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| Barbystoof, 22 ans, Paris |
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J'avoue m'être tapé la honte et un bon fou rire devant ma classe. En effet, lors d'une présentation orale d'un projet devant mes camarades et le prof, j'ai fait un labsus... gênant : au lieu de dire "la société X est à l'origine édifices" j'ai sorti tout naturellement "la société X est à l'origine de nombreux orifices... euh... édifices bien sûr !" Résultat : fou rire général et beaucoup de mal à reprendre sérieusement mon exposé ! |
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| Masha, 25 ans, Montpellier |
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J'avoue que mon boulot me fait chier, je me sens inutile. J'ai l'impression que toutes les études que j'ai faites n'ont servies à rien. J'avoue que j'ai été super trop flemmarde pour me trouver un job mieux que ça. J'avoue que ma flemardise m'énèrve mais que je ne fais rien pour y changer. J'avoue que ma vie amoureuse est nulle et qu'elle va de pair avec ma vie pro. Je fais rien pour y changer. J'avoue qu'il y a des fois où je me dis "tu merites mieux que ça" mais j'avoue aussi que je vois pas pourquoi je le mériterais plus qu'un autre. J'avoue que secrètement j'espère avoir une vie faite d'excitement soupoudrée de magie, mais j'avoue aussi que c'est fort probable. J'avoue que ce site est plutôt pas mal et que ça fait du bien de se lâcher. J'avoue aussi qu'il est fort possible que je revienne pour me lâcher de temps en temps sur ce site. |
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| Moi, 20 ans, Paris |
| J'avoue que cela fait 4 ans que je te connais et qu'au début je te parlais pas beaucoup, mais avec le temps on se connais mieux. Maintenant on a appris à se connaitre et je ne sais plus du tout où j'en suis amis ou plus ? J'adore quand on a des fous rire ensemble, des regards où l'on se parle même pas. Je suis trop contente que tu vienne avec moi cet été. Mais hélas il y a elle, cette fille avec qui tu sors, j'avoue que je suis jalouse d'elle et le pire c'est que tu le sais. Mais c'est affreux car je t'aime quand même. |
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| Rien ne vaut la vie, 19 ans, Lille |
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J'avoue... J'avoue que c'est dur de se voir grandir, de voir ses amis grandir, évoluer, changer. On change tous, on grandit tous. Mais c'est difficile de voir ceux qui nous entourent, ceux que l'on aime... changer également ! Il y a les amis d'enfance, ceux qu'on connait depuis 10 ans. Ceux avec qui on a grandi, avec qui on a tout fait. Ils sont toujours là, mais différemment ! Les coups de téléphone jusqu'à deux heures du matin, les soirées improvisées, les grandes discussions, les révélations faîtes lors d'une balade dans un parc un soir d'été, les lettres que l'on s'écrivait... Ont disparu et laissent place petit à petit aux bips du téléphone qui s'éternisent car personne ne répond, aux textos sans réponses, aux semaines de silence, aux rendez-vous manqués. Puis il y a les amis... les autres ! Ceux que l'on a rencontré à des moments clés de notre vie. Ceux qu'on ne connaît pas depuis longtemps mais qui nous ont apporté tellement de choses qu'ils ont une place à jamais gravé dans nos coeurs. Avec eux, il y a eu des moments forts, très forts... puis la vie suit son cours. Les relations changent, puis les personnes. On se voit tous les jours, puis de moins en moins. On ne s'oublie pas, on est toujours là les uns pour les autres, mais la vie a pris le dessus. J'avoue avoir du mal à gérer tout ça. Les soirs de cafard, de blues, ne plus savoir qui appeler... ou savoir qui appeler mais ne pas oser le faire de peur de déranger, de peur de ne plus obtenir ce que l'on attend de l'autre. J'attend peut-être trop de ces amis sans qui je ne suis rien, de ceux qui m'ont parfois sorti la tête de l'eau, qui m'ont écouté quand j'ai eu besoin de parler. Ou qui ont plutôt su faire silence quand j'essayé de parler, en vain... Aujourd'hui, j'ai peur de les voir différents, et ça me fait mal. Le changement, ce changement me fait peur. Mes amis font parti de mes bases au même titre que ma famille et quand les bases évoluent, les craintes apparaissent ! Seront-ils toujours là ?Pourquoi ? Pour combien de temps ? Et si... ? Je tiens tellement à eux. Une chose est sûre, je les adore. Je les aime ! Et même si nous avançons dans la vie, que nous changeons chacun à notre manière et à notre rythme, je serai toujours là pour eux. Quoiqu'il arrive, peu importe ce que la vie nous réserve... Ils ont marqué ma vie à jamais. |
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| Pomme, 19 ans, Paris |
