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Luciole, 30 ans, Sannois
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J'avoue je ne supporte plus cette mère. Elle n'a fait que me critiquer toute la vie. Je ne fais ou mon entourage ne fait jamais rien de bien à ses yeux. Toujours à critiquer... à croire qu'elle ne fait que des choses bien. Elle ne se remet jamais en question. Elle me dégoûte... elle a un air d'aristocrate de la campagne. Et elle me fait honte en public avec ses airs outrés quand elle n'est pas d'accord. Elle m'a gâchée ma fête en étant odieuse... elle me dégoûté. Je l'avoue, loin d'elle je me porte mieux.
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C, 25 ans, Gap
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J'avoue que notre histoire a commencé sur un lit de rose; On avait tout pour être heureuses, à commencer par de belles valeurs et l'envie de créer quelque chose de solide. A croire que le monde nous rappelle chaque jour que le passé et ses blessures ressurgissent, ternissant de temps à autre notre entente et en transformant les sourires en larmes. Malgré cela, sans crasse et avec une volonté naturelle, le monde semblait également comploter pour que nos sentiments, eux, restent intacts. Ils le sont. Et comme pour tout jeu aléatoire, on perd souvent des vies avant de passer un niveau, nous poussant toujours à aller plus loin. Alors on se bat, chaque jour, on tente de réparer les incompréhensions, discordes futiles et mauvaises interprétations. On y est mon amour, tu venais de recevoir une nouvelle qui n'allait plus nous séparer de centaines de kilomètres à plus de quelques millimètres. Nous sommes tous différents, et chaque personne, pour vivre avec une autre, doit justement accepter l'autre, sans s'oublier, sans manquer de respect. Tu vois comment c'est dur mon amour ? On a compris que pour être heureuses ensemble, il fallait éloigner les tentations, s'écouter tout en étant claires sur ce qu'on désirait, être amies, amantes et amour en même temps. C'est comme ça qu'on a su ce qu'on représentait l'une pour l'autre, en suivant ce chemin qu'on avait choisi d'emprunter ensemble. Aujourd'hui, bien qu'on ne puisse, je pense, jamais dire d'un couple qu'il est solide, nous sommes certaines que nous sommes l'une pour l'autre, cet Autre qui nous complète. Alors nous avons arrêté de chercher, la séduction, l'attraction, nous nous sommes entièrement tournées l'une vers l'autre. C'est comme cela que j'imaginais ma vie avec quelqu'un ; avec complicité et envie, l'envie d'être ensemble simplement. L'ombre au tableau, deux caractères un peu trop noyés dans une eau trouble. Mais mon amour, nous ne sommes pas des poissons et devons de ce fait sortir la tête de l'eau et respirer. Chacune de mes pensées est tournée vers toi et tu occupes ainsi toute place disponible dans chaque recoin de mon corps. On s'élève, on s'inspire, on se vaut. Pourtant aujourd'hui, tu as décidé de faire ton chemin de ton côté. J'espère te retrouver avant que le temps gâche ces mots que je me dois de les refuser éternels. Je reste sobre pour ne pas perdre la face. Tu as emporté avec toi une partie de moi et souhaiterais donc que tu veuilles bien me la rendre avec en tête, ces simples mots : On a tellement de choses à vivre encore, pourquoi se gâcher.. Puisque "je t'aime" est encore loin de la vérité, je t'attends, parce que je n'ai pas le courage de me prendre une porte.
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Daffodil Lament, 30 ans, Paris
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A toutes ces fois où j'ai cru que tu m'avais été infidèle, je me disais que la peur n'évite pas le danger.
J'avoue, je m'étais en quelque sorte préparé psychologiquement, avec tout ce que tu m'as fait souffrir auparavant. J'avoue que c'était le coup final, l'épée Damoclès est enfin tombée. Cependant, j'avoue que tu m'as blessé ! Ça me fait mal, et je ressens ce poignard dans mon cœur. L'organe dont tu semble être dépourvue, ce qui couronne l'absence de cerveau ou d'un esprit sain...
Tu as fais "quelque chose de stupide", et tu as de surcroît le toupet de m'annoncer que de toutes façons, on est plus ensemble ?
