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Tx, 18 ans, Liège
J'avoue être un ptit toxon en devenir, échouer dans tout ce que j'entreprends, m'enfoncer et me détruire avec le sourire, j'avoue être un raté, j'avoue aimer la teuf, j'avoue aimer la déconnexion du week end et j'avoue aimer un homme. J'avoue ne rien comprendre à ce monde, j'avoue être perdu parmi les gens, j'avoue être presque mort à l'intérieur.
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Moritz, 25 ans, Montélimar
J'avoue que j'étais venu avouer plein de choses qui me frappent...
J'avoue que j'ai parcouru les aveux et cela n'a fait que confirmer ce que je pense, ce que j'ai constaté.
Qu'est-ce qu'il y a comme cas psy, névrosées, frustrées, pleines de préjugées, femmes poison, toxiques.
J'avoue, j'ose espérer qu'il en reste un petit nombre qui sont encore saines, équilibrées, bien finies, bref... des femmes, des femmes comme avant !
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Mysterieuse, 36 ans, France
J'écris pour me soulager parce que je pense trop, je réfléchis trop à tout ça, ça me pèse.

J'avoue que je ne pensais pas m'attacher à toi, jamais, ces 15 ans qui nous séparent...
Je sens que je ressens bien plus que de l'attachement pour toi, je l'ai compris trop tard, quand tu m'as demandé pourquoi je te racontais ce que je racontais. Je te racontais quelque chose qui m'importait et tu m'as blessée, j'en ai pleuré. A partir de ce moment-là, c'était fini mais j'y pensais tout le temps, je me réveillais les nuits.
Te fuir a été difficile et surhumain pour moi, j'en souffrais.
Et puis, tu m'as expliqué très maladroitement, que tu tenais à moi, que j'étais ta puce
J'avoue douter... voilà les raisons de mon éloignement.
J'ai tout retourné et tes gestes, ta manière de te comporter quand on est à 2, j'ai la sensation que tu dis vrai et je l'espère car je ne suis pas ton objet.
Tous tes gestes, ta douceur, ta tendresse, je crois que tu ressens la même chose que moi.
Je ne veux pas en parler, jamais, je mentirai sur ce que je ressens sans aucun doute, si tu me questionnais dessus.

Je n'arrête pas de me demander comment ça a pu arriver.
Je pense au moment où je m'éloignerai et où on devra arrêter, je ne sais pas comment faire.

Ça a été une réelle souffrance ces derniers temps, pour moi, de ne pas t'adresser la parole et mal te parler, j'en ai souffert.

Si je t'avais rencontré plus tôt, les choses auraient peut être été différentes mais là, je m'oblige à m'éloigner, à faire en sorte d'être loin quand j'en ai la lucidité et la force.

Pourquoi es-tu venu vers moi ? Pourquoi m'as-tu séduite ?
J'avoue ne pas avoir ressenti ça depuis des années. 
J'avoue aimer quand tu me prends contre toi.
J'avoue adorer quand tu me caresses.
J'avoue ne rien dire pour ne pas aggraver la situation et que tu te poses des questions.
J'avoue me sentir bien quand je suis avec toi.
J'avoue me sentir femme quand je suis avec toi.
J'avoue avoir envie de toi, quand tu me prends contre toi mais je résiste.
J'avoue savoir que tu tiens à moi.
J'avoue penser que tu éprouves quelque chose envers moi et j'avoue que j'en suis mal à l'aise.
J'avoue penser que tu es malheureux.
J'avoue regretter en permanence de ne pas t'avoir rencontré avant.
J'avoue que j'aurais tant aimé que tu partages plus avec moi.
J'avoue être consciente de la bêtise de tout ça et de la souffrance que ça va nous créer.
J'avoue que si je ne me retenais pas, je viendrai vers toi en permanence même quand nous sommes seuls.
Je crois qu'on est pareils tous les 2 sur tout ça et sur d'autres points.
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Sombrespensées, 20 ans, Paris
Je suis une personne abjecte. Ma conduite est abjecte.
On me prend souvent pour une fille gentille, parfois timide, qui manque de confiance en elle, profondément sincère, vraie, je crois.
Personne ne sait, personne ne sait à quel point je suis menteuse, fausse, orgueilleuse, égoïste et irrespectueuse. Je suis l’opposé de l’image que je donne.

