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Unemaguette..., 23 ans, Lyon
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Je t'avoue à toi, pour qui mon cœur chavire, à toi, inconnu de mes désirs
J'avoue que je prends une nouvelle fois ma plume, pour délivrer mon âme de son enclume et te confier ma douleur secrète, celle qui fait de toi ma raison d'être.
J'avoue que j'ai partagé avec toi ce que j'avais et celle que je n'étais pas. J'avoue que pour te garder près de moi, pleine d'espoir, j'ai improvisé le cours de l'histoire.
J'avoue, j'ai voulu croire qu'il suffisait d'aimer, mais aujourd'hui nous ne sommes plus. Car de haine et de passion aveuglés, j'avoue, l'un dans l'autre nous nous sommes perdus.
J'avoue que c'est un bien cruel paradoxe que de devoir vivre sans celui dont mon cœur, de bonheur, s'enivre.
Et si je me dis que le temps apaisera nos maux peut-être, j'avoue je sais bien pourtant que sans toi l'amour n'est que paraître.
J'avoue qu'à jamais tu resteras ma blessure et mon armure, celui que mon âme réclamera dans un triste murmure...
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Caillou, 46 ans, Bruxelles
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J'avoue que je viens de la rencontrer. J'avoue qu'elle a dix ans de plus que moi. J'avoue que je la trouve sensuelle. J'avoue que pourtant je suis marié. J'avoue que je ne veux pas quitter ma femme. J'avoue que je souhaiterais la prendre dans mes bras et inversement. J'avoue que je ferme les yeux et que je sens son parfum. J'avoue que je crois qu'elle ne sait pas ce que j'éprouve vraiment pour elle. J'avoue que j'ai l'impression d'être retombé à l'âge de 20 ans. J'avoue que je ne sais plus trop que faire.
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Mélu, 21 ans, Bretagne
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J'avoue, je pense que j'aimerais bien plus ma vie si j'osais faire plus de choses.
J'avoue, je ne comprends pas pourquoi je ne connais pas plus de gens. Je ne sais pas comment retirer cette foutue carapace qui me colle à la peau. Qui m'empêche de me lier avec les gens. Depuis que ma meilleure amie est partie à l'étranger, j'ai l'impression d'être toujours seule. Mon copain est là, bien sûr, c'est chouette, mais c'est pas pareil. En plus, c'est une relation à distance, on se voit pas plus que 2 week-ends par mois.
J'avoue, j'en ai marre de me sentir seule tout le temps.
J'avoue, j'aimerais avoir autre chose que juste des potes de fac. C'est sympa, pas de prise de tête, on rigole bien. Mais quelque part, c'est si faux.
Quelque part, j'aimerais plus de vrais amis.
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Jesaispas, 24 ans, Toulouse
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J'avoue V que je suis super fière d'être ta meilleure amie. J'avoue que notre amitié fait partie des choses les plus importantes dans ma vie. J'avoue X que je ne t'avais pas trop remarqué jusqu'à présent mais qu'aujourd'hui tu m'attires. J'avoue que lorsque tu as posé ta main sur ma hanche j'ai pensé un instant que s'il n'y avait eu personne d'autre que nous dans la pièce je n'aurais pas pu résister longtemps. J'ai envie que tu me prennes dans tes bras je ne sais pourquoi car au fond je ne pense pas que nous soyons fait pour nous entendre ! J'avoue que j'ai envie parfois de tout larguer et de faire le tour du monde ou bien de partir aider les gens qui en on besoin. J'avoue ne pas comprendre le sens de nos existences dans nos pays modernes, hi-tech, dans nos vie plasmatisée, confortable, réglé par la voiture le travail et le film du soir à la télé. J'avoue rire lorsque je vois les gens dans les soirées étudiantes se faire chier comme des cons avec leur verre à la main et raconter le lendemain qu'ils ont fait une fête de fou ! J'avoue détester le paraitre et la dictature de l'apparence qui est fatalement présente trop souvent dans nos vies. J'avoue aimer les gens, j'avoue aimer être disponible pour eux sans rien attendre en retour. J'avoue pourtant ne pas réussir à aimer un homme et construire une relation à deux, je n'arrive pas à me jeter dans cet abîme qu'est l'amour au sein d'un couple. J'avoue voir trop de couples autour de moi qui sont ensemble sans l'être ou bien par habitude par défaut, par erreur ou lâcheté. J'avoue.