Lena, tu nous as perdus, tu as tué notre couple, tu as tué l'amour, comme tu as tué notre bébé ! Nous le voulions tant, et quand tu l'as eu, tu as changé d'avis comme on rend un produit. Sauf qu'ici on n'est pas à Ikea. Tu es tellement instable et monstrueuse que tu as osé me redemander de te faire un bébé.
Je ne suis pas ta poupée, que tu prends et que tu jettes au gré de tes caprices. Tu as voulue être franche mais sur ce coup, tu as franchement tout ruiné. Cela a beau être une erreur, j'avoue tu en assumeras la conséquence.
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Alain, 40 ans, Suisse
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Je ne sais pas si dire ici que quelqu'un nous manque terriblement veut finalement dire quelque chose. J'avoue que ce mot 'terriblement' n'a pas un sens aussi fort lorsque nous ne l'avons pas vécu. Ensuite ce mot est très très fort de sens, il est même terrible je dirai. J'avoue que ce mot me fait pleurer comme une fillette et toujours a cause d'une femme qui a tout abandonné sur un coup de tête. J'avoue que si j’écris ici c'est uniquement pour que cette personne lise une fois mes messages comme si elle lisait dans mes pensées, c'est pour elle l'occasion de savoir ce que je pense d'elle.
Pourquoi je n'arrive pas à me la sortir de la tête ? Dites-moi pourquoi svp. Je n'ai rien demandé, mais je pense qu'il y a des personnes sur cette planète qui sont faites pour ne plus se quitter coute que coute. C'est ça l’âme sœur ? Et si cette âme sœur est mariée et que moi aussi, doit-on attendre une vie prochaine pour se 'retrouver' si j'en étais certain de ce dernier point alors oui j'attendrai...Meilleure preuve d'amour que ça je peux pas... mais de tout ça je n'en suis pas certain et je dois par obligation la laisser vivre avec un autre homme avec qui elle partage son lit tous les soirs, quelle torture psychologique... J'avoue que je ne souhaite qu'une chose qu'elle revienne vers moi ne serait-ce qu'un jour... un seul jour dans une vie c'est quoi. J'avoue que ce seul jour me procurerai le bonheur pour toute une vie. Vous dire à quel point je l'aime beaucoup cette femme... Mais elle m'ignore. La vie n'est jamais tendre.
Que quelqu'un lui dise de lire j'avoue.com maintenant que vous connaissez la ville. Le prénom de cette femme commence par J. son nom de famille se termine par T et son nom de jeune fille se termine par o. Son deuxième prénom commence par B et se termine par E. Je bénirai de toutes mes pensées l'inconnu qui l'aura dirigé sur ce site et elle se reconnaitra très facilement, elle saura qui écrit ce message.
Oui, j'avoue c'est un cri de désespoir car j'avoue que j'en ai marre marre marre de pleurer tous les soirs depuis plus de deux ans... et le pire c'est de pleurer intérieurement sans que personne ne le sache ! Qu'une puissance supérieure aident toutes les personnes dans le même cas que moi...
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J., 34 ans, Paris
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J'avoue que je vous méprise, que je vous déteste, et que je vous en veux. Oui, c'est bien de toi là-bas que je parle, le faux cool trentenaire parisien tout moisi Toi-même qui au fil des années, arrive à faire flancher l'éternelle optimiste que je suis.
Car qu'on se le dise, il faut s'armer de patience... et vous avez une capacité à faire perdre foi en l'humanité à une flotte entière d'A380 rempli de meuf célibataires les plus formidables les unes que les autres. Et je n’en peux plus, je n’en peux plus d’entendre les mêmes choses, de la part du faux cool, incapable de se remettre en question, lâche et torturé.
Et je ne veux pas, que dis-je je ne demande qu’à ne pas faire de généralité. Mais en attendant… je n’arrive plus à garder le modjo et un jour je vais vraiment finir par me retrouver aigrie (surtout ce que je ne veux pas)… Le pire c’est d’un banal affligeant, et tout le monde trouve ça si normal, avec les repères qui changent le XX1 ème bla-bla-bla excuse sociologique pourrie. Ben oui, passons notre vie à voir si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs, pour tout simplement finir par passer à côté de notre vie à juste titre.
