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Mal_de_vivre, 25 ans, Montréal
J'avoue que je suis mère de deux beaux enfants et un amoureux que j'aime plus que tout au monde... Mais j'avoue que j'ai un sérieux problème.
Je voudrais pouvoir me sentir mieux mais j'en suis incapable ! Chaque jour est un éternelle combat ! Je suis en couple depuis bientôt 3 ans et je suis incapable d'avoir confiance en personne et encore moins à l'homme que j'aime ! C'est plus fort que moi, chaque fois qu'il n'est pas avec moi ma tête ce met à tourner et des scénarios se font sans cesse au point que je fini par y croire et ça me démolit !

Je ne sais plus quoi faire j'avoue que dans la vie je ne peux pas dire que j'ai déjà été heureuse et pourtant plusieurs disent que j'ai tout pour l'être, un bon travail, une famille, des amies, je suis une belle femme et les hommes se retournent sur mon passage et malgré tout ça, je souffre... J'ai beau essayer de faire cesser les scénarios qui se forme dans ma tête mais j'en suis incapable !
Je voudrais seulement un truc pour m'aider à enfin être heureuse !
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Petite-fée-éteinte, 25 ans, Bruxelles
J'avoue que ce soir tu m'as fait beaucoup de mal.
J'avoue aussi que ce n'est pas la première fois.
J'avoue que je me demande si en tant que fille c'est normal de détester son père lorsqu'il nous blesse avec des paroles méchantes depuis l'adolescence.
J'avoue être partagée entre la haine que je te porte et l'amour qu'une fille doit à son père.
J'avoue que si à bientôt 26 ans je n'ai toujours pas confiance en moi c'est en grande partie de ta faute !
J'avoue que tu ne m'as jamais compris et que c'est parce qu'on ne se comprend pas qu'on a pas une véritable relation père-fille.
J'avoue que ça me rends malade en particulier quand je vois comment tu traites ma petite sœur qui elle colle au moule de la famille.
J'avoue que j'en souffre et que malgré moi je ne peut m'empêcher de rechercher ton approbation dans tout ce que je fais malgré que ce sera tout le temps soldé par un échec.
J'avoue que je commence à n'en avoir plus rien à foutre de ce que tu penses. Que je me dis qu'au final pour que tu sois quand même déçu autant que je fasse ce que je veux moi. Au moins l'un des deux sera heureux.
J'avoue avoir hâte d'emménager avec cet homme que tu déteste à cause de sa couleur de peau.
J'avoue que le fait qu'il me corresponde si bien est une douce vengeance car il est parfait mais me savoir avec un noir te rends malade.
J'ai l'impression de te rendre la monnaie de ta pièce.
J'avoue que je l'aime au-delà de tout et que le fait que tu ne le supportes pas est comme la cerise sur le gâteau.
J'avoue que c'est compliqué mais que je n'ai pas envie de capituler parce qu'il en vaut la peine.
J'avoue que si j'avais eu le choix je ne t'aurais pas choisi comme père, encore moins comme mari pour maman. Même si je dois avouer que tu as toujours fait de ton mieux pour prendre soin de nous et que tu as des circonstances atténuantes.
Mais j'avoue surtout que ce soir ça ne suffit plus. Je suis fatiguée de te trouver des excuses.
J'avoue avoir le cœur qui saigne trop pour me dire que ce n'est pas de ta faute..
Même si j'avoue qu'au final tu restes mon père et que je te pardonnerais toujours.
J'avoue que je me sens faible de te pardonner à chaque fois mais que j'ai l'impression de ne pas avoir le choix.
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Capricam, 29 ans, Arras
J'avoue 2015 est officiellement une année de merde... Mon couple défaille et ça me trouble. Je pensais avoir trouver le bon...
J'avoue, niveau santé, c'est acté un an d'em......s, je dois encore et pour la quatrième fois un opération dite bénigne mais qui sur moi ne l'est plus car ce qu'il arrive n'est pas ce qui se passe normalement et au bout d'un an c'est beaucoup.

Ma sep m'a joué un tour à ma visite semestrielle. des réflexes asymétriques, plus vifs du côté gauche, mon côté fort certes léger mais malgré cela m'a remué. Après ce jour là il faisait chaud, j'étais exténuée.... on verra à la prochaine.
Hier pour ma fête, et pour finir ce long weekend ! J'avoue j'ai fini en beauté le weekend. Perdre le contrôle de son véhicule sur route gravillonnée et se retrouver dans le fossé. Belle performance je trouve ! C'est ironique bien sûr...

