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Mysterieuse, 35 ans, Paris
J'avoue avoir pensé que tu revenais vers moi pour une autre chance. Sinon, pourquoi réapparaître après 5 ans alors que nous n'avions pas gardé contact ?
J'avoue être déçue que tu ne parles pas de notre passé et du problème qui a fait que nous nous sommes séparés.
Déçue que tu ne me demandes pas comment j'ai vécu toute cette période.
Déçue que tu ne te renseignes pas sur cette période très douloureuse de ma vie, certainement la plus douloureuse en intensité et longueur.
Déçue que tu fasses comme si rien ne s'était passé.

J'avoue que j'aurais souhaité du fond du coeur que l'on parle de tout ça car ça me pèse.
J'avoue que j'ai l'impression d'avoir été un jouet et j'ai horreur de ça.

J'avoue ne pas donner de nouvelles pour que tu comprennes et que tu puisses essayer d'imaginer ce que j'ai vécu par le passé à cause de tout ça.

J'avoue ne pas comprendre la raison de ton retour dans ma vie.
J'avoue me sentir bien avec mon collègue, mieux qu'avec toi en fait parce qu'avec toi, je me protège et je garde une distance de peur de ressouffrir.

J'avoue que si je savais que j'aurais souffert comme ça, si c'était à refaire, je ne referais pas ce que j'ai fait dans ce passé que je tente d'oublier mais qui me rattrape quand tu m'embrasses, d'où mes larmes la première fois

Je pense que mes sentiments amoureux envers toi ont disparu et j'avoue vouloir juste vivre sereinement, de manière posée et stable, c'est ce à quoi j'aspire désormais avec ou sans toi.

J'avoue n'être jamais revenue avec quelqu'un de mon passé, avec toi, je ne sais pas, je verrais ce que tu cherches et si ça correspond à ma manière de vivre et penser.

J'avoue être parasitée par mon entourage et ses problèmes et ma recherche d'appartement.

J'avoue penser à mon collègue tous les jours et être heureuse et épanouie quand je le voie.
J'avoue avoir esquissé un sourire quand on m'a fait remarqué qu'il était heureux quand il me voyait.

J'avoue que si je l'avais connu avant, j'aurais certainement fait un bout de chemin avec lui malgré ces 15 ans qui nous séparent.
J'avoue qu'il n'est pas canon mais qu'il me plaît, il a du charme et sait me séduire et me parler. J'aime son ambition et sa douceur.
J'aime sa présence et les mots qu'il a envers moi.

J'avoue penser qu'il me correspond point par point et je sais qu'il pense pareil mais nous n'en parlons pas pour ne pas perturber plus la situation.
J'avoue me décevoir sur cette situation pour laquelle je suis novice.

J'avoue me sentir bien quand nous sommes tous les 2, quand il me regarde, quand on éclate de rire pour rien.
J'avoue penser que nous sommes complémentaires... trop souvent.

J'avoue déjà penser à quand ça s'arrêtera et si j'arriverais à stopper ça parce que je sens que tu es devenu comme moi : accro et que cela me fait peur.

J'avoue aimer quand tu me dis quasiment tout le temps que je suis "canon" mais cela ne m'aide pas.

J'avoue me poser des questions : quand tu dis du bien sur moi professionnellement, est-ce parce que c'est vrai ou parce que nous avons une relation privilégiée ?

J'avoue que je meurs d'envie de te sauter dans les bras quand je te vois mais je ne peux pas à cause de notre entourage, j'arrive à me contrôler alors que j'aimerais t'embrasser à chaque fois que je te vois.

J'avoue penser très fort que la vie est mal faite et que tu étais mon âme soeur.

J'avoue avoir déballé ce que je ressentais et ça fait du bien puisque je ne peux le dire à personne.

J'avoue avoir calmé le jeu quand je me suis rendue compte que je commençais à avoir des sentiments envers toi et que cela me manque.
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Portos, 42 ans, Paris
J'avoue que j'ai gaffé ! Gaffé avec cette amie du boulot que j'ai connu il y a quelques semaines.
J'avoue que nous attendions le métro, le premier arriva et était bondé. On décide d'attendre le prochain et elle râle : "je ne supporte pas le métro et son affluence". Je la rassure en lui disant : "De toute façons, on demandera une place prioritaire".
- Non, j'aime pas faire ça...
- Attends, c'est normal, moi j'ai pas honte de demander. Tu es enceinte de combien de mois ?
- Je ne suis pas enceinte, j'ai juste un peu trop mangé...

