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Lali89, 25 ans, Laval
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J'avoue que j'ai relu les aveux que j'avais posté il y a 3 ans... J'avoue que c'est toujours la même chose, à 25 ans je n'ai toujours eu personne dans ma vie... J'avoue je me pose beaucoup de questions en voyant des filles aussi moche que moi avec des mecs... J'avoue qu'être la bonne copine ne me convient plus... J'avoue que je veux perdre du poids mais que je n'y arriverais pas à cause de mes soirées de solitude.... J'avoue que mon boulot me plait sans plus et que je rêve de faire carrière dans quelque chose de plus palpitant mais je ne sais pas quoi. J'ai que je ne me sens pas moi mais que je ne sais pas vraiment qui je suis... J'avoue trainer avec certaines personnes histoire de ne pas être seule... J'avoue que je suis bordélique et paresseuse... J'avoue que si dans 10 ans je suis toujours aussi seule je ne suis pas sûre que je tiendrai le coup.
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Aieaieaie, 40 ans, Paris
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J'avoue que tu as débarqué dans cette pièce et que tu as fait ton show… je t'ai trouvé mignonne au premier abord. Tu m'as fait marrer, t'étais un peu bourrée, tu voulais chanter… mais je n'ai pas voulu. On s'est affronté verbalement, tu m'as un peu insulter, j'ai vraiment failli te dire d'aller te faire foutre… mais je ne l'ai pas fait… tu m'as sorti tes théories à deux balles… je t'ai tenu tête, tu l'as mal pris.
Tu t'es sortie de la pièce en grognant… j'ai croisé mon pote qui sait jouer du piano… je lui ai demandé de jouer pour toi… il a accepté. Je suis venu te voir, je t'ai proposé de chanter avec lui… il a joué on a chanté un peu ensemble, c'était drôle, futile alcoolisé… un bon délire quand on a 25 ans.
Tu m'as regardé, tu m'as dit que j'étais gentil… je crois que t'étais vraiment pompette. Tu m'as dit que tu allais te marier… quelle erreur, avec ce bouffon déguisé en rocker ? Puis tu as disparu.
Au moment de partir de ce bar, je t'ai revu par la fenêtre… je suis venu te dire au revoir, je savais qu'on ne se verrait plus jamais. Je t'ai embrassé sur la joue, je t'ai dit que je te souhaitais tout le meilleur qu'il puisse t'arriver. On s'est regardé…
Je suis sorti, monté dans la voiture… la voiture a démarré, j'ai jeté un dernier regard, tu étais derrière cette fenêtre… tu pleurais un peu… tu étais belle.
La voiture est partie…
J'avoue, depuis je pense à toi chaque jour.
J'avoue que tu aurais foutu ma vie en l'air, tu es sûrement une fille à problème… mais qu'est ce que j'aurai aimé faire l'amour avec toi.
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Myriam, 18 ans, Marseille
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J'avoue que j'ai besoin d’écrire.. J'avoue que je tiens encore quotidiennement un journal intime à mon age, mais cette fois, cette chose que je vais vous dire, je n'ai même pas osé l’écrire à l’intérieur. J'avoue que c'est surement parce que j'ai peur de me l'avouer à moi même, et que mon carnet, c'est comme si c’était moi. En fait, j'avais enfin réussi à me détacher de ce garçon que j'aimais depuis 3 ans. R. Il ne le savais pas vraiment, mais je préférais vivre comme ça: capter tous ses faits et gestes, et m'en imprégner, capter tous ses regards... Bref, j'avoue que j’étais folle de lui. Et puis, mon meilleur ami K. s'amusait de plus en plus à m'envoyer des beaux petits messages ambigus, et au bout de 6 mois, je me suis avoué que j’étais tombé amoureuse de lui. J'avoue que cette fois aussi, encore j'ai souffert, parce que j'ai encore gardé tout pour moi, et lorsque j'ai appris que lui aussi m'aimait, je me suis jeté à l'eau, cette fois là. J'avoue que j'ai reçu un coup de couteau dans le ventre quand il m'a dit "je t'aime, mais différemment" Lui m'aimait comme sa petite soeur, comme une partie de lui qu'il protégerait contre tous les malheurs du monde, et moi je l'aimais de cette façon aussi, mais également par amour, et j'avoue qu'à 17 ans seulement, j'imaginais ma vie avec lui. Même avec R., je ne l'imaginais pas, c'est pour vous dire comme c’était différent ! Et puis... On s'est un petit peu éloignés, on s'envoyer moins de messages, et au final, on a perdu toute ambiguïté, et on est de simple très bon amis.