J’ai toujours voulu par-dessus tout être aimée, je pense que c’est pour cela que je me montre très gentille envers les autres.
Hypersensible, angoissée, Je pensais être quelqu’un de bien, je réalise maintenant pourquoi je ne me suis jamais aimée, pourquoi ce dégout de moi-même.
J’ai toujours souffert d’un gros manque de confiance en moi, qui est en fait une forme d’orgueil affreuse. Ce besoin de reconnaissance et d’amour, je l’ai constamment dans la tête.
A chaque rencontre, j’imagine et je rêve qu’il tombe amoureux de moi.
A chaque rencontre autre, j’imagine être admirée.
Mes rêves ? que les autres me voit accomplir des exploits, ou qu’on me voit belle, intelligente, populaire, sociable, drôle, ou alors j’imagine des choses, comme que ma mère meurt pour que chacun reconnaisse et plaigne ma souffrance.
A chaque musique que j’écoute, j’imagine en être la chanteuse, la musicienne ou la danseuse devant tous ceux que je connais.
En plus de parfois sur jouer pour que l’on reconnaisse ma souffrance, il m’est arrivé d’exagérer mes malheurs ou de raconter d’énormes mensonges pour susciter l’intérêt, montrer que j’ai vécu des choses difficiles.
Ces pensées ne s’en vont jamais, à chaque instant j’imagine qu’on s’intéresse à moi, souvent à tort.
J’aimerais tellement être quelqu’un de bien, qui a de belles pensées, saines.
Je voudrais avoir de vrais rêves, de vraies motivations, parce que ca c’est juste moche, sans intérêt, sans beauté, je me sens juste laide et vide.

Pour que vous compreniez, je vais vous donner des exemples de ce qui est si mauvais chez moi, ce que personne ne sait. Je ne respecte rien.
C’est plus fort que moi, je fais tout de manière sournoise.
On me prête un appartement, je fouille partout, je cherche les petites choses que je pourrais voler, je porte les habits de la personne concernée, je vis cher elle comme cher moi.
Un jour, on m’a envoyé cher la vieille amie de mon père décédé, pour que je puisse connaitre un peu de son passé, et bien j’ai volé cher cette femme qui m’a accueillie.
Je l’ai aussi fait à la fille de ma marraine qui m’a également accueillie cher elle, à la copine de mon frère, à une amie de ma mère qui m’a prêté son appartement. Et ce n’est qu’une petite partie de tous les vols que j’ai commis.
Ces défauts-là, je les ai depuis toute petite...

J’aime tellement être aimée que je ne sais pas dire non à un garçon qui va s’intéresser à moi.
En ce moment, j’ai un copain. Je ne l’ai dit à personne parce que j’attends quelqu’un de mieux, que j’aimerais vraiment, alors je fais semblant d’être libre. Je n’hésiterais pas à le tromper, je l’ai déjà fait.
Mais je lui dis que je l’aime, parce qu’il est fou de moi et que je ne veux pas lui faire de mal, pourtant ça lui fera plus de mal encore quand un jour j’aurais le courage de le quitter, mais je suis lâche, et je n’ose pas lui dire que même si c’est une personne en or dont j’aimerais être amoureuse, au fond je ne ressens pour lui que de l’affection, pas de l’amour.
Au fond, c’est juste parce que ça me fait du bien d’être aimée que je reste avec lui, et je fais ça par égoïsme, depuis des mois, je lui dis clairement que je l’aime, sans scrupules…

Ma mère a perdu son mari très jeune et s’est retrouvée seule sans travail avec trois petits enfants, j’avais 2 ans, mon plus grand frère 8.
Mais elle a été courageuse, a trouvé un travail et n’a jamais arrêté de donner son maximum pour nous.
Mais j’ai quand même été capable de lui voler de l’argent, de lui mentir, de lui donner du mal, de la solliciter pour mes problèmes alors qu’elle donne déjà tellement d’énergie pour nous. Sans parler de l’adolescente odieuse que j’ai été pour elle, je l’ai fait énormément fait souffrir, je la tenait pour responsable de mon malheur, j’étais mal dans ma peau et je m’en prenais à elle.

Je suis une menteuse, une voleuse, une lâche, une hypocrite. Ça doit être pour ca que je me suis toujours sentie si seule, et je le mérite.
Mais je veux changer, je veux être quelqu’un de bien, je veux me supporter m’accepter et mériter l’amour que je reçois et toute la chance que j’ai pu avoir au cours de ma vie.

Comment faire ? Comment puis changer mes pensées ? comment les stopper ? Est-ce possible ? Suis-je condamnée à rester ce que je suis pour toujours ? Si c’est ça, je ne mérite pas de connaitre le bonheur, je commence tout juste à avoir un aperçu de ce que c’est la vie sans la déprime, je peux arriver à ne plus être malheureuse, je sais comment faire, mais je n’arriverais jamais à me l’autoriser si je reste comme ça...

C’est pour cela que j’ai besoins de vos avis et conseils, s’il vous plaît !