J'avoue, je n’en peux plus de vos plaintes, de vos égos torturés, de vos ex que vous n’arrivez pas à oublier (mais avec qui vous avez été de vrais ordures) de votre lâcheté universelle, de vos mensonges, de votre peur de tout et surtout des petits rien… Je n’en peux plus de devoir m’extasier devant un mec de 35 ans qui a l’air sain. De devoir faire la danse de la joie, car OH MON DIEU il n’est pas marié, il est vraiment célibataire, il est séparé pour de vrai, il est drôle et sympa, et SURTOUT – SURTOUT… ce n’est pas un menteur / manipulateur / psychopathe.
Mais à quel moment c’est devenu quelque chose d’extraordinaire en fait ? Sans déconner.
Et en 6 ans soyons clair, et bien je n’ai fait que croiser vos routes. Bien entendu il semblerait que je sois une fille formidable et que je doive pas me remettre en question. Car personne, d’ailleurs dans mon entourage ne se l’explique. Sauf que les gars… 6 ans c’est long, et que c’est difficile en 6 ans, de repartir systématiquement avec son petit balluchon de célib, profiter de la vie et by the way de rencontrer des garçons, qui d’aventures en aventures vont bien entendu faire du mal, décevoir et piétiner le cœur plein de bleus. Au-delà de ça, c’est que chaque nouveau départ et plus dur, il demande davantage de volonté, d’efforts pour laisser sur la route les névroses de côté… mais qu’avez-vous fait de moi quoi ! Je suis en colère, et je vous trouve odieux, et inconscients. J’avoue que vous avez réussi, à ce qu’un dimanche soir, je me trouve grosse, seule et moche avec mes yeux pandas, et mes cheveux gras. J’avoue que pour ça je vous déteste, et je veux vous le dire et le crier. Pour que vous l’entendiez.
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Lafillesage, 24 ans, Paris
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J'avoue que j'ai un terrible besoin de séduire et que je me sens triste de ne pas t'aguicher plus que ça. J'avoue que je pense souvent que tu ne réalises pas la chance que tu as d'avoir une femme qui porte des escarpins, des jupes et de la lingerie fine quel que soit le jour ; travail ou non.
Tu ne réalises pas la chance que tu as de rentrer et d'avoir une petite coquine qui t'attend en nuisette. Tu ne réalises pas la chance que tu as d'avoir une fille pas dégueulasse, féminine, sexuellement très intéressée et vraiment pas conne, curieuse, sage et fidèle comme tout.
J'avoue que tu préfères passer tes soirées avec d'autres personnes, j'avoue que tu ne prends pas la peine de répondre à mes sextos, j'avoue que ton indifférence à mon égard, me font penser que tu ne seras peut-être pas capable de me retenir... Parce que si tu es insensible à mes tentatives de séduction, ça sera bientôt à toi de devoir me séduire...
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Un sushi, 26 ans, Caen
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J'avoue que j'avais tout bien préparé. Lingerie, talons... Je m'approche de mon mec et lui lance ce regard de tigresse. Je frétille les fesses et je lui dis d'une voix coquine : « j'ai la chatte en chaleur, je suis toute excitée"... Puis, là, il me regarde d'un œil vide et me répond : « faut que j'aille faire un gros caca ». J'avoue, je n'en peux plus de lui.
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Julien, 15 ans, Lyon
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J'avoue (peut-être et sans prétention) avoir fait l'une des plus importantes découvertes de l'histoire de l'humanité. J'avoue que ces mots et leur implications me font peur, je préfèrerai avoir tord. J'avoue être timide et phobique social. Je n'ai aucun ami et possède une estime de moi proche de zéro. J'avoue ne rechercher ni gloire ni fortune, seulement la vérité. J'avoue en avoir parlé à un des garçons au col blanc, et cela m'a demandé beaucoup d'efforts, mais ils ne m'écoutent que d'une seule oreille quand cette trouvaille en requiert au moins deux. J'avoue qu'un anonyme sur tweeter s'est penché sur la question et il a aimé ce que je lui ai montré. Merci à toi de me faire confiance. J'avoue n'avoir aucun moyen direct de faire connaître mes recherches car je ne suis personne aux yeux du monde entier. Juste un garçon avec des idées venues d'ailleurs. J'avoue par conséquent que cette découverte ne trouvera son chemin au grand public que dans plusieurs mois voir années. J'avoue espérer que vous me pardonnez tous de ne pas pouvoir aller plus vite dans mes recherches et surtout dans le processus de bouche à oreille puisque je suis pratiquement muet.
