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| Fleure35, 23 ans, Rennes |
| J'avoue qu'aujourd'hui je me demande ce qu'est l'amitié. J'avoue que ça fait 3 fois que mes copines me plantent cette semaine. J'avoue je peux comprendre qu'elles aient du boulot mais J'avoue que j'avais pas trop le moral et que sortir m'aurait fait du bien. J'avoue qu'heureusement ma famille est là. J'avoue que je suis contente de travailler en ce moment. |
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| Jenny, 15 ans, Brumath |
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J'avoue que je t'aime ! Même si je te dit que t'es un idiot toute les deux secondes, même si je dis que je te déteste quand on nous demande si on sort ensemble, même si je te dis que je te déteste, même si je m'amuse bien avec toi, même si j'ai envie de t'embrasser, même si j'ai envie de te serrer dans mes bras, de te prendre la main, de rester coller à toi... Je t'aime et tu crois que je te déteste. Nicolas j'ai envie de te dire je t'aime toute les secondes, tout le temps ! Pour que tu comprenne que je ne te déteste pas ! Que chaque jour sans toi est aussi dur à vivre que si j'étais toute seule. En plus on est en 3ème là ... Tu vas t'orienter vers un BEP alors que moi vers un lycée général. Je vais plus te voir, rigoler avec toi. J'en pleure rien qu'à l'idée... Je t'aime Nicolas ! |
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| Libellule, 24 ans, Paris |
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J'avoue que depuis je fréquente ce pote qui cumule les conquêtes, je compte beaucoup les jours depuis ma dernière relation sexuelle. Les scores vont parfois tellement hauts que j'ai appelé ça "mon world record". J'avoue que depuis que je lui en ai parlé, il me motive pour rencontrer du monde et agir comme les mecs : mission total salaud, s'éclater et cumuler les conquêtes. Si ma mère savait ça, elle me rayerait de son héritage... Par contre, je dédis cet aveu à mon dernier "coup" : il m'a fait battre tous les records en matière de nullité. Il a menti sur toute sa fiche du site de rencontre, en ne mettant que des photos super sex et jolies, alors qu'en vérité il porte des lunettes trop moches qui lui donnent l'air d'une mouche nouveau-née. Il est totalement débile et immature, sans personnalité. Parce que je lui ai rappelé mon age, il a cru qu'il se devait de parler le langage des "jeunes", et s'est mis à me dire des trucs complètement nazes, du genre "on va s'éclater toute la night". Ce type n'a aucune discussion, j'ai cru que j'étais chez un psy, sauf qu'il relookait mes fesses. Mais j'avais quand même envie de remettre à zéro mon world record... Ce type vit dans un appart aussi crade qu'une décharge ! C'est un studio mal équipé, qui pue. J'ai eu la douloureuse idée d'aller faire pipi : j'ai cru que ses toilettes allaient attaquer mes petites fesses. J'ai mis tellement longtemps à trouver du papier que j'ai failli m'essuyer sur son gant de toilette (sans doute trop crade, heureusement que j'en ai trouvé). Et après m'être lavée les mains dans un lavabo noir, je n'ai pas trouvé de serviette alors je me suis essuyée mes mains sur son linge propre qui séchait. Bien fait ! Comment est-ce que j'ai fait pour coucher avec lui, alors que ce type est tout à fait horrible et nul à chier ? On s'est allongé sur son clic clac crasseux, et j'ai eu comme oreiller une veste de motard, un pull puant et une ceinture de peignoir... Le pire du tout, c'est que ce type a un engin digne d'un tampax, et qu'il ne sait pas s'en servir. Pour s'exciter, il s'est frotté contre le haut de ma cuisse (il vise mal), et s'est véritablement cru dans un film porno quand il a crié "oh oui c'est bon". J'ai absolument rien senti quand il a éjaculé dans son préservatif. quand il s'est subitement apaisé en se collant à moi (beurk), j'ai cru qu'il faisait une pause... C'est la première fois que je pense à mes copains pendant qu'on me fait l'amour : je me répétais mentalement tout ce que j'allais leur raconter le lendemain concernant ce type. Le plus tragique a été le lendemain justement, quand ce type a commencé à vouloir me revoir, et construire une relation stable avec moi... Dingue comme j'ai réussi à garder mon calme ! |