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J'avoue, je l'aime... J'avoue, j'aime les regards complices que l'on s'echange et que personne ne sait lire. J'aime le fait de vivre ce mensonge, cette adultère, cette histoire folle avec lui... J'avoue, je sais que ça ne durera pas, je sais qu'il n'est pas à moi. Mais il est et sera toujours mon secret, ma folie, mon homme à moi... |
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| L, 22 ans, Nantes |
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J'avoue être amoureuse. J'avoue être complètement impuissante face à ce sentiment. J'avoue ne pas le connaitre. J'avoue ne pas me connaitre non plus. J'avoue en souffrir mais aussi y travailler. J'avoue que malgré tout, je crainds que ça me plaise. J'avoue que cette fois, les mots sont écrits et que je vais changer. |
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| Lerwick, 21 ans, Perth |
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J'avoue que samedi dernier je suis allée voir ce que sont les highlands games. Je suis actuellement en stage dans l'Ecosse profonde... Pour les personnes incultes, ce sont des reunions de monsieurs en kilt qui font des concours de lancers de troncs, de pierres et de nains ou presque... Il y a aussi des concours de cornemuse. Bref, imaginez le tableau : vous voici plongés au coeur du film holywoodien Braveheart sans Mel Gibson, avec des paysages à couper le souffle, une vallée chargée de brume, un superbe château, une petite brise vivifiante et une averse de temps en temps... Rajoutez à cela de beaux hommes forts en kilt, un air constant de cornemuse dans l'air... Et une etudiante francaise revant de voir ce qui se cache sous les kilts de ces athlètes highlanders. Et bien, je sais à présent ce qui s'y cache et ça m'a gâché ma journée de rêve... Figurez-vous que grâce à un petit vent du nord, les kilts se soulevaient sans aucun effort. Affaire classée : les ecossais portent une espèce de combinaison très moulante et fluo, très importante, la couleur fluo... Je suis revenue de mes highlands games fort deçue ! Bien la peine d'user autant d'encre sur le dessous des kilts pour une tenue moulante à la superman. |
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| Pegousse, 19 ans, Montpellier |
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J'avoue que je ne suis pas sûre de tenir à mon copain. J'avoue que ça me fait mal de réaliser que dans ces moments de doutes mes soit disant amis me délaissent... Je suis là pour apaiser leur maux mais quand moi je ne vais pas bien il n'y a personne pour moi. J'avoue que je suis la bonne poire dans l'histoire... J'avoue que je vais sûrement changer de potes et de copain. |
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| Amo, 16 ans, Paris |
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J'avoue que c'est la première fois que je viens sur ce site et que c'est vraiment pas mal du tout. J'avoue que demain et vendredi j'ai des examens et que je stress pas mal notamment à cause du fait que je me sens pas prête du tout pour passer de telles épreuves : BAC. J'avoue que ca fait 10 mois que je suis célibataire, record absolu pour moi. J'avoue qu'un copain ne me manque absolument pas, j'ai perdu l'habitude, même si je craque pour un super copain qui va venir passer deux semaines de vacances avec moi, cet été, dans ma maison de vacances à l'étranger. J'avoue que j'ai des championnats importants à la fin du mois dans mon sport et qu'une de mes co-équipières se fout de nous et va nous mener à notre perte si ca continue comme ça. J'avoue qu'on se laisse faire par elle car on a peur qu'elle nous laisse tomber. J'avoue que j'ai bien pris plaisir à déballer un peu de ce que j'ai sur le coeur et que je pense revenir recommencer, après le bac. |
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| L'avoueuse, 26 ans, Sud |
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J'avoue que j'ai un copain depuis un an et demi. J'avoue qu'il m'arrive malgré tout de fantasmer sur des femmes, sans passer à l'acte. J'avoue qu'un de mes collègues de bureau m'a draguée et que j'ai souvent rêvé de passer à l'acte avec lui. J'avoue que je me suis masturbée en imaginant nos ébats. |
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| Yvi, 25 ans, Pontoise |
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J'avoue que je l'ai trompé avec ce mec parce qu'il n'était pas à mes côtés ; j'avoue que lui aussi m'a trompé alors qu'il disait que jamais il ne le ferait car j'étais la femme de sa vie. J'avoue avoir fouillé dans son portable et avoir vu des messages que jamais je n'aurais pensé qu'il le ferait ; j'avoue avoir eu des doutes depuis ce jour. J'avoue que je lui ai demandé si il avait fait, il me repondait non. J'avoue qu'un jour il me l'a avoué. J'avoue que depuis ce jour je crois ses aveux car il ne peut pas inventer ces choses et dire que c'était pour rigoler. J'avoue ne plus lui faire confiance. J'avoue qu'il a des sentiments encore pour son ex. J'avoue que je n'aime pas cette fille. J'avoue quand même que lui et moi on s'aime par dessus tout. |