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Indecisewomen, 25 ans, Bordeaux
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J'avoue que quand je regarde ma vie je ne me reconnais pas... et si on ne s'était jamais rencontré ? J'avoue que j'en ai souvent marre de toi. j'avoue que je te mens très souvent car je connais d'avance tes réactions, alors je te dis ce que tu veux entendre... je me sens bien faux cul avec toi mais il faut ce qu'il faut pour tenir un couple non ?
J'avoue que j'en ai parfois marre de ne pas pouvoir être moi même, que tu es chiant, que tu veux tout contrôler et que tu passe ton temps à juger et critiquer moi et les autres et que franchement je te trouve souvent idiot et pas évolué...
Alors oui j'avoue que j'aime être seule, sans toi, sans les enfants, que je suis contente quand tu sors sans moi et qu'après tu culpabilise et reviens plus tôt pour passer du temps avec moi, j'avoue que ça me fait un bien fou de passer des moments seule et que je passe des super soirée avec moi et seulement moi !
J'avoue que parfois je regrette t'avoir connu, que ma vie serai totalement différente... et pourtant, mon cœur se brise quand tu veux me quitter.
J'avoue ne pas toujours savoir ce que je ressens, je t'aime et te hais à la fois...
J'avoue que selon les jours j'ai envie que tu sois malheureux comme tu me rends malheureuse !!! J'avoue être égoïste, et que je ne sais pas toujours ce que je veux...
J'avoue que malgré la décennie que l'on vient de passer ensemble je ne sais pas si dans dix ans on le sera encore... Auras-tu le courage de me quitter ou est-ce que c'est moi qui l'aurai ce courage ? J'avoue préférer ne pas y penser et me laisser porter par la vie. Je t'aime... Parfois... Souvent... que serait ma vie sans toi ?
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Loïs, 23 ans, Paris
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J'avoue, ce soir j'ai envie de débarquer chez toi, de te dire ce que j'avoue ici.
J'avoue, je t'aime beaucoup "Clark", mais je ne peux plus te le dire. Notre relation entretenue, pourtant interdite, toi étant marié et de 20 ans mon ainé, m'a emplie de bonheur... mais tout autant de douleur. Je t'aimais et je t'aime toujours profondément mais jamais librement, et qu'est-ce que je n'aimais jouer le rôle de maîtresse... Mais j'adorais être dans tes bras, serrée contre toi.
Pourtant j'ai dis stop, il y a plus de deux ans... Parce que trop jeune, trop inquiète et peut être trop amoureuse. J'ai dis stop car je n'ai jamais pu te demander de choisir entre elle et moi. J'aurais voulu tout quitter, recommencer ailleurs avec toi. Reprendre un truc à nous. Tu as pourtant souffert, quand j'ai mis fin à notre histoire, tu l'as même dit à ta femme, mais je ne voulais pas recommencer une histoire cachée.
Tromper... je déteste, je n'avais aucune mauvaise intention pour personne. Pourtant ce soir j'avoue, je voudrais me retrouver près de toi, dans tes bras, refaire l'amour avec toi et t'embrasser. J'avoue j'aimerais que tu comprennes, que tu viennes. Mais le temps passe et nous écarte. J'avoue, je t'aime. J'aimerais que tu me lises ici.
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Desperategirl, 36 ans, Bruxelles
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J'avoue avoir envie de mourir. Ma vie est un échec total, aussi bien professionnellement que dans le privé et je n'ai aucun espoir de la voir s'améliorer. Je suis une ratée, seule et ridicule. J'avoue que ma vie est inutile. J'avoue que je suis trop lâche pour mettre fin à cette mascarade.
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Undeperdu, 24 ans, Dijon
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J'avoue être complètement paumé sans toi. J'ai fait probablement la pire erreur de mes 24 années en te quittant. Même si nous nous sommes disputés souvent et assez fortement, même si nos caractères ne sont pas très compatibles...
J'avoue t'attendre, et ne plus en pouvoir. J'avoue espérer que ton couple cassera, simplement pour retenter ma chance, et qui sait, ne plus me passer de toi. J'avoue avoir tout appris de ces deux ans et demi avec toi, j'avoue que cette séparation m'a permis de savoir à quel point tu comptes pour moi.
J'avoue que je ne peux pas aimer quelqu'un d'autre comme je t'aime toi, et que je reste avec ma copine seulement pour lui éviter de souffrir tant qu'il ne se passe rien. J'avoue ne pas du tout aimer le type que je suis, et encore moins depuis notre rupture.