On en arrive à la fameuse chose dur à avouer : Alors que j'avais réussi à me détacher de R. et K., je me rapprochais de plus en plus avec un ami, A., mais encore une fois, on se rapprochait de plus en plus, mais cette fois en amitié. L'été est passé, on se parlait tout le temps, je l'aimais vraiment beaucoup, mais en amitié, et lui pareil. A la rentrée on était tout le temps ensemble, et depuis, c'est toujours la même chose. Mais j'avoue, j'ai un copain avec qui je suis très bien, depuis 2 mois, et que ça devient sérieux (je vous raconte pas les détails) "parallèlement" à mon amitié avec A. D’ailleurs, j'avoue que la veille du jour où je suis sortie avec mon copain pour la première fois, j'étais à une soirée, avec A., et que tous les deux on a un petit peu bu, et on a passé la soirée ensemble, moi sur ses genoux, dans ses bras, ou quoi, les gens nous croyaient en couple. J'avoue ce soir que c’était chouette. En fait, A. aime une autre fille, mais moi ce soir, après m’être encore plus rapproché de A. J'avoue que dès qu'il m’envoie un message j'ai le coeur qui bat, dès que je suis avec lui, c'est comme si j’étais plus dans moi, je suis ailleurs, que quand il m'a pris dans ses bras pour la première fois hier, c’était super, j'avoue que quand on joue ou quand on est ensemble, je rigole et suis comme une gamine, je souffre quand il me demande des conseils pour son amoureuse.
J'avoue... peut être en me trompant, et je l'espère, que je l'... (non je peux pas)
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Esmeralda, 22 ans, Clermont
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J'avoue, je voulais prendre mon temps avec lui. J'avoue, mes sentiments sont constamment brouillés parce que tout est allé trop vite. J'avoue, je ne peux plus reculer car je vis chez lui. J'avoue, j'ai encore tout gâché. J'avoue, l'amertume que je ressens en pensant au mal que je peux lui faire vient surtout de la peur que ses potes viennent me tabasser. J'avoue, j'étais très bien célibataire. J'avoue, je ne sais pas vivre une relation correctement. J'avoue que tout est de ma faute.
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R., 28 ans, Paris
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J'avoue ne pas t'avoir vu au début. J'avoue qu'au fil des mois nous nous sommes rapprochés. J'avoue que nous sommes collègues et que maintenant je t'aime. J'avoue que tu es en couple et heureuse depuis bien longtemps. J'avoue que tu ne saura jamais rien de mes sentiments. J'avoue que dans un mois je change de travail et que personne n'est au courant. J'avoue que j'en suis heureux et triste à la fois. J'avoue que c'est un au revoir S.
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Sandrine, 45 ans, Carcassonne
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Ras le bol des pimbèches et des blondes qui réussissent tout dans la vie, qui ont les hommes à leur pieds comme des chiens soumis, alors qu'elles n'ont aucune gentillesse, et sont mercantiles. Ras le bol des hommes qui se laissent manipuler par ce genre de femme.
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Lydia, 33 ans, Niort
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Yoann, J'avoue que je fantasme sur toi depuis longtemps. J'avoue que tu occupes toutes mes pensées. J'avoue que cela est difficile car je suis avec un de tes meilleurs amis, pour lequel j'ai de très forts sentiments. J'avoue être maman depuis peu. J'avoue attendre chacun de tes messages avec impatience. J'aimerai tellement sentir ton contact...