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| Capricam, 19 ans, Lille |
| J'avoue que je l'adore. Il me rend dingue. Je ne sais pas si ce sont ses yeux, son sourire, sa gentillesse, son humour... Cela me rend si heureuse et j'avoue que cela me fais un peu peur, peur de le perdre, peur du fait que cela parait plus serieux que mes anciennes relations. J'avoue que vivre avec lui me plairait, j'avoue que je me vois avec lui très longtemps. J'avoue que tout ce bonheur me fait vraiment plaisir. J'avoue que dire tout cela me contente énormément. A bientôt... |
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| Kmi_la mangeuse de papillon, 16 ans, Grenoble |
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Quand vous voyez une personne qui tient replié un coin de son T-shirt avec une épingle à nourrice, j'avoue que c'est pas forcément qu'elle change de look, c'est peut-être juste parce qu'elle s'est fait chier dessus par un putain de pigeon et qu'elle ne peut pas rentrer chez elle pour se changer... Mais pourquoi ça n'arrive qu'à moi, ce genre de trucs ? |
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| Artemiss, 20 ans, Olympe |
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J'avoue, je suis amoureuse... Ca fait des mois que ça dure et je comprends pas ce qu'il m'arrive. Si je passe une journée sans le voir, c'est sûr, j'ai le bourdon. Il peut m'emener où il veut, même aller chercher des pièces de voiture toute l'après-midi ! Je suis heureuse d'être avec lui. J'aime quand il sourie, j'aime quand il fait l'idiot, j'adore quand il me prend dans ses bras. J'avoue, je ne sais pas comment il fait pour me supporter. J'avoue Michael je t'aime, roooolalala ça c'est de l'aveux romantique ! Qu'est ce qu'il m'arrive ? |
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| Lulla, 16 ans, Paris |
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J'avoue qu'il y'a des trucs qui font très mal... Au coeur, mais pas seulement. L'autre jour je prends ma douche, peinarde, un peu dans les vappes, normal, c'est le matin, tôt et j'suis pas du matin, bref... Vas-y que je te frotte, vas-y que je te shampouine... Et c'est alors que les évènements s'enchainent : le savon glisse de ma main moite, je pousse un cri, petit, le cri. Et me baisse lestement, telle une gazelle au galop et avec toute la souplesse que me permet l'heure matinale, dans le but de ratrapper le fugitif ! Seulement voilà, n'étant pas en pleine possession de mes moyens j'oublie la présence fortuite du robinet et me le prend en pleins dans le **... Je peux vous assurer que ça fait mal, surtout lancée à pleine vitesse. Disons que ça surprend... |
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| Pitchoune, 21 ans, Angers |
| J'avoue que je suis amoureuse d'un mec de ma promo depuis 6 mois. J'avoue que j'ai pleuré le soir du dernier jour de cours en pensant à lui. J'avoue que je n'ai jamais réussi à aller lui parler et que je ne sais pas comment me rapprocher de lui. J'avoue que je pense à lui tout le temps et de plus en plus... |
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| Kitty, 16 ans, Lausanne |
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J'avoue que j'ai cru que c'était la fin des haricots quand elle nous a sorti ça... Je m'explique, je sais plus quel jour c'était et je racontais une histoire, je sais plus laquelle quand, voyant une buse dans le ciel, Salomé s'écrie : - Oh ! Un rapace ! Tout le monde arrète de parler et Amandine, l'humour jusqu'au bout, dit : - Regardez l'aigle royal ! Tout le monde se marre et Salomé qui monte sur ses grands chevaux dit : - Eh oui les buses, les aigles et les vautours sont des rapaces. Désolée s'il y a des gens qui s'interressent à d'autres choses que les voitures et le maquillage ! Heureusement que la fin de la pause à sonné parce que je lui mettais deux baffes, elle savait même pas qui est Sartre jusqu'à ce que je lui en parle ! Maintenant quand on la voit, on fait : - Oh ! Un mammifère ! |
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| Avoueuse troublée..., 16 ans, Genève |
| J'avoue que je suis surêment amoureuse car mon coeur me pique et mon esprit divague. Il est de ma taille, aux cheveux chatains ondulés, bien bâti car il fait sept heures de natation par semaine... J'avoue qu'il ne se doute même pas que je l'aime. Il a une copine, des yeux qui brillent. J'avoue que je vais lui parler et lui proposer qu'on sorte, car c'est les vacances et que je ne le reverrai plus jamais... J'avoue je n'ai jamais embrassé sérieusement un garçon et que j'ai peur de faire n'importe quoi ! J'avoue, je vais lui téléphoner tout de suite... |