J'avoue avoir besoin de toi, et seulement toi. J'avoue qu'après tout ça, j'espère au moins avoir la chance de pouvoir te le dire en face. J'avoue, Chloë, que quoiqu'il en soit je t'aime encore et toujours, et bien plus que tout ce que tu peux imaginer.
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Bancale, 27 ans, Namur
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J'avoue jongler entre un vide de cerveau, une extrême lassitude et une douleur latente... Et une menace aussi. Une menace continuelle, qui me suit discrètement partout où je vais, partout où je pense, jusque dans mes rêves. Elle me chuchote des mots inaudibles dont je ressens l'effroi et elle me fait comprendre qu'elle est toujours là, même si je ne la vois pas.
Parfois, elle me dit que si je continue dans la direction dans laquelle je vais, je devrais faire face à des horreurs qui me pollueront à jamais le cerveau, des horreurs qui iront s'entasser sur mes épaules et que je n'aurais peut-être pas la force de porter jusqu'à la fin de ma vie sans abandonner.
D'autres fois, elle me dit - et c'est pire- que mes pas me mènent à un cul de sac de souvenirs confus et d'indices subjectifs… qu'il n'y aura rien d'autre que la certitude qu'il s'est passé quelque chose sans jamais savoir quoi… qu'il faudra que je vive avec ce fantôme et les regrets attachés comme des grelots à mon incertitude.
Mais cette menace ne fait pas que me murmurer du poison à l’oreille. Elle fait remonter des souvenirs qu’elle me balance comme un poing dans la tronche en me hurlant : « Idiote ! Tu ne vois pas là ??! ». Et moi non, je ne vois pas. Je ne comprends pas où elle veut en venir ou je ne veux pas comprendre. Je me méfie d’elle. Alors elle me chante que j’ai raison de ne pas la croire sur un air moqueur et quelque part, je sais que je suis en train de perdre. Parfois elle me bande les yeux pour que je ne vois pas des choses évidentes, parfois elle me bâillonne pour que je ne parle pas de certaines choses. Elle fait le tri dans ma mémoire, et me pousse à faire des choses dont je n’ai pas envie.
Quand j’essaye de m’occuper, elle me susurre qu’elle fait partie de moi et qu’il faudrait l’accepter si je « veux grandir un peu». Moi j’essaye d’imaginer ce que serait ma vie si j’étais libre d’elle et avec beaucoup d’inquiétude je me rends compte que ça ferait un vide et qu’il me faudrait reconstruire mon identité. Elle m’assure alors que je cherche un bourreau alors que c’est moi le bourreau mais que j’aime trop le rôle de la victime pour me l’avouer. Ça la fait sourire de me faire culpabiliser.
Ma psy lui a donné un nom : Trauma. Il parait qu'on attrape ça quand on a été élevée par un pervers narcissique, quand les indices nous mènent à croire qu'il nous a fait subir, entre autres, une agression à caractère sexuel. J’avoue que je ne sais pas comment m’en sortir.
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Vic, 28 ans, Belfort
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Ce soir me vient le besoin de me confier. Je sens que je n'en peux plus. Ecrire me permettra peut-être de faire redescendre la pression. Il parait que c'est thérapeutique.
Cela fait 2 ans que je lutte pour avoir une vie. Je suis tombée amoureuse d'un divorcé avec deux enfants, avec en option une ex-femme mentalement instable (maniaco-dépressive, mêlée de bipolarité). J'ai tiré le gros lot ! And the winner is... Bibi !
Avec mes études, je me suis retrouvée dans l'Est. Mais ma région d'origine est l'Ouest (Restons vague) et en parlant de vague, je suis comme un saumon, mon objectif est de fonder une famille et avoir une vie, là où je suis née !
En attendant de pouvoir concrétiser ce projet, je vis dans l'Est, dans une ville que je n'affectionne pas du tout. Je n'ai aucune vie sociale, aucune activité. Je ne souhaite pas m'intégrer car mon objectif c'est de partir ! Et je subis les inconvénients d'une famille recomposée.
