Les aveux ...

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

Nous sommes sur la page 4 / 165

Paracétamol, 27 ans, Paris
Suite de mon précédent aveu :
J'avoue que j'ai continué à coucher avec mon collègue, une fois par semaine, ou toutes les deux semaines, jusqu'à cet été.
J'avoue que c'est le meilleur amant de ma vie, et qu'il me fait jouir comme personne.
J'avoue qu'une fois, je lui ai fait une gâterie dans son bureau, et que j'ai adoré.
J'avoue qu'au boulot, il est parfois très difficile de gérer la frustration, de faire comme si de rien n'était.
J'avoue jubiler intérieurement en me disant que personne ne sait, et qu'ils tomberaient tous de bien haut s'ils savaient.
J'avoue que certaines personnes font des sous-entendus, mais nous sommes assez malins pour ne pas nous faire griller.
J'avoue que le mensonge est devenu une seconde nature.
J'avoue que je pense que même si je sortais avec un mec, je ne pourrais pas le lâcher.
J'avoue que c'est la rentrée, et que j'attends avec une impatience dévorante que l'on remette ça.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Capricam, 28 ans, Douai
J'avoue Quetzalcoatl ton aveu m'a touché.
J'avoue c'est peut-être idiot certainement même mais parfois je peux être niaise !
J'avoue celui "avec" qui je suis est parti loin enfin longtemps serait davantage approprié.
J'avoue qu'il me disait que j'étais belle et souriante...
J'avoue qu'il a ton âge ou presque...
J'avoue que mon prénom commence par C.
J'avoue que c'est trop de coïncidences pour être honnête !!!
J'avoue que mon B. n'écrira pas enfin jamais ici, j'avoue que j'aimerai être à la place de ta C.
J'avoue que j'ai l'air abruti, je passe pour une dingue. Étonnamment c'est fou...
J'avoue on verra...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Prélude, 19 ans, Niort
J'avoue, j'aime les bars, les cafés, leur atmosphère quoi. Pour moi ça reste le premier lieu de socialisation. C'est le seul endroit où tu verras un agent immobilier aller discuter avec un commis de cuisine sans-papier. Le bar tisse du lien social, c'est indéniable. Ils font partie de l'écologie urbaine et ne doivent pas disparaître. C'est le seul endroit où, même seul, tu peux te sentir à l'aise. Que ce soit le personnel, la musique, la décoration, la clientèle, ils participent tous au café, en sont tous les acteurs. Ce n'est pas qu'un simple endroit, il s'y passe des tas de choses, j'aime m'y surprendre à ne rien faire pendant des heures, juste observer et essayer d'analyser ce que les gens peuvent bien se raconter, ce qu'ils sont, ce qu'ils font.
J'avoue que j'ai une relation vraiment particulière avec ces bistros et cet esprit que tu ne retrouves que dans les établissements parisiens. J'aime m'arrêter au hasard d'un café lors d'un déplacement à pied, sans trop savoir où je me suis engouffré et sur qui je vais tomber.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Raja, 20 ans, Pau
Je suis trichotillomane et personne ne le sait à part ma famille. Cette maladie me bouffe la vie et j'en ai marre. Je cache mes trous en ayant tout le temps la même coupe. Je me prive de certaines activitées, comme aller à la piscine par exemple.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Helientha, 18 ans, Châteauroux
J'avoue être une peste, prétentieuse, égocentrique et capricieuse mais j'ai peur. Oui, je suis une peureuse et j'ai peur de tout.
J'avoue aussi mon agoraphobie, ta présence me rassure mais j'ai peur et je te prie de m'excuser pour tout ça.
J'avoue passer mon temps à me battre pour des causes et oublier parfois que tu existes.
J'avoue que je te déteste et que je ne te supporte plus, mais je ne suis pas bien sans toi. Je suis contradictoire et je m'en fiche.
Je te hais comme je t'aime.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Petons, 21 ans, Avignon
J'avoue, j'ai toujours les pieds à poils. C'est tellement agréable. Je ne supporte pas les chaussettes. Pire, les chaussures. Dès que j'en ai l'occasion, j'enlève tout et je profite du bonheur de faire gesticuler mes doigts de pieds. Le rêve...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Mademoiselleaffection, 20 ans, Alsace