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Paracétamol, 26 ans, Paris
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J'avoue qu'un de mes collègues me met dans tous mes états dès qu'il est dans la même pièce. J'avoue que cela fait sept mois que je le provoque. J'avoue que ma persévérance a payé, puisque j'ai passé la nuit chez lui il y a deux jours. J'avoue que j'ai à nouveau passé la nuit chez lui hier soir. J'avoue qu'il est marié (mais il ne vit pas avec sa femme, et "est avec sans être avec"), et que nous avons 16 ans d'écart. J'avoue que je ne culpabilise absolument pas ; j'avoue aussi qu'il pourrait presque être mon père, mais que je m'en fous car je prends bien mon pied avec lui. J'avoue que devant les collègues et le boss, il va falloir faire comme si de rien n'était et que je trouve cette situation excitante.
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Bouchon, 31 ans, Paris
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J'avoue que je suis en train de m'amouracher d'un gamin qui a dix ans de moins que moi.. J'avoue qu'il a des yeux magnifiques et des lèvres auxquelles j'aimerais goûter... Mais j'avoue que je ne le ferai pas ! J'avoue que ma relation avec mon amant dure depuis bientôt dix mois et que je n'ai pas envie que ça s'arrête, mais j'avoue aussi qu'il serait peut-être temps de me trouver un jules. Pour 2014, ma bonne résolution sera de choisir des résolutions pas trop invraisemblables et surtout de m'y tenir pour une fois.
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Capricam, 27 ans, Lille
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J'avoue, je suis tombée sur le mec. Vous voyez celui vous correspond point sur point. Sportif, Cultivé, drôle, travailleur, à l'écoute... Bref j'avoue il m'a fait craqué. J'avoue que je manque de bol car ce charmant jeune est parti dans deux, trois mois. Loin, très loin. J'avoue qu'on s'est plu. J'avoue que je suis relativement dégoutée. J'avoue l'amour et moi ça fait deux. J'avoue...
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Bierrebrune, 33 ans, Montpellier
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Cher Pierre qui roule,
J'avoue trouver ton message troublant... Il me projette quelques mois en arrière. C'était au mois de Mai... J'ai vécu une histoire ce mois-là ; courte mais remplie d'émotions. Et pour moi, elles restent les plus belles ! Cette personne, très différente de moi (mais peut-être pas aussi différente que ça finalement) a su m'apporter beaucoup de choses dans une période de ma vie dont la "descente aux enfers" était bien proche. Et à ses brefs côtés, j'ai moi-même ressenti ce que l'on appelle ce sentiment de plénitude et de bien-être. Avant, je ne l'avais jamais ressenti... Tu sais, chez moi on dit souvent que ce n'est pas la destination mais la route qui compte ! (étrange toutes ces similitudes, non ?) Alors à travers ton message, j'en profite pour dire à cette personne : Merci ! Merci à toi d'avoir croisé la mienne, de route ! Merci pour ce fameux "baume au coeur"... Merci pour l'espoir... Tu resteras gravé(e) dans ma mémoire un sacré bout de temps. Je te souhaite le meilleur dans la vie et même si je ne t'ai pas assez connu, je reste convaincu(e) que tu es quelqu'un de bien. L'intuition très certainement... Et c'est sur air de Flamenco que je me me permets de t'embrasser une dernière fois tendrement... S.
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Jambonette, 21 ans, Québec
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Je pourrais le placer dans la catégorie interdit tellement c'est ainsi chez moi. À la maison, il faut fermer les yeux, fermer sa gueule sur des sujets qui, quand mon frère, ma soeur et moi en parlons à nos amis, ils sont complètement bouche bées et nous offrent même, plus de 20 fois cette année, leur hospitalité. Ma mère est alcoolique et prend au minimum 2 verres de vin rouge par soir.