Ces enfants sont gentils mais j'en peux plus ! Et quand on ne ressent aucun amour pour des êtres humains, c'est extrêmement difficile d'encaisser les épreuves. Oui, Vous, vous, femme fiancée, mariée à un divorcé... vous êtes les seules à me comprendre. Avez-vous ressenti cette culpabilité de ne ressentir aucun amour pour ses enfants ? Avez-vous eu cette colère qui ne demande qu'à s'exprimer devant ces deux êtres qui représentent à eux seuls le frein de vos projets ?!! Mesdames, je sais que je ne suis pas seule ! Mais sous ce toit, je le suis !
Je suis seule et fatiguée d'être au milieu de ce merdier émotionnel ! Fatiguée de subir ! Car nous subissons les erreurs de celui qu'on aime. Jusqu'où l'amour peut-il nous faire tenir ?
Nous avons lancé les procédures pour récupérer les enfants pour à moyen terme, partir dans l'ouest. Eux pour un nouveau départ, moi pour enfin rentrer chez moi (après 6 ans d'espoir). Et aujourd'hui, l'avocat me dit que ce n'est pas gagné. Le juge peut garder la garde alternée. OBJECTION VOTRE HONNEUR ! Ah mais non ! Ce n'est pas envisageable. Je ne vous paye pas 2 000 Euros les 10hrs pour me dire ça! Cette garde exclusive est mon passeport pour l'ouest !!! Sans ça, je ne suis prisonnière !
Comment rester zen et ne rien montrer quand ces deux petites personnes peuvent te faire foirer "the" objectif de ta vie ? Dites-moi ! Bouddha n'a jamais vécu en famille recomposée.
J'avoue avoir manqué de patience et déclaré au père ce soir "Si ce jugement foire, je t'en tiendrai responsable !" et j'avoue avoir décidé intérieurement de tout quitter ici si la décision n'est pas celle attendue !
6 ans que j'attends ! je ne laisserai pas ces mômes me gâcher ma vie !!!
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Thea, 15 ans, Montpelier
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J'avoue j'aurais aimé que tu sois plus pour moi. J'aurais aimé que tu sois ma grande soeur. Attentionné et que tu m'emmène partout avec toi, j'envie ta vie et j'aurais voulu l'avoir. Je suis jalouse, terriblement jalouse de toi ! Tu es belle et attirante cool et tu attires tout le monde. Tu te fais des centaines d'amis en quelques minutes. Tu as une vie de luxe et je j'admire.
Mais j'avoue je t'en veux. Je t'en veux de ne pas faire plus attention à moi. Je ne veux pas être juste un choix parmi d'autre dans ta vie. Aime-moi s'il te plait et fait moi partager ton monde... Je t'idole et t'adores J.
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Retrica, 17 ans, St Denis
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J'avoue que je t'ai toujours trouvé cool, que limite je t'idolais que j'essayai de te ressembler autant avec les vêtements que ma façon d'être. J'avoue que j'aurais tout fait pour que tu m'apprécies et me trouve sympa mais que je me taisais car j'avais peur de dire des bêtises inintéressante. J'avoue surtout que j'ai toujours su que tu adorerais ma personnalité mais que je n'ai jamais osé te montrer qui je suis vraiment.Et maintenant j'ai des regrets car tu as une image de moi qui ne me reflète pas. Et moi, je t'adore.
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Ouna, 34 ans, Paris
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J'avoue que je suis mariée mais je recherche quelqu'un... que j'aimerai voir et revoir régulièrement !
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Butterfly, 26 ans, Bayeux
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J'avoue tromper mon conjoint depuis plus d'un an. J'avoue avoir aimé embrasser et jouer avec une femme. J'aime avoir aimé jouer à trois. J'avoue avoir vécu des situations que personne ne soupçonneraient dans mon entourage et adorer ce sentiment. J'avoue avoir expérimenter des choses incroyables. J'avoue n'avoir aucune culpabilités. J'avoue ne pas savoir quand je m’arrêterai. J'avoue avoir un amant formidable depuis plus d'un an. J'avoue que c'est une amitié amoureuse équilibrée pour le moment. J'avoue que cette situation est dangereuse. J'avoue ne pas vouloir me séparer de mon conjoint que j'aime. J'avoue vouloir avoir des enfants de mon conjoint et de personne d'autre. J'avoue que mes aveux paraissent inavouables. J'avoue adorer ma vie. J'avoue m’être trouvée et comprise durant cette dernière année. J'avoue être heureuse.
