Les aveux ...

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

Nous sommes sur la page 6 / 894

Ta.ia, 18 ans, Montmagny
J'en ai marre que ma mère me voit comme un démon, une punition. Marre de devoir cacher ce que je ressens, marre de mon corps. J'ai l'impression que ma vie ne m'appartient plus. Parfois il m'arrive d'avoir si mal au cœur que je veux crier et tout casser. J'ai l'impression d'être vraiment devenu ce démon que mes parents disent ; un monstre incapable d'aimer.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Sun95l, 17 ans, Louvain la neuve
J'ai 17 ans et je vis avec des parents géniaux. J'ai une vie à quelque détails prêt parfaite mais il y a un trou noir à tout ça. Je n'ai jamais vraiment eu de relation sérieuse parce que en même temps je ne sais pas pour qui je dois ressentir quelque chose. Je suis complètement perdue. Je ne suis pas lesbienne mais je ne crois pas être hétérosexuelle non plus. Je suis perdue entre tout. Je n'ose pas en parler avec mes parents mon père est pas très réceptif pour ce genre de chose. Parfois ma vie est comme une attraction. Un moment je suis comme une reine en haut et un autre moment je suis au bout du rouleau. Je ne sais pas ce que je dois faire.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Banane62, 34 ans, Beux
J'avoue que je ne devrais pas attendre de ses nouvelles, de regarder toujours si je n'ai pas un mail de lui qui me ferait penser que je lui manque.
J'avoue je ne devrais pas car ce n'est pas mon mari, on s'est juste rencontré, vu trois fois, envoyé 10000 sms, fait des déclarations d'amour, embrassé comme pas permis, se toucher sans jamais dépasser cette limite.
Lui qui ne voulait pas perdre le contrôle car il a une femme.
Qu'elle c... que j'ai été de croire en tout ce qu'il m'a raconté, de croire à ses mots doux... A croire en lui.
Trop bête d'être tombée amoureuse de lui.
J'aurais pu tout quitter pour lui...
Et là il me laisse sans nouvelles de lui, sans rien. J'aurais espéré qu'il craque et me dise que je lui manque, qu'il pense à moi.
Mais je suis tombée bien bas à attendre des choses de sa part.

J'avoue Mathieu je t'en veux énormément et tu n'es pas le mec bien que tu prétends être.
Tu es un lâche qui a peur de son ombre. Un menteur...

Je rêve de te mettre une gifle pour ce que tu m'as fait subir. Ces sentiments pour toi que tu as fais naître en moi pour les piétiner après...

Sache que je suis une femme déçue et en colère.