Aie aie aie, quelle gaffe ! J'ai essayé de me rattraper sans perdre ma contenance : "C'est pas grave, on dira quand même que t'es enceinte".
J'avoue... le boulet, j'ai vraiment honte.
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Woki, 37 ans, Strasbourg
J'avoue penser avoir trouvé l'homme de ma vie, mais n'ose pas lui dire. j'avoue avoir été très méchante avec lui alors que je ne souhaite qu'une seule chose c'est de prendre soin de lui comme je n'ai encore jamais pris soin de personne. J'avoue avoir pris ses collègues en ami sur Facebook pour espérer qu'il voit un jour mes statut si commentaire de l'un de nos amis communs. Je ne suis pas fière des reproches que je lui ai fait. Je me suis mis à dos la seule personne qui compte vraiment dans ma vie.
J'avoue avoir trop de remords à faire semblant d'ignorer mon amour pour lui.
J'avoue espérer secrètement qu'il viendrait un jour vers moi
Je l'attendrais et l'aimerais toute au long de mes souffles.
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Psychokwak, 23 ans, Melun
J'avoue que j'aurais pu quitter mon job pour faire le tour de l'Europe dans les hôtels les plus luxueux. Avec une princesse arabisante aux courbes aussi généreuses que son portefeuille toujours prêt à s'ébattre et s'envoler, battant le vent à grands coups de billets. Mais je crois qu'il est préférable que je foute un truc plus sérieux de ma vie que d'être le chien-chien d'une jeune femme de la haute. Bien que l'idée soit séduisante.
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Ap, 25 ans, Paris
J'avoue avoir embrassé un autre homme que le mien a une soirée où j'étais totalement bourrée. Je sais que c'est arrivé mais je ne me souviens pas de la scène en elle-même, et je culpabilise tellement.
J'aime tellement l'homme qui partage ma vie, il est parfait pour moi. Je m'en veux énormément de lui avoir fait ça mais je ne peux lui avouer sans le perdre ce qui m'est inconcevable.
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Guiness, 38 ans, Lyon
J'avoue que sa mort m'a effondrée.
Pourtant, aux yeux de tout le monde, ce n'était qu'un petit lapin.
J'avoue que la plupart des gens pensent qu'un lapin n'est pas affectueux, pas vivant, mais un lapin en liberté est plein d'énergie et les lapin adorent les câlins.

Le mien venait m'accueillir le matin quand je me levais, le soir quand je rentrai du boulot. Il boudait parfois, sans que je sache pourquoi. Et le soir, quand je regardais la télé, il venait se coucher à côté de moi et réclamer des caresses. Et maintenant, il est mort.

Mon lapin me manque. Ses bouderies me manquent. Son petit air coquin ou curieux me manque. Et je regrette de l'avoir laissé à la véto. Je regrette de ne pas avoir un jardin pour l'enterrer. J'ai eu l'impression de l'avoir abandonné. Je l'ai abandonné chez la véto. Il aurait pu mourir chez moi, mais je lui ai fait prendre le métro, lui donnant une source de stress.

Est-ce que c'est ça qui l'a achevé ? J'ai essayé de le rassurer, je le caressai, mais il est mort en arrivant chez la véto. Et j'avoue que je me sens coupable. Et j'avoue que je me suis disputée avec mon copain parce que je voulais un peu de temps, un peu de réconfort. Mon petit lapin m'aurait consolé. Mais il n'est plus là.

Et j'avoue que je suis seule, que je me sens seule.
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Together, 19 ans, Grenoble
M., j'avoue que je pense à toi. Un peu trop. Tout le temps. Et que ça me fait peur.
Je sors d'une relation avec une personne plus âgé et me revoilà dans tes bras, de 8 ans mon aîné.
J'avoue faire le cœur de pierre pour ne plus souffrir.
J'avoue que je sais que tu n'y crois pas une seconde.
J'avoue écouter nos chansons en boucle toute la journée.
J'avoue repenser à ces nuits à l'hôtel.
J'avoue vouloir de toi, et encore plus chaque seconde.
J'avoue que tu me fais me sentir bien.
J'avoue que je ne sais pas ce que tu me trouves.
J'avoue être tomber sous ton charme la première fois que je t'ai vu.
J'avoue que d'avoir travaillé ensemble à été très difficile pour moi.
J'avoue avoir fantasmé...
J'avoue avoir fais le premier pas.
J'avoue que tu me donnes envie de prendre mon indépendance.
J'avoue rêver du moment on pourra ne plus se cacher.
J'avoue que cette nuit encore je vais rêver de toi.
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Nun, 21 ans, Dijon
Je suis folle d'un homme que j'ai rencontré à 19 ans, de plus de 10 ans mon aîné. Il habite à l'autre bout du monde et je n'ai aucune occasion de le revoir. J'ai des bouffées nostalgiques ce soir, je regrette d'avoir refusé son affection à l'époque, par respect pour mon ex qui pourtant me trompait. J'aimerais avoir un espoir de le revoir, et peut-être de saisir cette chance que j'ai laissé filer à l'époque.

