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Almaze, 19 ans, Marseille
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J'avoue que je pense à ce garçon. Ce même garçon qui a fait fondre une amie il y a plus de 3 mois. Et même si c'est de l'histoire ancienne à ses yeux, qu'elle le déteste presque, je culpabilise alors que je lui ai juré qu'il ne me plaisait pas. Celui qui est devenu pour moi un bon copain. J'avoue essayer de m'en convaincre. Tout le monde le remarque on se ressemble beaucoup lui et moi. J'avoue penser à lui le soir parfois, j'avoue vouloir l'embrasser ne serait-ce qu'une fois, être la femme séductrice dans toute sa splendeur, féline même, afin de le faire succomber, juste une nuit sans forcément coucher... Ce serait religieusement impossible. J'avoue avoir envie qu'il me serre contre lui, une nuit ou une journée histoire d'assouvir ce désir.
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Anastasiette, 35 ans, Annecy
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J'avoue que la bonne femme des impôts d'Annecy que j'ai eue au téléphone est une vraie sans-cœur et sans pitié. A manquer de respect comme elle l'a fait, elle ne l'emportera pas au paradis. Madame, vous êtes une vraie connasse mal baisée.
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Maaal, 18 ans, Paris
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J'avoue que ce site est devenu mon meilleur ami et confident depuis que j'ai perdue toutes mes "amies". Je suis devenue la pauvre conne de service. On ne m'appelle plus ou si on m'appelle à minuit quand la soirée est déjà finie. Voilà à quoi je sers. Je ne sers à rien. Personne ne s'intéresse à moi. Je suis un pauvre pot de fleurs qui se fanent jour après jour. J'ai besoin que quelqu'un vienne m'arroser. J'ai tellement de parfum, de gaieté à donner. J'avoue que cette métaphore filée avec le pot de fleurs n'est pas mal du tout. J'rigole. Voilà où j'en suis. Je suis malheureuse. Pourtant je suis une fille géniale. Je les déteste. Un jour ce sera moi au sommet et elles en bas. Elles me rejettent, me mettent au second plan. C'est quoi l'amitié ? J'ai envie de crier, crier fort, très fort et de donner un bon coup de poing !
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Gds, 41 ans, Suisse
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J'avoue qu'il y a quelques semaines ma copine a préféré me "laisser vivre ma vie". J'avoue que ma vie j'aurais voulu la vivre à ses cotés. J'avoue qu'elle ne me l'a même pas demandé. J'avoue que lorsque j'en parle autour de moi les gens m'écoutent par politesse, sans implication, sans âme en espérant que le sujet se tarisse. Les mots glissent sur eux sans accrocher un quelconque intérêt. Au mieux ils incitent à la raillerie. J'avoue avoir remarqué depuis longtemps déjà que les gens qui nous entourent n'ont pas envie d'entendre nos problèmes, ils ont les leurs.
J'avoue m'être renfermé et ne plus parler de ce que je ressens, d'être faux pour que les gens puissent simplement converser sur des banalités quotidiennes, ces banalités qui assurent la cohésion sociale et qui ne froissent personne.
Ces banalités qui font que l'on s'intègre sans déranger. J'avoue que dans ces conditions, être triste ou joyeux ne change rien. Marc Lévy a dit "les émotions sont faites pour être partagées" et je m'en rends compte maintenant plus que jamais. J'avoue que sans partage des émotions, que l'on soit entouré ou non, que l'on soit joyeux ou triste, on est seul, terriblement seul. J'avoue que Victor Hugo avait raison lorsqu'il disait "L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude". J'avoue que je me renferme de jour en jour. J'avoue que j'ai souvent entendu les femmes se plaindre du manque de communication des hommes. J'avoue que je n'avais jamais autant communiqué durant une relation. J'avoue que pour cela j'ai dû faire de gros efforts. J'avoue que cela n'a servi à rien, si ce n'est à me rendre émotionnellement plus vulnérable. J'avoue que pour les autres je ne sais pas, mais pour moi, une telle déchirure va inexorablement limiter ma communication à l'avenir. J'avoue que je me demande pour combien d'hommes la souffrance a été un frein à la communication ? J'avoue que je l'ai dans la peau et que je vais encore souffrir longtemps… mais maintenant je comprends Jean Rostand "Être adulte, c'est être seul".