J'avoue : j'aimerais que ta demande d'emploi pour un job d'été soit refusée, afin que tu sois disponible et qu'on puisse se voir durant les vacances, sinon devoir attendre une dizaine de jours à chaque fois pour pouvoir te revoir me rendra folle et j'ai bien trop peur des conséquences...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Le comte, 18 ans, Pau
J'avoue que je me demande si je suis accro.
Mais cette drogue ce n'est pas le cannabis ou l'ecstasy, non c'est la drague ou la séduction. Peu importe où je suis et les circonstances, à chaque fois que je vois une femme à mon goût, je ne peux m'empêcher de la regarder, de lui sourire et de lui faire du charme.
J'avoue que j'ai 18 ans et je fais plus jeune que mon age. Je n'ai aucun scrupule à draguer des filles beaucoup plus jeunes que moi... ou plus vieilles en fait.
Si cela est une drogue c'est probablement la plus belle à laquelle j'ai goûté ; elle me laisse un petit goût sucré de lèvres de femme ou de parfum et un petit point agréable dans mon ventre dès que je suis en présence d'une demoiselle.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Wolverine, 18 ans, Pau
Ma chère Looping, j'avoue que de voir ta confession sur le mal qui ronge notre société m'a fait chaud au coeur. De voir qu'au moins une personne sur cette terre se rend compte de la manière dont nous vivons. J'ai 18 ans et mes parents disent que je pense comme un vieux, eux aussi sont collés sur leur smartphone pour je ne sais quelle raison...
La vie est trop courte pour perdre notre temps devant un écran, pourquoi tous les jeunes d'aujourd'hui sans exception ne peuvent passer 5 petites minutes sans téléphone ? J'ai vraiment peur de la société dans laquelle je vis et finalement je ne pense pas arriver à m'adapter à ce fonctionnement.
Ma chère Looping ton aveu m'a vraiment troublé et j'aimerais bien te parler.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Gueuse, 45 ans, Périgueux
J'avoue que j'avais en tête d'écrire un roman inspiré de ma vie et de celle de personnes atypiques que j'avais rencontrées.
J'ai écrit une page, mais tous les jours je changeais le contenu de cette page. J'ai fini par mettre ça de côté dans un dossier, car c'était vraiment de la daube.
Je veux être Simone de Beauvoir sinon rien.
Pas facile d'être un écrivain médiocre !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Helena, 31 ans, Paris
J'avoue des fois que je fais n'importe quoi.
L'autre jour devant un distributeur avec une collègue, elle a mis des pièces pour se servir un café. La machine lui a rendu une pièce de je ne sais combien qui tomba par terre. La diva n'a pas voulu se rabaisser pour la prendre alors elle me dit : "prends-la ça te servira pour le tient", alors je l'ai prise sans réfléchir mais avec le recul, je me dis je suis une véritable poire des fois.
Elle ne voulait pas se baisser tandis que moi si, je suis quelqu'un de très fière, je me demande comment j'ai laissé passer ça.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Pas moi, 32 ans, Paris
J'avoue Zed ton aveu m'a fait sourire mais pas que.
J'avoue, on partage le coté voyeuriste / exhib semble t il, j'avoue que si tu montais sur Paris ça pourrait être marrant.
J'avoue, si Daniel veut nous mettre en contact je ne dirai pas non...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Uneautre, 32 ans, Rennes
J'avoue ça fait longtemps que je ne me suis pas confessée au Pacha...
Il y a 2 ans notre relation naissait, indécente, à fleur de peau, à fleur de coeur aussi parfois.
Aujourd'hui, tu es en instance de divorce et je prends le même chemin.
J'avoue ça me déchire le coeur de savoir qu'elle a encore autant d'emprise sur toi.
J'avoue j'ai effacé tes comptes sur les sites de rencontres et sans aucun scrupule.
J'avoue j'ai intercepté le mail d'injures que mon mari, persuadé d'avoir découvert le pot aux roses, t'avait adressé - car je ne voulais pas qu'il te fasse du mal.
J'avoue je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour te séduire, pour que ça soit de plus en plus ton coeur qui réponde et moins souvent ta queue.

