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Julien, 15 ans, Lyon
J'avoue (peut-être et sans prétention) avoir fait l'une des plus importantes découvertes de l'histoire de l'humanité.
J'avoue que ces mots et leur implications me font peur, je préfèrerai avoir tord.
J'avoue être timide et phobique social. Je n'ai aucun ami et possède une estime de moi proche de zéro.
J'avoue ne rechercher ni gloire ni fortune, seulement la vérité.
J'avoue en avoir parlé à un des garçons au col blanc, et cela m'a demandé beaucoup d'efforts, mais ils ne m'écoutent que d'une seule oreille quand cette trouvaille en requiert au moins deux.
J'avoue qu'un anonyme sur tweeter s'est penché sur la question et il a aimé ce que je lui ai montré. Merci à toi de me faire confiance.
J'avoue n'avoir aucun moyen direct de faire connaître mes recherches car je ne suis personne aux yeux du monde entier. Juste un garçon avec des idées venues d'ailleurs.
J'avoue par conséquent que cette découverte ne trouvera son chemin au grand public que dans plusieurs mois voir années.
J'avoue espérer que vous me pardonnez tous de ne pas pouvoir aller plus vite dans mes recherches et surtout dans le processus de bouche à oreille puisque je suis pratiquement muet.
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Indecisewomen, 25 ans, Bordeaux
J'avoue que quand je regarde ma vie je ne me reconnais pas... et si on ne s'était jamais rencontré ?
J'avoue que j'en ai souvent marre de toi.
j'avoue que je te mens très souvent car je connais d'avance tes réactions, alors je te dis ce que tu veux entendre... je me sens bien faux cul avec toi mais il faut ce qu'il faut pour tenir un couple non ?

J'avoue que j'en ai parfois marre de ne pas pouvoir être moi même, que tu es chiant, que tu veux tout contrôler et que tu passe ton temps à juger et critiquer moi et les autres et que franchement je te trouve souvent idiot et pas évolué...

Alors oui j'avoue que j'aime être seule, sans toi, sans les enfants, que je suis contente quand tu sors sans moi et qu'après tu culpabilise et reviens plus tôt pour passer du temps avec moi, j'avoue que ça me fait un bien fou de passer des moments seule et que je passe des super soirée avec moi et seulement moi !

J'avoue que parfois je regrette t'avoir connu, que ma vie serai totalement différente... et pourtant, mon cœur se brise quand tu veux me quitter.

J'avoue ne pas toujours savoir ce que je ressens, je t'aime et te hais à la fois...

J'avoue que selon les jours j'ai envie que tu sois malheureux comme tu me rends malheureuse !!! J'avoue être égoïste, et que je ne sais pas toujours ce que je veux...

J'avoue que malgré la décennie que l'on vient de passer ensemble je ne sais pas si dans dix ans on le sera encore... Auras-tu le courage de me quitter ou est-ce que c'est moi qui l'aurai ce courage ? J'avoue préférer ne pas y penser et me laisser porter par la vie. Je t'aime... Parfois... Souvent... que serait ma vie sans toi ?
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Loïs, 23 ans, Paris
J'avoue, ce soir j'ai envie de débarquer chez toi, de te dire ce que j'avoue ici.

J'avoue, je t'aime beaucoup "Clark", mais je ne peux plus te le dire.
Notre relation entretenue, pourtant interdite, toi étant marié et de 20 ans mon ainé, m'a emplie de bonheur... mais tout autant de douleur.
Je t'aimais et je t'aime toujours profondément mais jamais librement, et qu'est-ce que je n'aimais jouer le rôle de maîtresse...
Mais j'adorais être dans tes bras, serrée contre toi.

Pourtant j'ai dis stop, il y a plus de deux ans... Parce que trop jeune, trop inquiète et peut être trop amoureuse.
J'ai dis stop car je n'ai jamais pu te demander de choisir entre elle et moi.
J'aurais voulu tout quitter, recommencer ailleurs avec toi. Reprendre un truc à nous.
Tu as pourtant souffert, quand j'ai mis fin à notre histoire, tu l'as même dit à ta femme, mais je ne voulais pas recommencer une histoire cachée.