Je crois que si je me mens comme ça à moi-même, c’est pour remplir le vide.
Tout les moments ou je suis seule, totalement seule.
M’imaginer au milieu des autres, belle et drôle, c’est un moyen de ne jamais penser à moi maintenant, à la réalité.
J’essaie de remplacer la solitude par la joie.
Ce sont des moments ou je suis une personne géniale, que tout le monde va admirer adorer, juste impressionner les autres, qu’ils me remarquent moi et que moi, qu’ils tombent tous amoureux de moi, c’est quand même absolument ridicule.
C’est peut être un gros complexe d’infériorité, ou d’ego surdimensionné ?
Ça craint
Mais pourtant, je ressens quelque chose. De la tristesse, de la joie aussi, à fond dans la musique.
En fait c’est juste que j’aimerais partager ces moments, savoir exprimer ce que je ressens ou ce que j’aime, le partager avec les autres, apporter des sourires de la bonne humeur, de la tristesse, même de la pitié..
Peut être que c’est juste que j’ai l’impression de ne pas être moi-même avec les autres, de ne pas être assez libérée de leur regards, et en conséquence je suis bloquée.
Je suis plus folle que ça, plus intelligente que ça, plus drôle, plus belle que ce que je montre, ou alors je ne m’accepte pas comme je suis et j’imagine être quelqu’un de beaucoup plus merveilleux.

Il faudrait juste que j’arrête de ne penser qu’à moi. J’aimerais être plus intéressée par ce qui m’entoure, plus curieuse, mais au final je passe plus de temps à m’intéresser à moi-même plutôt qu’au monde.
Et c’est important !!!!
Je veux changer !!!!
Mais ce soir, tout en écrivant ça, je sais que je vais rester devant mon miroir à me regarder en écoutant de la musique.
Déprimant quand on le dit, étrange quand on le fait.

En fait je fais soirée toute seule !
Je suis tellement obsédée par moi-même que c’est ça je me fait une soirée avec moi !!
Il y a des gens qui lisent, qui matent des séries, qui se renseignent sur les choses qui les intéressent, qui pensent autres, moi je me regarde le nombril…

Et puis je ne pense qu’à l’amour ! à chaque fois que je rêve, c’est d’un mec qui soit amoureux de moi ! je pense rarement à des filles à ces instants, je ne rêve que de gars..

Pourquoi j’ai couché avec ce mec, je me sens mal, tellement mal, je regrette tellement, j’ai gâché tout les progrès intérieurs que j’ai essayé de faire..
Un mec moche, tellement moche, aucune connexion, on s’entendait bien c’est tout, dès que je suis allé boire un verre chez lui je me suis dit que je ne voulais absolument pas qu’il se passe quelque chose, au début je voulais faire quelque chose de ma soirée, je ne voulais pas rentrer alors je l’ai suivi pour boire un verre chez lui je me suis dit on verra, j’étais un peu excitée peut être en manque à force de tout le temps penser à l’amour, alors quand il m’a embrassé je me suis laissé faire, je me suis laissé faire alors que je ne le voulais pas et je le sentais, j’ai détesté..
J’ai pleuré quand il m’a fait l’amour.. je n’ai rien aimé, rien, même le petit déjeuner qu’il m’a apporté le lendemain je ne l’ai pas aimé, il m’a raccompagné cher moi et a recommencé, je me suis laissé faire alors que je n’en avais pas du tout envie, je l’embrassais alors que je le trouvais affreux.. je n’avais qu’une hâte c’est que ça se termine..
Pourquoi je n’ai pas dit non dès le début pourquoi je suis incapable de rester fidèle à ma volonté pourquoi incapable de lui dire non ?
C’était horrible, il est à mon travail..
Si ça se sait au taff, je serais morte de honte..
J’essaie de montrer une bonne image, d’une fille bosseuse et sérieuse, et la tout le monde saura que je suis une gamine qui s’est fait troncher au bout de 3 semaines par un mec qu’elle ne connait pas même, moche et peu intéressant par-dessus le marché..
Pitié que personne ne l’apprenne, ou je serais incapable de regarder qui que ce soit en face..
Je rêve d’amour et je gâche tout..
Depuis je me sens mal, je me remet à être angoissée alors que ça commençait à passer..
Je veux devenir quelqu’un de bien, mais je fait le contraire de ce qu’il faudrait pour pouvoir me regarder dans la glace sans avoir honte de moi..
Tout ceux qui croient que je suis une fille respectable, ma mère, mes frères, si ils savaient.
Je ne peux en parler à personne, j’ai honte, tellement honte de moi..
Je me sens stupide, lâche, salie, encore un peu plus..
C’est ça, je salis ma personne à chaque fois un peu plus, et à chaque idiotie je me gâche, je régresse et fais de moi une personne de plus en plus malsaine et fausse..
Je me déteste pour ça, je n’arriverais jamais à être ce que je rêve d’être !
Impossible d’oublier ça de faire comme si rien ne s’était passé, ce matin, 2 jours après, j’ai retrouvé une capote qui était encore dans mon vagin, ça m’a choqué, écœuré, je ne peux rien faire pour me pardonner cet acte maintenant.
Je voudrais quelqu’un d’autre, courageuse, droite, qui se respecte..
Mais je ne me respecte absolument pas.

