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Moi-meme, 25 ans, Lorient
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j'avoue que oui, maman, j'ai bien cassé ton vase préféré a l'age de douze ans oui papa j'avoue que j'ai fait partir ton chat parceque j'étais jalouse oui chère petite soeur, j'ai sans faire exprès draguer ton mec en boite de nuit et qu'après je l'ai accusé oui petit frère c'est vrai que c'est moi qui ai perdu ton jeu kiki en maternelle et que c'est pas notre chère soeur j'avoue sally que c'est moi qui t'ai pris ton collier rose et que depuis que tu as dit que celui qui te l'as piqué tu le bute, j'ose plus trop te le rendre oui j'avoue monsieur wozniak que c'est bien moi qui fait autant de bruit aussi souvent et que c'est toujours sur la jeunette du bas que ça tombe oui j'avoue madame kahn que c'est moi qui ai volé votre tartine de vache qui rit. oui tristan, j'avoue que c'est ma faute si ton site a buggé et si tu n'as pas pu le récuperer J'avoue nicolas que t'étais un trop mauvais coup au pieu mais t'es un gars génial j'avoue que tout ce que j'ai dit à nadège était mérité et que ça je ne le regrette pas j'avoue que mes parents ont bien fait de ne jamais me forcer en études j'avoue que je m'épate des fois tellement je suis conne ou intelligente j'avoue que je pense toujours ce que je dis j'avoue que tout ce que je dis est toujours extrèmement pensé j'avoue que ça fait du bien d'avouer a ma moman que j'ai cassé son vase
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Moi-meme, 25 ans, Lorient
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C'était il y sept-huit jours, j'étais tranquillement devant la télé attendant le copain de Sally (ma meilleure amie) pour discuter avec lui du futur cadeau qu'on pourrait lui acheter pour son 25° anniversaire. Il arrive, et on s'assoit autour de ma table a manger, je sors pastis et martini et on se commence l'apéro avec un peu de graillon. Plus il parle moins j'en ai quelque chose a faire de ce cadeau surtout qu'on doit le faire seulement dans un mois, alors je lui propose d'aller devant la télé, de plus on arrive plus trop a parler, on a un trop gros coup dans le nez. On s'assoit et on commence à regarder une daube pas possible, mais problème, télécommande trop lointaine, alors je laisse. Et dans cette daube sur je ne sais plus quelle chaine, un scène d'amour doucereuse et doucerette commence, alors Gilles se tourne vers moi et commence a m'embrasser (action qu'il devait avoir prévue depuis quatre ans), et passe une main sous mon pull. Il m'enlève le pull mais la, horreur, un T-shirt avec plein de lanières qu'il mets dix minutes à m'enlever, puis je me penche sur lui et je lui enlève son pantalon en arrachant sa ceinture pour le fun, puis son caleçon et j'embouche son sexe de toute ma bouche, je commence mes va-et-vients entre son corps et le bout de son gland (tout rouge, un truc que j'ai jamais compris). Je crois bien que ma fellation lui a plus étant donnée qu'il poussait des petits "continue" pendant mes mouvements. Je le sens qui se contracte de plus en plus et de plus en plus alors je remonte, je l'embrasse a nouveau (pas des palots de lopettes), et lui commence à m'enlever mon futal, cinq minute plus tard lorsqu'il comprends qu'on bouton se déboutonne et s'arrache pas, il y arrive enfin et m'embrasse les cuisses, son instinct bestial remontant (je le sens), puis il me retire ma culotte, me faire asseoir sur le canapé (ikéa) et commence à me lécher. Ca va paraître un peu bête mais jamais aucun gars ne m'avait fait ça comme ça (il m'a fait découvrir des choses quand même le bougre !!). Puis il se relève, à mi-du-corps, met un préservatif et commence a me pénétrer doucement, puis il accélère le rythme au fur et a mesure que je lui demande, au bout d'un moment il va si vite que je lui demande de ralentir pour au moins le sentir, il ralentit et la c'est le plus merveilleux orgasme de ma vie, je jouis a n'en plus finir. Je me tourne et il continue en levrette toujours sur le canapé (ikéa) et a nouveau ses instinct bestiaux reprennent le dessus et il accélère (maintenant il me semble avoir été comme une moto pour lui (première vitesse, deuxième troisième et on embraye !!!)), pareil a nouveau un très bel orgasme, je crie comme une sauvageonne (pauvre voisin), je me retourne à nouveau et la c'est un simple missionnaire qui nous attends, mais avec lui ce fut quand même plus, quand il donne quelque chose, c'est a fond, puis il s’arrête, me regarde et me dit "tu peux me refaire la même fellation ?" J’acquiesce et recommence mon numéro mais cette fois-ci, en mieux et plus longtemps, je lui fait la totale: testicules, gland, phallus. Il semble apprécier a mort et quand il semble a limite, je me relève a nouveau et il me plaque contre un mur et me prends par derrière, moi qui m'attendait a un "stop" monumental de sa part je suis bien surprise "mais pas fâchée" et je me laisse faire. Les hampes de mon bassin tapant contre le mur font tellement de bruit que j'en pleur de rire par rapport aux voisins (ce sont des personne âgées), mais en même temps je frissonne parce que ce que gilles me donne a l'instant même personne n'a jamais réussi à me le donner avant, et il continue, c'est a nouveau l'orgasme, je transpire tellement que se peau et la mienne collent ensemble, il gémit de bonheur, et continue son affaire avec toujours la même vitesse. Il me plaque la tête avec la sienne contre le mur et m’embrasse le coup et caresse mes seins tout en continuant de me pénétrer, je