J'avoue j'ai eu peur et me dit que ça aurait pu être pire car au final et fort heureusement personne n'a été impliqué mis à part moi.
J'avoue que si je n'avais pas contre braqué, j'aurai filé droit dans le fossé et six pied sous terre.
J'avoue dans l'histoire j'ai eu une chance monstre.

J'avoue je rêve de dormir là et de mettre fin à cette mauvaise série.
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Louise, 35 ans, Tolouse
J'avoue que je ne pense qu'à toi tout le temps.
Nous sommes tous les deux en couple et avons une grande différence d'âge et ça me tue.
J'avoue que je n'aurais jamais dû te dévoiler mes sentiments parce que tout cela est vain... malheureusement...
J'avoue que j'ai l'impression de te plaire mais je crois que je me fais des idées.
Des mois, des jours à espérer, a déchanter.
Mais vrai j'ai tant pleuré...
J'avoue que je n'ai jamais ressenti cela pour personne et que cela m'effraie.
Je sais qu'il n'y a rien à espérer et pourtant mon cœur ne veut pas le croire.
Comment t'oublier, toi qui est toujours là, chaque jour devant moi ? Quand je crois y arriver, tu souris et... c'est reparti !
J'aimerai que tu aies le courage de me dire ce que je t'inspire réellement...
A toi...
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Missy, 15 ans, Arras
J'avoue que j'aurais du te dire que je t'aimais, mais je m'en suis rendue compte trop tard.
J'avoue que je n'aurais pas dû éviter ton baiser.
J'avoue que j'ai adoré dormir contre toi et que j'ai fait exprès de me coller à toi.
J'avoue que maintenant le pyjama que j'avais porte ton odeur et que je la respire tout les soirs.
J'avoue que maintenant j'appréhende de te revoir, sache que je n'ai jamais embrassé personne et que je veux que ça soit toi le premier.
J'avoue que je sais que tu ne tenteras rien mardi parce que je t'ai repoussé.
Et j'avoue que moi je n'aurais de toute manière jamais eu le courage de te l'avouer.
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Une fille, 17 ans, Amiens
J'avoue avoir envie de te quitter.
J'avoue de trouver très lâche et fuyant à tel point que j'en ais marre. Mais j'en souffrirais.
Je t'aime sincèrement. Mais tu ne t'investis pas.
Tu ne réponds jamais aux messages, que ce soit les miens ou ceux de tes amis. Seulement, je trouve cela anormale que tu ne me réponde jamais et tu ne t'intéresses pas à moi. Je me sens délaissée, qu'est-ce que je suis vraiment pour toi ?
J'avoue avoir envie que cela change, je veux faire en sorte que tu bouges ton cul !
Rater son bac à dû te coûter beaucoup, mais ne perd pas ta copine en plus de cela, tout ça parce-que tu me délaisses, alors que tout pourrais rentrer dans l'ordre si facilement, si tu m'aimes vraiment bien évidemment...
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Jean-miiiii, 23 ans, Québec
J'avoue, je suis au bout du rouleau, complètement, j'ai tenté de consulter mais... pas toujours facile de se faire comprendre quand moi-même j'ai de la difficulté à comprendre ma situation. Donc, je me lance...

J'ai 23 ans, et depuis le plus loin que je me souvienne, j'ai toujours eu bien de la difficulté à exprimer ce que je ressens. La plupart du temps, je n'ai pas osé dire un seul mot sur mon état, car j'avais peur de faire rire de moi (une grosse erreur, non ?). J'ai toujours "refoulé" ces sentiments loin en moi, en tentant de ne rien laisser paraître et de vivre outre ces problèmes qui me tracassent.

Comme bien des gens, je me faisais intimider à l'école primaire. Ce qui me faisait le plus de peine à ce moment, c'est que mon frère ne me défendait pas et me laissait seul. Il savait que j'allais me laisser dire des bêtises longtemps, très longtemps, mais qu'à un moment donné, j'allais exploser de violence envers ces gens, et il aimait ça me voir défendre de cette façon (j'avais à peine 7 ou 8 ans que j'utilisais déjà la violence pour me défendre, et ça fonctionnait).
À l'école secondaire (12 à 17 ans), pratiquement plus personne n'osait me dire une insulte, car à 12 ans je faisais déjà 1m87 pour 220lbs (environ 100kg), j'ai gagné le respect de ceux qui avaient le profil de petits emmerdeurs qui m'ont collé durant tout le primaire. C'était, pour moi, une réussite de ce côté...

