierceur demain : je m'offre un petit trou au nombril, le prix d'un chagrin d'amour (50€ pour les amateurs). |
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| Carat, 28 ans, Liège |
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Il doit y avoir 5 ans environ... je bossais comme programmeur dans une boite qui, de temps en temps, m'envoyait dépanner un ordi par-ci par-là... il s'agissait surtout d'amis de mon patron. Un beau jour, je me retrouve devant le PC d'un salon de coiffure, occupé par cinq coiffeuses plus jolies les unes que les autres... Je fais mon king, je dépanne le PC... et la patronne m'invite gentillement à repasser à l'occasion dans son salon, m'offrant une coupe de cheveux gratos... Deux semaines plus tard, je me décide... allons-y... je téléphone, prend rendez-vous, et on me répond "mardi ? quand vous voulez c'est très calme"... De fait, j'arrive dans le salon de coiffure, personne, sauf cinq coiffeuses qui me dévisagent d'un air intrigué genre "un jeune mec dans notre salon, miracle"... On m'invite à m'assoir pour me laver les cheveux, la coiffeuse était assez douce, jusqu'à ce qu'elle entame la conversation : "ça va ?" ému de cette attention, je répond "ho je vais on ne peut mieux, et vous ça va ?". Deux secondes de silence, le jet d'eau qui s'écarte de ma tête. "je parlais de la température de l'eau Monsieur". premier blâme... Je me dis "ok, l'image est forgée, je serai un abruti fini dans leurs têtes jusqu'à la nuit des temps". Je change de siège, une autre coiffeuse arrive et me demande ce que je désire comme coupe ; après lui avoir expliqué, elle se met à l'ouvrage. Jusqu'à ce que j'entende, dans un certain écho "Monsieur... hou hou... monsieur"... j'ouvre les yeux, première vision : ma tête penchée en avant, tombante, avec un filet de bave, descendant lentement sur une serviette, proprement placée à cet effet... Je relève la tête... les cinq coiffeuses, côte à côte, qui me regardent mortes de rire, me précisant qu'en plus, en dormant, je ronfle... Je n'y suis plus jamais retourné, même pas pour dépanner leur ordinateur. |
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| Artemiss077, 22 ans, Olympe |
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J'avoue que je me suis cassée la gueule en pleine rue vendredi. J'avoue qu'il y avait plein de jeunes dans cette rue en plus de mes sept potes (pas moins) qui m'ont vu m'étaler comme une vieille merde sur le trottoir. J'avoue que j'ai le genoux droit tout brûlé et les mains d'une gamine qui apprend à faire du vélo. J'avoue ça faisait longtemps que je ne m'étais pas pris une aussi belle gamelle, et surtout une honte pareille. Ben ouais ça arrive à tout le monde de se casser la gueule, même sobre, même les yeux ouverts même à 22 ans ça arrive... |
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| Marie, 19 ans, Lyon |
| J'avoue, l'aveu de Cas Social me rassure, je vois que je ne suis pas la seule dont le célibat entraîne la grève de l'épilation. Moi il y a mes jambes aussi qui ressemblent à Chabal. C'est très moche quand je sors de la douche. Vive les pantalons ! |
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| GameGirl, 20 ans, Strasbourg |
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J'avoue que quand j'ai vu le zizi de mon nouveau petit ami, j'ai été vraiment déçue... Ce serait tellement bien si on pouvait demander les mensurations avant de sortir ensemble ! Enfin, il est beau comme un dieu, et c'est pas catastrophique, donc ça ira... J'éspère. |
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| Mynnie, 22 ans, Toulouse |
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J'avoue que je t'aime bien, j'adore parler avec toi, refaire le monde... J'avoue que ce soir là tu étais beau, tu faisais étalage de ta culture et je te trouvais terriblement attirant. J'avoue que pour moi sortir ensemble coulait de source. quand on s'est enfin embrassé j'ai fondu, j'ai craqué, je te voulais. Mais lorsque le moment fatidique est arrivé j'ai découvert l'impuissant chronique qui est en toi ! J'ai fondu, j'ai craqué : le mythe était cassé. j'avoue je t'aimais bien, j'adorais parler avec toi. j'avoue que ça me crève le coeur de te le dire (ou pas) : ne cherche plus à me revoir. Tu étais beau, tu étais magnifique mais là le mythe est cassé. |
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| Hehehe, 42 ans, Strasbourg |
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J'avoue avoir très envie de faire connaissance avec ma voisine de palier. J'avoue qu'à chaque fois que j'entend le bruit de ses pas, je la regarde passer par les carreaux de la fenêtre. J'avoue que j'adore le bruit que font ses bottes, claquant à chaque pas. J'avoue regarder sa chute de reins avec envie. J'avoue ne pas être libre... |
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| Paquito, 17 ans, Paris |
