2 aveux trouvés
Nous sommes sur la page 1 / 1
Didie, 23 ans, Paris
|
J'avoue que je viens de quitter mon petit copain avec qui j'étais depuis plus de 5 ans. Ca ne me fait pas mal, enfin si ça me fait mal pour lui car je sais qu'il tenait beaucoup à moi mais je ne l'aime plus. Je pense que j'ai pris la bonne décision, je ne regrette pas. C'était le bon moment pour le faire. On était pas mariés et on n'avait pas d'enfants. Moi qui n'aime pas les changements, je l'ai quand même fait. Il se demande pourquoi je ne l'aime plus, à vrai dire je ne le sais pas vraiment mais je sais que je ne ressens plus rien quand je suis avec lui. Et je ne veux pas être comme ces femmes qui restent avec leur mari car elles ont peur de tout perdre. J'avoue que je suis contente d'en avoir parlé à mon amie. Elle me soutient et me dit que j'ai bien fait. J'avoue que ça fait du bien d'avouer.
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
Didie, 24 ans, Paris
|
J'avoue que hier, jour férié, je me suis enfin décidée à vernir les lambris de la maison de jardin. La canicule faisant une pause et laissant place à un petit vent, je me suis mise au travail, armée de mon pinceau et de mon vernis. C'était sans compter sur toutes ces charmantes petites bestioles qui vivent à la campagne et, qui comme moi, apprécient le vent frais après une période de forte chaleur. Que cela ne tienne, je me suis vengée en figeant les araignées dans de la Bondex. Assez soulageant pour une personne qui a une sainte horreur de ces animaux à huit pattes. Contente de moi et à la moitié de mon labeur, j'entends un gloussement derrière moi. Je manque de tomber de mon échafaudage en voyant le coq de la voisine, juste là, à côté de moi. Il faut dire que depuis une mésaventure avec un coq, je déteste les coqs, si ce n'est en plat chaud. Passons... donc ce coq est près de moi, et cette satanée voisine est en vacances. Il va falloir lui faire regagner sa basse-cour en lui faisant parcourir une cinquantaine de mètres et, cerise sur le gâteau, le faire voler par dessus le grillage. Et voici que Madame Poule est là aussi. Dame Nature s'est bien vengée de ce que j'avais fait subir aux araignées. Sans trop d'efforts, je parviens à faire rentrer la poule au bercail. Ouf !! Cependant, le coq est on ne peut plus récalcitrant. Il glousse et crie. Il traverse le terrain en long, en large et en travers, et manque de peu de se retrouver dans la gueule de mon chien. Après un quart d'heure d'efforts et après avoir enfermé mon chien, je décide de faire faire un peu d'exercice à ce coq : petit sprint entrecoupé d'un briefing ("tu as envie de te retrouver en casserole ??"...). Comme par enchantement, le coq trouve finalement l'énergie nécessaire pour ouvrir ses ailes et se retrouver de l'autre côté de la clôture, à croire qu'il avait compris mes paroles assassines. Que d'émotions... J'ai fini de peindre dans le calme. J'avoue que je réfléchirais désormais à deux fois avant de tyranniser les bestioles. Toutefois, j'avoue aussi qu'une poule au pot n'aurait pas été de refus (mon chien pensait de même...).
|
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami -
|
© 1998 - 2025 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou
|