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| Eddy, 20 ans, Corse |
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Internet, les emails, le chat, facebook... Toute cette technologie qui permet de faire tout, rapidement, de manière instantanée, d'un click et tout est réglé, c'est génial non ? J'avoue que je devais régler une affaire rapidement : taper une petite lettre et l'envoyer en pièce jointe par mail. Simple n'est-ce pas ? Eh bien figurez-vous la surprise que j'ai eu quand j'ai démarré le PC et qu'il m'a sauté dessus avec ses belles mises à jours incompréhensibles. Et vas-y Microsoft met à jour la sécurité, la vulnérabilité pour la cinquantième fois... En attendant, mon ordinateur rame pour ouvrir word je mets trois plombes, quand je tape j'ai le texte qui apparaît en différé de 30 secondes et puis j'enregistre et vas-y que Windows m'impose le redémarrage pour couronner le tout ! 25 minutes perdues à attendre cette mise à jour ! Et en attendant je n'ai toujours rien fait. |
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| J'aime_pas_les_enfants, 33 ans, Lyon |
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J'avoue que, aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais aimé les enfants et que j’ai toujours clamé haut et fort que je n’en voulais pas. J’avoue qu’à 33 ans, après 5 ans de mariage, je n’ai pas changé d’avis : je trouve les gosses toujours aussi chiants. Heureusement, mon mari partage mon point de vue. J’avoue que ce qui m’embête le plus c’est le comportement hypocrite que j’adopte vis-à-vis des gens qui sont parents car je deviendrais vite infréquentable si ils savaient à quel point je me fiche de leur progéniture. J’avoue que c’est lourd de faire semblant de m’intéresser à leurs précieux marmots, mais que je suis bien obligée si je veux éviter qu’on me colle l’étiquette de « vilaine sorcière ». |
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| Tagada, 24 ans, Angers |
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J'avoue à Michou que je suis totalement ok. J'avoue que ce ne son pas 40 millions mais 150 millions de dollars pour son inauguration !!! J'avoue qu'un pourcentage de cet argent vient des impôts, alors que le pays est en crise. J'avoue que ça me fait bondir et que si c'est moi qui avait été présidente dans les même circonstances, j'aurais fait comme en 1945 : un discours et une salade de poulet ! Enfin peut-être pas quand même, mais une réduction des couts de cette manifestation. J'avoue aussi que certes, il va peut être changer certaines choses, mais que tant d'adulation et de machins trucs parce qu'il est noir, ça me fait la même impression que la journée, sur 365, de la femme : ça démontre bien qu'il n'y a pas d'égalité puisque c'est exceptionnel. |
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| Jade, 34 ans, Strasbourg |
| J'avoue que j'en ai marre de mon boulot marre des objectifs de ventes et des nombres de rendez-vous à respecter 25 par semaine sinon le chef vient vous téléphoner tous les jours pour vous harceler. Et pourtant je reste. Pourquoi ? la peur de ne pas trouver un autre poste mais pourtant cela ne pourrait pas être pire. Il faut juste avoir le courage de se lancer ! Et je ne l'ai toujours pas eu. |
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| Ava, 58 ans, Etretat |