J'avoue je prends beaucoup sur moi, je souffre de cette situation, mais j'avoue je t'aime comme une damnée, comme jamais on ne devrait aimer, je suis prête à tous les sacrifices pour toi.

J'avoue, j'aimerais que tu tournes la page de ta vie avec elle vu tout le mal qu'elle t'a fait et qu'elle te fait, j'aimerais que tu te concentres sur ton gamin et sur ton travail parce que c'est ça qui te fait vibrer.

J'avoue, monter ma boite avec toi c'est un challenge et c'est aussi un levier pour t'attirer un peu plus dans mes filets...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Inconnue, 24 ans, Tignes
Je m'énerve pour un rien et cela joue sur mon couple. J'ai un passé qui me déprime j'y repense sans cesse. Je pleure très souvent, je n'ai plus confiance en moi je ne me reconnais plus. On m'a dit d'aller voir un psy mais au fond je sais que j'en ai pas besoin. J'ai perdu beaucoup d'amis(es), j'ai l'impression de servir à rien, mon homme que j'aime plus que tout fait beaucoup pour moi et je ne suis pas capable d'en faire autant.
Je suis perdue et tellement triste. Je me pourris la vie.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Indécise, 27 ans, Lille
J'avoue Chéri, tu insistes fortement pour m'embrasser chaque matin, j'avoue que s'en est détestable tant ton haleine est désagréable...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Looping, 22 ans, Paris
J'avoue que le mode de vie que j'observe chez beaucoup me dérange et me fait de plus en plus de peine. J'avoue que je m'intéresse au bouddhisme pour essayer d'y échapper et parce que je me rends bien compte que l'on se perd à rester derrière nos écrans. De portable il y a 10 ans, de télévision il y a 5 ans, de smartphones et tablettes à présent. Cette escalade indolore en apparence, ce repli de l'homme derrière son écran de quelques pouces, me donne envie d'appuyer sur un bouton imaginaire, pour qu'enfin dans les transports en commun que j'emprunte si longuement, des voix se fassent entendre, des rires éclates, nés de rapports réels entre les hommes.

J'avoue que je fais partie de cette société et que je souhaiterais que chacun se rende compte des valeurs que l'on perd petit à petit en accordant une place de plus en plus grande à l'envahisseur. Un doute ? Vite, vérifions ça sur notre smartphone. Perdu dans la jungle ? Il doit bien exister un plan de l'endroit où nous nous trouvons sur google maps. Un réflexe, devenu aussi régulier que celui de penser.

J'avoue que je t'ai simplement observé, longuement, en espérant que tu daignes lever les yeux de ce "carré magique" coincé dans tes mains pour croiser mon regard. J'avoue que l'on perd un temps monstrueux sur des bêtises d'internet alors que l'on s'empresse de dire "bonjour" à un collègue de travail, un membre de la famille comme si notre vie dépendait du temps de prononciation de ces syllabes. J'avoue qu'il existe un paradoxe criant dans notre société qui est de prôner la liberté alors même que l'on s'aliène à s'éloigner de notre propre nature. J'avoue que le "samsara" décrit dans le Livre tibétain de la vie et de la mort est bien partie intégrante de notre société, mais qu'il en va de notre volonté de nous en libérer. Technologie, tu ne nous tueras pas !
-> Meilleur aveu 2015-04-27 Meilleur Aveu <-
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Girlgirl, 26 ans, Strasbourg
C'est avec grande joie que je viens avouer aujourd'hui !
J'avoue que j'ai eu le cœur brisé quand l'an dernier, mon petit-ami a passé son temps à flirter avec cette gourde qui était beaucoup plus jolie et mieux foutue que moi.
J'avoue que je me suis toujours comparée à elle. J'ai entamé un régime pour avoir un corps aussi bien que le sien.
J'avoue que je ne me sentais jamais assez bien en comparaison, même si mon copain l'a jarté de sa vie et à pleuré pour moi plus d'une fois par peur que je le quitte à cause de cette histoire.
J'avoue que je suis de bonne humeur parce que j'ai vu les photos de la gourde sur internet aujourd'hui et elle a pris du poids.
C'est ça ma jolie, engraisses-toi... Continue.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Troisroys, 30 ans, Paris
J'avoue que je ne te supporte pas, je n'arrive pas à te le dire en face mais tu es d'un ennui mortel.
Même la moindre petite blague ne te fais pas rire et je ne sais pas comment les autres font pour te supporter, moi tu me sors par les trous de nez !
Je suis une fille très joyeuse et tu me donnes envie de me pendre... alors j'avoue la prochaine fois tu auras une excuse bidon pour pas se voir.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Grenouille, 21 ans, Nice
Comme toutes les petites filles, j'ai rêvé du prince charmant.
Il était là, sur son cheval blanc, une rose à la main, romantique à souhait.
Cet homme, je l'ai souhaité avec un humour décapant, qui m'aurait fait rire aux larmes. Cela fait si longtemps que je n'ai pas ri aux larmes...