J'avoue tu me manques...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Regrets, 30 ans, Paris
J'avoue, j'en peux plus en fait je crois. J'en suis sûre. C'est trop. Enfin, comprenez ! Réalisez un peu !
On ne m'autorise plus à travailler, danser, partager, créer, rigoler, baiser, rencontrer, serrer les gens dans mes bras (alors que je ne le fais pas), leur dire que je les aime, boire des shots avec eux, ou juste n'importe quoi, vibrer, ressentir, espérer, aimer, m'élever, tomber, me relever, et j'en passe... Non. Tout ça m'est interdit maintenant.
Bonne ou mauvaise cause, je ne suis pas décisionnaire et ne souhaite pas l'être...
Mais voilà, en ce même temps, oui, en ce temps où l'on me demande de faire abnégation, où l'on arrête une manifestation pacifique faite en musique, (je laisse les termes à chacun), où l'on se fout royalement de la représentation populaire de la culture globale, dans les rues, chaque semaine; dans ce même temps je disais, on autorise publiquement, en rassemblement, des gens à me traiter de meurtrière.
On m'oblige, alors que je n'ai pas le droit de faire entendre de musique de mon balcon, à regarder passer ces manifestations légales (elles oui !!!). Que dis je, Ô pardon ?! Ces rave party (le mot rassure il paraît), ces réunions de bien pensant, de simples d'esprits, d'étriqués, de mal baisés, de simple connards qui osent dire de moi, que je suis une femme trop faible pour m'être défendue contre le grand méchant Loup, que je suis une femme bastillonnée, lâchée, perdue, que j'ai agit comme une broyeuse à poussins, (sorry pour les nuggets).
Qu'on me libère !!! Qu'on me libère de votre sombre idiotie, à tous. Qu'on m'explique pourquoi je dois vivre ça. En 2021. La légalité de la manifestation n'explique pas l'étrangeté de la chose, des priorités, de l'absence de cohérence... Rien ne va. Quand je vois ça, rien ne va. Et on confond tout. Et on me retient de faire trop de bruits, de respirer, de parler trop fort...
J'avoue, fallait pas me le dire deux fois. Je crie, je m'exclame, et je hurle : j'avoue, je vous emmerde. Royalement. Simplement.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Moloi, 33 ans, Boulogne
J'avoue, sérieusement avec vos Stories d'apéro en appart avec les potes, gardez-les pour vous. C'est déjà assez irrespectueux et égoïste de faire ça donc évitez d'agacer ceux qui respectent.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
L'inconnue, 28 ans, Tours
En couple, malheureuse. Mes pensées reviennent toujours à toi. Coup de foudre littéral tant physique qu'intellectuel, moral et sensuel. Confinée, me voilà qui étouffe. Pas seulement à cause de l'enfermement mais à cause de cette vie que je mène dans laquelle je ne me retrouve pas ou plus. J'ai envie de respirer à plein poumons, changer de vie et pourquoi pas te revoir, toi qui habites encore mes pensées mais qui n'as pourtant été que de bref passage dans ma vie...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Moi, 40 ans, Paris
J'avoue F... tu m'attires follement.
J'adore nos échanges par sms sur les maths.
J'avoue me surprendre a essayer de te draguer, te frôler.
Tu me troubles énormément.
J'ai envie de sentir ton corps sur le mien, tes lèvres sur les miennes, ta langue, t'enlever ta culotte.
J'ose imaginer que tu souhaites la même chose et cela m'excite.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Alain, 39 ans, Suisse
J'aimerai avouer une envie venue de nulle part pour une collègue de travail que je trouve super sympa ! Pas besoin d'être une top model, du moment que tu es pas trop mal et en plus vraiment sympa du coup à mes yeux tu es magnifique Ta... J'aimerai bien que tu lises ceci car j'oserai jamais te le dire mais j'ai vraiment envie de toi, il me semble que tu me regardes différemment et j'oserai jamais car une fois tu m'avais dis que jamais avec quelqu'un du travail, ce qui est bien dommage car en fait c'est encore mieux ! Avec moi ça ne se saura jamais, crois-moi.
ll te suffit de lire ce message et de me le faire comprendre et moi je ferai le reste.
On est "pris" les deux mais je m'en fous. J'ai envie d'être avec toi je suis sur qu'on s'entendrait bien..
Fais-moi signe s'il te plait, tu as toutes les occasions que tu veux surtout je me débrouille pas trop mal pour être le plus souvent près de toi lorsqu'on mange a midi.
J'avoue que je suis bien comédien mais la plupart de ce que je dis c'est juste pour amusement.
En tout cas je suis bien bien content que tu sois venue bosser dans la même boite.
J'avoue sincèrement et j'ai vraiment envie que tu lises ce message...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Dermi, 26 ans, Paris
J'avoue que je sais qu'on ne devait pas s'attacher. J'avoue que c'était mon idée, qu'on devait en profiter. J'avoue que je ne tiens plus. J'avoue que j'ai besoin que tu saches ce que je pense avant que ton odeur imprègne une nouvelle fois mes draps, pour plus de deux heures cette fois. J'avoue que je suis amoureux de ta bouche, de ton regard de ta voix. De tout ce que tu n'aimes pas de toi, qui te rend si parfaite à mes yeux. J'avoue que j'ai envie de te voir à chaque instant, de te serrer dans mes bras et te protéger. Si tu le veux, essayons quelque chose tous les deux, je t'attends et j'espère que tu me répondras.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Bunny77, 35 ans, Paris
J'avoue avoir dormi sur un canapé avec 2 bichons qui m'ont léché l'oreille toute la nuit. J'avoue avoir rêvé. J'avoue avoir douté. J'avoue avoir eu peur. Avoir eu honte. J'avoue pratiquer régulièrement l'onanisme en pensant à l'homme pour qui j'éprouve des sentiments et que j'ai blessé. J'avoue avoir dormi chez l'une de mes meilleures amies la semaine où l'amoureux est parti, avec une bouillotte qui m'a réchauffé le cœur. J'avoue avoir eu envie d'aller le rejoindre, m'être emmerdée à Amsterdam et avoir pleuré comme une madeleine le soir de Noël.