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J'avoue aimer écrire mes aveux... Je me caresse l'entre-cuisses de la main droite. Je suis gauchère et je tape d'un doigt sur le clavier, je suis toute trempée... J'aime avouer mes souvenirs de libertinage. J'avoue, mon mari m'accompagne toujours dans mes achats de sous vêtements, nous les choisissons ensemble...Un jour, la vendeuse était rousse, très jolie et rougissante. Et seule... Rapidement très troublée par notre complicité de couple, nous avons ri, plaisanté. A force d'allusions très fines, j'ai fini à genoux sur la moquette, en petite culotte, seins nus... Pour bien montrer l'exemple et faire tomber les timidités de chacun, j'ai rendu buccalement hommage à la verge de mon mari et nous avons invité la demoiselle pour une soirée très spéciale... J'avoue... mon mari s'est bien régalé. Il nous a matées des heures dans nos ébats lesbiens puis nous a fait nous agenouiller la tête dans le sofa, le cul perché bien haut. En bas, porte jarretelle et corset bien entendu, il nous a besognées lentement, l'une après l'autre... J'avoue... C'était la première sodomie de notre nouvelle amie. |
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| Melody, 21 ans, Paris |
| J'avoue que j'en ai marre de voir que des joueurs de foot qui font les guignols avec un ballon gagnent des millions d'euros au minimum par mois ! J'avoue que c'est dégueulasse de voir cette richesse et cet argent inégalement réparti. Est-ce qu'ils ont besoin de 10 millions d'euros par an pour "survivre" ? D'où vient tout cet argent ? Et pourquoi je suis en train de galérer avec un emploi à 1 200 euros par mois ? Les trois quart de cet argent partent dans mon loyer et il ne me reste que peu pour me nourrir ! Merci Thierry Henry, merci David Beckham... |
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| Carlita, 32 ans, Neuilly |
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J'avoue avoir le vague à l'âme alors que tout le monde me prend pour une superwoman. Super Job, Beau physique, bonne éducation. Mais mon problème est que je suis seule ! Je n'arrive pas à trouver un mec qui me convienne car parait-il je fais peur. Je suis pleine d'assurance et limite castratrice disent certains. Et pourtant, je me trouve cool. Je pense être une chouette fille. Certains me le disent aussi. Je n'ai personne dans mon lit pour me faire l'amour ou me tenir compagnie. Et pourtant je ne suis pas rebutante ! Pourquoi ce si grand sentiment de manque ? de vide ? Il m'arrive même de jalouser les gens autour de moi alors qu'eux même me jalousent. J'avoue manquer d'assurance et donc être hyperactive pour compenser. J'avoue manquer aussi de légèreté car j'ai commencer à bosser très jeune et ai toujours voulu grimper les échelons. J'aimerai tellement être plus souple, plus légère ! Mais comment faire ??? |
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| PovTom, 22 ans, Paris |
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J'avoue que je suis très riche. J'ai tout ce que je veux, j'ai eu tout ce dont je rêvais. Dès qu'un nouveau portable sort je l'ai, dès qu'une nouvelle console sort je l'ai. Quand je veux quelque chose je paye et je l'ai. Je n'ai pas besoin de travailler, je m'en fous j'ai de l'argent. J'avoue que je suis blasé des petites choses simples de la vie et qu'un simple morceau de shit arrive à animer mes soirées les plus ennuyantes. J'avoue que je suis hypocrite. Je fais toutes sorte de grimaces devant tout le monde mais derrière eux je casse des tonnes de sucre... J'avoue que je passe mes journées entières devant mon ordinateur sur facebook à me montrer, à me rendre intéressant. J'avoue qu'on m'a offert un parfum Hugo Boss pour noël et que j'en ai absolument rien à faire. D'ailleurs je l'utilise comme désodorisant de toilettes, c'est super efficace, merci H. |
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| Voyante, 18 ans, Toulouse |