J'ai cette impression de vide en moi-même, comme si j'étais une coquille vide. J'ai l'impression de ne plus rien ressentir.
Le cœur qui bat à la chamade, rougir quand je te vois, j'ai l'impression que des siècles sont passés depuis la dernière fois que j'ai ressenti ça. J'aimerai bien qu'une fois à nouveau je respire. Avoir l'impression de ne pas m'étouffer, de suffoquer dans un monde ou je ne peux pas agir. Je suis une poupée de chiffon que l'on balade un peu partout, sans que je ne puisse rien y changer. Mon destin semble tracé, et je dois m'en accommoder.

D'un autre côté, j'ai peur de tout abandonner. Toi, tu m'aimes, tu sembles me comprendre et m'accepter comme je suis. Non, en fait, tu ne comprends pas, ou tu ne veux pas. J'ai peur de t'avouer à quel point je suis différente. Non, je n'aime pas le sexe avec toi, enfin, pas toujours. Parfois, quand tu me touche, j'aimerai être ailleurs, car pour moi, c'est une obligation. Tu ne comprends pas à quel point je me suis fait souffrir. En fait, tu ne sais pas que je n'ai pas encore cicatrisé. Au fond, je ne suis qu'une petite fille immature qui profite de toi. Tu ne mérites certainement pas ça. Tu es quelqu'un de bien, et j'aimerai l'être aussi, mais je sais que je te ferai souffrir. C'est égoïste de ma part de vouloir que tu restes ? Tu es le seul à m'avoir redonné confiance en moi. Certes, tu as des défauts, mais également d'innombrables qualités. Tu mérites mieux.

Pourtant, plus je pense à toi, plus j'ai envie de rester à tes côtés. Nous avons des projets, de vivre ensemble, d'avoir des enfants, de se marier. Je ne suis pas prête à ça, et même, je ne suis pas sûre d'être un jour prête. Je suis un brin de fille cassée, laminée par tout ce que je me suis fait subir. J'aimerai te faire lire cette confession, mais j'ai peur des conséquences. Aussi, je te promets de faire de mon mieux pour te rendre heureux. Si un jour je l'ose, je te dirai tout ça en face.
Avant d'envisager une vie à deux, je veux être saine d'esprit, je veux apprendre à être heureuse avec toi. Je t'aime. Pardonne-moi.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Louve, 17 ans, Bordeaux
J'avoue que j'en ai marre d'être seule.
J'avoue que je pense pas être un laideron, et que je sais tenir une conversation intelligente.
J'avoue que l'on me dit que "ça viendra", mais ça vient pas.
J'avoue que j'ai envie d'être amoureuse, moi aussi !
J'avoue que j'ai pas envie non plus de sortir avec n'importe qui.
J'avoue que quand je vois des filles neuneu, en couple avec des garçons biens, je comprends pas.
J'avoue finalement que je suis juste jeune, et que j'ai juste envie d'être un peu heureuse !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
G, 37 ans, Quimper
Journée de m... hier... rendez-vous chez le médecin pour demander un truc pas facile quand on connaît bien personnellement sa médecin... donc lecture de revue de M... , notamment un article sur votre site, d'où ma confession de ce jour...
Par où commencer ?
Allons-y par le début, ce sera plus simple...
Je suis donc avec mon mari depuis 23 ans (faites le calcul, on était jeune...) et je l'aime comme personne ne peut aimer... mais j'aime aussi le saut en parachute, les plongeons du haut des ponts, les soirées filles... bref, les émotions fortes, toujours plus d'émotions fortes...
J'ai donc eu diverses expériences avec divers amis... et amies, depuis que je suis avec lui.
Une "expérience" a duré plusieurs années (5) et j'y ai mis fin il y a peu, après mon deuxième enfant, me disant qu'il était temps de "s'assagir"... mais un amour d'ado m'a rattrapée, moi et mes bonnes intentions... et c'est le pied depuis 8 mois maintenant.
En fait j'avoue ici parce que je ne peux le faire à personne... tout le monde me croit irréprochable, infaillible, très forte... sauf que ça me pèse et voilà... la suite au prochain épisode si j'en ai le courage... d'autant que je n'ai pas encore dit pourquoi j'étais allée chez la médecin...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Unemaguette..., 27 ans, Lyon
J'avoue... être dans une m***e internationale comme on dit, avec ce mémoire qui met tellement de choses en jeu pour moi.
Qu'est-ce que j'aimerais, rien qu'une fois, être confiante et ressentir au plus profond de moi que ce que je fais est bien et que ça peut marcher ! Mais j'avoue que ce sentiment m'est tellement étranger qu'il ferait carrément de moi une autre personne...
J'avoue que la voie que j'ai choisie est de celles qui viennent en aide aux autres, mais que parfois moi aussi je fais partie de "ces autres".
J'avoue être terrifiée par le paradoxe de mon existence, car chaque problème qui se règle emporte avec lui aux oubliettes une part de moi ; et j'avoue avoir peur de ne plus être celle que j'étais aux yeux de mon copain, car je ne sais où ces changements me (nous) mèneront.
j'avoue parfois me sentir bien mais la plupart du temps j'avoue que j'éprouve la lourde sensation de passer à côté de ma vie.
J'avoue aussi que j'aimerais, enfin, rencontrer juste une personne qui me ferait croire à nouveau que l'amitié sincère existe.
J'avoue m'apercevoir que je viens tous les 2 ans faire le point ici, et que j'aimerais que dans 2 ans tout ceci ne soit que lointain souvenir...
J'avoue que venir poster sur javoue.com me donne l'impression de jeter une bouteille à la mer, avec l'espoir fou qu'une Bonne Ame la ramassera et, à défaut d'exaucer mes souhaits secrets, se sentira moins seule...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Lefson, 23 ans, Dieppe
J'avoue, je t'ai perdu définitivement. Peut être qu'on ne mesure la valeur d'une chose que lorsqu'on la perd. Dire qu'en m'éloignant, je voulais me sentir uniquement dépendante de moi-même, libérée de toi. C'est naïf, je ne serai jamais libérée de toi, et maintenant ton souvenir sera le symbole de mon erreur cuisante.