suis au bord de l’extase, complètement. Il me mord la peau du coup comme un chat en rut, ses accoup deviennent de plus en plus espacés mais de plus en plus violents, tout ce que j’aime, c’est que ça, je crois qu’il l’a compris. Il se baisse m’écarte les cuisses et me fait un formidable cuni, au bout d’une dizaine de minutes il remonte me retourne encore un fois, je me laisse faire, et il m’emmène sur mon lit (1 place), m’enfouit la tète dans les coussins, et me sodomise. Il y va comme entre dans un tunnel, d’abord doucement puis à fond la caisse, et il me ramone le gros intestin comme ça pendant un temps incroyable (il aime ça le bougre !!!), puis quand un certain temps est passé, il me retourne et quand je pense qu’il va a nouveau me pénétrer, il bascule mon bassin un peu plus haut et me sodomise à nouveau, mais la c’est plus de l’extase, c’est un nouveau nirvana et ça a nouveau pendant des années-lumière. Les lit pousse des petits grincement, ça m’excite et il continue, il s’excite lui aussi et commence aussi a crier, il apprécie mon derrière apparemment, comme moi j’apprécie son engin, lui il sait s’en servir manifestement, pas comme d’autres (n’est-ce pas Florian ? n’est-ce pas Nicolas ?) et puis il me parle, il me dit qu’il m’aime (et même si sur le coup je n’en était pas sure, ça fait quelque chose au petit coeur tout chaud) que je suis bonne (moins romantique) et qu’il ferait bien ça tout les soirs avec moi. Moi je souris niaisement dans mon lit, parce que je suis entrain de me faire donner par le copain de ma meilleure amie, et que même si ça me fait tout penaude, et que en même temps je ne regrette pas, ou du moins rien de ce qu’on a fait sexuellement. ET continue encore et encore mais à chaque minute le plaisir avance et ce que je croyais impossible arrive, l’orgasme le plus monstrueux arrive, un comme j’en avais jamais eu, je hurle, je tape contre le mur, je bats des pieds, je tourne le bassin et je sens sa queue tourner en moi, quelle sensation !!!!!!! Alors a ce moment sonne le voisin (un petit vieux de 70 ans environ), je prends vite mon peignoir, j’ouvre pendant que Gilles se cache dans une encornure du mur, le petit vieux se plaint pendant dix minutes et je lui dit que ça ne vient pas de chez moi et que s’il veut venir voir il n’a qu’a le faire et qu’il ne trouvera personne, il me remercie et descend les escaliers. Gilles s’est tranquillement agenouillé au bord du lit et m’attends en croisant les bras je m’assoit en face de lui et il en profite pour m’embrasser la chatte. Il commence à me parler, il me dit qu’il m’aime, qu’il en a marre de Sally, qu’au début, c’était Sally qui l’attirait mais que depuis qu’il m’avait vue (et pourtant je suis tout sauf un canon) et entendue il ne pensait plus qu’a moi, que j’étais comme une drogue et qu’il était content de me faire l’amour. Je m’étends en arrière, il comprends et me pénètre doucement, mais a nouveau il accélère (pourquoi changer une formule qui marche bien ?) et c’est encore une fois le nirvana, mais juste avant de pousser le cris fatale pour le voisin, je sens sa main sur ma bouche et je lui suce un doigt, je sens alors comme un jet en moi (et oui, plus de préservatif depuis la pipe), je l’écarte je le regarde, il a l’air tout gêné, mais le contact de mon vagin et de son sexe me manque alors nous continuons (la pilule du lendemain ça existe, de toute façon c’était déjà fait et donc trop tard), mais la il y va plus doucement ce qui me procure des frissons de plus en plus troublants, il n’accélère pas, reste a une vitesse de croisière très calme comme s’il voulait admirer le paysage puis je lui murmure par pitié d’accélérer une dernière fois, il me regarde souriant et exauce mon voeu, c’est a nouveaux un formidable orgasme mais déjà plus contrôlé: je ne crie pas je ne fait pas de gestes violents, je bouge juste mon bassin et sens à nouveaux un jet en moi. Il reste en moi pendant une quinzaine de secondes puis s’arrache malgré lui parce que je veux me coucher et dormir un peu. Il se couche derrière moi et me pénètre juste sans recommencer les va-et-vients, apprécie tout autant que le reste. Il me serre fort dans ses bras et je me sens aimée vraiment pour la première fois de ma vie et je commence à tomber amoureuse de lui, il mets sa tète dans mon coup et ça y est je craque. Je sens nos deux corps serrés dans ce lit et j’en frissonne, il lève la tète et m’embrasse l’oreille. Je me détache de son étreinte, je me retourne, je veux l’avoir en face de moi, et malgré moi je pleure, il sèche mes larmes et me demande simplement “pourquoi tu pleures ?” et ma réponse est d’autant plus simple (mais carrément typée pour une sitcom) ”parce que je t’aime mais que je n’en ai pas le droit”, il me regarde et dit “pourquoi ?”, “parce que Sally est ma meilleure amie”. Et là j’apprends la nouveauté de l’année: “mais je suis plus avec Sally”, “et pourquoi t’es venu alors ?” “pour ce qu’on vient de faire”. Je sourie, je sais pas si ça donner une grand histoire mais en tout cas elle a bien commencée. Aucun autre mec ne m’a donnée autant de plaisir que lui, même si ça en vexe quelques uns (qui donc ?) mais en tout cas j’ai enfin quelqu’un de sur dans ma vie, sur qui je peux compter, qui m’aime et qui tient a moi. Peut-être ai-je trouver en lui l’homme de ma vie. En tout cas merci Sally, surtout pour ne pas m’en avoir voulu s’il t’a quittée, j’en suis désolée, je n’avais rien prévu.
Gilles ? Je t’aime, je l’avoue et je l’assume.
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