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J'avoue que je me suis abonnée, gratuitement, à un site qui m'envoie chaque jour mon horoscope et mon tarot. J'avoue qu'il me prédit chaque jour de grandes choses. Aujourd'hui L. vous allez rayonner. Aujourd'hui L. vous allez trouver l'amour. Aujourd'hui L. vous allez vous levez avec une foule d'idées inventives. Aujourd'hui L. rien ne peut vous arriver. Il me conseille même d'organiser des fêtes chez moi car je déborde d'énergie, d'amour et d'inventivité ! J'avoue quel tas de conneries. En ce moment la dernière chose que je suis c'est créative, mon dernier copain date de je me souviens même plus quand, et la seule chose dont je déborde c'est de fatigue ! Moi aussi je suis voyante. Pour demain je prédis que je vais dormir jusqu'à pas d'heure, et qu'ensuite je vais être très créative en allant regarder la télé. Horoscope ou pas horoscope qui me dit que je vais changer le monde... |
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| Elektricks, 19 ans, Paris |
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J'avoue que je fantasme sur l'éjaculation faciale. J'avoue que je cherche des vidéos X sur google de bimbo qui se font cracher au visage. J'avoue que je me masturbe en pensant à ce genre de scènes. J'avoue que je déteste sucer mon copain, ça me répugne. J'avoue que je n'est jamais avalé, je suis persuadée que ça me ferais vomir ! J'avoue me trouver totalement anormale... |
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| Piccadily Circus, 30 ans, Paris |
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Hier soir, je n'avais pas terminé mes dossiers, je suis restée un peu plus tard au bureau, mon copain m'y a rejoint avant qu'on sorte manger, et là, on a fait l'amour sur mon bureau, puis par terre, puis on a changer de bureau pour aller sur celui de ma patronne ! On est plusieurs à bosser là et j'avais peur et à la fois j'étais excitée à l'idée qu'on se fasse surprendre. Le bureau de ma patronne était rangé, le mien, non. Ce matin quand je suis arrivée, elle était déjà là, j'ai eu droit à "Euhh, vous pourriez mettre de l'ordre dans vos affaires avant de partir, c'est un véritable foutoir là dedans !" suivi d'un "Et puis ne restez pas comme ça, vous avez l'air sacrément enrhumée !" en lorgnant ma corbeille à papier... Ouh la honte, j'avoue ! |
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| Frenchy, 23 ans, Paris |
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J'avoue, j'ai honte... L'autre jour le père de ma fiancée m'a proposé de conduire son Citroën Picasso et j'avoue... J'étais aussi excité quand j'ai conduit la Porsche GT3 RS. |
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| Elle&Moi, 19 ans, Paris |
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J'avoue que dès que je la vois, mon visage s'illumine. J'avoue que dès que je la rencontre mon bas ventre s'enflamme. J'avoue que j'aimerais goûter à la fraicheur de sa peau. J'avoue que je rêve parfois d'elle, dans des ébats exotiques. J'avoue que ses lèvres me donnent envie de l'embrasser. Mais, comment dire à mon copain que je veux tenter une expérience homosexuelle ? C'est la plus précieuse de mes amies, celle qui connait toute ma vie. Je sais et je sens qu'elle veux la même chose que moi, ses textos ne trompent pas. Et si je m'éprenais d'amour pour elle, quitte à en délaisser mon homme ? J'ai envie d'elle. Je ne le nie plus, mais je ne lui dirais jamais. |
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| Aelixira, 20 ans, Paris |
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J'avoue que je ne supporte pas les chanteurs qui se sentent obligés de ch*** sur la bande FM tout ça parce qu'ils ont réussi à procréer... Elève ton enfant correctement, fais-en un être sain et équilibré, et là tu chanteras ! N'importe quel abruti peut coucher et avoir une descendance (et c'est bien dommage), mais pour ce qui est de bien les élever... Ce qui est drôle, c'est que personne ne chante pour les adolescents. Je déteste ces chansons égoïstes de "Ouais, on a fait un petit nous, et il sera comme ci et comme ça et il est trop mignon". Voilà, c'est avoué. J'ai envie —en ce moment— d'étriper C.M. |
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| Nini, 19 ans, Besançon |