Je suis en couple depuis 2 ans avec un homme qui m'aime et prend soin de moi. J'ai honte de ne pas réussir à tomber amoureuse de lui, d'autant plus que je suis celle qui suis allée le chercher. J'ai beaucoup de tendresse pour lui, mais jamais je n'oublierai mon premier Amour. Jamais je n'oublierai mes regrets, ni la sensation de chamade dans ma poitrine.

J'ai peur de ne plus jamais ressentir cette flamme, ces bouffées de bonheur électrisantes. Quand je pense à lui, je ne suis qu'amertume et pointe au cœur. Quand je pense à mon copain je ne sens qu'agacement et culpabilité de sentir cet d'agacement au lieu d'amour. Pourtant, je n'oserai jamais le quitter.

Je prie de tout cœur revoir mon premier Amour, et peut-être alors aurais-je le courage de provoquer mon destin...
Je voudrais avoir le courage de ne pas mentir à mon copain, de ne pas lui voler plus de temps que je ne l'ai déjà fait par mon indécision.
J'aimerais être capable d'oublier cette non-relation passée, car je la sais idéalisée. Je ne pourrais qu'être déçue ; alors que mon copain est réellement génial.
Je ne suis que contradictions et me déteste pour cela.
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Acarna14, 14 ans, Amancy
Mes parents se sont séparés lorsque j'avais 6 ans et demi. Je n'en voulais pas particulièrement à mes parents. Malgré mon jeune âge j'essayais de comprendre que c'était leur choix... Je me rappelle une fois, juste avant qu'ils ne décident de divorcer, après une nouvelle dispute entre mes parents. Je m'étais approchée de ma mère qui était sur son lit toute seule et ai dit : vous n'allez pas vous séparer, hein ? Tu me le promet... et ma mère m'a regardée, je sourire aux lèvres : Je te le promet.

Quelques mois plus tard le divorce à été annoncé. Ma mère et moi avons dû quitter la maison pour trouver un appartement. Elle a commencé à tomber en dépression, je n'arrivais plus à dormir la nuit...

Peu après le déménagement, elle s'est achetée un ordinateur portable et ne la plus lâché. J'avais besoin d'une mère et elle restait scotchée devant son écran, navigant sur divers sites de rencontre. A cette époque, nous allions toutes les deux voir un psychologue. Ma mère arrivait facilement à confier ses angoisses de finir seule, du stress et quant à moi, je me renfermais de plus en plus.

Même pas un an après le divorce, mon père s'est trouvé une petite amie. Elle avait alors 26 ans et lui plus de 30. J'ai appris il y a peu qu'elle était dépressive, bipolaire et jalouse de moi. Car elle a perdu son père à 6 ans. Elle s'est alors donner pour mission de gâcher ma vie. Elle me criait dessus sans cesse, mon père ne réagissait pas et la défendait toujours. J'en ai fini par redouter les weekend que je passait chez mon père.

Ma mère pendant ce temps avait connu de nombreux échecs amoureux qui n'avaient pas manqué de la décourager un peu plus à chaque fois. Au bout de 2 ans plus tard j'ai commencé à me montrer plus audacieuse, je piquais les chocolats, j'ai caché sa peluche de phoque sous mon lit et j'avais même une fois volé une paire de ses boucles d'oreilles. Elle ne m'aimait pas, c'était réciproque. Puis alors que j'allais avoir dix ans, mon père a dû partir en Grèce pour son travail. J'étais inconsolable.