J'avoue avoir parlé de lui à mes plus proches amis qui m'ont disputé, forcément. J'avoue avoir prié mon père de m'aider pour qu'il revienne. J'avoue avoir envie de lui présenter ma fille (ce qui serait une première). J'avoue m'être attaché à lui sans m'en rendre compte. J'avoue avoir peur de m'en vouloir jusqu'à la fin de mes jours. J'avoue ne jamais avoir eu cette sensation si douloureuse d'avoir fait la pire connerie de ma vie.
J'avoue chercher des solutions, me demander si je n'en fais pas trop, analyser les signes qui pourraient m'aider à croire que je suis sur le chemin de la rédemption. J''avoue qu'il me manque. Beaucoup. J'avoue que j'aime ses mains, son sourire et son parfum. Ses petits plats et sa manière de me regarder. Son humour potache et son rire quand il est fier de son bon mot.

J'avoue l'aimer parce qu'il n'a peur de rien je crois , qu'il aime la vie, qu'il est prêt à tout, tout le temps sans fausse pudeur. J'avoue admirer sa force. J'avoue avoir envie de parcourir le monde à ses côtés. J'avoue qu'il me donne envie d'avoir envie. J'avoue adoré me blottir contre lui quand il vient de me faire (divinement) bien l'amour. Avec la délicatesse, la lenteur et la force que j'aime. J'avoue avoir eu envie, moi aussi, dans un élan de dire ces mots si intimes (et je me suis retenue stupid girl que je suis ). J'avoue avoir envie, encore,... de lui. De moi avec lui. Tout contre. De nous. Aussi longtemps qu'il nous sera permis d'y croire.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Mira, 26 ans, Paris
J'avoue être toujours triste sans raison...
J'avoue parfois pleurer seule dans mon lit le soir...
J'avoue être amoureuse d'une personne dont je ne suis pas sûre qu'elle m'aime autant.
Les gens ont toujours des doutes sur moi.
Est-ce dû a mon manque de confiance en moi ?
Moi qui veut toujours tout bien faire dans les règles de l'art.
Est-ce que je me trompe ?
Je suis amoureuse d'un homme avec lequel je ne suis pas sure de l'avenir..
D'un homme sans projet professionnel stable...
D'un homme qui me fait peur ...
D'un homme qui me faisait sourire et maintenant ce n'est plus le cas
Mais cet homme vit des difficultés...
Dois-je le quitter ou laisser la tempête passer ?
Telle est mon interrogation...
Car à quoi bon tout donner si c'est par la suite perdre !
Quoi qu'il en est je suis perdue
Faut il m'acheter un GPS ?
Le seul GPS que j'ai c'est mon cœur et il me dit de m'accrocher...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Strati, 58 ans, Bourg-en-Bresse
Je suis marié depuis 32 ans et j'ai découvert que ma femme me trompe avec un homme de 30 ans. Elle en a 54.
Cela a duré 3 mois au printemps.
Elle avait son téléphone toujours sur elle. Jamais elle ne le rechargeait en ma présence.
Une nuit je lui ai pris sur la table de nuit.
Et j'ai lu qu'elle correspondait via WhatsApp avec un homme qui apparemment lui faisait du bien. En lui écrivant des mots d'amour et en lui léchant le Minou.
J'ai pris une grande claque dans la gueule.
On s'est expliqué, on a pleuré, c'est vrai que je ne la touchais plus depuis de long mois.
D'après mon médecin je faisais une dépression masquée.
J'ai vu une psy et une sexologue.
Je me suis fait faire une circoncision, allez savoir pourquoi !
Depuis cela fait 6 mois que nous réparons les dégâts.
S'il y a une femme pour tenter de m'expliquer pourquoi on en arrive là, j'aimerais l'entendre.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Linda, 32 ans, Paris
J'avoue avoir très envie de mon voisin. J'avoue que j'ai envie qu'il me propose de venir chez lui et qu'il me fasse l'amour, que l'on garde ça pour nous. Mais je suis mariée et rongée par le remord de ces envies.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Laurene, 22 ans, Dijon
J'avoue être sous un arrêt de tram et avoir compté les néons au dessus de ma tête : il y en a 36.