Hier, je suis allée voir un film au ciné avec mon frère sa copine et son ami, sur le sida, juste affreux, et en regardant ce film très touchant choquant et dur, j’ai encore été capable de m’imaginer en scène devant les autres, ceux avec qui je travaille, j’imaginais qu’ils me voient me battre pour une cause avec émotion, en rentrant j’imaginais qu’ils me voient m’occuper d’un enfant, pour qu’on voit que je suis une fille bien, une fille qui ne s’occupe que de ce qui est important , des autres plutôt que s’occuper d’elle-même ..

Comment faire pour être cette personne ? j’en suis incapable.

Je ne culpabilise même pas d’avoir trompé mon copain, pas une seule seconde.
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Louise, 21 ans, Istanbul
J'avoue avoir été cette fille sur le sable qui contemple la mer pour ne pas avoir à te regarder dans les yeux. Mais j'avoue aussi que je n'aurai pas dû te tourner le dos. Je ne savais pas encore, comme tu m'as dit les mots précieux, que je t'aimais moi aussi, alors j'ai choisi de t'ignorer, de refuser un bonheur qui pourrait être mien aujourd'hui sous prétexte que je n'étais pas sûre.

J'avoue que dans mes rêves les plus fous, tu m'aimes encore, et tu te déclareras, encore, lorsque le temps sera venu. Dans certains rêves même, je traverse le temps pour te regarder enfin, et voir dans tes yeux tout cet amour que je cherche aujourd'hui.

J'avoue que je ne suis pas prête à faire le premier pas, et que je ne sais pas si je pourrais un jour le faire. Je ne suis pas cette femme forte que j'aime donner à voir, j'ai peur tout au fond de moi, peur de te perdre, certes, mais encore d'avantage peur d'être déçue ! Je ne te l'ai jamais dit, ce passé qui me hante, mais il est bien là, et il m'annihile.

J'ai peur, autant que je l'aime sans doute, de ce fossé culturel qui nous sépare et qui ferait de notre route un chemin accidenté.
Alors j'avoue, je suis dans l'inaction, dans l'attente, et la souffrance, à cause du passé, je me refuse un futur. Mais malgré tout j'espère que tu pourras être heureux, où que tu sois, avec qui que tu sois, et qu'il te resteras toujours une petite place dans le cœur pour accueillir l'idiote que je suis.
Je t'aime
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Wierdo, 14 ans, Belgique
J'avoue pleurer en rentrant chez moi de temps en temps.

J'avoue en avoir assez d'être cataloguée comme "intello" simplement parce que j'écris sans faire de fautes d'orthographe et parce que, contrairement à beaucoup de jeunes de mon âge, j'aime lire et écrire.

J'avoue en avoir assez d'être traitée de sataniste alors que je suis athée simplement parce que j'appartiens au mouvement gothique.

J'avoue que j'ai friendzoné 'Mélanie' parce que ma mère est homophobe et parce que, n'étant pas lesbienne, j'ai pris peur.

J'avoue que 'Mélanie', jeune fille dans son monde semblant souffrir du syndrome de Renfield, est la seule personne à me comprendre totalement.

J'avoue que je suis consciente d'avoir gâché notre amitié.

J'avoue que je crois aux vampires mais que je ne le dis pas car je pense que la moitié des gens sont trop idiots pour regarder plus loin que le bout de leur nez.

J'avoue que je souhaite plus que tout au monde rencontrer quelqu'un qui ne me trouve pas bizarre.

J'avoue être consciente que mon arrogance et mon égo surdimensionné ont sans doute quelque chose à voir avec le fait que beaucoup de gens me fuient.

J'avoue avoir envie de baffer tous ces gens de mon âge qui sont d'énormes décadents, qui écoutent du JUL ou du Merde Gims et qui sont incapables d'apprécier de la musique classique parce que "c'est pour les babtous fragiles".

J'avoue qu'un je-ne-sais-quoi m'empêche de me mutiler ou d'attenter à ma propre vie. Un je-ne-sais-quoi qui me garde vivante, mais hurlant et souffrant en silence. Comme dans un cauchemar, j'ai l'impression que j'appelle aux secours et que personne ne peut ni me voir, ni m'entendre.
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Mmk, 21 ans, Paris
J'avoue que j'ai envie de crier. Je t'ai revu et j'ai eu envie de pleurer. Je suis paumée, est-ce que tu me manques ? Est ce que c’est de la nostalgie ? Je sais pas. Mais j'ai mal. Est ce que tu penses à moi comme je pense à toi ? C'est malsain de penser à toi alors que c’est moi qui ai rompu et qu'on est dans une nouvelle relation maintenant.