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TailleBavette44, 47 ans, Rennes
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J'avoue que j'en ai marre des amitiés décevantes, j'avoue que les rapports humains c'est bien compliqué et que ça me saoule. J'en ai marre de me sentir utilisée, mal aimée, j'ai bien essayé de le dire, mais ça continue et je suis toujours aussi déçue. Je crois que je vais prendre mes distances et accorder moins d'importance aux autres. Y en a marre !
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Bones, 21 ans, Brest
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J'avoue que j'ai pas grand chose à faire, tout ou presque m'arrive tout cuit dans le bec... Je voulais un stage vraiment bien, je l'ai trouvé limite par hasard à deux minutes de chez moi alors que toute les filles de ma classe se sont fait chier à trouver quelque chose de potable. J'avais pas réfléchi à mon projet de BTS, voilà que grâce à mon stage j'en ai deux...
Je voulais essayer le mannequinat mais j'avais la flemme de vraiment me renseigner... J'ai mon 1er casting dimanche pour un défilé de mode grâce à ma mère. J'avoue que je suis très heureuse de la vie que j'ai, je suis très heureuse et fière de mon homme qui est quelqu'un d'exceptionnel avec qui je partage et fais des millions de choses. J'avoue qu'on pense pareil et qu'on sort les mêmes réflexions à une demis seconde près. On se comprend et on discute de tout, tout le temps (chose dont rêve les trois quart des femmes). J'avoue et je le clame haut et fort j'aime ma vie !
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Oceane, 18 ans, Montpellier
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J'avoue qu'aujourd'hui je suis rentrée et que mes deux colocataires n'étaient pas là. J'avoue que, revenant d'un footing, j'en ai profité pour m'allonger sur le canapé, un pot de glace dans la main, une cuillère à soupe dans l'autre. J'ai alors commencé à zapper les chaines de la télévision et là, j'ai compris.
Peut-être que le fait d'être seule chez moi (ce qui est tellement rare) m'a permis de m'éclaircir l'esprit mais je me suis rendue compte que, je n'avais peut-être plus besoin de toi. Que j'étais peut-être en train de me remettre de cette rupture. J'avoue que ces derniers jours j'avais du mal à m'allonger sur ce canapé du fait qu'avant, je ne m'y allongeais pas seule. J'avais du mal à dessiner sur mon balcon du fait qu'avant, tu étais derrière moi en train de complimenter ce que je faisais. J'avais du mal à faire mes courses du fait qu'avant, c'était toi qui choisissait à ma place. J'avais du mal à me coucher le soir du fait qu'avant, tu dormais près de moi. J'avais du mal à sortir en boîte du fait qu'avant, je ne dansais pas avec des inconnus. Mais avec toi. J'avais aussi beaucoup de mal à me balader en ville du fait qu'avant, tu m'y tenais la main. Je ne parle même pas du fait qu'il m'était impossible de prendre le tramway du fait qu'avant, tu prenais le même que moi.
J'avoue que ça me fait du bien de m'habituer à vivre sans toi même si tu restes encore un peu dans mon coeur... Mais j'avoue penser que le jour où je te recroiserai dans le tramway ne me tarde pas du tout...
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Homme pressé, 40 ans, Paris
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J'avoue... je t'ai rencontré métro Saint Lazare. Tu semblais perdue et je t'ai accompagné jusqu'à ton train. J'avoue que j'étais déjà très à la bourre et que le simple plaisir de t'avoir embrassé m'a carrément retourné, adorable marseillaise. J'avoue que quand on est marié et père de famille, Ca craint !
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Ganmor, 23 ans, Noisy le sec
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J'avoue que je viens de voir la publicité de ce site au Restaurant universitaire, car j'aime le crous profondément. J'avoue que je pensais pas que c'était un gars de ma classe qui l'avait créé. J'avoue que je m'attendais pas à avoir la même réflexion orale faite ce matin même à l'écrit sur ce site, j'aime pas les clémentines. J'avoue que je trouve ça très bizarre de pas aimer les clémentines. J'avoue que j'aime pas l'hiver non plus mais pour d'autres raisons. J'avoue que j'aimerais ne pas être publié. J'avoue revenir une prochaine fois car trouve le principe intéressant. J'avoue que j'aime bien le fait d'avoir un auteur de livre dans ma promo, ça fait classe !
