Les aveux ...

Avouer - Tous les aveux - Meilleurs aveux

Bêtises - Amour Fou - Multizaveux - Inclassable
Vantards - Ras le bol - Aïe - Trompé - Interdits

JAVOUE.com en page d'accueil - JAVOUE.com dans les favoris - Recommander ce site - PressBook - Un aveu au hasard

Nous sommes sur la page 1 / 895

Riverloverr, 25 ans, Réunion
J'ai l'impression de devenir la pire version de moi-même en ce moment. Je mens à tout le monde et surtout à moi-même. Je fais comme si tout allait bien mais au fond je suis mal. Je juge tout le monde dans ma tête et parfois je suis très méchante et égoïste. J'ai constamment envie d'attirer l'attention et je veux faire croire que tout se passe très bien dans ma vie. Je suis hypocrite, je ne dis pas ce que je pense réellement, j'ai l'habitude de parler dans le dos des gens pour plaire aux autres. Je cache ma vraie personnalité et je me cache derrière un ou plusieurs personnages. Je me déteste, j'aimerais tellement changer mais je n'arrive pas, je procrastine tout le temps.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Renegade, 24 ans, Nimes
J'en ai marre et j'ai peur. J'avoue les personnes avec qui j'ai passé des années à leurs cotes et que j'ai laissé partir, me manquent.
J'avoue j'ai peur que ma situation ne s'améliore jamais. J'ai peur de ne pas retrouver des amis, de ne plus avoir de vie sociale, j'ai peur de la solitude, de l'éloignement.
J'ai peur de passer ma vie toute seule, de ne plus jamais oser faire confiance à un homme.
J'ai peur d'avoir toujours cette image des hommes, incapable de me soutenir et d'être à la hauteur.
J'avoue, j'ai peur de ne jamais oublier mon ex.
J'ai peur de ne pas être assez forte, de ne pas tenir, de ne pas y arriver.
Je ne veux pas être cette personne mais pourtant aujourd'hui je tends à l'être.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Jinx, 44 ans, Metz
J'avoue qu'après notre première rencontre, je n'étais pas sereine à l'idée de travailler avec toi. Je te trouvais assez intimidant, froid, et peu enthousiaste à l'idée de m'avoir dans l'équipe...

J'avoue m'être trompée ! Tu es drôle, mais vraiment, à un point ! J'adore ton humour irrévérencieux, j'ai rarement autant ri de ma vie qu'avec toi.
Tu es prévenant et attentionné. J'ai remarqué tes efforts pour m'intégrer après que tu m'aies entendue dire à quel point mes anciens collègues me manquaient, et ça m'a beaucoup touché.
Ton côté râleur et bougon, brut de décoffrage, ne suffisent pas à cacher ton cœur en or et ta sensibilité.

J'avoue que tu as rebattu les cartes dès notre premier jour de travail ensemble et que c'est un bonheur de bosser avec quelqu'un avec qui je partage tellement de goûts.

J'avoue que quand nos collègues me disent qu'on est trop mignons tous les deux, que tu as changé depuis mon arrivée ou que je semble t'apaiser, ça me fait quelque chose.

J'avoue que je suis plus que sensible à ton sourire de fauve, à ton odeur, à la lumière dans ton regard quand tu me parles. J'adore quand tu t'assois près de moi, quand on se frôle par accident, quand tu me tapotes la tête en disant « elle est gentille » et que ta main reste une seconde de trop sur mes cheveux.

J'avoue, j'ai très, très envie de toi. Je ne peux qu'imaginer l'alchimie que nous avons déjà, transposée dans un lit. Ou sur ton bureau. Où tu veux, quand tu veux, autant que tu veux. Que ce soit sage, sale, fou, plein de tendresse ou très vilain, je suis certaine qu'on saurait se faire jouir à en perdre le souffle. Tu n'imagines pas combien de fois par jour je pense à ce que je te ferais si....

... si nous n'étions pas tous deux mariés et heureux dans nos vies de couple, si tu n'étais pas mon chef, si nous n'étions pas l'un comme l'autre des gens raisonnables et avant tout professionnels.

Alors j'avoue, je garde pour moi mes envies, je fais taire mes sentiments, et je me contente de mesurer la chance que j'ai de t'avoir, toi mon « mari de bureau » (comme te surnomme le mien), en tant qu'ami.

Et j'avoue n'avoir pas du tout hâte de venir dîner chez vous ce week-end, de peur que ne saute aux yeux de ceux qui partagent nos vies depuis si longtemps, ce que toi et moi faisons mine d'ignorer depuis toujours.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Aldo, 49 ans, Toulouse
Il y a dix ans, j'avais avoué cela :

J'avoue que, lorsque j'ai appris que tu m'avais trompé avec ton collègue de bureau, à quelques mois de notre mariage, je suis tombé plus bas que tout. J'avoue que, lorsque je regarde les photos de notre mariage, je suis triste. Tu t'es mariée alors que tu en aimais un autre, et moi, je ne voyais rien.