Là-bas, elle a continué à m'en faire voir de toutes les couleurs et malgré les encouragements de ma mère pour le faire, je ne disais rien à mon père. Mon père étant absent toute la journée, il arrivait qu'elle ne me donne pas à manger le midi (ce n'est pas arrivé souvent mais quand même) et elle avait jeté une grande partie de mes jouets sous prétextes qu'ils n'étaient pas rangés. J'ai pris mon courage à deux mains pour le dire à mon père mais il ne m'a pas cru... Ce n'est qu'à 11 ans qu'ils se sont finalement séparés. Depuis j'ai un ou deux moments complice avec mon père même si je ne me sens pas encore trop à l'aise à ses côtés (je suis toujours vigilante sur mes moindres parole, faits et gestes etc.) et dès qu'il me fait un reproche j'ai l'impression qu'une partie de moi craque. Je suis trop sensible.

Depuis il a eu 3 copines grecques et ma mère est de plus en plus de mauvaise humeur... Avec l'adolescence ça n'arrange rien. Des fois je me sens vraiment seule. Je pense que tout au long de ma vie, j'aurai eu besoin d'un grand frère mais je n'ai pas eu la chance d'en avoir un et je n'en aurais jamais.
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Ashley, 16 ans, Lyon
J'avoue, j’ai eu une acné à cause d'un médicament mal pris et ensuite j'avais percé tous mes boutons et maintenant j'ai des cicatrices profondes ça me soule.
J'avoue, tout me soule j’ai peur que mes parents ne me payent pas les soins pour enlever ces cicatrices, j'en parle à personne et j'en ai ras le bol, je me sens pas bien dans ma peau.
Je me cache la figure avec mes cheveux, le maquillage... mais on voit toujours j'en peux plus je craque. Quand je vois la magnifique peau de mes amis et la mienne je me sens mal.
C'est cicatrice m’empêche de faire plein de truc. Je sors même plus de chez moi.
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Clarice, 30 ans, Belgique
J'avoue que depuis le début du mois d'avril, j'ai repris contact avec un type que je n'avais plus vu depuis 7 ans.
J'avoue que je trompe mon compagnon avec qui je suis depuis 7 ans.
J'avoue que j'aime beaucoup être avec mon ancienne connaissance, mais que ça n'ira pas "plus loin".
J'avoue que j'ai honte et que quand je regarde mon compagnon, je culpabilise.
Mais, je dois avouer que j'y prends plaisir...
Je suis vraiment mal, parfois aussi...
Voilà, vous le savez, vous... j'ai avoué !
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Clarice, 30 ans, Belgique
J'avoue que j'en ai ras le bol de ma collègue... elle est chiante, elle parle tout le temps pour raconter ses bêtises avec tous ses enfants, elle sent la transpi avec ses longs poils sous les bras, et j'ai envie de lui dire de se taire une bonne fois pour toute ! Je serais capable de l'étrangler avec ses poils de dessous de bras ! Je n'en peux plus. J'avoue, j'avoue, je l'aime bien 1 jour sur 4.
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Nulnul, 23 ans, Paris
Tu ne mérites en rien ce que tu as. Tu es bête et égoïste, tu ne fais attention à rien, et pire : tu t'en fiches.
La vie a franchement été cool avec toi, alors que j'ai tant donné pour ne rien avoir.
Je m'investis. J'apprends seule et rapidement. Je travaille d'arrache-pieds. Je suis sympathique, jolie et drôle.
Tu ne penses qu'à toi. Tu ne sais qu'obéir aux ordres et tourne en rond en attendant. Tu n'es même pas beau. Tu te fiches éperdument des autres et t'en moques quand ils ont le dos tourné. Tu n'es pas fidèle. Tu n'as pas la moitié de mes facultés. J'ai été ton "Cyrano de Bergerac" toutes ces années. A créer ton CV, ta lettre de motivation, gérer tes finances, gérer tes papiers. Corrigé tes fautes d'orthographe, relire tes devoirs. T'offrir un métier. Faire de toi ce que tu es devenu, cette réussite.

Et maintenant, je suis dans ton ombre ? Quelle blague. S'ils savaient que je t'ai construis de A à Z...
La vie t'a beaucoup donné de chance. Malheureusement la motivation et les compétences ont été écartés au profit de ta chance insolente.