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Daria, 16 ans, Paris
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J'avoue beaucoup fantasmer. Sur tous les beaux garçons en passant des acteurs aux footballeurs. J'avoue que cela est terriblement nul, oui très nul parce qu'il me faut un vrai copain, je crois qu'il est temps que je passe à la vitesse supérieure, au risque de finir toute seule entourée de mes chats. Je veux un mec, pas trop bête, un apollon, un cultivé, un beau blond ou un brun, très mignon qui n'en fait qu'à sa tête, un romantique qui m'invite, un musicien, un sportif, drôle mais aussi mystérieux, j'veux un mec, un vrai mec.
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Boulette, 22 ans, Bruxelles
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J'avoue en avoir vraiment ma claque. Je suis étudiante, boursière, je vis seule car mes parents (divorcés) ne savent ni l'un ni l'autre me loger. En toute logique, je dois travailler durant l'année pour assurer le loyer de mon appartement, me nourrir, me laver, m'habiller, bref, assurer toutes les activités quotidiennes qui entraînent des dépenses d'argent. Le hic, c'est que depuis la reprise des cours en septembre, je n'ai encore reçu aucune preuve de fréquentation de cours, soit rien qui me permette de toucher mes allocations familiales ou de m'offrir un abonnement au transport en commun au prix étudiant. Bref, aucune tune depuis septembre. La cause ? L'université attend que mon dossier soit homologué par la communauté française de Belgique pour eux-même le classer comme "en ordre" et donc me considérer comme étudiante et me permettre d'avoir accès à tous les avantages qui me sont dûs. Bien sûr, les frais de fréquentation de cours sont eux dûment payés depuis le jour de mon inscription. En d'autre terme je suis plus qu'en ordre et c'est moi qui suis lésée. Quand au boulot... eh ben là aussi c'est plutôt marrant. Je travaille depuis le mois d'octobre à raison de trois jours par semaine et je n'ai encore perçu aucun salaire. Première semaine de novembre : rien. Je consulte ma directrice qui m'apprend que c'est à moi de lui remettre le décompte de mes heures prestées et qu'elle s'occupera de me verser la somme qui m'est due pour septembre, dans les plus brefs délais. Une semaine après, je retrouve sur mon bureau ce fameux décompte d'heure sur lequel a été ajouté une petite note à l'attention de ma sous directrice, lui demandant de le vérifier. Une semaine plus tard, toujours aucun paiement. Ma sous-directrice prend les choses en main et apprend que ma directrice à carrément oublié de faire passer cette feuille à la compta ! Encore une fois, j'ai passé le mois de novembre dans l'angoisse, à me nourrir de nouille, à ne pas réussir à me concentrer sur mon travail universitaire, n'ayant plus que 10 € en poche. Si l'on considère que les frais de nourriture mensuel tournent autours des 200€ sans être accro au caviar... Pour ceux à qui il viendrait à l'esprit de me recommander d'être plus prévoyante à l'avenir sachez qu'à 22 ans j'avais réussi à me constituer une petite cagnotte, complètement dissolue dans l'achat de mobilier pour mon appart' (et je me suis contentée de l'horrible mobilier suédois). En résumé, une double morale pour cette histoire : oui, il existe bien une discrimination flagrante entre les enfants de riches et les enfants de pauvres pour ce qui est de poursuivre des études supérieures. Je suis sûre que ma concentration et le temps consacré à mes études seraient décuplé si les parents assuraient tous mes frais (ce qui impliquerait également de ne pas "perdre de temps" à un petit job). Attention, je ne blâme ni ne plains personne d'être né où il est né, je constate juste qu'on ne part pas tous avec les mêmes cartes en main. Ensuite, ce sont toujours les petits qui payent les pots cassés. Mauvaise idée d'être le dernier maillon de la chaîne, apparemment, on vous oublie en cours de route.
Merci javoue.com, je me sens déjà mieux.
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Lexie, 18 ans, Toulouse
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J'avoue avoir été une élève brillante au lycée, et que tout naturellement je me suis dirigée vers une classe préparatoire, en PCSI, dans un lycée honnête, sans pour autant être excessivement prestigieux.