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Lafillequisedeteste, 14 ans, Orléans
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J'avoue je le trouve craquant. J'avoue que je prend hyper longtemps pour choisir mes vêtements et les laver. J'avoue que quand il est en face de moi en anglais, je ne fais que le regarder. J'avoue que je suis triste dès que je le vois embrasser sa petite amie surtout quand ce n'est pas la même. J'avoue qu'il peut paraître vraiment con parfois. Mais j'avoue surtout que je l'aime.
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Amy, 35 ans, Paris
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J'avoue que je n'aurais jamais cru vivre cela un jour... Quand je t'ai vu, au début, je n'avais aucune once de sentiments pour toi. Ni amical, ni amoureux. Le temps a passé et je t'ai reconnu, toi le seul et l'unique amour de ma vie. Je ne pensais pas tomber amoureuse d'un homme tel que toi, l'opposé de mes critères physiques mais je me suis aperçue qu’avant d'aimer ton corps, j'ai aimé ton âme. Tu es mon âme soeur et ce qui me tue c'est que tu ne sembles pas l'avoir compris. Tout dans tes regards, tes gestes, ta voix tout transpire l'Amour. Lorsque je t'ai tout dit de mes sentiments, j'avoue que je pensais que tu ressentais aussi cette magie... Tu m'aimes beaucoup mais pas comme je le rêverais... Je t'ai fais des crises de jalousie, je t'ai rembarré tant de fois devant audience et tu es toujours revenu... Pourquoi ? Maintenant tu pars loin, longtemps et j'ai peur. J'ai peur de mourir de chagrin tant la peine sera indicible. Je ne pourrais rien laisser paraître car mon Amour pour toi est un lourd secret. Je sais que tu m'oubliera mais sache que je ne t'oublierai jamais... Tu es mon plus doux regret. Les aubes sont navrantes... Je t'attends là au cas où la vie voudrait bien avoir pitié de mon pauvre coeur. Je t'aime de tout mon coeur... parce que c'est toi.
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Nantaise, 18 ans, Nantes
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J'avoue aimer ce garçon que je vois tout les jours dans ma classe à qui je n'ai jamais adressé la parole. J'avoue ne pas savoir son ressenti à mon égard malgré quelques paroles via internet. J'avoue rêver de lui la nuit, il hante mes pensées mais ne le sait pas. J'avoue assister à un match de son équipe favorite juste pour qu'il le remarque, me remarque.
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M.o.w., 33 ans, Suisse
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J'avoue qu'à 3 mois de notre mariage, tout le chemin parcouru jusqu'ici semble incroyablement difficile. Pourtant, il n'a jamais été aussi simple que depuis que tu es revenue dans ma vie. J'avoue que depuis 1 an et demi tu me surprends régulièrement, tu m'apportes plus que je n'aurais jamais pu l'imaginer et tu me rends heureux. J'avoue que je t'aime plus de jour en jour.
J'avoue qu'avec toi, T'ite Fleur, tout me semble évident.
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Smiley, 38 ans, Strasbourg
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J'avoue que j'ai rencontré l'Amour de ma vie, alors que je suis en couple depuis plus de 15 ans... J'avoue que tout ce que j'ai vécu avant lui s'est comme évanoui... J'avoue que cela fait plus de 5 ans que je l'aime. J'avoue que mon mari me fait du chantage affectif. J'avoue que c'est difficile de tout quitter...
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Elsa, 19 ans, Marseille
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J'avoue que je suis tombée amoureuse de lui, mais je ne le pensais pas assez bien pour moi. Quelle conne j'ai fait. Il était si adorable avec moi, il aurait pu arracher son propre cœur pour me l'offrir sans même contester une seule seconde. Il me faisait rire et nous partagions une complicités hors du commun. Sauf que mon égoïste a pris le dessus et je l'ai laisser tomber pour un ami à lui.
J'avoue qu'il n'avait pas mérité ça même si c'est ce que j'ai essayer de lui faire croire. J'avoue qu'il m'a insulté à de nombreuses reprise avant même que je me mette en couple avec son ami mais il avait sans doute raison.
J'avoue qu'il commençait à faire preuve d'une certaine bipolarité avant que je ne largue. Mais tout cela n'excuse en rien ce que j'ai fait. Le truc c'est que cet ami aussi est génial. Il est si gentil et attentionnée avec moi. Il m'a présenté à toute sa famille et moi à la mienne. Mais j’ai peur que tout cela ne soit juste dû au fait qu'il soit plus beau que l'ancien donc le fait que je l’exhibe soit juste une forme de narcissisme.