Je suis jalouse pourtant de la fille qui est avec toi, je suis triste. Et pourtant mon nouveau mec je l'aime, tellement. Toi c'est tellement différent. Je t'aimerais toujours, toujours, vraiment. Je sais pas ce que je dois penser. Qu'est ce que je dois faire ? J'avoue que je veux te demander si je te manque, mais je ne le ferais pas, parce que c'est malsain. J'ai envie de crier, crier et pleurer une bonne fois pour toute. Et que tout s'en aille après, même si c’est 4 mois après notre rupture. J'en ai marre de penser.
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Nico83610, 19 ans, Hannut
Jill,
il y a deux ans, lorsque nous nous sommes rencontrés à Paris, je ne pensais pas en arriver là. En effet, j'ai d'abord pensé que tu étais une personne hautaine qui ne pensait qu'à soit... Mais au fil du temps j'ai découvert quelqu'un de formidable avec tant de qualité et quelques petits défauts tout aussi attachant.
Au début, je ne voulais pas m'attacher à toi mais lorsque j'ai vu cette photo, j'ai eu un déclic, c'était toi... Oui c'était toi qu'il me fallait pour être heureux et rien ne pouvait me faire changer d'avis !
Depuis, la vie a continuée et notre relation est restée simple, amicale, avec des hauts et des bas de temps en temps.
Mais sache que depuis c'est deux années où j'ai appris à te connaitre, mes sentiments, eux, n'ont pas changer, je suis toujours autant amoureux de toi que ce soir du 10 mai 2015 lorsque tu m'as envoyé cette photo, tu es partout en moi, j'arrive à t'entendre quand tu ne parles pas et à te voir lorsque tu n'es pas là.
Chaque seconde qui passe me rend plus malheureux de ne pas être au près de toi.
Je donnerais tout pour toi, pour tes yeux, ton sourire, pour ton coeur.
Sache que je serai toujours là pour toi, je t'attendrai, je ne changerai jamais !
Malgré toutes ces belles paroles, je suis incapable de t'avouer mes sentiments, j'ai peur de tout détruire, de te perdre un peu plus.
Je chéri ce jour où je trouverai la force de te dire tout ce que j'ai sur le coeur, de t'avouer mon amour !
En attendant, j'écris ces lignes pour toi, pour que le Monde garde une trace de moi, de toi...
Alors Jill, pour finir, je ne dirai qu'une chose:
Je suis amoureux de toi Jill !

Nico
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Rhumananas, 27 ans, Genève
J'avoue avoir besoin d'être constamment flattée ces derniers temps. Avoir rencontré tellement de filles, toutes plus fades à mes yeux les unes que les autres, juste histoire de sortir le grand jeu et les voir pétiller, pour ensuite disparaître, aussi rapidement que je suis arrivée.

J'avoue jouer sur plusieurs tableaux, et le leur dire en pensant être quelqu'un d'honnête, sans les préserver, alors que je ne dis pas tout.

Et puis je t'ai rencontré... J'avoue que c'est peut-être parce que tu me repousses que ça me touche autant et pourtant, j'aimerais te lancer tous les arguments en ma possession, auxquels je crois profondément, pour te donner envie de me céder, ou juste d'apprendre à me connaître pour commencer. Mais rien n'y fait...

J'avoue que tu es en couple avec un homme et trop honnête pour lui être infidèle, ce qui est tout à ton honneur. Et si, pourtant, j'avais quelque chose à t'apporter ?

J'avoue que tu me fais éprouver quelque chose d'agréable et ça me change, tu sais...

Tu as coupé court mais j'avoue que j'ai bien trop envie de te connaître pour t'oublier d'aussi tôt, J.
Je te laisse tout de même mener ta vie.
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Eureca14, 18 ans, Nice
Je me trouve beau dans un miroir mais très moche en vrai. On m’a déjà fait la remarque que j’étais beau en miroir et moche en vrai. J’ai envie de sortir avec une fille en couple du coup, on se parle tout le temps, on fait des choses ensemble, on s’embrasse, on a des moments très sympas mais à chaque fois on ne conclue pas et elle me recale en me disant qu’elle regrette ce qu’elle a fait car elle ne veut pas tromper son copain.
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Lindtt, 23 ans, Toulouse
J'avoue. J'avoue avoir été trompée. Pourquoi je me sens honteuse vis à vis de ça ? Ne serait-ce pas à l'autre d'avoir honte ?
Le karma m'a rattrapée. Je ne suis pas une mauvaise personne, et ne l'ai jamais été. Mais, je n'ai pas été honnête avec les personnes qu'il fallait. J'ai joué, sans le vouloir, avec le cœur des autres. Sans le vouloir hein ? On dit toujours ça..
Et puis il est arrivé, et je lui ai tout donné. Mon temps, mon dévouement, mon corps, mes pensées, mon cœur... Et il m'a trompée. Je l'ai sans doute méritée vous direz. On a ce que l'on sème. Je suis lâche de toujours l'aimer, pas vrai ? Et tout ça, que c'est niais. Je me rends compte que l'on vit dans un monde où la loi du plus fort règne toujours. J'ai 23 ans, et j'avoue avoir toute l'amertume du monde.
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19am, 20 ans, Océanie
Comme vous le voyez j'en ai ma claque de tout, lui, nous m'enfin bref. En vrai je sais ce qu'il me reste à faire mais je ne veux pas le faire, j'en suis incapable (encore). Je suis retournée avec mon ex cette décision qui m'est propre n'est pas bien vue par tout mon entourage donc je n'arrive plus à me confier à eux.