J'avoue qu'aucun mythe n'est vrai : que l'ambiance est excellente (entre sup/spé, entre les maths-physique et les physique-chimie...) et peut être même un peu trop. J’avoue que j'ai fait de très belles rencontres cette année, que le major de ma classe est le rigolo de la bande et n'est pas prétentieux pour un sou. J’avoue que les profs ne nous mettent pas la pression (quoiqu'ils nous boostent tout de même) tellement que nous avons fait un repas de classe avec eux à Saint Pierre, place mythique de Toulouse.
Mais au delà de ça, j'avoue que j’ai du mal à en voir la fin et que je ne pense pas intégrer une très bonne école même si je vais jusqu'au bout. J'avoue que je ne sais même pas en quoi consiste « être ingénieur », que je me demande tous les jours si je ne me suis pas trompée d'orientation. J'avoue que lorsque je regarde la faculté de médecine juste en face de mon lycée, j'ai le coeur lourd, en imaginant que j'aurais pu être un "pain", moi aussi. J'avoue que j'ai peur de décevoir. Et que malgré tout, je me sens peut être parfois un peu seule.
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Vence, 31 ans, Laval
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J'avoue avoir, une fois de plus, abusé de boissons alcoolisées et avoir fait n'importe quoi ! De l'infidélité à la provocation en passant par un mauvais comportement envers mes amis ! Beurk, les lendemains sont difficiles...
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Tof, 22 ans, Lille
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J'avoue que ça fait déjà 9 mois qu'on a rompu d'un commun accord après 15 mois ensemble. J'avoue que ça en a même étonné pas mal. J'avoue que je sais que c'était la bonne décision et que je n'y reviendrais pas dessus. J'avoue quand même que j'aimerais te revoir en ami. Je me demande toujours en passant devant ton école si je te croiserais. Je dévisage les passant en espérant que ce soit toi. J'avoue que malgré ce qui s'est passé pendant ces mois ci, tu restes toujours mon plus grand amour. J'avoue que tu gardes une très grande place dans les plus beaux moments de ma vie.
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Sam, 37 ans, Paris
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J'avoue avoir été manger un bon repas avec buffet à volonté du début à la fin dans une grande chaine d'hôtels/restaurants. J'avoue m'être empiffrée comme jamais. J'avoue, à la fin, avoir proposé à mon mari de partir sans payer. J'avoue qu'on est partis sans payer ni vus ni connus, J'avoue qu'on s'est bien marrés !
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Katia, 16 ans, Paris
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J'avoue que je m'autorisais à le regarder parce qu'il était trop beau pour être vrai, trop beau pour soupçonner mon existence. J'avoue qu'on a échangé un long regard d'une intensité troublante et que j'en ai frissonné. J'avoue que je veux le croiser à chaque instant au lycée... J'avoue que son charme m'oppresse comme il me permet de respirer, que son charisme me tue comme il me garde en vie, que sa profondeur me blesse comme elle me ravit.
J'avoue que j'ai compris aujourd'hui que je lui plaisais et que j'hallucine toujours autant.
J'avoue que mes amies me disent de foncer et que je pense tout haut que nous c'est différent, que c'est beaucoup plus subtil.
J'avoue que je ne sais ni quoi faire, ni quoi dire...
J'avoue que je veux qu'il ose m'aborder de sa voix transcendante et qu'il m'embrasse comme une évidence. J'avoue que je trouve notre lien impalpable, pur et beau, terriblement beau. J'avoue que je me sens exister dans son regard, à présent, et que je veux me glisser dans son étreinte. J'avoue que je risque de quitter la ronde des célibataires d'ici quelques temps...
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Thierry, 47 ans, Lille
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J'avoue que je n'ai jamais digéré que tu me trompes, je n'ai aujourd'hui aucun scrupule à enchainer histoire après histoire pendant que tu t'imagines que tout est comme "avant". Véronique, Rita, Sylvie, Roseline, Isabelle et d'autres moins remarquables sont passées dans ma vie et mon lit, quel plaisir de ne plus penser à toi et de sentir attirant. La liste s'allongera, je suis insatiable, je suis un marié libre en fait !!!
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Rubisblue, 18 ans, Lille
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J'avoue que si mon voisin en pince pour moi, c'est pour son voisin de pallier que j'ai craqué... j'avoue que j'hésite entre créer un malaise dans le couloir ou m'asseoir sur mes pulsions... Et je ne m'assois jamais très longtemps sur mes pulsions...