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Une autre, 30 ans, Rennes
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J'avoue, notre relation continue toujours à tourner comme aux premiers jours, toujours aussi sensuelle et forte. J'avoue nous avons fait un plan à 3 il y a 15 jours, même si c'était moins fun que prévu car vous vous jaugiez avec "l'autre" et que ce crétin normalement très grande gueule a fait son timide.
J'avoue, c'est fusionnel entre nous, et nous avons à nouveau batifolé dans les bois, je garde même un souvenir merveilleux d'une escapade nocturne en ville, à batifoler derrière une haie où personne ne pouvait nous voir.
J'avoue, notre amour fraternel n'a cessé de grandir, de se déployer, de s'ancrer dans nos cœurs et c'est à la fois merveilleux et douloureux. J'avoue, j'ai vécu 1 mois H24 avec toi et malgré les coups durs nous en sommes sortis plus forts, plus proches, plus frère et sœur que jamais.
J'avoue, tu sais que je suis amoureuse de toi, tu sais que tu seras toujours dans mon cœur, tu sais que je ne peux pas me passer de toi, tu m'as écrit noir sur blanc que tu ne voulais plus me sortir de ta vie, tu m'as aussi répondu de vive voix "moi aussi" quand je t'ai dit "je t'aime fort".
J'avoue, ce mois passé avec toi a gravé quelque chose d'indélébile dans nos deux cœurs, un point de jonction unique entre toi et moi, une chose que personne ne pourra jamais nous enlever.
J'avoue, il y a cet homme vers lequel tu me pousses, pour qui je vibre gentiment parce qu'il est adorable, mais c'est encore trop tôt, chaque fibre de mon cœur et de mon corps ne tremble que pour toi, pour tout ce que tu m'apportes, pour la confiance que nous avons l'un envers l'autre. J'avoue, tu as mis de moins en moins de barrières et du coup nous nous sommes écorchés, tu m'as dit quand je te le faisais remarquer "on accepte tout de l'autre". On accepte l'autre comme il est, on se comprend enfin, et tu as enfin accepté de te reposer sur moi - tout comme moi j'ai appris à te connaitre et à percevoir les moments de solitude dont tu avais besoin. Le maitre mot entre toi et moi c'est confiance. J'avoue, je t'aime, je ne peux qu'apprendre à avancer un jour après l'autre, en essayant de garder à l'esprit que nous nous serions sans doute déchirés si nous avions été réellement ensemble, et que nous sommes plus proches ainsi que nous ne l'aurions jamais été...
J'avoue me poser une question... Être si bien quand on est tous les deux, se deviner, savoir se déchiffrer, jouir en même temps quasiment à chaque fois, savoir dormir ensemble sans batifoler, savoir se créer une bulle où nous n'existons que tous deux et dans laquelle nous baissons la garde... tout ça, est-ce que ça ne serait pas de l'amour, pur et simple, de ceux dont on rêve toute sa vie ?
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Capricam, 26 ans, Arras
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J'avoue je suis totalement flippée. J'avoue, j'ai reçu un courrier de ma gynécologue suite au frottis qui n'est pas très rassurant. J'avoue, ça me remets dans la situation d'il y trois ans quand j'ai appris ma maladie (cf. aveux). J'avoue que j'ai peur de nouveau qu'on me dise le pire. J'avoue, quand j'ai commencé mes examens en 2009, on m'a dit ce n'est pas grave et finalement c'est une sclérose en plaques, le pire. J'avoue que je crois encore au pire. J'avoue je me dis que je suis une grosse poissarde.