Ce n'est pas eux le problème mais plutôt le fait qu'ils ne veulent pas que je reste avec lui parce que j'ai tant souffert mais un dicton que je commence à bien comprendre et que je n'apprécie pas du tout me vint souvent à l'esprit "le coeur à ses raisons que la raison l'ignore''. M'en fait je suis là parce qu'il n'a pas changé, j'y ai mis toutes mes forces, mon cœur ainsi que mon âme mais rien est fait, si le travail est entrepris par une personne extérieur que lui même comment peut on avancer. Il pique des crises sans intérêts et j'ai bien peur qu'il se retrouvera seul mais vraiment seul. Il n'a plus d'amis, les seuls qu'il a et bien il ne fait pas attention, ses parents ne peuvent plus le supporter et je comprends tous ses sentiments. Celui-ci les traites comme de la merde il se croit bienfaiteur ou je ne sais quoi. Par exemple pas plus tard qu'une heure il a pété une crise parc que son père ne voulait pas acheter ce qu'il veut, m'enfin pourquoi acheter un truc pour une personne qui te traite comme un moins que rien. De plus il me ment souvent même trop, je ne sais pas sur quoi il me ment mais je le sens. Le truc c'est que je suis encore là avec lui à l'instant présent il dort comme un con et est fâché contre moi pour aucune raison, il se dispute avec son père et j'en paye les pots cassées. Je suis encore là parce que je l'aime, cet enfoiré qui dort à côté de moi je continue à l'aimer mais à le chérir, moins qu'avant. Hier soir, j'ai pris une discussion avec lui mais on dirait bien qu'il en a rien à foutre, je ne le comprend pas. Et moi non plus. Je sais qu'il faut que je parte que je ne revienne plus quand il m'appelle mais mon cœur en fait à sa tête. J'ai la main trop lourde sur mes sentiments j'y arrive plus, je m'humilie j'en suis consciente mais je suis encore là.
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Justme, 17 ans, Canada
J'avoue, j'avoue être faible face à ce qui m'entoure. Tristesse, anxiété, dépression. Une vie qui se confond telle une montagne russe. Incapable de rester seule par peur de faire face à moi même, j'avoue avoir peur. Désolé à tout ceux qui me côtoient, je sais que je suis difficile à comprendre. Je n'aime pas m'exprimer ni m'ouvrir de peur de me blesser et maintenant j'avoue voir noir sans contrôle malgré ces médicaments qui me droguent la vie puisque je n'ai pas une humeur dite normal. J'avoue être en dépression.
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Éternelleindécise, 40 ans, Nouméa
Je ne suis plus célibataire après avoir traversé un long désert.
Mon chéri est adorable, a tout pour plaire, mais nous ne vivons pas ensemble...
J'avoue avoir préféré regarder toutes les saisons de Orange is the new black et de lui avoir menti sur mon emploi du temps plutôt que de passer du temps avec lui...
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Als, 42 ans, Suisse
J'avoue que je trouve hyper sexy une fille de mon étage au travail. Il est très difficile de savoir ce qu'elle pense car elle cache bien ses sentiments même si ils pourraient être uniquement sexuels ! En effet, elle est mariée et moi aussi mais j'avoue vraiment que j'imagine souvent dans ma tête des scénarios avec elle uniquement pour le plaisir...
Et elle a de putains de jolis yeux.
Il faut qu'elle arrête de venir avec des habits très léger qui donne encore plus envie ! Si un soir elle restait plus tard au travail et que moi aussi... franchement ça serait difficile de résister à lever sa petite jupette et baisser sa culotte... ça serait tellement intense et vite fait... Même au travail après une certaine heure, il n'y a plus personne.
J'avoue que j'aimerai bien qu'elle tombe sur ce site... et qu'elle me réponde ça serait le TOP.
J'ai envie d'elle et elle aurait elle envie ?
Si tu me lis ici merci de me répondre S...
Ça fait du bien de pouvoir le dire quelque part. Merci javoue.com !!!