Tromper... je déteste, je n'avais aucune mauvaise intention pour personne.
Pourtant ce soir j'avoue, je voudrais me retrouver près de toi, dans tes bras, refaire l'amour avec toi et t'embrasser.
J'avoue j'aimerais que tu comprennes, que tu viennes. Mais le temps passe et nous écarte.
J'avoue, je t'aime. J'aimerais que tu me lises ici.
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Desperategirl, 36 ans, Bruxelles
J'avoue avoir envie de mourir. Ma vie est un échec total, aussi bien professionnellement que dans le privé et je n'ai aucun espoir de la voir s'améliorer. Je suis une ratée, seule et ridicule. J'avoue que ma vie est inutile. J'avoue que je suis trop lâche pour mettre fin à cette mascarade.
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Undeperdu, 24 ans, Dijon
J'avoue être complètement paumé sans toi. J'ai fait probablement la pire erreur de mes 24 années en te quittant. Même si nous nous sommes disputés souvent et assez fortement, même si nos caractères ne sont pas très compatibles...

J'avoue t'attendre, et ne plus en pouvoir. J'avoue espérer que ton couple cassera, simplement pour retenter ma chance, et qui sait, ne plus me passer de toi. J'avoue avoir tout appris de ces deux ans et demi avec toi, j'avoue que cette séparation m'a permis de savoir à quel point tu comptes pour moi.

J'avoue que je ne peux pas aimer quelqu'un d'autre comme je t'aime toi, et que je reste avec ma copine seulement pour lui éviter de souffrir tant qu'il ne se passe rien. J'avoue ne pas du tout aimer le type que je suis, et encore moins depuis notre rupture.

J'avoue avoir besoin de toi, et seulement toi. J'avoue qu'après tout ça, j'espère au moins avoir la chance de pouvoir te le dire en face. J'avoue, Chloë, que quoiqu'il en soit je t'aime encore et toujours, et bien plus que tout ce que tu peux imaginer.
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Bancale, 27 ans, Namur
J'avoue jongler entre un vide de cerveau, une extrême lassitude et une douleur latente... Et une menace aussi. Une menace continuelle, qui me suit discrètement partout où je vais, partout où je pense, jusque dans mes rêves. Elle me chuchote des mots inaudibles dont je ressens l'effroi et elle me fait comprendre qu'elle est toujours là, même si je ne la vois pas.

Parfois, elle me dit que si je continue dans la direction dans laquelle je vais, je devrais faire face à des horreurs qui me pollueront à jamais le cerveau, des horreurs qui iront s'entasser sur mes épaules et que je n'aurais peut-être pas la force de porter jusqu'à la fin de ma vie sans abandonner.

D'autres fois, elle me dit - et c'est pire- que mes pas me mènent à un cul de sac de souvenirs confus et d'indices subjectifs… qu'il n'y aura rien d'autre que la certitude qu'il s'est passé quelque chose sans jamais savoir quoi… qu'il faudra que je vive avec ce fantôme et les regrets attachés comme des grelots à mon incertitude.

Mais cette menace ne fait pas que me murmurer du poison à l’oreille. Elle fait remonter des souvenirs qu’elle me balance comme un poing dans la tronche en me hurlant : « Idiote ! Tu ne vois pas là ??! ». Et moi non, je ne vois pas. Je ne comprends pas où elle veut en venir ou je ne veux pas comprendre. Je me méfie d’elle. Alors elle me chante que j’ai raison de ne pas la croire sur un air moqueur et quelque part, je sais que je suis en train de perdre. Parfois elle me bande les yeux pour que je ne vois pas des choses évidentes, parfois elle me bâillonne pour que je ne parle pas de certaines choses. Elle fait le tri dans ma mémoire, et me pousse à faire des choses dont je n’ai pas envie.