Je te hais.
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Didier, 28 ans, Bruxelles
J'avoue avoir découvert beaucoup de faux seins dans les soirées. J'avoue préférer les petits mais vrais seins aux faux seins.
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Capricam, 29 ans, Arras
J'avoue je suis folle de lui, folle de B, rencontré il y a quasiment un an sur un terrain de foot.
J'avoue ça n'est pas facile tout les jours étant donné son travail.
J'avoue, il m'a dit qu'il allait certainement partir du côté de Bordeaux.
Je me tâte à le suivre et continuer de vivre vraiment enfin plutôt le vivre pleinement car il serait fixe !
J'avoue je ne sais pas et j'ai surtout peur de le regretter.
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Nemesis, 32 ans, Paris
J'avoue que j'en ai assez d'avoir pas mal d'amies qui ne vivent que pour être en couple. A croire qu'il n'y a que les hommes et la séduction dans la vie.
J'avoue que ma vie ne dépend pas de l'amour d'un homme et que je trouve cela chouette.
J'avoue que je méprise mes copines qui passent leur temps à me parler d'hommes.
J'avoue que j'en ai marre de me sentir sexualisée par le regard des hommes dans la rue.
J'avoue que je n'ose pas sortir habillée légèrement sexy car je sais qu'on va me mater et que je serais mal à l'aise.
J'en ai marre du machisme ambiant, des hommes qui cherchent à me protéger comme si j'étais une petite chose fragile.
Je voudrais me sentir libre et sans contraintes.
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Nemesis, 32 ans, Paris
J'avoue que je ne supporte plus de voir personne.
J'avoue que je trouve la plupart des personnes que je rencontre complètement stupides et moins intelligentes que moi.
J'avoue qu'elles sont certainement plus épanouies que moi et qu'elles ont probablement des vies plus réussies.
Alors j'avoue que je dois les détester et les mépriser peut-être car je ne me sens pas à ma place avec elles, peut-être que j'avoue que je les jalouse.
J'avoue que j'envie l'apparente facilité de leurs vies, même si ce n'est peut-être qu'un voile devant la réalité.
J'avoue quand même qu'il y a beaucoup de personnes idiotes sur cette planète. J'avoue que les êtres lents du cerveau m'irritent profondément.
J'avoue que je n'utilise pas tellement mon intelligence a bon escient, que cela explique peut-être que je monte dans les tours pour des choses inutiles.
J'avoue que je suis frustrée par ma vie et moi-même.
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Lafillepathétique, 25 ans, Compiègne
J'avoue que je suis d'une naïveté pathétique. Je le sais et je sais aussi que tout le monde se demande au bout de la combientième claque je vais arrêter de me faire des illusions.

J'avoue que ça m'énerve. Pas de me prendre des claques tout le temps, ça c'est juste déprimant. Ce sont les gens qui me disent que je vais finir par "apprendre la vie" qui m'énervent.
J'avoue que j'ai envie de leur dire combien ils sont aussi pathétiques que moi. J'avoue que je suis d'une infinie gentillesse, d'une infinie patience et d'une infinie sincérité.
J'avoue que je m'en prends plein la gueule. J'avoue que les garçons en profitent. J'avoue que je suis tellement gentille que je leur trouve des excuses.
J'avoue qu'on m'a déjà volé de l'argent, que j'en ai aussi déjà prêté et que je n'en reverrai probablement jamais la couleur.

J'avoue que, même au boulot, ils se servent de moi et me refilent les remplacements que personne ne veut parce qu'ils savent que je les ferai à fond sans broncher avec heures supplémentaires à foison, heures que je ne note même pas parce que je sais qu'on ne me les rendra jamais mais je les fais quand même, et que, pendant ce temps là, des personnes qui sont arrivées après moi ou qui prennent un peu beaucoup de pauses café obtiennent des postes fixes.

J'avoue que mon père est insupportable, qu'il passe son temps à hurler, à m'insulter gratuitement et qu'il m'exaspère à longueur de soirées. J'avoue que, oui, je suis très en colère à l'intérieur et que j'en ai marre qu'on m'empêche de faire ce que je veux à la maison, qu'on m'empêche d'avoir un boulot décent qui me permettrait de quitter cette maison et que les garçons profitent de ma gentillesse en me traitant comme un objet en retour. Je pourrais "apprendre la vie" et devenir conne et méchante comme tout le monde, j'avoue. Ça me faciliterait certainement beaucoup l'existence, j'avoue. Mais j'avoue que, quitte à être pathétique, je préfère être une pauvre fille pathétique qu'une pathétique connasse.