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J'avoue que j'ai arreté la prépa Hec de Dijon, assez prestigieuse, pour une histoire d'amour qui peut-être n'a aucun avenir. Mais j'avoue que je me fous pas mal d'entrer à HEC ou dans une autre école aussi prestigieuse. J'avoue que j'ai quand même peur de l'avenir, du chômage des jeunes, de la crise économique et que je ne sais pas ce que je vais faire l'année prochaine, après cette deuxième année de prépa Cachan à Besançon. J'avoue que tous les hivers je déprime et que cette année j'ai décidé de voir un psy mais que ça me fait "bizarre". J'avoue que je l'aime, que j'aime ma vie ici et que je ne regrette pas une seule seconde d'être rentrée. |
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| Virg, 25 ans, Nord |
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J'avoue que pour moi aussi, la nouvelle année n'est qu'une tradition hypocrite, ouf ! Je ne suis pas la seule à penser cela ! j'avoue que je ne suis pas sortie le 31 au soir et tant mieux mais quel calvaire de m'efforcer à ne pas tirer la tronche devant mon chéri, qui s'était efforcer de ne pas me laisser toute seule, ce soir là. J'avoue qu'il aurait pu partir bien loin, me foutre la paix et me laisser tranquille dans mon nid douillet avec mes livres et mes deux animeaux-peluches, mais non j'ai du le subir jusqu'à ce qu'il s'endorme comme un naze avant 22h sans même avoir pris la peine de me faire l'amour avant ! J'avoue que c'était complètement nul et que parfois lui et les autres gens de cette société, je ne vous comprends pas ! Comment peut on se réjouir en ces temps difficiles ? |
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| Artemiss, 23 ans, Olympe |
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J'avoue qu'à 23 ans aujourd'hui j'ai piqué des sacs poubelles dans la cuisine et des morceaux de carton dans le garage, je me suis équipée comme pour une expédition polaire et je suis allée faire de la luge trafiquée sur les butes à côté du terrain de foot municipal à une heure où tout le monde travaillait et j'ai pris un pied monstrueux. J'avoue que j'ai retraversé la moitié de la ville avec d'énormes traces de maquillage ayant coulé sous les yeux tellement j'avais ri et mes sacs poubelle touts troués sous le bras. J'avoue que j'ai beaucoup moins ri en voyant ma tête de footballeur américain arrivée chez moi. |
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| Patrick, 45 ans, Bordeaux |
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J'avoue avoir eu une expérience avec une parfaite inconnue il y a 2 ans et ce souvenir reste à jamais gravé dans ma mémoire malgré le temps qui passe. A l'époque, je venais de divorcer depuis 1 an, ma femme ayant quitté le domicile conjugal du jour au lendemain pour un homme plus jeune et à ses yeux surement plus excitant, ceci pour rompre avec cette sournoise monotonie qui s'installe insidieusement et sournoisement dans la vie de couple. Après une période de deuil et de colère, je décidais de m'amuser un peu et de vivre à mon tour des choses différentes. Je m'étais donc inscrit dans un club de rencontre sur internet et j'avoue que je m'y prenais relativement bien car presque une fois sur deux et après quelques dialogues, j'arrivais parfois à décrocher un rendez vous qui se terminait souvent en une bonne partie de "jambes en l'air". Souvent avec des femmes ayant atteint la cinquantaine, âge ou elles ne se posent plus de questions et vivent intensément leurs désirs et leurs pulsions. Mais l'expérience la plus marquante et certainement la plus audacieuse fut celle que j'eus avec M. Depuis longtemps, j'avais un vrai fantasme, celui de faire l'amour avec une inconnue que je connaitrais bien évidemment le moins possible, mais surtout et pour pimenter le tout, de s'envoyer en l'air sans même s'être vu au préalable. Donc après un certains nombre de contacts avec M sur internet , je lui présentais en douceur