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Zoulette de téci, 25 ans, Boulogne
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J'avoue que c'est moi la championne de la flemme. J'avoue qu'un rien me déconcentre. J'avoue que je m'ennuie rapidement. J'avoue que je passe souvent d'un sujet à un autre sans aucun rapport. J'avoue que j'arrive pas à me concentrer sur mes dossier et j'y passe un temps monstre pour faire pas grand chose au final. J'avoue que j'ai toutes les excuses du monde : un environnement de travail trop bruyant, un pc trop lent, faim, envie d'aller manger, d'aller aux toilettes, envie de boire, enfin bref... tout sauf travailler. J'avoue que le temps passe trop vite quand on ne veut pas qu'il fuit. J'avoue que le temps est extrêmement long quand on veut qu'il passe vite. J'avoue qu'il pleut quand on doit sortir et inversement. J'avoue que la chanson que je viens d'entendre à la radio est inconnue sur mon shazam. J'avoue que je veux pas me plaindre mais bon... Le petit dieu fait rien pour nous faciliter la tache !
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Cc, 15 ans, Haguenau
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J'avoue que j'ai adoré mon stage en clinique. Au bloc le sang qui coule c'était drôle, je veux devenir chirurgienne.
J'avoue que mes futurs patients devraient s’inquiéter...
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Lilly, 16 ans, Gard
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J'avoue que je t'aime comme une folle et que malgré le fait qu'on ne se verra pas durant la totalité des vacances je t'aimerai toujours autant à la rentrée.
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Nutella, 22 ans, Paris
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J'avoue que je veux te faire l'amour, j'avoue que j'y pense tout le temps au point d’être obsédée ! J'avoue que je jouis à chaque fois que ta peau frôle la mienne. J'avoue que je ferais tout pour passer ne serait ce qu'un quart d'heure dans tes bras.
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Laptitechose, 31 ans, Strasbourg
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J'avoue qu'en lisant vos aveux, je m'apercois que ca me fait ch*** de bosser dans un magasin où toutes mes collègues sont des femmes, peu attirantes qui plus est. J'avoue que j'ai une terrible envie de sexe. Homme ou femme, je m'en fiche, l'important c'est qu'il fasse rentrer ma libido de son exil à Tombouctou.
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Marmotte, 30 ans, Paris
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J'avoue que j'aimerai qu'il me dise qu'il m'aime malgré tout ce qui a pu se passer. J'avoue que l'avenir n'est pas palpable alors y croire peut être un peu compliquer. J'avoue que j'ai peur de m'attacher à nouveau.
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Yog-sottoth, 39 ans, Normandie
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J’avoue que je t’aime encore. Je t’ai dans la peau, chaque jour, chaque heure, chaque minute, je pense à toi. Je fais tout pour te détester, t’éviter… pour ne plus rien ressentir pour toi. Mais je n’y arrive pas. Mon cœur te réclame à chacun de mes souffles. Je sais que je suis marié, que ce n’est pas ce qu’il y a de mieux...Mais je suis fou de toi. Te voir tous les jours, te voir m’éviter, ne plus pouvoir te parler, te serrer contre moi, c’est vraiment très dur. Marie, je t’aime…
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Madamoiselle, 18 ans, Ajaccio
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Je n'ai jamais vraiment réussi à coucher mes maux sur du papier. J'ai toujours voulu m'exprimer mais je n'ai jamais réussi à vraiment dévoiler ma pensée. Amour interdit, deux mots que j'ai toujours souhaiter expliquer, décortiquer, mais mon analyse allait trop loin ou pas assez. Je me rend compte que seule la poésie arrive à retranscrire mes sentiments par une façon détournée. Il faut des heures pour que j'obtienne le résultat que je veux, mais c'est si bon d'arriver à témoigner. J'aimerais tout effacer car au final qu'est-ce que je viens de raconter ? Rien. Je n'ai pas parler de mes douleurs, de mes envies, de ma vie. Confession vide d'une mi-enfant, mi-adulte qui aimerait parler au monde entier de... Amour interdit.
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Laptitechose, 31 ans, Strasbourg
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J'avoue que j'en ai ras le bol que tu ne couches plus avec moi depuis des mois. J'avoue que tes "Prends ce dont tu as besoin", c'est pas viril du tout. J'avoue que j'ai horreur de ne pas être désirée.
