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Arnof, 22 ans, Paris
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Cette histoire commença sur un chat... Un soir, où l'ennui battait son plein et que les idées n'étaient meme pas encore au stade de "pensées", j'errais sur internet. Je tombais finalement sur un chat, ce bon vieux trompe l'ennui auxquel je ne croyais plus... A ma grande surprise, sur ce chat, on me parlait ! Une fille, puis deux ! Quel succès pour quelqu'un qui pensait que les salons de discussions étaient aussi fermés qu'un clan de la mafia (quelle comparaison !). Voilà maintenant que je sympatisais avec l'une d'elles, une certaine Julia. Un prénom qui sonnait de toute beauté à mes oreilles ! C'étais comme "Julie" mais avec une touche d'exotisme qui pouvait venir d'Espagne, d'Italie, ou meme d'Amérique Latine... Elle habitait Sartrouville, dans le Nord de Paris. Elle avait mon age, période de la pensée réactive, du regard aiguisé, et surtout de la parole évasive. Au fil des mots je tombais sous ce que l'on appelle le "charme". Ce terme ayant perdu de son sens réel je me permet de vous rappeler que le mot désigne en fait les sorts que lançaient les magiciens pour s'approprier une personne, une magie intérieure impalpable totalement immatérielle... (sauf erreur). Et par là, aujourd'hui, le charme ne se ressent plus comme une intuition mais plus comme un constat visuel, mais là je m'echappe vers un débat qui risque de ne barber plus d'un lecteur... On s'est échangé nos mails, et pendant longtemps on s'envoyait des lettres, façon "amant-maitresse" qui s'envoie secretement en l'air.... Des lettres qui faisait phrases ! J'avais réssucité mon écriture ! Cela devait faire depuis le lycée que je n'avait plus fait l'enchainement "sujet+verbe+complément". Quelques fois je m'autorisais des exclamations,et dans mes jours de regain de culture, j'enchainais même des citations ! Inspiré par la flamme de je ne sais quel passion (amour amitié ?) mes mots comme le siens brulaient dans nos coeur ponctué par cette paradoxale manifestation physique qu'est le frisson, spasme en lutte avec notre corps et nos émotions. On s'aimait presque, a peu de choses près que l'on ne s'étais encore jamais vu. Noyés par les lettres, envahis par nos courriers, nous n'avions encore jamais pensé à nous découvrir. On rectifia le tire à coup de Gif et de Jpg (Format images compatible sur le web) Mortel ! Le temps filait et le courrier virtuel devenait denrée rare ! D'un coté comme de l'autre on s'était "overdosé" ! Il fallait que notre histoire se finisse ainsi. Mon grand secret sur cette anecdote c'est que cette fille elle étais d'une laideur bien rare de nos jours, ce qui m'a peut etre poussé à m'éloigner en douce... Putain, j'avoue, en voyant sa photo, j'avais envie de vomir...
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Arnof, 22 ans, Paris
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Un jour je me suis méchament endormi dans le train. Je dormais d'une telle profondeur que je me suis laché... Une perlouse s'était echappée alors que le train étais à l'arrêt. La nuisance sonore était donc audible de toute part du wagon. Faisant semblant de dormir je voulais tellement croire à un mauvais rêve... mais voilà que la réalité me rattrapa avec une odeur que moi meme je ne pouvais supporter. La théorie qui dit que "le mec qui pète doit etre à meme de supporter sa propre odeur" s'est effondrée ce jour là... J'avoue que sa sentais pas la rose... -> Meilleur Aveu 10/06/2002 <-
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