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J'avoue que j'ai simulé une maladie pour pas aller en cours lundi. J'avoue aussi que j'ai tellement bien simulé que j'ai fini par la chopper cette maladie. |
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| Roussignol, 18 ans, Tarbes |
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J'avoue que depuis que je suis sous Roaccutane, il est devenu impossible d'avoir des relations sexuelles avec mon copain pour cause de sècheresse intime, très intime. J'avoue que nous sommes dans l'obligation de nous débrouiller autrement car huit mois de traitement, c'est long ! |
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| Chicky, 24 ans, Suisse |
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J'avoue que l'aveu de Petdefoufeuz m'a bien fait rire ! Sauf que moi ce genre de phénomène m'avait valu une situation plutôt... embarrassante... En pleine action avec un mâle de chez mâle, hop en levrette vas-y mon coco que c'est bon et là... LE bruit ! Et comme une grande je lui fais : - C'est pas ce que tu crois ! Va savoir pourquoi. Il s'est rhabillé et s'en est allé sans mot dire... S*laud ! |
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| Paqui, 25 ans, Liège - Belgique |
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J'avoue que la semaine dernière j'ai punché à coup de parapluie une dingue qui m'avait donné un coup de poing dans les côtes en passant entre moi et mon copain ! J'avoue qu'au début quand elle nous a frappé j'ai rien compris, je me suis dis: si ça se trouve c'est une pauvre femme atteinte du syndrome de tourette ou un truc dans le style mais j'avoue que quand elle a soufflé les bras en l'air de contentement je me suis dis, toi ma vieille, ça va pas en rester là. J'avoue que j'ai déployé mon parapluie comme un bâton, lui ai demandé si elle voulait un gros coup dans la gueule et quand elle m'a fait un signe du menton pour me défier j'avoue lui en avoir mis un gros ! Mais j'avoue qu'en voyant sa tête de malade ne pas broncher je me suis vite retournée pour aller rejoindre mon copain qui n'avait rien compris à la scène. J'avoue, j'aurais dû taper encore plus fort ou une deuxième fois, j'ai un goût de trop peu maintenant... |
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| La_quiche, 26 ans, Marseille |
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J'avoue, je travaille en restauration... Et j'avoue aujourd'hui avoir lourdement fait tomber un flan par terre et l'avoir passé sous l'eau, ni vu, ni connu, pour le remettre en vente... J'avoue l'avoir rendu assez appétissant pour que personne ne s'en s'aperçoive, et j'avoue ne pas en être fière. J'avoue être sincèrement désolée pour les malchanceux qui vont tomber dessus... c'est pas de bol ! Mais j'avoue être soulagée que la chef m'aie pas vue, et j'avoue même que ça arrive, des fois, à d'autres... |
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| PetiteEtoileDuSoir, 29 ans, Strasbourg |
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J'avoue que j'en ai assez d'arriver toujours trop tard !!! Dès que je rencontre un homme avec lequel je me dis "pourquoi pas ?" car il se passe vraiment un petit quelque chose entre lui et moi, à chaque fois, il est soit déjà en couple, soit vient d'avoir un enfant. Et bien entendu, ça, je l'apprends quelques semaines après ! J'avoue que j'en ai plus qu'assez d'être toujours attirée par des hommes que je ne sais pas déjà pris ! J'avoue que j'aimerai tant rencontrer quelqu'un de libre et de disponible ! J'avoue qu'en plus, en ce moment, ce n'est vraiment pas la grande forme... Je suis rentrée en France il y a quelques semaines, je suis en manque, ma famille c'est pas l'idéal et mon boulot m'énerve. Et que ce genre de nouvelles ne fait que m'enfoncer un peu plus. J'avoue me demander si je serai vraiment heureuse un jour et si finalement je ne vais pas mourir avant. J'avoue me sentir bien seule certains jours... |
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| Gabrielle, 24 ans, Bordeaux |
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J'avoue que mon facteur est drôlement mignon et que même s'il pleut j'irais chercher directement mon courrier à sa fourgonnette, en mini-jupe, quitte à choper la crève. J'avoue qu'il ne lui reste plus beaucoup de jours car il est là qu'en remplacement et que ça me fait un peu chier. J'avoue que des fois, ça me fait même chier de pas recevoir de factures ou de pub parce que du coup je le vois moins... J'avoue que, après moult bégaiements, je l'ai invité l'autre jour à prendre un verre à la fin de sa tournée... et il a accepté. J'avoue que c'était en tout bien tout honneur car nous sommes en couple tous les deux. Mais j'avoue que ça m'a pas déplu de passer une petite heure à regarder ses jolis yeux et son doux sourire. |
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| Ptitemetaleuz, 20 ans, Paris |
| J'avoue, il n'y a rien de plus gonflant que d'avoir un bouton sur la fesse droite... |
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