J'avoue que tu es devenu nul au lit. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé en toi. Tu dis que je te mets la pression quand je te demande de faire le premier pas. J'avoue que normalement ça me pose pas de problème, mais là ça me fous hors de moi que tu préfères te branler plutôt que de coucher avec moi. J'avoue que je trouve ton comportement ignoble.
J'avoue que j'ai quelques kilos en trop, mais qu'ils sont pas trop mal répartis. J'avoue que j'aime le sexe. J'avoue que je pense ne pas être compliquée au lit. J'avoue que je te suis fidèle. Mais j'avoue aussi que j'ai deux amis qui feraient n'importe quoi pour passer une ou plusieurs nuits ou même le reste de leur vie avec moi.
J'avoue que je patiente encore un peu, et que si tu continues à m'ignorer comme ça, j'irai me rouler dans le foin avec des mecs mieux membrés que toi. Tant pis pour toi !
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Ml, 18 ans, Paris
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J'avoue, Claire-67, on partage la même technique ! Eh oui quand je m'ennuie en cours je m'imagine fruit du fantasme de tous les beaux mecs de mon entourage. Je m'imagine passant une nuit torride, douce et bestiale avec ces hommes fantasmant sur mon corps ! Après je me sens toute remuée, toute chose ! J'avoue que j'en ai même des papillons dans le bas ventre et pour continuer l'envie de faire pipi rend tout cela plus excitant. J'avoue adorer me dire que personne autour de moi m'imagine, intello et vierge, entrain de fantasmer sur une partie de jambes en l'air ! J'adore cela et j'ai trouvé une acolyte.
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Laptitechose, 31 ans, Strasbourg
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J'avoue que nous nous connaissons depuis le lycée, qu'on s'est perdus de vue, que j'ai souvent pensé à toi, qu'on s'est retrouvés sur internet il y a 3 ans. J'avoue que nous avons passé des jours et des nuits entières à nous raconter absolument tout, même des choses que personne d'autre n'a jamais su et ne saura jamais. J'avoue que tu es tombé fou amoureux de moi. J'avoue que tu es parfait. Tu es beau, intelligent, tu es tendre, mais tu sais être très mâle, tu as de l'humour, un bon boulot, nous avons les mêmes centres d’intérêt, les mêmes rêves. J'avoue nous nous comprenons sans mots. J'avoue que tu fais merveilleusement bien l'amour. J'avoue que tu voulais m'épouser. J'avoue que j'ai préféré retourner chez mon ex, qui est nul au lit, ne veut pas qu'on ait de quotidien et trouve que je ne gagne pas assez. J'avoue que tu as acheté une maison pour qu'on y vive en parfaite harmonie avec mes enfants. J'avoue que je t'ai fait quitter ta copine. J'avoue que j'ai fait machine arrière parce que j'avais peur de me poser. J'avoue que je t'ai fait le coup 2 fois. J'avoue qu'avec mon ex c'est fini mais que toi tu es à peu près heureux en couple. J'avoue que plus le temps passe, plus je me rends compte que j'ai fait une énorme connerie. J'avoue que je me raccroche à un minuscule petit espoir. J'avoue qu'on va se revoir dans quelques semaines et que je m'en fous que tu aies une copine. J'avoue que je tenterai de te séduire. J'avoue que je veux t'épouser. J'avoue que je n'arriverais jamais à me pardonner si j'échouais.
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David, 15 ans, Paris
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J'avoue que je t'aime depuis longtemps. J'avoue que depuis que j'ai pris conscience que je ne te reverrais peut-être plus, je n'ai qu'une seule envie c'est de te dire à quel point je t'aime mais je ne sais pas comment te le dire. Quand je suis près de toi, je commence à bégayer et à faire n'importe quoi. J'avoue que je me sens idiot de l'écrire mais je ne sais vraiment pas quoi faire.