Alors merci de me juger en silence parce que, j'avoue que vous avez raison, je serai toujours une pauvre fille pathétique et même que je l'assume.
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Girly, 24 ans, Angers
Alors voilà je suis une femme, je n'ai pas un corps de rêve mais je m'y emploi car j'aime plaire, je suis presque heureuse en ménage avec mon homme depuis bientôt 5 ans.
J'aimerais juste qu'on s'envoie en l'air plus souvent parce que j'aime trop le sexe J'en ai besoin de plus et plus souvent.
J'ai même l'envie d'aller voir ailleurs rien qu'une fois car j'avoue aimer le sexe assez sauvage, (autrement la baise pure et simple) que mon chéri ne peut me donner.
J'avoue aimé aussi avoir légèrement mal de temps en temps pour avoir du plaisir.
Aussi j'avoue avoir physiquement envie d'une femme (et plus précisément encore, une ancienne camarade de classe que je n'ai pas vu depuis un moment mais dont je rêve toujours autant).
Au final, j'avoue sans problèmes être moitié folle pour avoir de pareilles envies et besoins.
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Jovalentino, 23 ans, Boston
J'avoue j'ai fait beaucoup d'erreurs mais je sais que j'ai grandi.
J'avoue je sais à quel point je ne te mérite plus mais j'ai extrêmement peur de vivre sans toi.
J'avoue t'aimer plus que personnes d'autres.
J'avoue que depuis cette pause je perds la boule.
J'avoue que je ne cesserai jamais d'essayer de reconstruire quelque chose avec toi.
J'avoue tu es la femme de ma vie et je prie pour te reconquérir à 100 %. Je t'aime.
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Bambou, 20 ans, Caen
J'avoue m'être rapprochée d'un pote au point de tenir un peu trop à lui... J'avoue être jalouse quand il passe du temps avec d'autre fille. J'avoue m'énervée pour rien et essayer d'arranger les choses parce que j'aime quand on se parle pas. J'avoue aussi qu'il me saoule à répondre 3h après aux sms. J'avoue que j'aurais aimé ne jamais ressentir ça pour lui...
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Macaisse, 31 ans, Carcassonne
J'avoue que je me souviens de la première fois que je t'ai vu, il y a quelques années. Alors que j'étais invitée chez toi pour une soirée, tu te tenais derrière ta copine de l'époque qui avait ouvert la porte. J'avoue que tu n'étais pas physiquement ce à quoi je m'attendais, ce qui n'a pas empêché que tu me plaises. Tu m'as souri, et j'avoue que si j'ai baissé les yeux à ce moment là c'est parce que ton sourire m'a intimidée.

J'avoue que par la suite il s'est passé des trucs entre nous, même si d'aucuns diront que ce n'est pas tromper. J'avoue que j'avais besoin de l'attention que tu m'accordais. J'avoue que j'ai pensé à toi lorsque j'ai décidé de déménager, me disant que de toute façon tu ne quitterais jamais ta copine, que je n'avais rien à espérer de toi.

J'avoue que j'ai volontairement cessé tout contact lorsque j'étais à l'étranger. À cette époque je réussissais bien à te maintenir dans la case "ami" de mon cerveau, et le fait que tu me demandes constamment de me déshabiller m'a juste saoulé. C'est pas le genre de truc qu'on est censé demander à une amie dont on ne souhaite rien de plus. Je t'ai dit plusieurs fois que je voulais arrêter ce genre de choses : tu n'as pas écouté, tu as récolté mon silence.

J'avoue que je traversais une période très difficile de ma vie lorsque j'ai vu que tu n'avais pas abandonné et que tu cherchais encore à communiquer avec moi. J'avoue que j'ai de nouveau eu besoin de l'attention que tu pouvais me donner. J'avoue que j'ai pas pu m'empêcher d'être contente lorsque tu m'a dit que tu te séparais d'Elle.

J'avoue qu'en définitive, je ne suis pas vraiment sûre de savoir à partir de quand j'ai commencé à avoir des sentiments pour toi. Je suis cependant certaine que j'ai commencé à me poser beaucoup de questions lorsque tu as fait près de 500 kilomètres pour me voir deux jours. J'avoue que ça n'a pas arrangé les choses que tu poses des vacances pour m'inviter, que tu me demandes des trucs qui ne devraient selon moi pas être demandées à qui que soit d'autre que sa compagne.

J'avoue que si ces vacances ont pas été géniales c'est parce que je savais déjà ce qui allait se passer. Je savais que je m'étais trop attachée, et avant même que j'arrive ton comportement m'avait indiqué que ce n'était pas réciproque.