J'avoue avoir trouvé qu'il faisait très chaud et m'être imaginé me rouler nue dans l'herbe imbibée de rosée fraîche, imbibée de rosé frais.
J'avoue avoir regardé les gens passer devant moi et m'être demandé à quoi il ressemblent tout nus en train de s'habiller le matin et à quoi ils rêvent les yeux ouverts.
J'avoue avoir imaginé être dans une autre ville, sous un autre arrêt de tram ou de bus et avoir imaginé quelles autres personnes auraient pu passer et comment elles auraient pu être habillées.

J'avoue avoir regardé les femmes marcher en mini short, en robe et en mini-jupes et m'être demandé si tout cela était normal. J'avoue m'être demandé si ce n'était pas de la faute de ce qu'on voudrait nous faire croire que j'étais devenue si impudique, à imaginer les gens nus et à reluquer des seins et des culs.
J'avoue m'être demandé si dans un pays où les femmes se recouvrent le corps, les hommes ont des pensées aussi lubriques.
J'avoue m'être demandé si c'était normal de montrer son corps à tout le monde, si c'était normal de trouver ça normal. J'avoue m'être demandé combien d'hommes me regardaient dans ma robe qui, s'il y avait eu un coup de vent, auraient tout révélé de mon intimité. J'avoue m'être demandé combien d'hommes me regardaient en se disant que j'étais une pute.
J'avoue m'être demandé combien de femmes complexées n'osant pas montrer leurs jambes trouvaient cet étalage de beaux gigots injuste.
J'avoue m'être demandé si les femmes qui s'obligeaient à dissimuler leur intimité pour la préserver enviaient parfois celles qui pouvaient se vêtir sans aucune restriction psychologique.

J'avoue m'être demandé combien de personnes dans le monde forniquaient à cet instant et combien le faisaient deux mois en arrière, lorsque les pantalons et les vestes étaient encore de mise. J'avoue m'être demandé s'il existait des statistiques prouvant qu'il y avait d'avantage de viols et d'agression pendant les périodes estivales.
J'avoue m'être demandé comment je pouvais avoir de telles pensées, moi qui étais pour les principes de la liberté de la femme et son émancipation.
J'avoue m'être justement demandé si étions vraiment libres ? J'avoue m'être demandé si on ne faisait pas exprès de nous faire croire qu'on était plus à l'aise dans un mini short en jean que dans une robe longue au tissu léger.
J'avoue m'être demandé si mon avis aurait été différent si j'avais vécu dans un pays où les femmes préservent leur pudeur.
J'avoue m'être demandé si certains hommes ne fantasmeraient pas plus sur une femme qui dissimule ses atouts.
J'avoue avoir remarqué que certains hommes me lançaient des coups d'œil comme si j'étais une pâtisserie raffinée dans une vitrine et d'autres me reluquaient comme une merguez dégoulinante de gras sur son grill.

J'avoue m'être demandé comment les mariages pouvaient durer avec autant de jolies filles en circulation...