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Moi, 36 ans, Paris
J'avoue...
Je ne comprends pas comment je peux me sentir mal à cause de toi. Tu n'es jamais satisfait. Je ne suis jamais assez bien pour toi. Tu ne me désires plus. J'avoue que j'ai juste envie de te dire une seule chose : la porte est grande ouverte.
Et ne t'inquiètes pas, d'autres me trouvent attirante. Alors finalement je vais faire comme tu as fait il y a quelques années, peut-être que c'est une histoire comme ça qu'il me faut pour ouvrir les yeux comme tu dis si bien !
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Ems, 24 ans, Paris
J'avoue que j'ai été étonnée quand tu es venu me parler pour la première fois sur cette application de rencontre.
J'avoue que je te trouvais mignon avant mais n'avais jamais envisagée cette relation.
J'avoue que j'avais peur de te rencontrer vu que je travaille avec ton père.
J'avoue que tu m'as dis tous les mots qu'il fallait pour que je commence à flasher sur toi. J'avoue que ça ne m'arrive que très rarement.
J'avoue que tu ne me réponds pas depuis 3 jours et que je ne sais pas quoi penser.
J'avoue que si tu ne me réponds pas je vais te bloquer sur l'application et je vais essayer de passer à autre chose.
J'avoue ne pas comprendre pourquoi tu m'as dis autant de mots doux pour qu'au final tu ne m'écrives plus.
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Lostcat, 50 ans, Paris
J’avoue que j’aime mon cousin.
J’avoue que je suis sa maîtresse depuis deux ans.
J’avoue que s’il le demandait, je plaquerais tout pour vivre avec lui.
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Cherry1982, 32 ans, Paris
J'avoue je suis une femme bisexuelle et que ma famille est au courant mais fait genre de rien savoir.
J'avoue que mes collègues de travail ne sont pas au courant (quoiqu'ils s'en doutent) et que ça me perturbe.
J'avoue que j'ai une double vie celle en apparence d'une femme célibataire, belle, intelligente ayant tout réussi et celle d'une femme qui se cherche encore, qui ne se contrôle plus quand elle bois, qui drague tout ce qui passe et qui est au bord de la dépression.
J'avoue qu'au lendemain des beuveries (ce qui est rare maintenant), j'ai des trous de mémoire mais suffisamment pour me rendre compte de l'état pitoyable dont lequel j'étais.
J'avoue qu'à chaque fois, je me dis que je vais arrêter mes conneries et qu'au final je recommence de plus belle.
J'avoue avoir écris à celle dont je ne suis plus tout à fait sûre si je l'aime que je voulais rompre car rien ne va plus entre nous depuis bien longtemps déjà. Par habitude, on se voile la face à rester ensemble.
J'avoue qu'elle l'a plutôt bien pris mais en même temps souhaite vivre encore avec moi et dans la même chambre.
J'avoue que je n'ai plus trop d'amis autant femme que homme parce que ma belle ex ne les supporte pas et que le seul qui reste me déçoit de plus en plus.
J'avoue que je ne suis pourtant pas compliquée à vivre, que j'ai tant d'amour à donner mais qu'en même temps j'ai honte de moi de ce que je suis devenue de mon attitude de mon physique de mon laissé allé de tout ce qui m'entoure.
J'avoue essayer de me réconforter en écrivant, de me libérer de toute ma souffrance mais tout ce que j'écris n'est qu'une partie de ma vie.
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Pndrcl, 19 ans, Bordeaux
J'avoue que tu me plais énormément, quand on s'est vu la première fois je pensais pas que plus tard il y allait avoir cette énorme complicité entre nous.
Aujourd'hui on ne se parle plus trop mais on reste comme même en grand contact, et tout les deux savons que nous voulons rester proche comme avant mais nous n'en avons plus les moyens en ce moment et attendons tout simplement d'être dans le même lycée comme tu me demande si souvent. "Bon tu te décides, tu vas dans quel lycée ?".