Sauf qu'à ce moment, je n'osais pas m'exprimer comme je le voulais, car je ne voulais pas qu'on me juge pour chaque chose que je dis ou que je fais, comme l'ont fait ceux au primaire. Donc, je faisais ma petite routine d'écolier qui ne s'exprimait pas, qui restait très gêné, qui avait un petit cercle d'amis qui s'entraidaient dans certaines situations pénibles, mais je continuais à ne pas m'exprimer pleinement, même à eux.

J'ai toujours eu de la difficulté à trouver ce qui m'intéresse réellement dans la vie. Je n'ai jamais été passionné par quoi que ce soit, dans ce temps là j'avais mes amis, quelques activités que j'aimais faire, j'avais quelques hobbys, mais rien à ce qui a trait aux choses les plus communes de la vie (je n'aimais pas les sports car je détestais la compétition, je n'étais pas habile de mes mains, j'ai toujours eu peur de faire du théâtre ou toutes autres formes d'arts car j'étais incapable de m'exprimer... foutu problème qui me suit depuis que je suis né). Dans ce temps là, mes consoles de jeux vidéos étaient mes meilleurs amis (quoique, je n'ai jamais été meilleur que les autres dans ce domaine).

J'ai longtemps tenté d'améliorer mon sort, j'ai rencontré des travailleurs sociaux et autres intervenants dans mes écoles, et si, du moins, j'ai bien suivi un de leurs conseils, c'était de tenter de me dépasser dans ce que j'ai peur de montrer aux autres. Pour ce faire, je me suis inscrit dans un centre de conditionnement physique, j'ai continué à voir mes amis et j'ai rencontré de nouvelles personnes, j'ai fait plusieurs efforts pour me faire reconnaître, car je sentais que ma confiance en moi revenait peu à peu.

Vers mes 16 ans, je me sentais bien mieux et ça paraissait. Par contre, à cet âge, il est grand temps de déterminer dans quelle carrière on veut se lancer dans la vie. Cela fut une nouvelle grosse épreuve pour moi, car malgré que j'avais ma confiance en moi à bloc, je n'avais aucune idée de ce qui s'en venait.

Je n'ai jamais eu la moindre once d'idée de ce que j'allais faire plus tard. J'ai rencontré plusieurs orienteurs de professions, qui eux-même ont trouvés que mon profil était difficile à cerner et la tâche fût bien compliquée... J'ai tout de même tenté le coup dans une formation collégiale, qui était tout de même une belle formation, mais qui n'était pas ce que je me voyais faire plus tard. J'ai fait cette formation sur 1 an et demie sur les 3 ans que ça demandait. J'ai travaillé le temps de me retrouver autre chose. J'ai refait des grosses démarches pour trouver une autre formation qui me plairait, et j'ai fini par trouver. Donc, je me suis inscrit dans cette formation, elle aussi de 3 ans. Au tout début ça allait, je me suis même donné la peine de chercher une entreprise dans ce domaine pour aller travailler durant les vacances d'été, pour me donner un aperçu et de bonnes expériences (je ne laisse rien de côté, je ne veux plus faire d'erreur et tout recommencer). J'ai travaillé fort, et j'ai réussi la formation. Par contre, je l'ai réussie parce que j'étais rendu trop orgueilleux pour abandonner, car je le voyais qu'encore une fois, ça ne me plaisait pas à long terme. Je me disais que "lâcher, c'est pour les faibles" et que je n'étais plus "faible" comme je l'ai toujours été (on voit bien, rendu là, que je suis très difficile avec moi-même, je n'endurerai plus jamais une défaite qui viendrait de moi).

Donc, j'ai travaillé dans ce domaine durant un an, mais j'étais malheureux de le faire. Je me disais que j'allais renflouer mon compte en banque pour rembourser mes dettes dues aux études et me relancer dans autre chose. Sauf que j'ai perdu dans ce jeu; Mes supérieurs ont remarqué que je ne satisfaisais pas aux exigences de l'emploi et qu'il était mieux pour moi de me mettre à la porte. Je me suis retrouvé sans emploi, en ayant moins de dettes mais sans économies, et surtout, sans trop savoir ce que je veux faire. J'en suis rendu là dans ma vie.

Je n'ai pas parlé de mes relations amoureuses tout à l'heure, mais cela fait aussi partie de mes énormes angoisses que je vie présentement. Comme vous savez, j'ai eu un énorme manque de confiance en moi dans ma jeunesse jusqu'à 16 ans, ce qui n'aide en rien dans la recherche d'une partenaire. Sauf que c'est à partir de mes 16 ans que j'ai eu quelques histoires d'amour, qui n'ont jamais durées plus de 5 mois. J'ai eu ma dernière blonde à mes 18 ans !