Elle est complètement une autre personne quand elle boit et se permet de nous insulter, insulter nos chums, blondes, nos amis et nous dire des choses qui sont complètement sorties de nul part qui nous font foudroyer sur place tellement ça devient ridicule et stressant. C'est ainsi depuis quelques années et ça affecte beaucoup mes notes et mes parents ne sont pas au courant puisque je ne peux jamais rien dire à ma mère compte tenu des réactions aux moindres petites choses. J'avoue, j'étouffe.
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Inconnue, 24 ans, Tignes
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Je m’énerve pour un rien et cela joue sur mon couple. J'ai un passé qui me déprime j'y repense sans cesse. Je pleure très souvent, je n'ai plus confiance en moi je ne me reconnais plus. On m'a dit d'aller voir un psy mais au fond je sais que j'en ai pas besoin. J'ai perdu beaucoup d'amis(es), j'ai l'impression de servir à rien, mon homme que j'aime plus que tout fait beaucoup pour moi et je ne suis pas capable d'en faire autant. Je suis perdue et tellement triste. Je me pourris la vie.
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C_moi, 33 ans, Nantes
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J'avoue que quand je venais te voir chez toi c'était pas parce que tu es la femme de mon meilleur ami mais seulement pour te voir toi.
J'avoue que tu le savais car toi aussi tu adorais venir me voir tous les matin avant d'aller à ton boulot qui était à deux pas de chez moi.
J'avoue qu'à chaque fois que tu venais, j'étais en robe de chambre et que j'avais à chaque fois une érection et que tu aimais regarder sans que je saches que tu regardes, mais je te voyais...
J'avoue que des dizaines de fois, j'ai prétexté avoir envie d’aller au toilette mais en réalité j'y faisais autre chose.
J'avoue que dans les toilettes (de ta salle de bain), je prenais tes sous-vêtements dans le panier à linge salle et que je me masturbais en sentant l'odeur de ton sexe et en visualisant tes jolies traces laissées bien au fond. Quels plaisir de délecter tes petites et charmantes pertes, de lécher le fond de ton slip... j'en bande encore.
J'avoue que le goût et l'odeur de ton sexe, de ton anus, de ton urine sont aphrodisiaques... et que mes meilleurs orgasmes je les ai eus grâce à toi.
J'avoue que tu savais ce que je faisais (vu la fréquence de mes envie de faire pipi) mais que tu adorais ça...
J'avoue qu'à la fin j'éjaculais pleinement dedans et que même une fois tu m'as dis dans l'oreille lorsqu'on dansait le jour du réveillon "continue à faire ce que tu fais, j'adore moi aussi. Cela restera entre nous".
J'avoue que j'ai voulu être certain de ce que tu voulais me dire et que tu m'as dis "ne m'en parle pas, fais-le, j'adore aussi te goutter mais s'il te plait, ne m'en parle plus !".
J'avoue que maintenant que nous sommes loin l'un de l'autre, je me retiens de me masturber pour t'en donner plus quand tu me reçois.
J'avoue que j'ai adoré la dernière fois quand je t'ai reçu chez moi, quand tu as voulu prendre ta douche avant moi mais après ton mari et ma femme pour me laisser ta petite culotte bien en vue posée sur le lavabo.
J'avoue avoir aimé ton sourire le lendemain matin quand cette fois-ci tu as pris ta douche la première.
Enfin, j'avoue t'avoir espionné dans les douches du camping quand nous étions plus jeunes à travers les trou des parois et que je peux te dire qu'à l'époque tu ne te rasait pas. J'avoue aussi m'être masturbé en te regardant et que je suis certain que tu le savais...
Enfin, j'avoue encore avoir plein de truc à avouer sur toi et moi mais je les avouerais une autre fois.
Pour finir, j'avoue être en train de me masturber et avoir vraiment envie un jour de te sauter par tous les trous comme une grosse salope car tu en es une, j'en suis certain.