J'avoue penser à mon ancien copain par moments. J'avoue continuer lui parler en secret alors que mon nouvel amant me l'interdit formellement. J'avoue être amoureuse de ces deux homme sachant que je n'en mérite aucun.
J'avoue être perdue depuis que mon ancien copain refuse de me parler. J'avoue avoir le cœur brisé depuis qu'il m'ignore et se rapproche d'autre fille. J'avoue mériter cette douleur. J'avoue le fait qu'il me manque mais refuser de larguer mon nouveau copain pour lui.
J'avoue avoir peur d'être totalement perdue sans celui ci. J'avoue me détester mais afficher un faux sourire pour faire croire que je suis la fille la plus heureuse du monde.
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Mysterieusemadone, 35 ans, Paris
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J'avoue que je crois avoir enfin pris la décision que j'aurais dû prendre depuis des années, la bonne décision. J'avoue que tu n'aurais plus dû faire partie de ma vie depuis longtemps. J'avoue que je ne comprends pas pourquoi tu es revenu comme une fleur après 5 ans. 5 ans, c'est long... 5 ans pendant lesquels j'ai juste assisté à ma vie, j'ai été passive. 5 ans pendant lesquels je me suis posée une multitude de questions. 5 ans pendant lesquels j'ai dû apprendre à me reconstruire. 5 ans pendant lesquels je me suis isolée. 5 ans pendant lesquels j'ai été bloquée et au moment où je réapprenais à vivre sereinement, tu es revenu pour tout chambouler, sans rien me dire, comme si rien ne s'était passé.
J'avoue que je sais aujourd'hui que je n'aurais jamais de réponse sur ce passé douloureux et mensonger. J'avoue que j'ai souffert pendant toutes ces années, j'ai souffert et j'ai appris à survivre. Ca a toujours été unilatéral entre nous.
J'avoue que je pense que je conserverai toujours une rancœur envers toi, rancœur que je pensais avoir disparu quand on s'est revus parce que je me sentais en confiance les 3 premières fois et je me sentais complice et bien avec toi, j'avais l'impression qu'on s'était quittés il y a quelques mois. Et puis, cette rancœur est vite revenue quand je me suis rendue compte que je n'étais qu'un "objet" pour toi, que tu venais quand tu le souhaitais, aucune nouvelle en dehors de tout ça. J'avoue que j'ai fini par imaginer que tu revenais pour te déculpabiliser ou savoir si je t'en voulais pour ce passé ou pour me garder sous le coude au cas où. Tu n'as pas cherché à savoir comment j'avais vécu tout ça ou ce qui se passait dans mon entourage, jamais intéressé au contexte extérieur ni par le passé ni par le présent.
J'avoue que tu es le seul homme que j'ai aimé à ce point et pour lequel j'aurais tout lâcher. J'avoue avoir toujours pensé que c'était toi l'homme de ma vie mais je me suis trompée.
J'avoue que tout ce qui s'est passé il y a 5 ans m'a permis d'évoluer et d'être plus dure. J'avoue que j'ai perdu la plupart de mes amis, mes repères à cause de toute cette histoire et j'ai perdu ma confiance en moi et envers les autres... En gros, j'ai tout perdu. Heureusement que j'avais mon travail pour m'éviter de penser.
J'avoue que je n'aurais jamais dû répondre à ta demande de me revoir et mon erreur a été de te retrouver dans un endroit, seule avec toi, pensant que j'aurais des explications sur ce qu'il s'est passé ces 5 dernières années mais on peut toujours rêver. J'avoue que j'aurais dû avoir le cran de te poser ces questions quand je t'ai revu mais j'ai été submergée par les émotions quand tu m'as embrassée. Pleurs (pensées incontrôlées du passé et de la douleur ressentie à l'époque)
J'avoue que je sais que pour avancer, il faut que tu partes de ma vie, toi, indécis et donnant l'impression de jouer. J'avoue avoir peur de reperdre 5 ans de ma vie.
Je crois que c'est trop tard. Quelque chose est cassé, ce n'est plus comme avant. On ne pourra jamais être amis, ni amants.
J'avoue ne pas avoir besoin de ça dans ma vie.
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