Chaque fois, tu me poses cette question, je te jure que tu me manque terriblement j'ai jamais connu une personne comme toi je pense, on a rigolé ensemble par messages snap, toujours tu venais commencer la discussions et moi je courrais voir de qui venait le message sur mon téléphone et quand je voyais ton prénom je sautais de bonne humeur !

On se parle plus autant aujourd’hui mais je t'assure que je vois ma vie avec toi ! Toutes tes phrases du genre : "je t'aime, je veux faire ma vie avec toi", tu disais ça pour rire mais je t'assure que je prenais ça au sérieux en riant enfin, je ne sais pas trop comment décrire ça, bref je prie pour que nous deux on commence la plus belle des histoires et que nous la terminions parfaitement bien, Je t'aime. e. ♥
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Alex, 16 ans, Nancy
Alors voilà, je ne sais pas comment dire ça mais j'ai vraiment beaucoup souffert cette année, entre ma meilleure amie qui m'abandonne, nos problèmes financiers, nos problèmes de logement, mes parents qui se font vieux mais qui continuent à foncer pour leurs trois enfants...
Je ne sais plus, je me sens mal, j'ai personne à qui me confier, j'ai l'impression de porter le poids du monde sur mes épaules. Je me sens impuissante et j'envie tellement ces autres enfants de riches qui ne se soucient en rien de leur avenir ou quoi que ce soit d'autre... Je suis perdue.
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Vicky, 19 ans, Nantes
J'avoue, je mens à chaque fois que l'on me demande si je vais bien, en répondant "oui" avec un grand sourire qui est pourtant faux.
J'avoue, que je suis faible et que parfois l'idée de partir de ce monde me vient en tête.
J'avoue, que je n'ai pas d'avenir même si je fais semblant d'y croire.
J'avoue, je suis amoureuse mais je n'ose pas car ça ne sera jamais partagé.
J'avoue, je me sens mal et non aimée.
J'avoue que pour moi l'avenir parait ne pas exister.
J'avoue, je suis juste une fille idiote dont personne ne veut.
J'avoue, je ne sers à rien ici.
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Nataska, 29 ans, Neuchâtel
J'avoue, que de choses ont changées. Je suis maman. Je suis mariée. J'ai un amant.
Je te trompe avec ton frère. Mais c'est plus que ça. Je pensais t'aimer... je ne savais pas ce que c'était qu'aimer. J'ai trouvé mon âme-soeur. C'est ton frère. quelle dommage. Quel gâchis.
Je l'aime. Je ne me suis jamais sentie aussi bien avec toi que ce que je sens quand je suis avec lui.
Il est au chômage, ça rend nos rencontre plus faciles.
J'avoue que j'aimerais qu'il trouve un bon boulot, que je puisse envisager de te quitter... mais quoi qu'il arrive ma lâcheté est toujours là. En serais-je capable ? Et puis il y a les enfants...

Je regrette de ne pas t'avoir quitter plus tôt. J'aurais pu faire ma vie différemment.
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Princess.ox, 23 ans, Québec
J'avoue que si j'avais à t'écrire, ça donnerais un truc du genre :

Ça te dirait qu’on jase, toi et moi ? Il me semble qu’il y a longtemps qu’on n’a pas rigolé ensemble. Justement, ton rire me manque… Perçant et toujours de bon cœur, j’aimais autant mieux ton rire que tes blagues je crois, quoi qu’elles étaient très bonnes tes blagues !

Je pense encore à toi tu sais. Il me manque de croiser ton regard, ou de t’observer marcher. Sans trop comprendre pourquoi, depuis quelques jours, 1 semaines ou 2 peut-être, je n’ai que toi en tête. Je repense à tous ces moments, qui, maintenant, ne sont que du vent. J’aurais aimé en profiter plus longtemps.

J’imagine que le "timing" n’y était pas. Après tout, le chemin que j’ai pris, m’a apporté beaucoup. Un emploi que j’aime, un horaire que j’apprécie et un bon salaire. J’ai mon permis de conduire maintenant, l’aurais-tu remarqué ?! J’ai eu l’accord de mon médecin pour arrêter ma médication, je suis "sobre" depuis quelques mois déjà.

Si ça va bien ? Disons qu’il me manque mon petit chez moi. Mais sinon pour le reste, ça va. Je réapprends à me connaître, je découvre que finalement, j’avais une personnalité, un caractère, et des convictions. Mais sinon toi, ça va ? Je te donne des nouvelles de moi comme si ça t’intéressais, mais moi il est question de toi ici.

J’ai envie de t’écouter parler pendant des heures, d’apprécier ta philosophie de vie, de parler de tout et d’écouter la pluie. De marcher auprès de toi dans une soirée sombre d’automne. De regarder les premiers flocons tomber, la pleine lune refléter sur nos rivières, peut-être même de faire du vélo dans les flaques d’eau.

Sans cacher que je t’ai énormément apprécié, je ne te parle pas d’amour, ne t’en fait pas... Parce que je dois te dire que, même si maintenant j’aimerais voir tes barrières tomber pour détruire ce cœur de pierre, avant de te rencontrer, j’avais été "Mindé" à me caser, voila pourquoi je me dis qu’aujourd’hui je recommencerais du début, et cette fois ci, je ne laisserais rien se précipiter… Parce que j’avais un peu pour acquis, que, si je voulais de toi, tu voulais de moi aussi… Mais bref, d’ici là, eh bien, je me dis que j’en ai appris beaucoup de cette situation.

J’aimerais te souhaiter un joyeux anniversaire, à l’avance… ou en retard, tout dépendant si j’ai eu le courage de t’envoyer cette lettre à temps.
Je te souhaite énormément de bonheur ! Nous aurons certainement l’opportunité de discuter un de ces quatre.
À une prochaine fois.

Et je signerais :

'' mon prénom ''
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Une fille qui souffre, 15 ans, Toulouse
J'avoue que je souffre énormément de mon acné et cicatrices, des problèmes financiers de ma mère, de ma misérable vie, des multiples injures que j'ai eu à recevoir depuis l'apparition de mon acné, du rejet.
Devant les autres je joue la forte et celle qui n'a pas de problèmes alors que j'en souffre tous les jours.
Je ne peux plus vivre comme ça je fais tellement d'efforts pour ma mère sans emploi et j'avoue que j'envie toutes les filles belles riches avec de vraies familles et qui ont de vraies vies. Je n'en peux plus.
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