Depuis, pas une seule femme n'est entrée dans ma vie, un peu par choix, beaucoup par le fait que je ne me sentais peut-être plus aussi bien dans mon corps qu'à mes 16 ans. Car dès que j'ai montré mes signes de faiblesses par rapport à mes choix de carrière, j'ai signifié également un manque de confiance en moi, qui revenait peu à peu me hanter. J'ai 23 ans, donc c'est très difficile à vivre, surtout avec des tentatives très infructueuses...

Vers mes 20 ans, une cloche a sonné dans ma tête, je me suis demandé si je n'avais pas une attirance vers les hommes... En fait, je me suis toujours posé la question, mais, encore une fois, je ne voulais pas me faire juger par les autres!!! J'ai toujours aimé mes copines, mais à quelque part je sentais que je pouvais avoir la même attirance envers les hommes... Je suis maintenant pris devant un grand obstacle; je n'ai aucunement l'envie d'annoncer ce genre de choses à mes proches, car certains sont complètement contres les couples homosexuels (même en 2015), alors que j'ai moi-même bien de la difficulté à m'accepter tel que je suis. Je le sais que ça me ferait un énorme bien de me libérer de ce secret, j'ai un ami gay qui a vécu cela qui est pleinement affirmé et qui vit maintenant très bien avec ça et ses proches aussi. Bref, c'est très embêtant et je ne sais pas trop quoi faire...

J'espère que j'arriverai à me frayer un chemin à travers tout ça, pour un jour vivre en harmonie avec moi. Il faut apprendre à s'aimer soi-même avant d'aimer quelqu'un d'autre.

- D'un gars qui semble normal et heureux mais qui ne l'est pas.
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Michel, 49 ans, Versailles
Depuis 5 ans, je suis l'amant de la femme de mon meilleur ami qui a 25 ans de plus que moi, pourtant je l'aime comme un fou... et ma femme laisse faire.
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Rossignol, 18 ans, Paris
J'avoue que quand je t'ai vu mon cœur a fait un bond dans ma poitrine. La première fois qu'on s'est rencontré, je t'ai trouvé avant tout incroyablement beau. Puis on s'est parlé, on avait un peu bu, puis plus on se parlait plus tu me plaisais.

J'avais mon copain juste a côté, on était venu ensemble a cette soirée. Mais j'avais envie de repartir avec toi. Tu es beau, grand, intelligent, tu me fais rire, tu as un charme fou. On se croise souvent en soirée tu es toujours dans les parages. Mon regard te cherche et dès que tu parles à une autre fille, je suis jalouse. Pourtant je te laisse faire, j'ai mon copain, je l'aime, je suis une amie parmi tant d'autre, je n'ai pas à être jalouse.

Pourtant tu m'attires irrésistiblement et si je n'arrête pas de te voir je sais que ça finira mal pour moi. Je ne veux pas, trop de chose se sont mal finies dans ma vie. J'ai peur que si on se rapproche encore... je ne sais pas ce qui pourrait se passer. Tu m'attires comme un aimant, tandis que mon copain je l'aime. Et ça balance entre mon désir et ma conscience, mon esprit et mon cœur. Tu m'as charmé, tu m'as eu alors que tu ne le cherchai même pas.

Pourtant je crois bien que c'est réciproque... J'ai peur je sais pas quoi faire. Le cœur et la passion. Ce sentiment qui te dévore et qui peut te faire oublier l'amour, qui a déjà détruit mon cœur d’artichaut, et qui m'a fait croire en des histoires impossibles. Il ne s'est rien passé encore entre nous. J'ai peur de ce qui pourrait arriver. Je ne sais plus où j'en suis. J'avoue, tu m'attires.
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Hommeinfidèle, 46 ans, Rouen
J'avoue que ces dernières années, j'ai multiplié les rencontres avec les escortes. L'avantage, c'est qu'elles sont jeunes et belles, puisque je les choisis.
J'avoue que j'ai eu l'occasion de faire une rencontre avec deux jeunes femmes en même temps, et ce fut un pur moment de merveille.
Un corps sublime toutes les deux, passionnées au lit et pas passives et subissant. Non, de vraies maîtresses. Un bonheur de pouvoir passer de l'une à l'autre, d'en embrasser une en étant dans l'autre, tenir les hanches de celle que je pénétrais tout en caressant la belle poitrine de l'autre.
Quel pied ! J'avoue qu'elles m'ont comblé. J'aime ces jeunes femmes pour ce qu'elles me donnent. J'avoue que je recommencerai.
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Mysterieuse, 35 ans, Paris
J'avoue avoir pensé que tu revenais vers moi pour une autre chance. Sinon, pourquoi réapparaître après 5 ans alors que nous n'avions pas gardé contact ?
J'avoue être déçue que tu ne parles pas de notre passé et du problème qui a fait que nous nous sommes séparés.
Déçue que tu ne me demandes pas comment j'ai vécu toute cette période.
Déçue que tu ne te renseignes pas sur cette période très douloureuse de ma vie, certainement la plus douloureuse en intensité et longueur.
Déçue que tu fasses comme si rien ne s'était passé.

J'avoue que j'aurais souhaité du fond du coeur que l'on parle de tout ça car ça me pèse.
J'avoue que j'ai l'impression d'avoir été un jouet et j'ai horreur de ça.

J'avoue ne pas donner de nouvelles pour que tu comprennes et que tu puisses essayer d'imaginer ce que j'ai vécu par le passé à cause de tout ça.

J'avoue ne pas comprendre la raison de ton retour dans ma vie.
J'avoue me sentir bien avec mon collègue, mieux qu'avec toi en fait parce qu'avec toi, je me protège et je garde une distance de peur de ressouffrir.

J'avoue que si je savais que j'aurais souffert comme ça, si c'était à refaire, je ne referais pas ce que j'ai fait dans ce passé que je tente d'oublier mais qui me rattrape quand tu m'embrasses, d'où mes larmes la première fois

Je pense que mes sentiments amoureux envers toi ont disparu et j'avoue vouloir juste vivre sereinement, de manière posée et stable, c'est ce à quoi j'aspire désormais avec ou sans toi.

J'avoue n'être jamais revenue avec quelqu'un de mon passé, avec toi, je ne sais pas, je verrais ce que tu cherches et si ça correspond à ma manière de vivre et penser.

J'avoue être parasitée par mon entourage et ses problèmes et ma recherche d'appartement.

J'avoue penser à mon collègue tous les jours et être heureuse et épanouie quand je le voie.
J'avoue avoir esquissé un sourire quand on m'a fait remarqué qu'il était heureux quand il me voyait.

J'avoue que si je l'avais connu avant, j'aurais certainement fait un bout de chemin avec lui malgré ces 15 ans qui nous séparent.
J'avoue qu'il n'est pas canon mais qu'il me plaît, il a du charme et sait me séduire et me parler. J'aime son ambition et sa douceur.
J'aime sa présence et les mots qu'il a envers moi.

J'avoue penser qu'il me correspond point par point et je sais qu'il pense pareil mais nous n'en parlons pas pour ne pas perturber plus la situation.
J'avoue me décevoir sur cette situation pour laquelle je suis novice.

J'avoue me sentir bien quand nous sommes tous les 2, quand il me regarde, quand on éclate de rire pour rien.
J'avoue penser que nous sommes complémentaires... trop souvent.

J'avoue déjà penser à quand ça s'arrêtera et si j'arriverais à stopper ça parce que je sens que tu es devenu comme moi : accro et que cela me fait peur.

J'avoue aimer quand tu me dis quasiment tout le temps que je suis "canon" mais cela ne m'aide pas.

J'avoue me poser des questions : quand tu dis du bien sur moi professionnellement, est-ce parce que c'est vrai ou parce que nous avons une relation privilégiée ?

J'avoue que je meurs d'envie de te sauter dans les bras quand je te vois mais je ne peux pas à cause de notre entourage, j'arrive à me contrôler alors que j'aimerais t'embrasser à chaque fois que je te vois.

J'avoue penser très fort que la vie est mal faite et que tu étais mon âme soeur.

J'avoue avoir déballé ce que je ressentais et ça fait du bien puisque je ne peux le dire à personne.

J'avoue avoir calmé le jeu quand je me suis rendue compte que je commençais à avoir des sentiments envers toi et que cela me manque.
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Portos, 42 ans, Paris
J'avoue que j'ai gaffé ! Gaffé avec cette amie du boulot que j'ai connu il y a quelques semaines.
J'avoue que nous attendions le métro, le premier arriva et était bondé. On décide d'attendre le prochain et elle râle : "je ne supporte pas le métro et son affluence". Je la rassure en lui disant : "De toute façons, on demandera une place prioritaire".
- Non, j'aime pas faire ça...
- Attends, c'est normal, moi j'ai pas honte de demander. Tu es enceinte de combien de mois ?
- Je ne suis pas enceinte, j'ai juste un peu trop mangé...

Aie aie aie, quelle gaffe ! J'ai essayé de me rattraper sans perdre ma contenance : "C'est pas grave, on dira quand même que t'es enceinte".
J'avoue... le boulet, j'ai vraiment honte.
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Woki, 37 ans, Strasbourg
J'avoue penser avoir trouvé l'homme de ma vie, mais n'ose pas lui dire. j'avoue avoir été très méchante avec lui alors que je ne souhaite qu'une seule chose c'est de prendre soin de lui comme je n'ai encore jamais pris soin de personne. J'avoue avoir pris ses collègues en ami sur Facebook pour espérer qu'il voit un jour mes statut si commentaire de l'un de nos amis communs. Je ne suis pas fière des reproches que je lui ai fait. Je me suis mis à dos la seule personne qui compte vraiment dans ma vie.
J'avoue avoir trop de remords à faire semblant d'ignorer mon amour pour lui.
J'avoue espérer secrètement qu'il viendrait un jour vers moi
Je l'attendrais et l'aimerais toute au long de mes souffles.
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Psychokwak, 23 ans, Melun
J'avoue que j'aurais pu quitter mon job pour faire le tour de l'Europe dans les hôtels les plus luxueux. Avec une princesse arabisante aux courbes aussi généreuses que son portefeuille toujours prêt à s'ébattre et s'envoler, battant le vent à grands coups de billets. Mais je crois qu'il est préférable que je foute un truc plus sérieux de ma vie que d'être le chien-chien d'une jeune femme de la haute. Bien que l'idée soit séduisante.
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Ap, 25 ans, Paris
J'avoue avoir embrassé un autre homme que le mien a une soirée où j'étais totalement bourrée. Je sais que c'est arrivé mais je ne me souviens pas de la scène en elle-même, et je culpabilise tellement.
J'aime tellement l'homme qui partage ma vie, il est parfait pour moi. Je m'en veux énormément de lui avoir fait ça mais je ne peux lui avouer sans le perdre ce qui m'est inconcevable.
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Guiness, 38 ans, Lyon
J'avoue que sa mort m'a effondrée.
Pourtant, aux yeux de tout le monde, ce n'était qu'un petit lapin.
J'avoue que la plupart des gens pensent qu'un lapin n'est pas affectueux, pas vivant, mais un lapin en liberté est plein d'énergie et les lapin adorent les câlins.

Le mien venait m'accueillir le matin quand je me levais, le soir quand je rentrai du boulot. Il boudait parfois, sans que je sache pourquoi. Et le soir, quand je regardais la télé, il venait se coucher à côté de moi et réclamer des caresses. Et maintenant, il est mort.

Mon lapin me manque. Ses bouderies me manquent. Son petit air coquin ou curieux me manque. Et je regrette de l'avoir laissé à la véto. Je regrette de ne pas avoir un jardin pour l'enterrer. J'ai eu l'impression de l'avoir abandonné. Je l'ai abandonné chez la véto. Il aurait pu mourir chez moi, mais je lui ai fait prendre le métro, lui donnant une source de stress.

Est-ce que c'est ça qui l'a achevé ? J'ai essayé de le rassurer, je le caressai, mais il est mort en arrivant chez la véto. Et j'avoue que je me sens coupable. Et j'avoue que je me suis disputée avec mon copain parce que je voulais un peu de temps, un peu de réconfort. Mon petit lapin m'aurait consolé. Mais il n'est plus là.

Et j'avoue que je suis seule, que je me sens seule.
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Together, 19 ans, Grenoble
M., j'avoue que je pense à toi. Un peu trop. Tout le temps. Et que ça me fait peur.
Je sors d'une relation avec une personne plus âgé et me revoilà dans tes bras, de 8 ans mon aîné.
J'avoue faire le cœur de pierre pour ne plus souffrir.
J'avoue que je sais que tu n'y crois pas une seconde.
J'avoue écouter nos chansons en boucle toute la journée.
J'avoue repenser à ces nuits à l'hôtel.
J'avoue vouloir de toi, et encore plus chaque seconde.
J'avoue que tu me fais me sentir bien.
J'avoue que je ne sais pas ce que tu me trouves.
J'avoue être tomber sous ton charme la première fois que je t'ai vu.
J'avoue que d'avoir travaillé ensemble à été très difficile pour moi.
J'avoue avoir fantasmé...
J'avoue avoir fais le premier pas.
J'avoue que tu me donnes envie de prendre mon indépendance.
J'avoue rêver du moment on pourra ne plus se cacher.
J'avoue que cette nuit encore je vais rêver de toi.
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Nun, 21 ans, Dijon
Je suis folle d'un homme que j'ai rencontré à 19 ans, de plus de 10 ans mon aîné. Il habite à l'autre bout du monde et je n'ai aucune occasion de le revoir. J'ai des bouffées nostalgiques ce soir, je regrette d'avoir refusé son affection à l'époque, par respect pour mon ex qui pourtant me trompait. J'aimerais avoir un espoir de le revoir, et peut-être de saisir cette chance que j'ai laissé filer à l'époque.

Je suis en couple depuis 2 ans avec un homme qui m'aime et prend soin de moi. J'ai honte de ne pas réussir à tomber amoureuse de lui, d'autant plus que je suis celle qui suis allée le chercher. J'ai beaucoup de tendresse pour lui, mais jamais je n'oublierai mon premier Amour. Jamais je n'oublierai mes regrets, ni la sensation de chamade dans ma poitrine.

J'ai peur de ne plus jamais ressentir cette flamme, ces bouffées de bonheur électrisantes. Quand je pense à lui, je ne suis qu'amertume et pointe au cœur. Quand je pense à mon copain je ne sens qu'agacement et culpabilité de sentir cet d'agacement au lieu d'amour. Pourtant, je n'oserai jamais le quitter.

Je prie de tout cœur revoir mon premier Amour, et peut-être alors aurais-je le courage de provoquer mon destin...
Je voudrais avoir le courage de ne pas mentir à mon copain, de ne pas lui voler plus de temps que je ne l'ai déjà fait par mon indécision.
J'aimerais être capable d'oublier cette non-relation passée, car je la sais idéalisée. Je ne pourrais qu'être déçue ; alors que mon copain est réellement génial.
Je ne suis que contradictions et me déteste pour cela.
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Acarna14, 14 ans, Amancy
Mes parents se sont séparés lorsque j'avais 6 ans et demi. Je n'en voulais pas particulièrement à mes parents. Malgré mon jeune âge j'essayais de comprendre que c'était leur choix... Je me rappelle une fois, juste avant qu'ils ne décident de divorcer, après une nouvelle dispute entre mes parents. Je m'étais approchée de ma mère qui était sur son lit toute seule et ai dit : vous n'allez pas vous séparer, hein ? Tu me le promet... et ma mère m'a regardée, je sourire aux lèvres : Je te le promet.

Quelques mois plus tard le divorce à été annoncé. Ma mère et moi avons dû quitter la maison pour trouver un appartement. Elle a commencé à tomber en dépression, je n'arrivais plus à dormir la nuit...

Peu après le déménagement, elle s'est achetée un ordinateur portable et ne la plus lâché. J'avais besoin d'une mère et elle restait scotchée devant son écran, navigant sur divers sites de rencontre. A cette époque, nous allions toutes les deux voir un psychologue. Ma mère arrivait facilement à confier ses angoisses de finir seule, du stress et quant à moi, je me renfermais de plus en plus.

Même pas un an après le divorce, mon père s'est trouvé une petite amie. Elle avait alors 26 ans et lui plus de 30. J'ai appris il y a peu qu'elle était dépressive, bipolaire et jalouse de moi. Car elle a perdu son père à 6 ans. Elle s'est alors donner pour mission de gâcher ma vie. Elle me criait dessus sans cesse, mon père ne réagissait pas et la défendait toujours. J'en ai fini par redouter les weekend que je passait chez mon père.

Ma mère pendant ce temps avait connu de nombreux échecs amoureux qui n'avaient pas manqué de la décourager un peu plus à chaque fois. Au bout de 2 ans plus tard j'ai commencé à me montrer plus audacieuse, je piquais les chocolats, j'ai caché sa peluche de phoque sous mon lit et j'avais même une fois volé une paire de ses boucles d'oreilles. Elle ne m'aimait pas, c'était réciproque. Puis alors que j'allais avoir dix ans, mon père a dû partir en Grèce pour son travail. J'étais inconsolable.

Là-bas, elle a continué à m'en faire voir de toutes les couleurs et malgré les encouragements de ma mère pour le faire, je ne disais rien à mon père. Mon père étant absent toute la journée, il arrivait qu'elle ne me donne pas à manger le midi (ce n'est pas arrivé souvent mais quand même) et elle avait jeté une grande partie de mes jouets sous prétextes qu'ils n'étaient pas rangés. J'ai pris mon courage à deux mains pour le dire à mon père mais il ne m'a pas cru... Ce n'est qu'à 11 ans qu'ils se sont finalement séparés. Depuis j'ai un ou deux moments complice avec mon père même si je ne me sens pas encore trop à l'aise à ses côtés (je suis toujours vigilante sur mes moindres parole, faits et gestes etc.) et dès qu'il me fait un reproche j'ai l'impression qu'une partie de moi craque. Je suis trop sensible.