J'avoue m'être demandé si certaines filles matent les hommes comme les hommes matent les femmes et pourquoi moi je mate les femmes comme les hommes.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Valentine, 33 ans, Toulouse
La roue tourne comme qui dirait.
J'avoue que même des années après, il n'est jamais trop tard et toujours aussi réjouissant de ressentir ce sentiment de justice qui vient confirmer l'idée que ce n'était pas moi la folle après tout.
J'avoue que j'avais raison, et comme d'hab j'ai toujours raison.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Hypocrite, 40 ans, Lyon
J'avoue qu'en ce moment j'ai une copine et c'est récent.
Elle n'est pas canon mais ça va.
J'avoue que son caractère est difficile.
Je devrai la quitter mais elle suce trop bien et jusqu'au bout.
Elle pense que je suis un homme respectable mais je ne suis qu'une personne accroc au sexe avec des fantasmes que tout le monde ne partage pas.
J'avoue que je reste avec elle car j'ai comme fantasme de lui faire une éjaculation faciale.
J'avoue que la dernière fois j'ai pas osé jusqu'au bout et j'ai mis tout sur ses seins au dernier moment.
J'avoue que la prochaine fois, je ne me dégonflerai pas, et j'honorerai tout son visage comme il se doit.
J'avoue qu'en fonction de sa réaction, je continuerai ou pas notre relation.
J'avoue que je suis un salop d'hypocrite...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Intalty, 15 ans, Penmarc'h
J'avoue être fatiguée. Fatiguée, mais pas seulement parce que je suis insomniaque, fatiguée de moi même, des autres, de tout ce qui m'entoure, de la vie en elle-même.
J'avoue que la musique est sûrement la seule chose qui me maintient en vie et qui me fais me sentir normal, comme avant. Joyeuse ?
J'avoue que je me rabaisse beaucoup, sans vraiment de raisons, juste parce que je ne m'aime pas.
J'avoue adorer chanter et écrire des chansons, et, par moment rêver former un groupe de musique.
J'avoue être régulièrement jalouse de mes sœurs, de l'amour qu'elle reçoivent de mes parents, et que je ne reçois pas.
J'avoue ne jamais avoir la motivation pour finir ce que j'entreprends, que je dois toujours me forcer pour finir, car si je ne le fais pas je serais énervée contre moi-même.

J'avoue en avoir marre d'être l'amie drôle, la moins importante du groupe, si elle ne rigole pas et ne fais pas de blagues, personne ne se préoccupe d'elle, celle qui ne se fait jamais inviter, qu'on oublie, marre de toujours devoir dire : "Je vais bien." parce que tout le monde se fiche de comment je vais, ils me posent juste la question par politesse, et parce même si je leur disais, ils me diraient des choses que j'ai entendu des milliers de fois comme : "Ça ira.", "Tout s'arrange avec le temps." enfin bref des phrases clichées que je dois supporter avec un faux sourire.

J'avoue ne plus pouvoir supporter d'être appelée l'intello, tout ça parce que j'ai des bonnes notes et que je porte des lunettes.
J'avoue écrire cela parce que je me sens seule et que ça me tue.
J'avoue me détester moi même pour continuer de m'accuser pour la trahison de ma meilleure amie, après qu'elle m'ait délaissée.
J'avoue que je devrais faire ça plus souvent.
J'avoue détester mon entourage proche.
J'avoue espérer que tout s'arrangera au lycée.
J'avoue avoir déjà voulu être un garçon, rien que pour une journée, juste pour voir à quel point ma vie aurait été différente.
J'avoue détester les gens qui écoutent du rap qui parlent de fumer du sh*t et b*iser des meufs et qui ose me dire que la musique que j'écoute est nul.
J'avoue que dire tout cela m'a soulagée.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Jo7, 27 ans, Nantes
J'avoue que je vais bien mais que j'en ai marre du COVID.
Je m'ennuie tellement pendant ce confinement.
Devinez, qui a une inflammation du clitoris parce qu'elle s'est trop masturbée ?
Devinez qui va devoir aller à la pharmacie et demander une crème calmante ? C'est moi ! Et j'avoue j'ai honte...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Adeline75, 29 ans, Paris
J'avoue que trompe mon copain depuis plus d'un an et je mène une double vie. Je suis la dernière personne à qui cela aurait pu arriver mais ma vie est comme ça. Aujourd'hui, je dois y mettre ordre d'ici l'automne : faire un choix et l'assumer.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Rosehurted, 25 ans, Québec
Est-ce que je suis folle ?
Est-ce que je suis folle de t'avoir autant aimé ?
D'avoir autant tout donné à toi qui était déjà brisé et qui m'a fait du mal ?
Est-ce que je suis folle car même si je t'ai laissé partir je pense encore à toi plusieurs fois par jour.
Même si au plus profond de moi je sais que tu es nocif pour moi, j'ai envie d'être avec toi.

J'avoue, je voudrais réciter une formule magique pour que tout mes sentiments et souvenirs avec toi partent.
J'ai même déjà pensé que tu m'as aimé.
Mais maintenant je sais que non. Moins d'un mois après tu étais avec une autre.
Tu ne sais pas comment ça fait mal.
J'espère quand même que tu es heureux.
Que tu as trouvé ce que tu cherchais.
Mais je voudrais juste te dire que ça fait mal de penser que je n'étais pas ce que tu cherchais car je t'ai donnée tout ce que je ne me donne pas à moi même. Je t'ai donner mon argent, mon temps, mon cœur mais rien n'était assez.
J'avais besoin d'écrire ma douleur.
Je veux juste que tu sois heureux.
Sincèrement.
J'essaye de me dire qu'on était pas fait pour être ensemble mais j'ai toujours cette pensée pour toi qui ne pars pas. Je m'excuse je suis désolé je voudrais t'oublier.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Mélissandre, 30 ans, Montréal
J'avoue que je ne désire pas mon mari. Il est génial, c'est un homme bien, mon ami, et je veux rester avec lui pour toute la vie. Mais je ne ressens pas la moindre étincelle de désir sexuel à son égard. J'attends qu'il ne soit pas à la maison pour assouvir mes désirs sexuels seule.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Badaboom, 26 ans, Lyon
J'avoue, j'ai tapé dans ta caisse en reculant avec la mienne...
Juste parce que je me regardais dans le rétroviseur.

Oups.

Et puis je ne t'ai absolument rien dit. Mais t'as rien vu. Tant pis pour toi !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Infirmière silencieuse, 32 ans, Metz
J'avoue,

ça fait deux jours que j'ai repris le travail maintenant, et je suis ébahie devant... devant... ma foi, devant les conditions de vie de mes patients, devant les conditions de travail de mes collègues. Et devant leur mauvaise foi.

Comment peut-on laisser les patients se coucher tout habillés, avec vestes et chaussures ? Et comment peut-on oser dire "on n'a pas le temps de les aider à se coucher", alors qu'on ne fout quasiment rien de la journée dans ce service ?

... je ne comprends pas. Oui, vous manquez de personnel, oui, on tourne en effectifs réduits, mais même là. Même là. Où est passé votre humanité, les filles ?

OK, les locaux sont dégueulasses, OK tout tombe en ruine, OK c'est moche et ça pue partout, mais c'est vraiment ça qui compte pour vous ? Le décor ? Vous pouvez faire de grandes choses si vous voulez, mes chères collègues, vous en êtes capables, vous êtes infirmières... ça veut dire que de base, vous aimez les gens, vous voulez les aider ! Alors allez-y, commencez quelque part, faites le premier pas...

Je n'ai pas toujours travaillé dans ce service. Dans mon service précédent, qui était bien plus lourd en terme de charge de travail, on aidait les patients à se coucher, à manger, à s'habiller, on discutait avec eux, on leur organisait des activités.
C'est possible, quand on le veut. Alors les filles, arrêtez de vous voiler la face. Vous le voulez pas, c'est tout. Vous le pouvez mais vous le voulez pas.

Deux jours de travail et j'ai déjà perdu la foi ! Mais après tout, le salaire est le même à la fin du mois, que j'aie la foi ou pas. C'est ça la beauté d'être fonctionnaire (ironie). Alors c'est à moi de choisir, vais-je essayer de faire mieux ou vais-je juste m'intégrer dans un groupe de collègues et me taire ?
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Sarah, 33 ans, Lorient
J'avoue... j'en ai marreeeee de ma mère. Elle me confie absolument tout ! Et j'ai des choses qu'on est pas forcément censé connaitre en tant que fille. Je ne suis pas sa copine, même si on est très proche. Je ne suis pas son psy, elle en a déjà un. Alors m*rde quoi ! Je sais qu'elle va mal, qu'elle a des problèmes de dos, des problèmes de dépressions, etc. Mais elle rabâche sans arrêt la même chose, à chaque fois que je la vois. Ça ne va jamais bien, et c'est toujours pour les mêmes raison. Je les connais par cœur. Je les ai entendu 1000 fois ! Et franchement, connaitre des détails comme la première fois de mes parents, que mon père a pleuré ou des trucs du genre, ça me fout vraiment mal à l'aise. Mais elle ne s'en pas compte apparemment. Elle raconte tout, sans filtre.

Et moi ? Moi, je suis une éponge. J'absorbe tout ses problèmes et ses angoisses. Elle a l'air de s'en foutre que j'ai les miennes à gérer en plus. Je suis également malade psychologiquement. Et bien plus qu'elle. Mais elle a l'air de s'en foutre. Moi, j'en parle pas. Elle se dit peut-être que ça doit aller si je dis rien. Non, c'est juste que moi j'aime pas en parler. Mais ça veut pas dire que je souffre pas. Et elle me rajoute la bonne couche gratinée de ses propres problèmes par dessus.

Pfff, j'en ai marre. J'ai vraiment envie de lui dire la fermer parfois ! Qu'elle la ferme, qu'elle parle à son psy si elle a besoin, qu'elle me laisse tranquille ! Elle radote en plus. Des histoires de son passé, de son enfance, de sa mère, de ses vacances ; puis de mon père, de leur vie ensemble, puis de ses conneries. Elle arrête à de dire qu'elle s'en fout de lui (ils sont divorcés), mais elle arrête pas d'en parler. Elle me saoule !!!

Je voudrais qu'elle arrête de rabâcher comme une p'tite vieille, qu'elle arrête de chouiner sur des trucs que je connais par cœur, qu'elle me laisse tranquille et qu'elle arrête de déverser ses problèmes sur moi parce que ça lui fait du bien de me parler. Tant mieux pour elle, mais moi ça me fait pas de bien du tout !!!

Je veux qu'elle lâche la grappe et trouve une autre confidente. J'ai déjà assez avec mes propres problèmes psychologiques comme ça.

Maman, si tu m'aimes, fous moi la paix !!!
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Apelite, 22 ans, Dijon
J'avoue que tu me manques parfois, souvent même.
J'avoue que je regrette notre couple, que j'aurais aimé que ça dure plus longtemps.
J'avoue que j'ai l'impression que t'es le mec qu'il me faut alors que j'ai rompu.
J'avoue que j'aimerais qu'on soit amis mais je sais que c'est pas possible.
J'avoue que le fait que tu m'en veuilles ça me soulage d'un côte comme ça tu reviens pas vers moi et je me fais pas de film, je me sens plus libre.
J'avoue que je pense souvent à toi dès que je vois des couples, des films d'amour.
J'avoue que j'aurais aimé que ça dure encore plus longtemps mais je suis en train de me faire une raison, de t'appeler "mon ex", d'avoir de moins en moins envie d'être avec toi. Alors je te dis Adieu.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami

Page Précedente Page Suivante 

Recherche
Rechercher dans : Catégorie

© 1998 - 2024 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou