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Abricot, 30 ans, Rouen
J’avoue Mlle stagiaire que tu m’excites et que je me suis aperçu que tu avais l’air d’être Coquine.
J’avoue que j’aurais bien envie qu’on se face plaisir ensemble un midi ou un soir au bureau et que si tu me faisais signe ou que tu lis cet aveux, j’attends une réponse de ta part.
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Andrea, 18 ans, Arnage
Chère madame,

Je voulais vous dire que je vous aime au plus profond de moi, je sais que vous êtes ma prof mais je ne peux pas m'empêcher de vous aimer comme une maman.

Même si vous m'avez déçue je voudrais vous revoir bientôt car vous me manquez beaucoup et c'est très dur. J'ai vécue 2 bonnes années avec vous et je ne vous oublierai jamais, vous êtes très belle avec vos yeux bleus qui me font perdre mes moyens, vos beaux cheveux et vos belles tenues qui vous mettent en valeur. Vous m'avez beaucoup aidé et je vous remercierai jamais assez de votre aide pour ces 2 ans.
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émotive en cours d'amélioration, 27 ans, Rennes
Je me sens perdue.
Il m'a posé un ultimatum. Il m'a dit que je le blesse. Il dit que je suis plus désagréable avec lui qu'avec les autres. Il dit que je le fais tout le temps passer pour quelqu'un de mauvais à ses yeux. Je gâche les moments que nous passons ensemble. Il me dit que je me fâche pour rien.
Il m'a dit et redit que je lui donne envie de me quitter et d'aller voir ailleurs.

Il n'a rien vu de mes tentatives de changement.
Il ne voit pas mes efforts. Il continue de dire, de redire que je ne fais rien, aucun effort. Je reste dans mon confort. Cela fait des années qu'il se répète, qu'il me dit ce que je ne dois plus faire. Mais je continue.

Je suis découragée.
J'ai essayé pas mal de choses.
Il m'a dit que toutes mes tentatives étaient mauvaises.
Je n'ai plus d'inspiration
Je ne sais plus quoi tenter.

J'ai trouvé la respiration pour maîtriser mes émotions, toutefois, la respiration n'est pas une interaction, une communication.

Il fait pleuvoir sur moi des reproches véridiques, il attend une discussion ensuite. Mais je suis sidérée par la douleur.
Je lui dis qu'il a raison, il me dit que ça lui fait une belle jambe. Il veut du changement. Immédiatement.

Je dois annuler la douleur pour qu'elle ne me sidère plus.

Du coup, j'ai décidé de me ficher de tous les détails qui me chagrinent, de me persuader que c'est dans ma tête, c'est moi qui me blesse en interprétant mal.
Je respire, la douleur s'apaise.
Je range mes sentiments au placard, car ce n'est pas le moment.
Il veut que je change pour le retenir, je suis désespérée.