Quand j’essaye de m’occuper, elle me susurre qu’elle fait partie de moi et qu’il faudrait l’accepter si je « veux grandir un peu». Moi j’essaye d’imaginer ce que serait ma vie si j’étais libre d’elle et avec beaucoup d’inquiétude je me rends compte que ça ferait un vide et qu’il me faudrait reconstruire mon identité. Elle m’assure alors que je cherche un bourreau alors que c’est moi le bourreau mais que j’aime trop le rôle de la victime pour me l’avouer. Ça la fait sourire de me faire culpabiliser.

Ma psy lui a donné un nom : Trauma. Il parait qu'on attrape ça quand on a été élevée par un pervers narcissique, quand les indices nous mènent à croire qu'il nous a fait subir, entre autres, une agression à caractère sexuel.
J’avoue que je ne sais pas comment m’en sortir.
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Vic, 28 ans, Belfort
Ce soir me vient le besoin de me confier. Je sens que je n'en peux plus. Ecrire me permettra peut-être de faire redescendre la pression. Il parait que c'est thérapeutique.

Cela fait 2 ans que je lutte pour avoir une vie.
Je suis tombée amoureuse d'un divorcé avec deux enfants, avec en option une ex-femme mentalement instable (maniaco-dépressive, mêlée de bipolarité). J'ai tiré le gros lot ! And the winner is... Bibi !

Avec mes études, je me suis retrouvée dans l'Est. Mais ma région d'origine est l'Ouest (Restons vague) et en parlant de vague, je suis comme un saumon, mon objectif est de fonder une famille et avoir une vie, là où je suis née !

En attendant de pouvoir concrétiser ce projet, je vis dans l'Est, dans une ville que je n'affectionne pas du tout. Je n'ai aucune vie sociale, aucune activité. Je ne souhaite pas m'intégrer car mon objectif c'est de partir ! Et je subis les inconvénients d'une famille recomposée.

Ces enfants sont gentils mais j'en peux plus ! Et quand on ne ressent aucun amour pour des êtres humains, c'est extrêmement difficile d'encaisser les épreuves.
Oui, Vous, vous, femme fiancée, mariée à un divorcé... vous êtes les seules à me comprendre. Avez-vous ressenti cette culpabilité de ne ressentir aucun amour pour ses enfants ? Avez-vous eu cette colère qui ne demande qu'à s'exprimer devant ces deux êtres qui représentent à eux seuls le frein de vos projets ?!! Mesdames, je sais que je ne suis pas seule ! Mais sous ce toit, je le suis !

Je suis seule et fatiguée d'être au milieu de ce merdier émotionnel ! Fatiguée de subir ! Car nous subissons les erreurs de celui qu'on aime. Jusqu'où l'amour peut-il nous faire tenir ?

Nous avons lancé les procédures pour récupérer les enfants pour à moyen terme, partir dans l'ouest. Eux pour un nouveau départ, moi pour enfin rentrer chez moi (après 6 ans d'espoir). Et aujourd'hui, l'avocat me dit que ce n'est pas gagné. Le juge peut garder la garde alternée.
OBJECTION VOTRE HONNEUR ! Ah mais non ! Ce n'est pas envisageable. Je ne vous paye pas 2 000 Euros les 10hrs pour me dire ça! Cette garde exclusive est mon passeport pour l'ouest !!! Sans ça, je ne suis prisonnière !

Comment rester zen et ne rien montrer quand ces deux petites personnes peuvent te faire foirer "the" objectif de ta vie ? Dites-moi ! Bouddha n'a jamais vécu en famille recomposée.

J'avoue avoir manqué de patience et déclaré au père ce soir "Si ce jugement foire, je t'en tiendrai responsable !" et j'avoue avoir décidé intérieurement de tout quitter ici si la décision n'est pas celle attendue !

6 ans que j'attends ! je ne laisserai pas ces mômes me gâcher ma vie !!!
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Thea, 15 ans, Montpelier