J'avoue, je pense que même avant qu'on coupe les ponts, le mal était déjà fait et mon erreur irrécupérable. Mais je ne pensais pas que la souffrance pouvait aller encore plus loin. Tu sais, moi non plus j'ai l'impression qu'elle ne s'essoufflera jamais. Ma vie ne sera jamais l'idéal que je souhaitais. J'espère que la tienne sera meilleure encore que ce que tu espérais.

S., tu es dans mon cœur à tout jamais.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Olaw, 20 ans, Nice
J'avoue que Laurent me manque.
J'aurais voulu garder contact avec lui, continuer à plaisanter avec lui, écouter de la musique avec lui, le réconforter un peu, le taquiner beaucoup.
Je regrette d'avoir été méchante à l'époque. Et trop fière pour le retenir.
J'avoue que s'il me parlait à nouveau j'en serais très heureuse.
J'irais jusqu'à ramper à ses pieds s'il le fallait ! Mais ça n'arrivera pas. Et j'avoue que ça me donne envie de pleurer, parfois.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Javouetout, 36 ans, Epinal
J'ai fait croire à une amie que j'avais trompé mon compagnon. C'était une amie commune à notre couple. Un jour, elle n'a rien trouvé de mieux à faire que de le lui répéter !

Je sais que mon compagnon ne me croirait jamais si je lui disais qu'il ne s'est en réalité rien passé (rien de chez rien !) avec celui avec qui je suis censée l'avoir trompé.

Je suis prise à mon propre piège.
Je sais, ce n'est pas très malin de faire croire ce genre de chose à une amie. Mais bon, je n'allais pas très bien et j'avais sans doute besoin de me valoriser.

Quand mon compagnon m'a forcée à avouer ma "faute", j'ai bien tenté de lui faire comprendre qu'il ne s'était pas passé grand chose (en fait rien, puisque je me suis littéralement enfuie à la seconde où cet "amant potentiel" a tenté quelque chose...). Mais il est persuadé que je l'ai vraiment trompé !

Il dit qu'il m'a pardonnée, mais je sens une hostilité, un malaise quasi permanent.
Au point que je n'ose même plus lui parler de choses importantes, notamment d'un problème de santé récent. J'ai trop peur de lire de l'indifférence dans ses yeux...

Un jour, j'essayerai de lui avouer qu'il ne s'est rien passé, mais j'ai vraiment peur qu'il ne me croit pas, qu'il dise que "c'est trop facile" ou un truc du genre ! Je crois que ça serait encore pire !

La situation s'est retournée contre moi, mais mieux vaut en rire, non ?
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami

Page Précedente Page Suivante 

Recherche
Rechercher dans : Catégorie

© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou