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Nemesis, 32 ans, Paris
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J'avoue que j'en ai assez d'avoir pas mal d'amies qui ne vivent que pour être en couple. A croire qu'il n'y a que les hommes et la séduction dans la vie. J'avoue que ma vie ne dépend pas de l'amour d'un homme et que je trouve cela chouette. J'avoue que je méprise mes copines qui passent leur temps à me parler d'hommes. J'avoue que j'en ai marre de me sentir sexualisée par le regard des hommes dans la rue. J'avoue que je n'ose pas sortir habillée légèrement sexy car je sais qu'on va me mater et que je serais mal à l'aise. J'en ai marre du machisme ambiant, des hommes qui cherchent à me protéger comme si j'étais une petite chose fragile. Je voudrais me sentir libre et sans contraintes.
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Nemesis, 32 ans, Paris
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J'avoue que je ne supporte plus de voir personne. J'avoue que je trouve la plupart des personnes que je rencontre complètement stupides et moins intelligentes que moi. J'avoue qu'elles sont certainement plus épanouies que moi et qu'elles ont probablement des vies plus réussies. Alors j'avoue que je dois les détester et les mépriser peut-être car je ne me sens pas à ma place avec elles, peut-être que j'avoue que je les jalouse. J'avoue que j'envie l'apparente facilité de leurs vies, même si ce n'est peut-être qu'un voile devant la réalité. J'avoue quand même qu'il y a beaucoup de personnes idiotes sur cette planète. J'avoue que les êtres lents du cerveau m'irritent profondément. J'avoue que je n'utilise pas tellement mon intelligence a bon escient, que cela explique peut-être que je monte dans les tours pour des choses inutiles. J'avoue que je suis frustrée par ma vie et moi-même.
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Lafillepathétique, 25 ans, Compiègne
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J'avoue que je suis d'une naïveté pathétique. Je le sais et je sais aussi que tout le monde se demande au bout de la combientième claque je vais arrêter de me faire des illusions.
J'avoue que ça m'énerve. Pas de me prendre des claques tout le temps, ça c'est juste déprimant. Ce sont les gens qui me disent que je vais finir par "apprendre la vie" qui m'énervent. J'avoue que j'ai envie de leur dire combien ils sont aussi pathétiques que moi. J'avoue que je suis d'une infinie gentillesse, d'une infinie patience et d'une infinie sincérité. J'avoue que je m'en prends plein la gueule. J'avoue que les garçons en profitent. J'avoue que je suis tellement gentille que je leur trouve des excuses. J'avoue qu'on m'a déjà volé de l'argent, que j'en ai aussi déjà prêté et que je n'en reverrai probablement jamais la couleur.
J'avoue que, même au boulot, ils se servent de moi et me refilent les remplacements que personne ne veut parce qu'ils savent que je les ferai à fond sans broncher avec heures supplémentaires à foison, heures que je ne note même pas parce que je sais qu'on ne me les rendra jamais mais je les fais quand même, et que, pendant ce temps là, des personnes qui sont arrivées après moi ou qui prennent un peu beaucoup de pauses café obtiennent des postes fixes.
J'avoue que mon père est insupportable, qu'il passe son temps à hurler, à m'insulter gratuitement et qu'il m'exaspère à longueur de soirées. J'avoue que, oui, je suis très en colère à l'intérieur et que j'en ai marre qu'on m'empêche de faire ce que je veux à la maison, qu'on m'empêche d'avoir un boulot décent qui me permettrait de quitter cette maison et que les garçons profitent de ma gentillesse en me traitant comme un objet en retour. Je pourrais "apprendre la vie" et devenir conne et méchante comme tout le monde, j'avoue. Ça me faciliterait certainement beaucoup l'existence, j'avoue. Mais j'avoue que, quitte à être pathétique, je préfère être une pauvre fille pathétique qu'une pathétique connasse.
Alors merci de me juger en silence parce que, j'avoue que vous avez raison, je serai toujours une pauvre fille pathétique et même que je l'assume.
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Girly, 24 ans, Angers
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Alors voilà je suis une femme, je n'ai pas un corps de rêve mais je m'y emploi car j'aime plaire, je suis presque heureuse en ménage avec mon homme depuis bientôt 5 ans. J'aimerais juste qu'on s'envoie en l'air plus souvent parce que j'aime trop le sexe J'en ai besoin de plus et plus souvent. J'ai même l'envie d'aller voir ailleurs rien qu'une fois car j'avoue aimer le sexe assez sauvage, (autrement la baise pure et simple) que mon chéri ne peut me donner. J'avoue aimé aussi avoir légèrement mal de temps en temps pour avoir du plaisir. Aussi j'avoue avoir physiquement envie d'une femme (et plus précisément encore, une ancienne camarade de classe que je n'ai pas vu depuis un moment mais dont je rêve toujours autant). Au final, j'avoue sans problèmes être moitié folle pour avoir de pareilles envies et besoins.
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Jovalentino, 23 ans, Boston
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J'avoue j'ai fait beaucoup d'erreurs mais je sais que j'ai grandi. J'avoue je sais à quel point je ne te mérite plus mais j'ai extrêmement peur de vivre sans toi. J'avoue t'aimer plus que personnes d'autres. J'avoue que depuis cette pause je perds la boule. J'avoue que je ne cesserai jamais d'essayer de reconstruire quelque chose avec toi. J'avoue tu es la femme de ma vie et je prie pour te reconquérir à 100 %. Je t'aime.
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Bambou, 20 ans, Caen
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J'avoue m'être rapprochée d'un pote au point de tenir un peu trop à lui... J'avoue être jalouse quand il passe du temps avec d'autre fille. J'avoue m'énervée pour rien et essayer d'arranger les choses parce que j'aime quand on se parle pas. J'avoue aussi qu'il me saoule à répondre 3h après aux sms. J'avoue que j'aurais aimé ne jamais ressentir ça pour lui...
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Macaisse, 31 ans, Carcassonne
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J'avoue que je me souviens de la première fois que je t'ai vu, il y a quelques années. Alors que j'étais invitée chez toi pour une soirée, tu te tenais derrière ta copine de l'époque qui avait ouvert la porte. J'avoue que tu n'étais pas physiquement ce à quoi je m'attendais, ce qui n'a pas empêché que tu me plaises. Tu m'as souri, et j'avoue que si j'ai baissé les yeux à ce moment là c'est parce que ton sourire m'a intimidée.
J'avoue que par la suite il s'est passé des trucs entre nous, même si d'aucuns diront que ce n'est pas tromper. J'avoue que j'avais besoin de l'attention que tu m'accordais. J'avoue que j'ai pensé à toi lorsque j'ai décidé de déménager, me disant que de toute façon tu ne quitterais jamais ta copine, que je n'avais rien à espérer de toi.
J'avoue que j'ai volontairement cessé tout contact lorsque j'étais à l'étranger. À cette époque je réussissais bien à te maintenir dans la case "ami" de mon cerveau, et le fait que tu me demandes constamment de me déshabiller m'a juste saoulé. C'est pas le genre de truc qu'on est censé demander à une amie dont on ne souhaite rien de plus. Je t'ai dit plusieurs fois que je voulais arrêter ce genre de choses : tu n'as pas écouté, tu as récolté mon silence.
J'avoue que je traversais une période très difficile de ma vie lorsque j'ai vu que tu n'avais pas abandonné et que tu cherchais encore à communiquer avec moi. J'avoue que j'ai de nouveau eu besoin de l'attention que tu pouvais me donner. J'avoue que j'ai pas pu m'empêcher d'être contente lorsque tu m'a dit que tu te séparais d'Elle.
J'avoue qu'en définitive, je ne suis pas vraiment sûre de savoir à partir de quand j'ai commencé à avoir des sentiments pour toi. Je suis cependant certaine que j'ai commencé à me poser beaucoup de questions lorsque tu as fait près de 500 kilomètres pour me voir deux jours. J'avoue que ça n'a pas arrangé les choses que tu poses des vacances pour m'inviter, que tu me demandes des trucs qui ne devraient selon moi pas être demandées à qui que soit d'autre que sa compagne.
J'avoue que si ces vacances ont pas été géniales c'est parce que je savais déjà ce qui allait se passer. Je savais que je m'étais trop attachée, et avant même que j'arrive ton comportement m'avait indiqué que ce n'était pas réciproque.
J'avoue qu'aujourd'hui je me suis pris une grosse claque dans la gueule, en constatant que depuis tout ce temps tu as fait tout ça juste pour te faire mâchouiller. J'avoue que je ne devrais pas ressentir ce vide, cependant c'est plus fort que ma raison tu me manques beaucoup, et que j'aimerais que tu ressentes la même chose. Mais je sais que ce n'est pas le cas et que je n'ai pas d'autre choix que de refermer la page de cette non-histoire que s'est écrite en pointillé sur plusieurs années.
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Lys, 19 ans, Paris
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J'avoue avoir dragué un nouvel élève de ma classe juste pour voir ce que ça faisait. J'avoue avoir juste fais ma gentille fille et avoir eu l'air la plus innocente possible quand mes amis m'ont dis qu'il m'aimait. J'ai dû jouer la carte de la surprise quand il s'est déclarée à moi.
Et j'avoue avoir adorer simuler mon air désolé quand j'ai refusé de sortir avec lui. C'était super. Il m'offrait des petits cadeaux, et en faisait profiter mes amis quand je prenais ma petite voix suppliante. Il ne me refusait rien, me collait à longueur de journée et pouvait aller jusqu'à pleurer quand il me contrariait. Avoir quelqu'un accrocher à moi comme ça était... jubilant.
C'est fou comme ça fait du bien de se dire que l'on peut séduire si facilement. Mais à force, il a compris qu'il n'avait aucune chance, et on est resté amis. Mais l'année suivante, il me présente à un de ses amis plus jeune. Je me présente, mais ne lui parle pas beaucoup pendant plusieurs semaines, jusqu'au jour où il vient m'avouer sa flamme. J'ai refusé, mais il ne m'a pas non plus lâché. Mais cette fois, c'était gênant, je voulais qu'il me lâche. Ce qu'il a fait 3 mois plus tard.
Mais j'ai beaucoup apprécier le fait d'avoir des garçon à mes pieds en étant le plus naturelle possible et en ne faisant jamais d'allusion déplacé ou autre. Ils m'aimaient pour qui je suis. C'est tout. Et les repousser renforçais leur envie de m'avoir. Et même si j'ai honte de ce que j'ai fais, ça m'a étrangement fais plaisir. Avoir des garçons qui m'aiment pour ce que je suis est très flatteur. J'avoue adorer quand les hommes m'aiment et me désirent en sachant qu'ils n'auront jamais ce qu'ils veulent. Leur persévérance est très flatteuse pour mon égo.
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Yvette, 27 ans, Saint-Amour
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Je dois avouer que depuis quelques mois je suis en couple avec un garçon qui a tout de charmant en apparence. Il a un métier, des amis (apparemment car je ne les ai jamais vu), des passions, de l'humour... Bref, beaucoup de chose pour lui. Il me dit qu'il m'aime, que je lui plais. A priori, tout est formidable.
Le problème est que je sens que quelque chose n'est pas aussi limpide. Je ne peux pas dire exactement pourquoi mais un faisceau d'indices me laisse à penser qu'il y a quelque chose de pas net. En tout cas quelque chose n'est pas aussi simple qu'il veut bien me laisser le croire.
Parfois je me dis que je suis cinglée... que je dois vraiment avoir un problème pour me sentir ainsi mal à l'aise avec quelqu'un qui a tout pour me plaire. Mais voilà, chaque fois que j'essaie de me convaincre qu'il me faut arrêter de penser à ces histoires d'indices suspects (ce qui n'est pas difficile car je suis prête à croire à l'amour tel un pauvre qui prend un crédit revolving), et bien chaque fois, ces indices pourris ressurgissent. Que faire ? J'avoue que je ne sais pas. J'ai tellement envie de passer à autre chose et que cesse ce sentiment que je pense qu'il faudrait que je le quitte. En même temps, si je ne continue pas, je ne saurai jamais : est-ce juste un mauvais rêve ou une réalité ?
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J., 33 ans, Genève
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J'avoue être toujours aussi folle V. J'avoue avoir envie de passer un nuit avec lui et lui faire l'amour comme jamais. J'avoue que son regard sur moi me donne la chair de poule. J'avoue ressentir qu'il est aussi très attiré mais fait tout pour se retenir. J'avoue attendre qu'il me fasse une proposition. J'avoue que je dirai oui sans hésiter.
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Questcequipourraitsauverlamour, 29 ans, Lyon
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J’avoue avoir rompu avec mon copain parce que je me suis rendue compte en discutant avec un pote que je n’étais pas remise de ma rupture avec mon ex-fiancé.
J’avoue que je suis de moins en moins sûre de pouvoir m’en remettre un jour, de pouvoir refaire des projets et d’investir tant d’énergie avec quelqu’un.
J’avoue j’ai pensé un nombre incalculable de fois à devenir workaholic ou au couvent, voire à me tourner vers les filles, et que je ne suis pas encore décidée !
J’avoue que je n’ai pas non plus confiance en moi et que je suis persuadée depuis toujours qu’aucun mec ne me trouve belle, même si certaines exceptions m’ont dit le contraire parfois. J’avoue que pour mon retour au pays mon pote m’a emmenée dans un bar avec ses amis, et que là un mec m’a draguée et captivée intensément toute la soirée comme ça ne m’était jamais arrivée de ma vie…
Je sais bien que ce mec ne cherche rien de sérieux, mais j’avoue qu’il me plairait bien de ne rien chercher de sérieux avec lui… J’avoue que me voir me faire draguer a fait réaliser à mon pote qu’il était jaloux… Lui non plus ne veut rien de sérieux dans sa vie en ce moment et pourtant il envisage de renoncer à une super nana à cause de moi…
J’avoue que j’ai toujours pensé qu’il ne se passait rien dans ma vie mais que depuis quelques semaines j’ai l’impression de jouer dans les Feux de l’amour !
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Noire, 46 ans, Nice
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J'avoue avoir dans la peau un homme que je connais depuis plus de trente ans. On ne s'était jamais parlé mais je crois bien que l'attirance entre lui et moi est aussi réelle qu'elle l'était à cette époque.
J'aime quand il me texte, quand il me parle, me sourit et qu'il me regarde. Je ne suis pas un standard de beauté côté poids mais lui non plus mais je ne crois pas qu'il en soit conscient.
L'âge nous a suivi, j'ai grossi, lui aussi mais la maturité a fait que nous sommes aujourd'hui capable de se dire des choses que jamais nous aurions pu dire il y quelques années.
La gène nous a empêché de mieux se connaitre à l'époque et de s'apprécier. Aujourd'hui je suis en couple avec un homme que j'apprécie beaucoup mais je ne sais plus si c'est de l'amour ou bien une très grande amitié qui se situe à la limite de l'amour. Il ne me touche plus depuis un bout, j'en ai besoin mais il ne semble pas comprendre le besoin charnel que j'ai. Je lui en ai déjà parlé mais rien n'a changé. Le temps nous a usés je crois mais j'ai pour lui un immense respect.
Ce qui me ramène à mon ami qui lui est célibataire depuis presque un an et qui me fait physiquement un effet foudroyant et qui mérite le trophée du bon gars qui ne veut pas prendre la femme d'un autre. Je le veut mais ...
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André, 22 ans, Puteaux
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J'avoue que je suis déjà pris depuis plusieurs années par une fille qui n'en vaut pas du tout la peine. J'avoue qu'en plus d'être ingrate elle est impolie et souffre d'un manque d'éducation flagrant. Peu importe, nous sommes ensemble et la distance n'a pas eu (encore) raison de nous. J'avoue que j'occupe le temps à répandre le bonheur autour de moi. Je me promène à travers rues et villages, je repère les âmes seules et j'essaie de trouver un prétexte ou j'arrange une situation pour les rassembler et créer un sujet de discussion puis je m'échappe... Et laisse la magie opérer. J'avoue qu'il m'est arrivé d'élaborer plusieurs stratagèmes et des mensonges pour faire croire à deux personnes qu'ils se désiraient. Ca marche, ou ça marche pas, je ne le saurai jamais mais je veux que le monde s'aime. Un peu d'amour, zut ! Peace.
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Futile, 47 ans, Paris
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J’avoue que même si je t’aime encore après nos 17 ans de mariage, je viens de te tromper pour la première fois. J’avoue que je lui ai pris la main alors que tu dormais sur mes genoux. J’avoue que O. m’attire irrésistiblement depuis de longues années. J’avoue que j’adore l’embrasser. J’avoue que j’ai adoré coucher avec lui. J’avoue que si j’en ai l’occasion, je recommencerai. J’avoue que je n’ai aucune honte.
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Fleurbleue, 54 ans, Québec
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J'avoue, je suis assistante dans un bureau. Annonce par mail d’une supérieure au sujet d’un stagiaire qui se joindra à nous. Je vois sa photo sur son CV. Aucun intérêt de ma part, ce n’est pas mon genre, en plus sa date de naissance indique qu’il a près de 20 ans de moins que moi.
Il est finalement arrivé de l’étranger. Personnalité froide, réservée, serrement de main timide, pas trop causeur. Un look d’ado. Nous avons réglé des formalités administratives comme j’aurais fait avec n’importe qui d’autre… mais en étant de plus en plus avenante avec lui. Après quelques jours, j’ai été troublée par un rêve : que son âme était mêlée à la mienne, sans que je voie nos corps, parmi des danseuses en robes rouges amples et le tout dans une atmosphère sensuelle qui dégageait du désir. J’en fus toute surprise et perplexe sans y trouver aucune logique. Un jour… son regard insistant qui m’a fait détourner le mien, son sourire qui m’a fait baisser les yeux. Le seul qui a réussi … Une fois la remarque : « j’ai pensé que si je ne venais pas te voir aujourd’hui, tu t’ennuierais de moi ». Ah ben dis donc !!! S’il a voulu me troubler, ce fut réussi. Après quelques semaines, je l’ai vu comme un homme. Avant de partir pour le congé des fêtes, des bises complétées avec des caresses. Tout cela est banal, mais il est trop jeune. Je suis troublée. Sa voix grave et douce me pénètre. Sa personnalité parfois juvénile m’attendrit et quand elle me le fait sentir homme cela me trouble. Mais je sens qu’il peut lire en moi et s’il pense que je vais me trahir avec un mot… il se trompe. Il a déjà essayé mais je sais m’esquiver. Comme : - Est-ce que tu te sens bien ? - Oh, je n’ai pas l’air d’aller bien ? - Oh. C’est peut-être moi… - C’est que j’ai bu un café à 15h30 et ça m’a rendue nerveuse. (pas vrai) - Ah…. (ouf.. en plus il « portait attention » à ma réponse… zut il fallait me croire, pourquoi mentirais-je ?
Enfin je ne peux pas mettre un mot sur le lien qui nous unit, mais il sait que je suis là pour lui. C'est tout et ce sera pour toujours un roman inachevé que je garderai dans mon cœur. Mais il n'en saura rien. À quoi bon ? Même si nous étions tous deux libres, encore une fois... trop jeune...
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Zazou, 22 ans, Paris
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J'avoue Yassine que je ne suis clairement pas prête à ce que l'on soit amis, tu as peut-être tourné la page mais moi je me bats toujours pour t'oublier. J'avoue qu'on s'écrit de temps en temps mais je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Tu es avec quelqu'un d'autre et je ne trouve pas que ce soit juste envers elle, même si je sais que tu n'as pas d'idées derrière la tête et que tu veux juste qu'on soit amis. J'avoue que c'est moi qui t'ai quitté, c'est moi qui t'ai d'abord brisé le coeur. Ce n'est que maintenant que je comprends ta souffrance. La roue tourne comme on dit. J'avoue que je suis revenue vers toi en janvier mais évidemment tu m'as repoussé. Je sais que j'aurais fait pareil à ta place. J'aimerais tout de même que tu saches que j'étais sincère, je ne suis pas revenue parce que je me sentais seule ou par peur de te perdre à jamais. Je suis revenue parce que je t'aime tout simplement et que je me suis rendue compte que c'est la seule chose qui compte malgré la distance qui nous a fait rompre.
J'avoue que j'étais sincère quand je t'ai dit que je t'attendrai mais si je veux être heureuse il va falloir que je fasse comme toi et que je parte pour me reconstruire. C'est pour cette raison que je ne vais plus t'écrire. Il faut que j'accepte que je ne peux pas tout contrôler, surtout pas les émotions d'une personne.
J'avoue que pourtant je ne regrette pas de t'avoir quitté, si je l'ai fait c'est parce que j'avais besoin d'être seule, j'ai besoin de savoir qui je suis, de me trouver avant de m'engager avec quelqu'un. Ça peut te sembler stupide comme raison mais je pense que je nous ai fait une faveur à tous les deux. Je pense que j'ai encore besoin de grandir. Vaut mieux faire sa crise existentielle maintenant tant qu'on est jeunes que plus tard quand on est mariés et qu'on a des enfants à charge non ?
Si je t'ai quitté à 20 ans c'est parce que je ne veux pas te quitter à 40 ans. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, j'espère qu'un jour tu le comprendras. J'avoue que le destin est quand même incroyable, je vais sûrement déménager dans la même ville que toi pour mes études. C'est le deuxième Master dont je t'ai parlé mais je ne t'ai pas dit qu'il était dans ta ville. Je ne veux pas te le dire parce que j'ai peur de te faire fuir, je sais que tu te diras que je l'ai fait exprès... Au fond c'est normal, de nous deux tu es celui qui est en position dominante, c'est moi qui me suis humilié en janvier quand tu m'as dit que tu étais avec quelqu'un d'autre et qu'elle allait te rejoindre à Grenoble. Je ne peux pas me risquer et m'humilier une seconde fois, c'est pour ça que je ne veux pas que tu le saches. | |