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Capricam, 23 ans, Arras
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J'avoue que pendant j'ai été hospitalisé à cause de ma potentielle maladie... j'avoue j'ai eu le coeur arraché d'être si loin de mon amoureux pendant ces trois jours. j'avoue que l'hôpital me fout la chair de poule. j'avoue que j'ai été éxaminé sous toutes les coutures... j'avoue qu'a la sortie ca n'allé pas trés bien, mon moral en a pris un coup. j'avoue on m'a dit que je l'avais sans doute cette maladie et à vie car elle n'est pas guérissable j'avoue je combats et ne me prends pas la tête avec cette mesquine traîtresse qui s'insinue tout doucement dans mon être. j'avoue que cette manière d'agir pour cette maladie c'est vraiment horrible car on ne saitt jamais quand elle survient. j'avoue je n'en ai pas parlé à ma famille de peur de les effraiyaient plus qu'il ne le faut. j'avoue j'accepte en silence ce qu'il m'arrive, aprés tout c'est le destin. j'avoue je m'autorise d'y penser ( à elle) j'avoue je prends la vie telle qu'elle vient et reste radieuse avec mon sourire indéfectible. j'avoue je me moque de cette quoi? déjà... j'avoue ca me fait du bien d'en parler même si je reste anonyme...
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Capricam, 23 ans, Arras
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J'avoue que je me suis tapée la honte quand on a écouté ensemble "we are not what you think we are" de Mika... J'avoue, j'aurai préféré ne pas entendre sa question ou ne pas y répondre. J'avoue que je suis loin d'être mauvaise en anglais sans prétention. J'avoue qu'il a bien ri après qu'il y ait eu un gros blanc de ma part ! J'avoue ça frisait le ridicule. J'avoue qu'à cette fichu question," mais qu'est que ça signifie we are golden" je lui est répondu "ben on est des pommes" (en référence aux pommes golden). On ne m'y prendra plus à faire des traductions de chansons.
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Sollie, 21 ans, Evry
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J'avoue que j'en arrive aujourd'hui à un constat bien désolant : les mauvais triomphent toujours les bons ? Pourquoi tout devient-il cauchemard ? J'avoue que j'en ai vraiment ras le bol. Tout va mal.
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Ice guy, 35 ans, Marseille
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J'avoue que j'ai beau avoir 1700 amis sur mon profil facebook, je suis toujours seul le soir devant ma télévision... J'avoue qu'il m'en manque sûrement quelques centaines pour avoir un planning chargé tous les jours ?!
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TarikKou, 27 ans, Paris
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J'avoue que c'est navrant de voir qu'il des bouffons qui n'ont rien à faire dans leur vie. J'avoue que c'est lamentable de voir ces fanatiques de foot qui n'attent qu'un ballon dans une cage de but pour aller prendre leur voiture pour klaxonner comme des singes dans la rue. J'avoue que c'est honteux. J'avoue que ce genre de pantins me fait peur : la télé leur dit c'est la grippe ; ils ont peur. C'est la crise ; ils pleurent. But : ils sortent dehors pour klaxonner. J'avoue que c'est désolant de voir autant de vanité autour de moi.
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Sandra, 22 ans, Marseille
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J'avoue que ce soir quand ma meilleure amie m'a dit que son mec l'a laché, au fond de moi ça m'a fait super plaisir. J'avoue que c'est pas terrible comme pensée mais que c'est ce que je ressens. J'avoue que j'avais l'impression qu'il m'avait volé mon amie. J'avoue je suis super heureuse qu'elle se soit faite largué !
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Anémone, 28 ans, Toulouse
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J'avoue que la dernière fois que je t'ai vu c'était il y a 10 ans. J'avoue que je songe parfois sérieusement à te rechercher. J'avoue que je me demande s'il ne faut pas que cela reste tout simplement un rêve. J'avoue que je n'ai rien oublié, que je ne peux pas oublier. J'avoue que je fais tout pour que tu restes enfoui dans les profondeurs de mon inconscient mais qu'il fait bon de temps en temps en temps te rappeler à moi. J'avoue que je t'ai aimé à en crever et que si j'avais su ce qu'il m'attendait pendant toutes ces années, j'aurais sûrement tout fait pour que tu restes. J'avoue que je ne sais pas ce que tu es devenu et que peut être le temps a bien fait les choses. Mais je regrette, si tu savais...
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