mon fantasme et je fus surpris et très excité d'apprendre qu'elle trouvait mon idée intéressante : cela avait même l'air de l'émoustiller encore plus que moi. Nous avons donc décidé de tenter l'expérience un soir chez moi. Tout était convenu d'avance : après explication de l'endroit où se trouvait ma maison, elle devait venir vers 22h, se garer devant chez moi et me rejoindre dans ma chambre et tout ceci dans le noir absolu pour que nous ne puissions voir ni nos visages, ni nos physionomies. Rendez-vous fut pris un samedi soir. Je ne vous explique pas dans quel état je fus pendant toute la semaine précédente, à la fois un peu inquiet mais surtout terriblement excité à l'idée d'assouvir enfin ce vieux fantasme. Le samedi soir arrive enfin et vers 21h30, après une bonne douche, je me déshabille et me glisse nu sous mes draps en attendant l'heure fatidique. Mon coeur battait comme un fou et j'écoutais avec attention tous les bruits provenant de l'extérieur. Et vers 22h, comme convenu, j'entends enfin le bruit d'une voiture se garer devant ma porte. Bruits de portière qui claque et quelques toc toc sur la porte d'entrée. A cette minute précise, je me suis demandé si je n'avais pas fais la plus grosse bêtise de ma vie. Trop tard. Du fond de mon lit, je lui crie :"entre, la porte est ouverte". Bruit de porte qui s'ouvre et qui se referme et j'entends enfin le son de sa voie : "où es-tu , je n'y vois absolument rien ?" Je la guide donc pour qu'elle se dirige à tâtons vers ma chambre, la prévenant des obstacles qu'elle va rencontrer. J'entends ses talons claquer sur le parquet du hall d'entrée, ma chambre se trouvant au bout de celui-ci. Dès qu'elle est enfin entrée dans la chambre, j'ai senti immédiatement son parfum. Après un timide "bonsoir", j'entends son manteau qui tombe doucement sur le sol. J'étais allongé sur le ventre avec le sexe dur comme un morceau de bois. Elle s'est allongée avec douceur sur mon corps et j'en senti ses gros seins lourds sur le haut de mon dos. Elle a commencé à me caresser les épaules et la nuque et me faire de tendres baisers dans le cou. Puis je me suis retourné et elle m'a prodigué la plus belle des fellations que j'ai jamais eu. J'ai joui en très peu de temps vue mon état d'excitation et je me vidais littéralement dans sa bouche chaude et voluptueuse : je m'en excusais , un peu confus de jouir aussi vite. Pas grave me dit elle, la soirée ne fait que commencer. Et en effet, quelques minutes plus tard et après de nouvelles caresses, j'étais à nouveau en grande forme, prêt à cette fois ci m'occuper un peu plus de son corps. Inutile de vous décrire les minutes voir les heures suivantes, nous avons fait l'amour comme deux affamés en manque de sexe, alternant fellations, cunnilingus et multiples positions et tout ceci bien évidemment toujours dans le noir absolu. Ma dernière caresse fut une puissante sodomie qui nous laissa tous deux pantois, fourbus et enfin rassasiés. Elle est partie comme elle est arrivée, vers 4 heures du matin, sans aucune question, sans avoir eu la possibilité me voir physiquement. Moi non plus, je n'ai juste pu que deviner les formes de son corps, les contours de son visage, le gout de sa chatte si bien épilée. Quelques jours plus tard, nous nous sommes retrouvés sur internet. Nous nous sommes dit que cette expérience avait été vraiment géniale et que nous avions pris tous les deux un plaisir extraordinaire à faire l'amour dans ces conditions. Elle me proposa du reste, de nous revoir tres prochainement pour me dit elle, faire une "deuxième mi-temps". Je ne l'ai jamais revu et donc n'ai pas donné suite à sa requête, estimant pour ma part que cette expérience m'avait suffisamment apporté. J'avoue qu'avec du recul, j'ai quand même pris quelques risques , ne connaissant absolument pas cette femme. Mais quelle expérience fantastique et quels beaux souvenirs !!! J'avoue que je n'en avais jamais parlé à personne. Voilà qui est fait grâce à ce site. Merci javoue.com ! Aujourd'hui, je vis avec une femme depuis plus d'un an et je n'oserais jamais lui avouer cette folle soirée. Si elle le savait, elle me traiterait de dégénéré. Mais tout ceci est dans mon jardin secret... et il est inaccessible ! |