Depuis il a eu 3 copines grecques et ma mère est de plus en plus de mauvaise humeur... Avec l'adolescence ça n'arrange rien. Des fois je me sens vraiment seule. Je pense que tout au long de ma vie, j'aurai eu besoin d'un grand frère mais je n'ai pas eu la chance d'en avoir un et je n'en aurais jamais.
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Ashley, 16 ans, Lyon
J'avoue, j’ai eu une acné à cause d'un médicament mal pris et ensuite j'avais percé tous mes boutons et maintenant j'ai des cicatrices profondes ça me soule.
J'avoue, tout me soule j’ai peur que mes parents ne me payent pas les soins pour enlever ces cicatrices, j'en parle à personne et j'en ai ras le bol, je me sens pas bien dans ma peau.
Je me cache la figure avec mes cheveux, le maquillage... mais on voit toujours j'en peux plus je craque. Quand je vois la magnifique peau de mes amis et la mienne je me sens mal.
C'est cicatrice m’empêche de faire plein de truc. Je sors même plus de chez moi.
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Clarice, 30 ans, Belgique
J'avoue que depuis le début du mois d'avril, j'ai repris contact avec un type que je n'avais plus vu depuis 7 ans.
J'avoue que je trompe mon compagnon avec qui je suis depuis 7 ans.
J'avoue que j'aime beaucoup être avec mon ancienne connaissance, mais que ça n'ira pas "plus loin".
J'avoue que j'ai honte et que quand je regarde mon compagnon, je culpabilise.
Mais, je dois avouer que j'y prends plaisir...
Je suis vraiment mal, parfois aussi...
Voilà, vous le savez, vous... j'ai avoué !
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Clarice, 30 ans, Belgique
J'avoue que j'en ai ras le bol de ma collègue... elle est chiante, elle parle tout le temps pour raconter ses bêtises avec tous ses enfants, elle sent la transpi avec ses longs poils sous les bras, et j'ai envie de lui dire de se taire une bonne fois pour toute ! Je serais capable de l'étrangler avec ses poils de dessous de bras ! Je n'en peux plus. J'avoue, j'avoue, je l'aime bien 1 jour sur 4.
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Nulnul, 23 ans, Paris
Tu ne mérites en rien ce que tu as. Tu es bête et égoïste, tu ne fais attention à rien, et pire : tu t'en fiches.
La vie a franchement été cool avec toi, alors que j'ai tant donné pour ne rien avoir.
Je m'investis. J'apprends seule et rapidement. Je travaille d'arrache-pieds. Je suis sympathique, jolie et drôle.
Tu ne penses qu'à toi. Tu ne sais qu'obéir aux ordres et tourne en rond en attendant. Tu n'es même pas beau. Tu te fiches éperdument des autres et t'en moques quand ils ont le dos tourné. Tu n'es pas fidèle. Tu n'as pas la moitié de mes facultés. J'ai été ton "Cyrano de Bergerac" toutes ces années. A créer ton CV, ta lettre de motivation, gérer tes finances, gérer tes papiers. Corrigé tes fautes d'orthographe, relire tes devoirs. T'offrir un métier. Faire de toi ce que tu es devenu, cette réussite.

Et maintenant, je suis dans ton ombre ? Quelle blague. S'ils savaient que je t'ai construis de A à Z...
La vie t'a beaucoup donné de chance. Malheureusement la motivation et les compétences ont été écartés au profit de ta chance insolente.

Je te hais.
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Didier, 28 ans, Bruxelles
J'avoue avoir découvert beaucoup de faux seins dans les soirées. J'avoue préférer les petits mais vrais seins aux faux seins.
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Capricam, 29 ans, Arras
J'avoue je suis folle de lui, folle de B, rencontré il y a quasiment un an sur un terrain de foot.
J'avoue ça n'est pas facile tout les jours étant donné son travail.
J'avoue, il m'a dit qu'il allait certainement partir du côté de Bordeaux.
Je me tâte à le suivre et continuer de vivre vraiment enfin plutôt le vivre pleinement car il serait fixe !
J'avoue je ne sais pas et j'ai surtout peur de le regretter.
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