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Osecours, 40 ans, Cergy
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A mon boulot, pendant 8 mois, personne s'est parlé dans l'open space ! L'horreur, à part, quelque banalités du genre, bonjour et rien entre deux toute la journée et bonne soirée pour rentre le soir chez toi.
Vive l'open space !!!
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Osecours, 40 ans, Cergy
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J'avoue j'étais assiste tranquille à attendre mon bus. J'avoue j'étais cool et je ne l'ai pas venu venir. J'avoue j'étais TOUTE CHOSE. J'avoue il s'est planté devant moi. J'avoue j'avais chaud partout. J'avoue j'avais trop envie de le bouffer. Il m'a dit bonjour et avec sa bouche à tomber, un corps de malade mental, Hmmm.... j'en suis toute retournée J'avoue si je le revois je vais être mal. Je suis super mariée. J'avoue il me plaît grave. Je pourrais le bouffer sur place ce mec. Hmmm comment je fais, j'avoue j'ai échangé un maximum de sensations entre quelques mots et un regard. J'aurai pu le suivre au pieu !!! Au secours !!! J'avoue je suis tombée par terre !!! Pfff et depuis c'est super hard et j'ai super peur de le rencontrer à nouveau. Sa bouche, son regard, son corps, ce qui dégage chez moi, c'est un truc de malade mental ! J'avoue, il faut que je me calme... tant que je le verrais pas, ça sera gérable !!!
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Blablabla, 21 ans, Lorient
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J'avoue ne pas supporter mes beaux parents, en particulier mon beau père, cet espèce de raté qui pète plus haut que son cul alors que franchement y a pas de quoi se vanter. Qui se permet de me donner des ordres pour tout et n'importe quoi, même sur des choses futiles du quotidien. De donner son avis et de se mêler de choses qui ne le regardent absolument pas. De faire semblant de m’apprécier quand je suis là, alors que je sais très bien qu'il me considère comme un parasite. Tout doit être fait comme il le veut, et s'il n'est pas d'accord avec quelqu'un, il boude comme un enfant de 5 ans.
J'avoue ne pas porter non plus dans mon coeur mon beau frère, qui à seulement 15 ans est déjà la copie conforme de son imbécile de père, malheureusement pour lui j'ai l'impression que s'il n'améliore pas ses rapports avec les gens il aura de gros problèmes dans la vie.
J'avoue avoir déjà trouvé des excuses (bidon) pour ne pas aller chez eux.
J'avoue aimer mon chéri plus que tout au monde, je veux faire ma vie avec lui, je veux qu'il soit le père de mes enfants.
J'avoue avoir peur de cet avenir, avec des beaux parents étouffants. Peur qu'ils se mêlent de l'éducation de mes enfants, peur de les voir débarquer tous les dimanche et de nous pourrir nos moments en famille.
J'avoue ne pas avoir envie d'aller chez eux demain, mais je ne veux pas non plus me priver de mon amoureux à cause d'eux.
J'avoue ne pas être (peut être) assez tolérante, mais que même quelqu'un de tolérant ne les supporterai pas bien longtemps.
J'avoue être rancunière avec ce genre de personne et jamais de mon vivant il ne commanderont ni moi ni ma façon de vivre ni même mes enfants.
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Alain, 37 ans, Suisse
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J'avoue que il ne se passe pas une heure sans que je pense à elle pas une heure ! J'avoue que je suis épris d'une femme magnifique à mes yeux. J'avoue qu'elle n'est pas à mes côtés et... J'avoue que même sachant cela je fais tout pour détruire ma vie de couple actuel ne sachant même pas si un jour je serai avec. J'avoue que je suis fou. Oui fou d'elle. J'avoue n'avoir jamais ressenti ça auparavant. J'avoue que ça fait très mal. Et j'avoue que tous les jours j'attends comme un idiot amoureux qu'elle m'écrive... J'avoue que je l'aime très fort et que je l'aimerai jusqu'à mon dernier soupir... J'avoue que malgré toutes mes prières Dieu ne me vient pas en aide alors que je sais intimement que nous filerions le parfait amour. La vie n'a plus de sens.