C'est avec les épreuves que l'on s'améliore, c'est ma seule consolation.
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Jaipasdepseudo, 21 ans, Dijon
J'avoue que je me sens seule souvent, j'aime pas ma vie actuelle. Je suis proche de personne, ni de ma famille ni de mes amis. La plupart des amis que j'ai c'est grâce à mon copain comme si j'étais incapable de m'en faire. J'aime de moins en moins qui je suis.je crois que mon copain aussi. Ma confiance en moi baisse. J'ai l'impression que les gens ne m'aiment pas. J'ai l'impression de pas être normal. Les gens m'abondonnent petit à petit. Je ne sais pas ce que je vais devenir. Je me hais de plus en plus, je me supporte de moins en moins. J'ai aucune volonté.
Que vais-je devenir ?
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M, 30 ans, Paris
J'avoue, j'ai complètement flashé sur toi. Je n'arrive même pas à l'expliquer. C'est la première fois que je ressens ça. Je ne mange plus, je ne dors plus. Je n'ai que ton image en tête. Ça me terrifie en même temps de perdre autant le contrôle de moi-même.
J'ai l'impression que tu as ressenti la même chose quand nous nous sommes regardés droit dans les yeux. Mais est-ce que je suis folle de le penser ? Nous allons bientôt nous revoir et je serais fixée. J'ai hâte et en même temps je redoute ce moment.
J'ai peur d'avoir le cœur brisé.
J'avoue que je me souviens du moindre détail, la couleur de tes yeux, le son de ta voix, ton sourire si envoûtant. Tellement de charme. Et je suis conquise par ta personnalité, tu as l'air de quelqu'un d'investi, humble, doux.
J'ai envie de parler de toi à tout le monde toute la journée. Mais je passerais juste pour une folle. Alors je préfère avouer ici.
Je me sens tellement bien et tellement mal en même temps. Je ne sais pas comment faire.
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Xantia, 35 ans, Lille
J’avoue que j’en ai marre de tout et ça monte depuis 4 mois, crescendo.
J’en ai marre d’avoir une collègue jalouse et hystero, marre de la paranoïa de mon mec, marre de ma belle sœur qui achète toujours les mêmes trucs que nous et qui dit qu’elle ne l’a pas fait exprès, cette folle.
Aujourd’hui, j’ai pleuré comme une madeleine, j’ai fait peur à mon fils avec mes sanglots longs des violons d’automne.
Il est 2 heures du mat mais je ne dors pas parce que j'y pense encore. Je suis faible, je suis soumise, je me sens toujours moche. Mais je n’ai pas envie de mourir, je veux quand même voir la suite avec tous les nouveaux et anciens pourrisseurs de vie que je vais rencontrer.
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Lachose, 26 ans, Paris
Il y a 3 ans, je postais ici. J'étais malheureuse, mon mari ne me regardait pas. Mes meilleures amies m'avaient trahi. 3 ans plus tard, j'ai 26 ans. J'ai divorcé et changé d'amies. Mais qu'est-ce que je suis seule ! Mon ex-mari qui m'utilise à sa guise, des amies présentes mais pas trop, une famille intéressée. Je suis seule. Désespérément seule. Pourquoi pas d'amour pour moi ? D'amitié ? Vivre à Paris, entourée de monde et être tellement seule...
Je ne veux rien pourtant, juste exister.
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Littlestrawberry, 23 ans, Évreux
J'avoue que je ne sais pas où j'en suis. J'avoue que je l'aime, j'ai quitté ma région, ma famille pour lui...
Mais 3 ans plus tard, j'avoue que je suis à bout. J'avoue que j'ai du mal à supporter son mal être qui déteint sur moi, j'avoue que ça m'énerve l'entendre râler sans qu'il ne fasse rien, j'avoue que ça m'épuise de le voir déprimer... Quand c'est moi qui est au fond du trou, il me dit ne pas pouvoir prendre ma peine sur ses épaules. J'avoue que moi, je dois toujours l'aider à se relève, même si ça me fatigue. J'avoue faire des efforts, je ne sais pas s'il en fait réellement. J'avoue ne pas savoir si j'ai la force de continuer. J'avoue que si je pars, il sera dans une situation compliquée. Est ce de la pitié ? J'avoue que je ne sais pas. Je suis fatiguée.
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Daffodil Lament, 30 ans, Paris
J'avoue que ça me fend le cœur quand je t'entends parler de lui ainsi.
À t'écouter, il est beau, bien gaulé, musclé, yeux bleus, blond, c'est dieu en fait ?
J'avoue que je ne suis pas jaloux. J'avoue que je suis juste dégoûté que l'être que j'aime ne me regarde pas ainsi.
Pourtant, nous sommes en parfaite harmonie tous les deux. Tu me l'as même avoué.
Mais alors pourquoi tu persistes à t’empêtrer dans les mauvais choix ?
Ta fougue, tes nombreux diplômes ou ta richesse ne devraient pas te dispenser de modestie et d'humilité. Ton arrogance, tes convictions te perdront.
J'avoue que tu as fais ton choix, la vie est faite de choix et que dans cette vie, certains choix sont irréversibles.
Comme dirait l'autre imbécile : "On ne se rend compte de l'importance des choses qu'après les avoir perdues".
Soit. Quel gâchis.
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444, 21 ans, Paris
Ma mère me dit tout le temps que je suis grosse. Elle me trouve pas assez grande pas assez fine, pas assez mince, pas assez intelligente. Je suis juste une grosse chose stupide moche à ses yeux.
C’est pour ça que j’ai toujours déteste les photos, miroir, tout ce qui était près du corps. Car je savais que j’étais moche, laide. Que j’étais pas féminin vu que je porte que des vêtements ample et des pantalons.
Lorsque j’ai des problèmes de peaux je lui dis que c’est le stress mais non elle me sort que c’est parce que je suis grosse !
En vrai j’en peux plus de cela. Je n’en peu plus de ce type de vie, où ta propre mère te juge sur ton apparence et non ce que tu es vraiment.
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Lolo, 23 ans, Montpellier
J'avoue le fond de ma pensée.