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| Sophia, 21 ans, Toulon |
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J'avoue avoir éclaté le parechoc de ta belle BMW. J'avoue avoir gardé le double de la clé de chez toi pour y mettre le feu. J'avoue avoir vendu ta montre hors de prix. J'avoue que j'ai arraché les cordes de ta guitare fétiche. J'avoue avoir fait croire à ta maîtresse que tu avais de l'herpès génital. J'avoue avoir fait tombé ta moto dans le dénivelé. J'avoue avoir saboté ta cave à vin. J'avoue avoir récupéré l'argent du voyage que tu comptais m'offrir. J'avoue avoir dit à ta mère qu'on se séparait parce que tu étais gay. J'avoue avoir repéré ton futur appartement pour décorer les façades. J'avoue que je te pourris la vie depuis 1 an. J'avoue que j'y prends un plaisir fou. Ah... vengeance, quand tu nous tiens. Et oui, avant de me tromper, il fallait réfléchir. |
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| Michou, 32 ans, Paris |
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J'avoue que j'en ai marre d'entendre parler d'Obama. J'avoue que je n'y comprends rien, c'est le premier président du monde a être autant ovationné et adulé alors qu'il n'a toujours rien fait ! J'avoue que c'est abusé d'avoir dépensé plus de 40 millions en frais de cirque et spectacles pour divertir Roi obama. J'avoue que quand j'entends que c'est "enfin le premier président noir", que comme "c'est un noir, il va forcément changer l'Amérique", je me dis que les gens sont vraiment racistes et on aura beau le dire... Ils sont toujours coincés sur cette discrimination de couleur de peau. J'avoue que une telle adulation pour un homme politique que l'on ne connaît pas très bien me fait peur et m'inquiète. Et j'attends de voir ce qu'il va faire avant de m'extasier comme ces pauvres idiots d'américains qui apparemment n'ont rien à faire, pas de travail et ont suffisamment d'argent pour ne pas aller au boulot et qui sont debout depuis minuit dans l'espoit de voir un homme cloitré dans son Obamamobile blindée contre les attaques nucléaires. |
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| Une européenne, 25 ans, Paris |
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J'avoue qu'il ne fallait pas me dire de ne pas gaspiller l'eau et ne pas gâcher du papier pour rien... J'avoue que maintenant je me cure, sans aucune honte, le nez avec les doigts et je colle les crottes de nez sous la table ou je les balance à droite et à gauche. Contents ? Maintenant, j'avoue je n'utiliserai plus de mouchoirs, ni d'eau. |
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| Peppino, 21 ans, Annecy |
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J'avoue que la première fois que je t'ai vu et qu'on a joué ensemble, je t'ai trouvé discret mais très doux et bienveillant. J'avoue que la deuxième fois que je t'ai vu, j'étais dans le bus, toi à vélo, et je me suis rappelée à quel point ton regard m'avait touchée. J'avoue que la troisième fois que je t'ai vu, on était dans le même train, le même wagon, je ne t'ai pas vu tout de suite, mais quand je t'ai vu, mon rythme cardiaque s'est accéléré et je me suis dit qu'il fallait que je fasse quelque chose. J'avoue qu'alors, te sentant tout près, j'étais heureuse et j'avais chaud au coeur. Je pensais à tes yeux, à ton sourire et au fait qu'auparavant jamais quelqu'un comme toi n'aurait pu me plaire. J'avoue que j'ai regretté dès la première seconde, après être descendue du train, d'être passée devant toi sans te regarder. Parce que je n'ai pas osé. J'avoue m'en vouloir énormément et espérer comme une folle te revoir. |
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