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SenSen, 24 ans, Paris
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Un soir, nous étions conviés à une soirée sur une péniche parisienne. Le prix ayant été très attractif beaucoup trop de monde s'y était rassemblé. On se bousculait les uns les autres, se marchant dessus pour passer d'une salle à l'autre, j'étais, je l'avouerais, de mauvaise humeur ce soir là et pour les raisons citées ci-dessus.
Ayant trouvé un endroit où nous pouvions nous reposer quelque peu à l'abris des mouvements de foule, un petit mec écrasa sans le faire exprès, je supose, le pied de l'un de mes vieux potes. Mon ami se retourne et observe que le bonhomme n'est presque pas dérangé de faire sa semelle sur le panard de ce dernier. Gentillesse profonde de mon ami, il retire le bas de sa jambe. Mais moi étant derrière ce personnage un peu bizarre, j'avoue avoir laissé consumé ma cigarette sur la toile de sa jolie veste de grande marque.
Pourquoi avoir fait cela me diriez-vous, je ne sais pas, c'est bête et méchant. Peut être était-ce la petite taille, peut être était-ce mon âme de vengeur inestimable à quelques centimes près. Toujours est-il que si vous observé un jour, un trou de mégot dans votre costard, demandez-vous au préalable, si vous n'avez pas marché malencontreusement sur le pied d'un individu.
J'avoue être stupide bien souvent, mais j'avoue que ma stupidité m'appaise parfois ;) -> Meilleur Aveu 19/08/2002 <-
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SeNseN, 24 ans, Paris
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Etant plus jeune, je travaillais le Samedi soir dans un de ces gros complexes aquatiques Parisien ( dans le 15 ème arrondissement pour être plus précis ) pour me faire de l'argent de poche et ils organisaient toutes les quinzaines une soirée dansante dites "les soirées rock". Les personnes, d'un certain âge, venaient pour y apprendre à danser le rock'n roll avec un de ces animateurs recrutés chez le ClubMed. Imaginez un peu une bande de vieilles peaux se mettre à l'essais... Mon vieux pote et moi étions Barman et nous servions ces personnes dignement afin qu'ils se raffréchissent pour partir de plus belle, et très ludique était le spéctacle. Cette fameuse clientèle était d'origine assez modeste pour ne pas dire "pété de thunes". Plus nous servions des gobelets coûteux et plus notre salaire variait en conscéquence. Mais comme nous le savons tous, ce n'est pas les plus aisés qui dépensent le plus, d'autant plus que proche de la retraite il faut économiser un paquet pour payer les petits voyages vers la Floride, royaume des vieux croulants mal dans leur ( vieille ) peau. Ainsi, au lieu de commander de bons cocktails préparés par nos soins, ils nous (re)demandaient sans cesse des verres d'eau. Logique commercial et bonne esprit étant de rigueur, nous les serions non sans peine et avec ce sourire forcé sur le coin de nos lêvres. J'avoue avoir souhaité la mort à plus d'un. Le clous de la soirée étant de voir déhambuler les pseudos vigiles tout vétû de noir et venir tapper sur le bar tel des CowBoys en plein far west pour nous réclamer de grands verres d'eau comme un dû et sans dire les fameux mots magiques mais important. Il est vrai qu'il y en avait un que je n'appréciais que très peu, c'était le plus assoifé de tous et il se pointait tous les quarts d'heures. Ce fameux soir, je m'étais pointé en retard, sans avoir pris la peine de laver quelques membres que ce soit. Après le neuvième passage de ce type, j'avais décidé, en collaboration avec mon vieux pote, de lui préparer son prochain verre. Tout était là pour l'accueillir dignement, l'un des plus beau gobelet en plastique que nous avions dans notre service, quelques glaçon bien préparés et de l'eau pure et écarlatte. Je pris cette belle préparation, et profitant de l'absence des abitués du bar, je glissais discrètement le gobelet vers le bas pour qu'il échappe de la vu de tous, je déboutonna mon jean's et sortis mon zizi afin qu'il puisse se reposer quelque temps dans cette eau douce. Quelques minutes plus tard, le fameux type se pointe et réclame son fameux verre d'eau. Vous ne pouvez pas imaginez ce plasir que nous avons pris à le voir se désaltérer de cette manière. Surtout après avoir frotté sa bouche contre sa manche et déposé ce grand soupir "AAAHHHHHHHH" du bonhomme qui vient de satisfaire son besoin le plus naturel qu'est la soif. Je suppose que depuis ce soir là, il n'a toujours pas compris pourquoi je lui avais servis ce fameux verre avec un sourire qui frolait l'éjaculation. J'avoue avoir été vilain et j'en profite aussi pour avouer que ces soirées était belles et biens rentables sauf que la moitier de la caisse enregistreuse qui ne marchait pas passait dans nos poches. Elles étaient rentables... enfin pour nous. J'avoue également que mon pote qui y travaillait également en journée dans un petit snack proche des grandes piscines a bien souvent fait tombé quelques frittes, steack haché, hamburger qu'il ne s'est pas empéché de reservir à cette clientèle dépourvu d'aimabilité.
Conclusion, des centaines de personnes ont été privés de ces soirées puisqu'elles ont étés clôturés ( faute de "rentabilité oblige), quelques personnes ont dû souffrir d'intoxications alimentaires et un vigile à gouté à la fleur de mon pénis malpropre.
Moralité : depuis ce jour, je reste sympas avec les types qui servent mes plats au restaurant. -> Meilleur Aveu 19/08/2002 <-
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