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| Ashwarya, 21 ans, Angers |
| J'avoue que je t'aime à la folie depuis la toute première fois où je t'ai aperçu. J'avoue que je rêve sans arrêt de te voir débarquer chez moi pour me dire que tu ressens la même chose. J'avoue que je sais que ma cousine t'aime aussi mais que j'en ai assez de me culpabiliser et d'attendre, je vais donc te déclarer ma flamme en face à face. Alors s'il vous plaît, croisez les doigts pour moi parce que j'avoue aussi que je suis morte de trouille, mais tu en vaux vraiment la peine ! |
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| Cricri08, 16 ans, Givet |
| J'avoue que je suis amoureuse d'une certaine personne mais je pense qu'il s'en fiche pas mal de moi. J'avoue que j'ai déjà pleuré en pensant à lui en écoutant de la musique triste. J'avoue que même si je sais qu'il m'aime bien mais sans plus cela me rend tout de même triste, j'avoue que je pense souvent à lui et ça m'énèrve d'ailleurs. J'avoue que je n'ai jamais eu beaucoup de chance en amour mais j'avoue quand même que je suis une fille assez difficile mais lui je crois que je l'aime ! Avant je disais que c'était pas grave d'être seule mais maintenant je commence à grave en avoir marre ! Voilà j'avoue ! |
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| Totophe, 23 ans, Nantes |
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J'avoue que le soir, arrivant chez moi, je me voue pour une passion plutôt bizarre. J'avoue me déguiser en super héros. J'avoue que j'aime prendre ma serviette de plage pour me la mettre autour du cou, cela me fait penser à la cape de superman. J'avoue avoir confectionné moi même le bandeau qui masque mes yeux pour cela j'ai empreinté un vieux bandana de ma maman. J'avoue que pour le pantalon j'ai pris les bas de danses à ma soeur. J'avoue que le soir venu j'aime mettre ce super déguisement pour enfin me prendre pour superman. J'avoue être un peu spécial mais je pense qu'il faut vivre ses rêves à 200%. |
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| Bobi, 24 ans, Brive |
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J'ai actuellement une petite amie, très charmante et même presque parfaite mais je ne peux m'empêcher d'aller voir ailleurs... Pourtant je n'ai rien à lui reprocher. J'avoue : je suis un vrai salop ! |
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| Emilienne, 21 ans, Louvain-la-neuve |
| J'avoue tout bas et en cachette être jalouse de tous ces ventres ronds qui se balladent fièrement, ces ventres qu'elles tendent comme un trophée... J'avoue crever de mal au bide et ne pas comprendre pourquoi mon ventre à moi reste une terre sauvage et dévastée, où rien ne pousse... |
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| Emilienne, 21 ans, Louvain-la-neuve |
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Léopold, ma part manquante, je t'avoue cet amour fou, cette passion dévastatrice dont tu n'as que faire... Malgré le silence, malgré la colère, tu restes celui qui me manque et vers lequel je reviens, toujours blessée mais toujours aimante. Mon amour, ma souffrance, je dépose quelques mots, quelque part, sous la forme d'un aveux, en espérant de tout mon coeur que, par je ne sais quel miracle, ils arrivent, jusqu'à toi... Je t'appartiens encore, mon Léopold. |
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| Arthur, 30 ans, Liège |
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La dernière chose que je veux est te rendre triste. Tu allumes mon cœur comme une bougie. Il brille de mille feux au milieu de la piste. Puis tu l'exposes à la douleur dans le vent de la vie... La dernière chose que je veux est te faire du mal. Tu me consumes à la lueur d'un feu d'artifice. Tu fais ce que tu veux de moi, trop sentimental. Puis tu te dérobes à ma douceur et disparaît, maléfice... La dernière chose que je veux est t'oublier. Tu assumes notre bonheur quand tu m'enlaces. Ma main court dans tes cheveux que tu as déliés. Puis tu te décroches, la peur peut-être te tracasse... La dernière chose que je veux est vivre sans toi. Un jus de légume, une fleur, une maison de poupée. Je sais ce que je veux, encore mieux que je ne peux pas. Puis je me force, quel malheur, à rester dans ton canapé... La dernière chose que je veux est t'avouer. Que je fume avec toi le malheur d'être séparé. Que le bleu de tes yeux ne restera qu'une bouée. A laquelle mon cœur ne pourra jamais s'accrocher... |
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