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L'amoureuse, 30 ans, Montpellier
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J'avoue aimer profondément depuis longtemps un homme en couple. J'avoue vouloir faire ma vie avec, qu'il soit le père de mes enfants. Mais j'avoue que je ne peux rien attendre de lui, même s'il est amoureux de moi lui aussi, et que je n'ai pas d'autre choix que de regarder ailleurs.
J'avoue avoir une pseudo relation avec un type très chouette que j'ai rencontré il y a quelques mois, et que je vois seulement une fois par semaine. J'avoue qu'au lit, c'est très compliqué, mais j'avoue que ce n'est pas plus mal, parce que je n'ai pas très envie de lui. J'avoue que ça n'ira sûrement pas très loin, lui et moi.
J'avoue être de plus en plus attirée par un copain, et ne pas savoir quoi faire. Lui dire ? Rester silencieuse ? J'avoue ne pas savoir comment il réagirait, même si j'ai l'impression que je lui plais. J'avoue aussi qu'il a une copine étrangère, qu'il voit peu, et dont j'ai l'impression qu'il n'est pas amoureux. J'avoue être restée sage comme une image lorsque j'étais assise à côté de lui au cinéma l'autre soir, alors que j'avais envie de lui prendre la main et de respirer son parfum, la tête sur son épaule. J'avoue que la dernière fois qu'on a fait une soirée chez moi, j'ai eu un coup de sang en voyant un bout de sa peau, qu'il a brune et unie. J'avoue que quand on sort en groupe, qu'on a peu bu et qu'on en arrive à s'affaler sur la banquette d'un bar, je m'arrange toujours pour m'asseoir tout contre lui. J'avoue que les sentiments, c'est assez compliqué.
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Roxanne, 24 ans, Dijon
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J'avoue je suis en couple mais je trompe mon homme. J'avoue c'est pas bien mais j'adore ça, je n'ai pas envie de m’arrêter et je le vis très bien. J'avoue je couche avec plusieurs hommes et j'assume mes fantasmes notamment avec les femmes. J'avoue qu'il y a quand même un homme que j'apprécie plus que les autres. J'avoue qu'il passe en priorité et que j'ai souvent envie de le voir. J'avoue que j'adore la façon dont il me baise et que je ne m'en lasse pas, je suis sa salope bien soumise. J'avoue qu'il peut faire ce qu'il veut de moi, et qu'il me guide au libertinage et que j'en demande encore. J'avoue...
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Alivia, 21 ans, Miami
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J'avoue qu'une chose m'a très surprise. Mr DJ fait des apparitions par sms... J'avoue ne pas comprendre mais toujours lui répondre. Jusque la c’était simplement pour savoir comment ça allait. Et puis... "I am Djing at C*** on friday"... Hum hum vraiment ? Suivi d'un : Même si tu ne peux pas venir j'aimerai danser avec toi très bientôt... ou en apprendre plus à propos de ce French kiss dont tu parlais... J'avoue que je ne sais pas pourquoi on a continué à s'envoyer des messages depuis toutes ces semaines. Et particulièrement lui Mr I don't care if you don't text me... J'avoue que j'avais vraiment envie d'y aller. Une amie qui me dit "mais oui vas y même toute seule" et une autre qui me dit "mais ça va pas ? tu vas faire quoi l'attendre à rien faire ?" Finalement changement plan je m’éloigne le plus possible de ce club et vais carrément à Downtown. N'ayant pas répondu à ces derniers messages je lui répond vers 3h30 du matin que je ne peux pas venir. Il me dit que tout est ok et qu'il aimerait me voir ce soir si possible. Après quelques messages pour s'indiquer respectivement où l'on est mais que finalement même s'il aimerait qu'on se rencontre plus que tout il va rentrer et a la fin j'ai eu le droit a un... "<3". J'avoue qu'est-ce que les gars ne sont pas prêts à faire pour parvenir à leur fin. J'ai l'air si idiote que ça ? Voyons Mr Dj...
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