Eloïse.
Je sais que je ce que suis en train de faire n’est pas la meilleure des manières de te dire à quel point tu compte dans ma vie et à quel point je t’aime. Je sais que je vais avoir l’air d’un malade mental quand tu lira ce texte… Mais je ne cherche pas à te donner une bonne image de moi. Je veux juste vider mon sac. Je veux t’avouer la force de mon amour. Et puis même si ce n’est pas réciproque, au moins je te l’aurai avoué.

Je n’ai pas de mots pour décrire la force de l’amour que je ressens pour toi. On pourrait dire que c’est de l’attachement mais je t’assure qu’il n’en est rien. Je n’ai jamais ressenti quelque chose de la sorte. Je n’ai jamais à la fois autant aimé et autant souffert de ma vie.
Tu joues un rôle capital dans mon existence, tu es la personne qui m’a purgé de mes souffrances, qui m’a fait mûrir, grandir, réussir…

Je ne sais pas comment tu vas réagir à la lecture de ce message. Peut-être que tu vas mal réagir, et que tu vas avoir peur, parce que l’amour est une chose effrayante. Peut-être que tu vas pleurer : de joie, d’amour, de reconnaissance … parce qu’il est difficile de se confier, de dire aux personnes qu’on aime qui on est vraiment. Ou peut-être que tu vas simplement ignorer ce message, parce que la vie est impitoyable, et que nous devons être plus dur qu’elle pour survivre dans ce monde.

Je voudrais commencer par te dire : Merci ! Merci d’avoir croisé mon chemin, merci d’avoir eu la curiosité de intéresser à moi, merci d’avoir sacrifié une partie de ta vie pour moi, merci d’avoir été près de moi, merci de m’avoir donné des défis à relever, merci de m’avoir mis dans la difficulté, merci d’avoir eu les forces que je n’ai pas eue, merci d’avoir été forte et dure quand j’en avais besoin, merci de m’avoir donné ton amour inconditionnel, merci de m’avoir admiré, merci d’être qui tu es, merci d’exister…

A travers toutes mes crises et mes difficultés, à travers toute ma haine et ma peur, je renferme un amour infini, un amour que je protège, un amour que j’entretiens, un amour que je chéris. Cet amour c’est le tient.
Ta force de caractère m’a fait comprendre que l’amour est beaucoup plus important que n’importe quelle autre chose dans la vie. Et j’ai compris que je veux vivre pour toi. Réussir ma vie pour réussir avec toi…