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Fille du sud, 23 ans, Drôme
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Ça n'est pas de l'ordre du coup de foudre, pourtant ce sentiment appartient presque à la même famille... Et comme à chaque fois, ma tête m'ordonne de m'éloigner, tandis que mon coeur/corps me dit encore. Comme à chaque fois, ce putain d'organe vital que j'ai sous la poitrine ne sait pas s'y prendre pour le choisir... et comme à chaque fois, je tombe sur l'interdit, le désintéressé, ou simplement le déjà pris. Serait-il un mélange des trois cette fois-ci ?
Y'a t-il autre fille que moi à être capable de tomber amoureuse d'un regard, ou d'une malice ? Suis-je donc la seule à m'éprendre d'un homme pour la simple raison qu'il me rassure, à la fois m'affole et m'attriste ? Il est pris. Elle travaille avec nous. Mais de tout ça, mon coeur s'en contrefou. Et putain. Mes jambes ont beau être longues et fines, ma démarche qui arpente les couloirs ne semblent même pas l'atteindre. Tandis que d'autres me scrutent et me complimentent.
Comment atteindre le coeur d'un homme, et lui montrer que l'on est plus qu'une longue paire de jambes dans un pantalon en similicuir ?
Comment savoir si ses clins d'oeils ont un sens ? Si son agressivité, ses pics et ses attitudes dominatrices, mesquines ou parfois muettes sont signifiantes ? ""Tomber amoureuse"" pour la seconde fois, d'une ombre, d'un fantasme que j'alimente ici. Quelle tristesse. Quelle frustration. Quelle douleur je dirais même.. A croire que je n'ai de coeur que pour être chiffon.
J'avoue ne pas savoir tirer leçon de mes erreurs. Mais comment apprend t-on à mettre son coeur en laisse ? Mais comment putain ?
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Imnotbad, 20 ans, Grenoble
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J'avoue que malgré mon jeune âge, cela fait déjà plusieurs années que la débauche fait partie intégrante de ma vie. J'avoue, qu'en réalité et en toute conscience, ça ne me pose aucun problème. J'ai appris avec le temps à modérer ce passe-temps et ait aujourd'hui une hauteur de vue particulière à ce sujet. J'avoue que j'ai pendant beaucoup trop longtemps poussé le bouchon, mélangé les substances, drogues douces comme dures pendant parfois plusieurs nuits blanches, n'importe quand, avec n'importe qui. J'avoue être allé pour mes premières fois en rave (on dit "teuf") parce que là bas la drogue circulait librement, parce que là bas personne ne jugeait personne et qu'on pouvait laisse libre court à nos excès pour faire la fête à fond. J'avoue qu'aujourd'hui je n'y vais presque plus mais adore toujours autant la musique qui y passe et cette ambiance unique, qu'on ne peut pas retrouver autre part. J'avoue que j'ai peur de moi même, peur de retomber plus bas encore que je n'étais. J'avoue, toutes ces fois où j'étais là, mais en même temps absent car trop défoncé ou trop fatigué pour suivre. J'avoue que je bois très régulièrement depuis longtemps et que je n'ai jamais cessé de boire beaucoup le week end ni parfois en semaine. J'avoue qu'en réalité, je ne me suis trouvé qu'il y a peu en commençant à travailler dans le social. J'avoue que j'ai vu beaucoup trop de choses horribles à mon âge pour me sentir totalement "dans la norme". J'avoue avoir vécu des situations que je n'aurais jamais dû vivre et que beaucoup d'images me hanteront toute ma vie. J'avoue que je pense avoir acquis une certaine maturité qui n'aurait jamais pu évoluer sans ces mêmes évènements. Mais j'avoue surtout penser très souvent qu'en fait, j'aurais peut être aimé avoir une adolescence plus "normale", même si je n'ai jamais eu de problèmes scolaires. On savait pas. On s'est jetés joyeusement dans la gueule du loup... Il en a mangé plusieurs mais nous on est toujours là. Et on est forts. J'avoue que je ne pourrais jamais être totalement honnête et raconter tous les détails de cette ère de ma "jeune" vie... Parce que j'avoue ne pas en supporter certains côtés, comme certains amis qui eux ne s'en sortent pas... Au contraire.