J'avoue qu'aujourd'hui je me suis pris une grosse claque dans la gueule, en constatant que depuis tout ce temps tu as fait tout ça juste pour te faire mâchouiller. J'avoue que je ne devrais pas ressentir ce vide, cependant c'est plus fort que ma raison tu me manques beaucoup, et que j'aimerais que tu ressentes la même chose. Mais je sais que ce n'est pas le cas et que je n'ai pas d'autre choix que de refermer la page de cette non-histoire que s'est écrite en pointillé sur plusieurs années.
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Lys, 19 ans, Paris
J'avoue avoir dragué un nouvel élève de ma classe juste pour voir ce que ça faisait. J'avoue avoir juste fais ma gentille fille et avoir eu l'air la plus innocente possible quand mes amis m'ont dis qu'il m'aimait. J'ai dû jouer la carte de la surprise quand il s'est déclarée à moi.

Et j'avoue avoir adorer simuler mon air désolé quand j'ai refusé de sortir avec lui. C'était super. Il m'offrait des petits cadeaux, et en faisait profiter mes amis quand je prenais ma petite voix suppliante. Il ne me refusait rien, me collait à longueur de journée et pouvait aller jusqu'à pleurer quand il me contrariait. Avoir quelqu'un accrocher à moi comme ça était... jubilant.

C'est fou comme ça fait du bien de se dire que l'on peut séduire si facilement. Mais à force, il a compris qu'il n'avait aucune chance, et on est resté amis. Mais l'année suivante, il me présente à un de ses amis plus jeune. Je me présente, mais ne lui parle pas beaucoup pendant plusieurs semaines, jusqu'au jour où il vient m'avouer sa flamme. J'ai refusé, mais il ne m'a pas non plus lâché.
Mais cette fois, c'était gênant, je voulais qu'il me lâche. Ce qu'il a fait 3 mois plus tard.

Mais j'ai beaucoup apprécier le fait d'avoir des garçon à mes pieds en étant le plus naturelle possible et en ne faisant jamais d'allusion déplacé ou autre. Ils m'aimaient pour qui je suis. C'est tout. Et les repousser renforçais leur envie de m'avoir. Et même si j'ai honte de ce que j'ai fais, ça m'a étrangement fais plaisir. Avoir des garçons qui m'aiment pour ce que je suis est très flatteur. J'avoue adorer quand les hommes m'aiment et me désirent en sachant qu'ils n'auront jamais ce qu'ils veulent. Leur persévérance est très flatteuse pour mon égo.
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Yvette, 27 ans, Saint-Amour
Je dois avouer que depuis quelques mois je suis en couple avec un garçon qui a tout de charmant en apparence. Il a un métier, des amis (apparemment car je ne les ai jamais vu), des passions, de l'humour... Bref, beaucoup de chose pour lui.
Il me dit qu'il m'aime, que je lui plais. A priori, tout est formidable.

Le problème est que je sens que quelque chose n'est pas aussi limpide. Je ne peux pas dire exactement pourquoi mais un faisceau d'indices me laisse à penser qu'il y a quelque chose de pas net. En tout cas quelque chose n'est pas aussi simple qu'il veut bien me laisser le croire.

Parfois je me dis que je suis cinglée... que je dois vraiment avoir un problème pour me sentir ainsi mal à l'aise avec quelqu'un qui a tout pour me plaire. Mais voilà, chaque fois que j'essaie de me convaincre qu'il me faut arrêter de penser à ces histoires d'indices suspects (ce qui n'est pas difficile car je suis prête à croire à l'amour tel un pauvre qui prend un crédit revolving), et bien chaque fois, ces indices pourris ressurgissent. Que faire ? J'avoue que je ne sais pas. J'ai tellement envie de passer à autre chose et que cesse ce sentiment que je pense qu'il faudrait que je le quitte. En même temps, si je ne continue pas, je ne saurai jamais : est-ce juste un mauvais rêve ou une réalité ?
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J., 33 ans, Genève
J'avoue être toujours aussi folle V.
J'avoue avoir envie de passer un nuit avec lui et lui faire l'amour comme jamais.
J'avoue que son regard sur moi me donne la chair de poule.
J'avoue ressentir qu'il est aussi très attiré mais fait tout pour se retenir.
J'avoue attendre qu'il me fasse une proposition.
J'avoue que je dirai oui sans hésiter.
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