Aujourd’hui, grâce à toi je n’ai plus peur de rien. Je n’ai plus peur de rater mes études, de ne pas avoir de travail, de ne pas avoir de logement, de ne pas avoir à manger… J’ai compris que la seule peur qui m’anime et celle pour laquelle je vais évoluer toute ma vie, c’est la peur de ne plus être aimé, et de ne plus aimer.
Tu m’as fait me rendre compte à quel point je suis une personne matérialiste, et finalement tu m’a fait changer. Tu m’as fait me rendre compte que l’amour est le plus important. Et qu’à la fin de ma vie la seule chose que je pleurerai c’est la souffrance que je vais faire aux personnes qui m’aiment et que j’aime.
Mais pourquoi il faut que je me rende compte de tout ça au moment ou tu n’es plus là ? Sois rassuré, je ne t’en veux pas du tout d’être partie faire tes études, au contraire, je suis vraiment heureux que tu puisse te construire une vie, un avenir. Avant que tu t’en aille, j’étais une personne égoïste, je n’en voulais que pour moi et ma personne. Mais par la force des choses tu m’as appris à être heureux pour les autres, même quand ça ne va pas pour sois-même.
Alors crois-moi je ressens du bonheur et de l’espoir pour ta réussite future, même si le chemin est encore long, et même si je ne te le montre pas au quotidien.
Je ressens tellement de choses différentes pour toi. Et ce qui me fait souffrir c’est de ne pas savoir pourquoi je les ressens. De ne pas pouvoir les maîtriser, d’être obligé de me laisser aller à mes émotions. C’est encore quelque chose que tu m’a appris.
Quand tu m’a connu, tu m’as dit que j’avais la maturité d’une personne de 40 ans. En deux ans tu m’as encore fait gagner 20 ans mon cœur. Grâce à toi je suis en avance sur mon temps, et bientôt je serai prêt à affronter les choses les plus difficiles que l’on peut. Et finalement, je trouverai le bonheur et la sérénité à l’intérieur de moi. Je te le promet. Tu finiras par t’en rendre compte…
Si je devais résumer notre relation en un mot, ce serait : grandir. Et je sais que tu es d’accord avec moi. En deux ans, j’ai découvert la vie. J’ai compris un million de choses, j’ai vécu un million de douleurs, de plaisirs, d’expériences… Plus que je n’aurais jamais pu en vivre seul.
Tu as joué un rôle fondamental dans ma vie. Dans mon existence. Tu as fait de moi un autre homme. Tu as fait de moi un homme.

Je n’ai pas envie de m’arrêter d’écrire parce que dans le fond j’ai tellement de belles choses à te dire. Mais je vais finalement de dire une seule chose. Merci.

Merci d’avoir été qui tu es. Dans ta beauté, ta joie, ton intelligence, ton ignorance, ta colère, tes problèmes de santé, ta confiance en toi, en la vie, tes objectifs, ta vision du monde, ton amour. Tu as été la personne qui me fallait. Et tu m’as fait plus grandir que quiconque sur cette terre.
Et en retour de tout ce que tu as fait pour moi, de tout ce que tu m’as donné, moi j’ai développé de l’amour. L’amour inconditionnel, l’amour avec un grand A, celui qui fait que tu ne veux plus vivre que pour la personne que tu aimes. Celui qui fait que tu veux plus que tout au monde, protéger la personne que tu aime, tu veux la chérir, tu veux l’élever, tu veux faire d’elle une princesse, une reine, la femme la plus heureuse du monde. Et si tu le pouvais, tu donnerais ta vie pour elle, pour qu’elle soit heureuse, tu décrocherais la Lune pour elle. Parce tu as une dette envers elle, une dette infinie…
Voilà mon amour ce que j’ai sur le cœur. Je te dis des choses que je pense et que je cache profondément au fond de moi. Aujourd’hui c’est facile pour moi de te les dire, tu me l’a dit toi aussi, j’ai besoin de vider mon sac. Alors je te montre la part qui te revient.
A mes yeux tu es la femme de ma vie. Je donnerai toutes les forces que j’ai pour toi, je serais prêt à n’importe quoi pour toi. Je suis là, je te protège. Mais tu as le contrôle total sur moi, parce que je te dois l’infini.