J'avoue être un jeune "drogué", "alcoolique", mais je sais ce que je vaux et ce que j'ai à offrir, et c'est déjà pas mal.
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Tophe, 33 ans, Lyon
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J'avoue avoir été profondément déçu quand j'ai découvert qu'elle était une fausse blonde. J'avoue avoir avalé ce fait. J'avoue avoir été en colère, à l'intérieur de moi, quand j'ai découvert qu'elle avait une poitrine totalement plate. J'avoue que mon amour pour elle s'est évaporé et que je n'arrivais pas à feindre les sentiments. J'avoue croire que ce n'était pas de ma faute parce qu'elle m'avait caché les vérités. J'avoue que je ne cherche pas spécialement une blonde ayant une grosse poitrine mais que quand j'ai été amené à tomber amoureux d'elle, la couleur de ses cheveux et la forme de sa poitrine en firent partie et elle devait être authentique. J'avoue que je suis très désolé pour elle et qu'on est tous les deux malheureux.
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Serena, 35 ans, Lyon
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J'avoue que depuis 2 ans je suis folle de lui, de ce que nous avons, de ce qu'il me fait vivre ! j'avoue que j'ai pleinement conscience qu'il ne la quittera jamais, qu'il ne sera jamais à moi, que je ne suis qu'une parenthèse dans sa vie. j'avoue qu'il me manque terriblement, que ses absences, ses silences deviennent terribles pour moi, mais je ne dois pas lui en parler, cela le ferai fuir. J'avoue : je l'aime !
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Aldo, 40 ans, Toulouse
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J'avoue que lorsque que j'ai appris que tu m'avais trompé avec ton collègue de bureau à quelques mois de notre mariage je suis tombé plus bas que tout. J'avoue que lorsque je regarde les photos de notre mariage je suis triste, tu t'es marié alors que tu en aimais un autre et moi je ne voyais rien. Aujourd'hui, on à trois enfants magnifiques et je te trouve resplendissante mais je suis malheureux. Tu m'as trompé il y a dix ans et pourtant je n'oublie pas et je ne peux pas te pardonner non plus. J'avoue que je ne t'ai pas cru une seule seconde quand tu m'as dit que tu avais couché qu'une seule fois avec lui. Je me sens mal à cause de cette histoire. J'avoue que c'est lourd à porter et que tu ne le vois même pas. J'avoue que je t'aime autant que je te hais, si un jour je te quitte ça sera à cause de tout ça.
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Nikos33, 25 ans, Nice
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J'avoue que je t'aimais plus que tout, Blandine, et que même aujourd'hui, je me demande comment on a pu devenir deux étrangers à ce point. J'avoue que je ne supportais pas ta consommation de cigarettes, mais c'était parce que j'avais peur qu'elles finissent par me séparer de toi. Au final c'est ma peur qui m'a fait perdre ce que je cherissais le plus. J'avoue que depuis 6 mois qu'on n'est plus ensemble, j'ai pensé à toi tous les jours, à tous nos bons moments, tous nos rituels. J'avoue que je n'arrive pas à passer à autre chose, car au delà des regrets, j'ai toujours l'espoir, celui de te partager à nouveau quelque chose avec toi. Pas forcément comme avant, juste quelque chose de bien, de neuf, pour retrouver ce sourire que je vois toutes les nuits dans mes rêves. Il n'est jamais trop tard pour être heureux, sinon, à quoi bon vivre ?
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Avoueur du dimanche, 24 ans, Paris
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J'avoue que je suis en couple. Je suis heureux avec ma copine et il n'y a pas d'histoire. Comme d'autres, j'aime ma moitié et je ne peux m'empêcher de penser à une autre. J'avoue qu'elle m'attire beaucoup. Elle est un peu plus jeune que moi mais je la trouve tellement douce, intelligente et charmante. J'avoue que j'aurais tenté quelque chose si je n'étais pas en couple. J'avoue que ce n'était sûrement pas très honnête de ma part de ne pas lui avoir dit que j'étais en couple. J'avoue que j'aimerais la voir tout le temps.