Dans le bonheur comme dans la souffrance tu m’as fait grandir. Je ne l’oublierai jamais, tu es devenu ma raison d’exister.
Pour toi je décrocherai l’infini, parce que l’amour n’a pas de prix.
Je t’aime… à la vie et à la mort.
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Géniefille, 52 ans, Québec
J'avoue, je suis amoureuse d’un collègue mais, lui, ne partage pas mes sentiments. C’est un célibataire qui mène une vie simple et qui ne veut pas la compliquer. J’ai un conjoint dont je ne suis plus amoureuse et nous avons deux enfants (1 ado, 1 préado).
Je me sens tellement bien en sa présence mais il me considère comme une bonne amie. Nous habitons à plus de 5 000 km l’un de l’autre, il est belge flamand.
Je devrai retourner en Belgique bientôt pour la dernière fois et j’appréhende ma réaction face à ces adieux ; j’ai peur de lui pleurer dans bras. Comme il ne partage pas mes sentiments, j’ai peur que ma réaction soit inappropriée et trop émotive alors qu’on ne partage aucune relation amoureuse ! Il est entendu que nous ferons des activités ensemble; nous l’avons déjà fait : apéro, café, dîners, soupers, visites de sites historiques, etc.
Il me manque et va me manquer encore plus après cela. Dans mon fort intérieur, je souhaite qu’il m’avoue qu’il a aussi des sentiments pour moi après y avoir réfléchi... Je me fais sans doute du cinéma mais j’aimerais tellement y croire !
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Mysterieuse, 38 ans, Nice
J'avoue avoir besoin de parler puisque je ne peux rien raconter autour de moi.
J'avoue avoir essayé d'enterrer tout ce que je ressentais pour toi.
J'avoue avoir pensé que tu m'utilisais, que tu te servais de moi et j'avoue que ça m'a profondément blessée.
J'avoue qu'il a fallu que je ravale ma fierté quand je suis venue te demander ce papier qui m'aiderait.
J'avoue avoir été très étonnée que tu me le fasses, moi qui pensais n'être qu'une chose à tes yeux.
J'avoue avoir été très touchée quand tu as demandé un appui pour moi.
J'avoue que tu m'as dégoûtée dès le début que tu as commencé à t'approcher de moi car je pensais aux tiens.
J'avoue avoir été très très touchée et agréablement surprise que tu m'appelles le jour de ma soutenance pour savoir comment tout s'était passé.
J'avoue avoir changé totalement d'opinion suite à ça.
Ça m'a fait beaucoup de bien de voir ton visage s'illuminer à l'annonce de la bonne nouvelle que je t'annonçais, vraiment !
J'avoue t'aimer malgré ce que je montre quand je te vois.
J'avoue penser être amoureuse de toi.
A chaque fois que tu t'approches de moi, que tu m'embrasses ou que tu me touches, j'ai l'impression qu'on a 18 ans.
Je ressens enfin les sensations que tu me décrivais il y a 1,5 an.
J'avoue essayer de garder le contrôle à chaque fois parce que j'en souffre et je sais que si je cède, je souffrirais encore plus et probablement toi aussi.
J'avoue m'être retenue cette semaine, de ne pas te dire ce que je pensais : dommage qu'on ne se soit pas rencontrés avant.
Tu m'as dit que j'étais un amour, tu t'es excusé, j'ai fait l'idiote mais toi aussi, tu es un amour, tu es même merveilleux avec moi mais je ne peux pas, on ne peut pas ni toi, ni moi.
J'avoue que depuis que tu m'as fait ce papier, je me lâche, tous mes doutes concernant la potentielle manipulation que j'imaginais de toi, sont partis.

J'avoue penser à toi souvent.
J'avoue que tu ne corresponds pas à du tout à mes critères physiques et n'imaginais même pas que ce qui arrive puisse m'arriver.
J'avoue espérer que tu ne te rends pas compte de mes sentiments même si je crois que si... Je crois qu'on ressent la même chose.
J'avoue que moi non plus, je n'arrive pas à te laisser partir.

J'avoue vraiment regretter de ne pas t'avoir connu avant.
J'avoue ressentir de la jalousie quand tu parles des collègues en les décrivant physiquement.

J'avoue avoir contacté mon ex dans le but qu'il me détourne de toi et de cette passion qui nous anime.
J'avoue me demander si je suis normale de ressentir ces sensations bizarres, qu'on ressent quand on est amoureux, je suis attirée vers toi comme un aimant, j'aime quand tu me sers contre toi, quand tu m'embrasses, quand je sens ton souffle sur ma nuque, c'est délicieux.
J'avoue penser tout le temps à arrêter et j'imagine comment on se comportera après, j'espère que ce sera simple.

J'avoue ne rien attendre car je ne veux rien changer à nous ou à vous, surtout pas.
J'avoue malgré moi que je pense toujours à comment ça se serait passé si ton statut marital n'était pas le même et que je t'avais connue avant.

Ça me fait du bien d'avouer.
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Roséjoy, 15 ans, Montréal
Aujourd’hui, je croyais que j’allais passer la meilleure journée de ma vie.
J’ai pris la décision de enfin aller parler au gars qui m’intéresse depuis un bon moment, le plus dur était le fait que comme il est plus grand que moi, je ne connais rien de lui, mais j’ai essayé quand même. J’étais presque, mais j’ai pris peur et je suis partie.
Je voulais retourner à l’école car une de mes amies pensait que deux de mes amies et moi ont n’allait pas bien, en fait j’ai très mal agi envers elle, à cause du fait que je voulais parler au gars.
Elle était plus là et elle ne répond pas à mes messages. Je suis retourné à la maison en pensant que ma mère est allée travailler, mais non elle avait bu et ne voulait plus y aller. J’ai tellement de pensées, mais c’est trop long à tout exprimer.
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Coeurdartoutchaud, 22 ans, Toulon
Je ne sais pas par quoi commencer.
L. J’avoue t’aimer infiniment, les événements on l’air tellement de nous précipiter dans les bras l’un de l’autre.
Le fait que on arrête quasi-simultanément nos relations respective de 4 ans, que on se comprenne si bien...
Tu me dis que tu ne veux pas de relation maintenant, que tu as besoin d’amis... Je te comprends et te respecte, mais comment ne pas avoir d’attentes après ce week-end ?
Tu étais si douce, tout coulait de manière si simple.
J’avoue avoir adoré t’attacher, te frustrer, cette façon que tu as de t’abandonner à moi.
L, je t’aime, et je te laisse dans ton entière liberté, tu as le droit de voir qui tu veux, te faire tout ce que tu veux.
J’avoue que je crois avoir un peu peur au fond de moi que tu m’abandonnes.
J’ai peur d’être comme tous les autres gars que tu as connu, de t’imposer un cadre que tu ne désires pas, de te limiter et de ne pas être à ton écoute...
Ne laisse personne te prendre ta liberté, pas même moi.
Soit la lumière et la paix.
J’ai encore envie de toi, j’ai soif de toi.
Je t’aime, je t'adore, ma meilleure amie, mon amante, mon amour.
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Alicia75, 35 ans, Paris
Mon Charlie que notre aventure est gravée à vie.
Nos échanges m'ont fait tellement vibrés, m'ont enflammé. J'ai pris mon pied avec toi et tout ce que tu rêvais de me faire.
Je n'ai pas compris la rupture, l'abandon et je pleure mon Charlie, depuis ce matin.
Tu as choisis de me larguer comme on s'est connu, par écran interposé... Tu as choisi ta femme, j'étais déjà mariée. Merci pour ces jours et ces nuits blanches mon trésor.
Ça fait mal d'aimer si vite et si fort quelqu'un qu'on a jamais vu.
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Justemoi, 21 ans, Dijon
J'avoue que je suis bien en couple mais parfois je sens un vide, les amis que j'ai maintenant c'est grace à mon copain, j'arrive pas à m'en faire seule, je me sens bizarre parfois. Ou je rencontre des gens via le net, ça me déprime parfois.
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Mysterieuse, 35 ans, Paris
J'avoue aujourd'hui, après de nombreuses tourmentes dans mon esprit, que je t'aime.
Mais je ne te l'avouerai jamais, c'est inavouable.
Tout nous oppose et je pense que tu ressens aussi quelque chose envers moi, j'ai cru le voir dans tes yeux la dernière fois.
Ça me rend folle que ça ait pu arriver mais après tout ce temps, je me suis attachée à toi et je sais aujourd'hui ce que je ressens.
J'aime quand tu es là, quand tu prends par la taille, quand tu m'embrasses dans le cou, je frissonne.
J'aime ta tendresse.
J'aime ta douceur.
Je ne sais pas comment gérer ça à part que je sais que je ne dois rien te dire, j'ai honte de tout ça.
Il faut que ça s'arrête et je ne sais pas comment je vais m'y prendre ni quand.
Peut-être qu'il faudra que je change de lieu de travail et j'avoue que changer d'endroit, sachant que j'étais là avant toi, me chagrine.
J'avoue ne pas d'aimer d'un amour fou mais un sentiment d'attachement, de jalousie parfois quand je te vois discuter avec une autre collègue, de tristesse quand on me raconte des choses sur toi alors que je n'ai rien demandé à personne. J'avoue que tout ça me fait souffrir par moments puisque c'est sans issue.
J'avoue que ton comportement m'affecte beaucoup.
Je ne peux parler à personne de tout ça.
J'avoue ne pas du tout assumer.
J'avoue que ma place n'est pas du tout celle que j'ai actuellement.
J'avoue être en pleurs au moment où j'écris.
J'avoue que je vais certainement me mettre en couple avec le prochain homme qui me plaira et sans regrets.
J'avoue m’être toujours demandée comment tu faisais pour être comme ça avec moi, je ne sais pas comment tu es chez toi.
J'avoue ne pas poser de questions sur ta famille/foyer de peur de plus culpabiliser.
J'avoue ne rien dire de moi pour ne pas que tu t'attaches à moi.
J'avoue t'éviter ces derniers temps.
J'avoue me dire très régulièrement que je regrette de ne pas t'avoir rencontré avant elle mais rien ne se serait fait de toutes façons au vu de toutes nos différences, trop importantes pour être surmontées.
J'avoue me répéter au moins une fois par semaine que je te déteste pour ne pas m'attacher à toi.
J'avoue avoir peur de la suite.
J'avoue appréhender quand ça s’arrêtera entre nous.
J'avoue qu'une aide n'aurait pas été superflue.
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Wesley, 45 ans, La Roche-sur-Yon
J'avoue que ce matin, quand tu étais en face de moi, très belle comme d'habitude, je t'admirais et j'avais envie d'éjaculer dans ta bouche... J'ai aussi envie que tu jouisses dans mes bras. J'aime fantasmer sur toi car je ne t'aurai jamais, il faut que je fasse avec mais je suis dingue de toi.
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Jb2100, 22 ans, Liège
Je n'arrive pas à oublier mon premier amour, elle m'obsède, je rêve d'elle toutes les nuits, je me réveille en sueur. J'ai du mal à me faire des amis, j'ai du mal à contrôler mes émotions, je me sens fort seul.
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Colombe2323, 19 ans, Brest
J'avoue que même si j'aime plus que tout ma famille, je me sens mal d'avoir ce poids sur le cœur de ne pas pouvoir arranger les choses.
J'avoue que je voudrai redevenir une fille à sa maman et non pas une deuxième mère de la famille.
J'avoue que je voudrai rester toute ma vie jeune et ne pas devenir adulte.
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Scorpion15, 36 ans, Paris
Mon Zorro,
Si tu tombes sur cet aveu, saches que je t’aime encore malgré les années qui passent. Malgré que je sois mariée et malgré le fait d’avoir deux enfants.
Je pense à toi si souvent et notre amour a été inachevé.
J’attends un signe de toi, je l’espère et le souhaite secrètement.
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Debby, 15 ans, Le Mans
J'avoue, j'ai vraiment besoin de parler de mon copain qui part en sport étude l’année prochaine. Ca peut paraître totalement enfantin et encore plus à mon âge, mais c’est ce qui signifie qu’on se verra que très rarement puisqu’il est à des heures d’ici, et même si il reviendrait les week-ends, il les passerait avec sa famille, mais est-ce qu’on gardera la même complicité ? Est-ce qu’on supportera la distance ?
Est-ce qu’on va s’oublier petit à petit ? J’ai réellement un gros poids sur mes épaules, j’ai si peur de le perdre et de me perdre moi aussi, je suis totalement perdue, est-ce que je vais pouvoir tenir ?
J’ai confiance en nous et pourtant.
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Scorpion, 34 ans, Paris
Mon Zorro, j’avoue que je ne t’ai jamais oublié malgré les années qui passent.
Tu as fait ta vie, j ai fait la mienne mais je rêve secrètement du jour où l’on se retrouvera.
La nostalgie est séductrice dit-on, dans mon cas, elle m’a littéralement encerclée.
Il m’arrive de rêver de toi et pourtant je suis mariée.
Appelle-moi, parce que moi je n'aurai jamais le courage de le faire.
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Fixette, 38 ans, Paris
J avoue que la première fois qu'on s est rencontré, ben... Il ne s'est rien passé ! Puis quand on s'est revu, il y a si longtemps, j ai su que je t'aimerai jusqu'à la fin de ma vie. J'avoue qu'on a jamais su se coordonner. J avoue enfin que c'est peut être mieux comme ça finalement, tu auras été ma plus belle pas histoire d'amour.
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