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Kerlane, 23 ans, Paris
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Il y a plusieurs mois, j'avouais être sans cœur et sans sentiment. J'avouais avoir peur d'être si insensible. Et puis il y a eu M. M, qui m'a plu dès le premier jour et je n'ai rien tenté. Après plusieurs mois à lui tourner autour, j'ai fini par l'avoir. Il m'a tellement fait évoluer... J'ai laissé tomber J., mon plan cul, pour lui, pourtant ce n'était pas simple, je suis restée plus de cinq ans avec lui et il était devenu mon meilleur ami. Mais les sentiments... Ah ! J'avais entendu dire que ça ne se contrôle pas. Maintenant, je le sais. Après huit mois de bonheur longue distance avec M, plusieurs vacances ensemble, on a fini par sauter le pas, on a emménagé ensemble... Moi, l'indomptable, la solitaire, j'ai fini par m'engager avec quelqu'un ! Après un mois de vie commune, il n'y a rien a regretter... Je vis un bonheur sans faille.
Alors aujourd'hui, je viens tout vous avouer. Rien n'est éternel. Le piment d'une vie existe toujours, il suffit de le trouver.
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Indécise, 27 ans, Lille
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J'avoue Chéri, tu insistes fortement pour m'embrasser chaque matin, j'avoue que s'en est détestable tant ton haleine est désagréable...
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Adèle, 20 ans, Paris
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J'avoue qu'en ce vendredi 13 : - j'ai la batterie de mon téléphone qui s'est vidée en une matinée - je devais faire un dîner de Noël avec mes amis avant de partir au ski, le restaurant était fermé à 21h alors qu'on m'avait dit qu'il ouvrait jusqu'à 23h - je me suis acheté une canette de cidre de poire, je l'ai oubliée à la caisse - je devais aller voir Casse-tête chinois au cinéma, la séance a été annulée car la seule salle qui le diffusait a pris l'eau. Et pour couronner le tout, j'ai perdu au loto ! J'étais pas du tout superstitieuse, mais là, je commence sérieusement à m'interroger... -> Meilleur Aveu 06/07/2020 <-
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Cathyzelder, 26 ans, Bruxelles
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J'avoue que mon copain a cessé toute consommation d'alcool depuis 11 jours maintenant. J'avoue que je suis fière de lui et que je ferai n'importe quoi pour le soutenir. J'avoue que j'avais perdu tout espoir qu'il parvienne à arrêter un jour. Après mes mises en garde, il avait promis de ne plus se saouler en ma présence mais j'avoue que je savais qu'il le faisait encore les soirs où il était seul. J'avoue, je comptais les vidanges et les canettes dans le sac. J'avoue que c'est bien qu'il arrête pour lui, et pas pour moi ou à ma demande. J'avoue que je trouve mon amoureux beaucoup plus sexy depuis qu'il est sobre. L'alcool donne le teint rouge et la peau vitreuse, en fait. Et finalement, faire l'amour avec quelqu'un de bourré, ce n'est vraiment pas agréable. J'avoue que je pense que beaucoup des problèmes rencontrés dans notre couple venaient de sa consommation d'alcool. J'avoue que l'alcool était la raison n°1 qui nous empêchait d'emménager ensemble. J'avoue que quand il m'emmenait dans les bars du centre où il était un habitué, je sentais les regards de pitié des tenanciers : "mince alors, lui, il a une copine, et elle a l'air toute gentille". J'avoue être peut-être un peu naïve mais je pense vraiment que l'alcool ne l'a jamais poussé à la tromperie. C'était l'alcool lui-même, mon rival. J'avoue que ça faisait mal, tout ça. J'avoue bannir le vin de ma cuisine pour lui, car j'ai peur de la moindre chose qui pourrait le faire flancher. J'avoue me dire pour me rassurer, que c'est mieux de se reconnaitre alcoolique à 30 ans qu'à 50 ans. En tout cas, c'est plus facile, j'espère. La route est encore longue... mais je serai là !
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