Aujourd'hui, nous avons trois enfants magnifiques et je te trouve resplendissante, mais je suis malheureux. Tu m'as trompé il y a dix ans et pourtant je n'oublie pas, et je ne peux pas te pardonner non plus. J'avoue que je ne t'ai pas cru une seule seconde quand tu m'as dit que tu n'avais couché qu'une seule fois avec lui. Je me sens mal à cause de cette histoire. J'avoue que c'est lourd à porter et que tu ne le vois même pas. J'avoue que je t'aime autant que je te hais. Si un jour je te quitte, ce sera à cause de tout ça.

Aujourd'hui, dix ans plus tard, nous sommes à quelques jours de nos 20 ans de mariage et la douleur de ta tromperie est toujours là. J'avoue que je n'ai pas envie de célébrer ce qui, pour moi, représente le jour du mensonge. Avec le recul, je regrette de ne pas t'avoir quitté avant d'avoir eu des enfants. J'ai le sentiment d'être passé à côté de mon bonheur. Maintenant, je fais de mon mieux pour nos enfants, pour qu'ils deviennent les meilleurs possibles et qu'ils acquièrent le sens du respect de l'autre et de soi-même. Te quitter serait très difficile pour eux, alors je laisse grandir autant que possible la petite dernière avant de l'exposer à une éventuelle séparation. Personne n'y croirait si je te quittais maintenant, tellement l'écran de fumée est épais.

L'ironie du sort, c'est que, comme un signe du destin, je suis tombé amoureux d'une collègue de travail... moi aussi. Quel bonheur de sentir mon cœur battre si fort, de voir son sourire le matin, de parler avec elle, d'échanger des regards complices. Pourtant, il ne se passe rien entre nous, mais ses mots et ses yeux me disent "je t'aime", et c'est tellement agréable.

Il ne se passe rien, car elle aussi est en couple et elle aussi a été trompée. C'est pour cela qu'il ne se passe rien d'ailleurs : on se respecte et on respecte encore l'autre (pour combien de temps ?). Alors, cet amour inattendu m'aide à comprendre certaines choses : tu es tombée amoureuse de ton collègue, et je ne t'en veux pas pour ça. On ne contrôle pas ce sentiment-là, ça arrive sans prévenir et on ne peut pas lutter. Par contre, pour le mensonge, la partie de jambe en l'air et toutes ces moqueries devant une de tes copines qui savait que tu me trompais... je ne te pardonnerai jamais.

Des enfants merveilleux, pas de problème d'argent, une belle maison, le tableau est idéal et nos amis nous félicitent régulièrement pour cette relation de 20 ans. Et d'ailleurs, je me suis toujours dit que, malgré ma souffrance, j'étais bien avec toi. Et dans un sens, c'est plutôt vrai. Alors oui, j'ai tout pour être heureux, mais ce n'est pas le cas. Le pire, c'est que tu ne t'en rends même pas compte.

Si ma relation évolue avec J., je te quitterai, et ce, avant de me retrouver avec elle dans un lit. Je me respecte, je la respecte et je te respecterai jusqu'au bout, parce que tu es quand même une femme formidable et une super maman. Mais je suis toujours coupé en deux : une partie qui t'aime et l'autre qui te déteste. Malheureusement, cela fait quelques années que la deuxième partie empiète sur la première.

Moi aussi, j'ai droit au bonheur et je compte bien en profiter... mais probablement pas avec toi.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
St4r, 69 ans, Lyon
On avait cette histoire digne d'un compte de fée. La vie nous a mis des étoiles dans les yeux et le corps. C'était un rêve, magnifique. Honnêtement, tout était aligné pour nous.

Seulement, elle était là. Tu l'as gardé auprès de toi au cas où.

Alors j'avoue que cette ombre au tableau, ça brise un peu l'enchantement.

Je t'en veux toujours, et on ne pourra jamais recommencer le début de ce livre. Par ta faute. Tu as gâché un début si fort, si unique...

Dis-moi, combien de temps attendais-tu après nos appels pour vite la recontacter ? T'étais si fier de me dire qu'elle t'écrivait.
Parfois, j'avoue vouloir n'avoir jamais ouvert ce chapitre de nos vies.

Si dès l'envoûtement, tu te gardes cette fille de côté, où irons-nous ?
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Kaira, 25 ans, Orleans
J'avoue que depuis quelque temps que je suis inscrite sur deux sites de rencontres pour un plan d'un soir. Dont un qui est extraconjugal, libertin. J'ai de nombreux fantasme dont avoir un Daddy et une Mommy, que l'on me fouette très fort les fesses et le dos avec un fouet. Mais aussi que l'on m'appelle Baby et porter une couche, me comporter comme un bébé. Je suis surtout attirée par les personnes bien plus agées.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Pas de pseudo, 45 ans, Sud
J'avoue que je fantasme sur ma voisine. J'avoue que sa poitrine y est pour beaucoup. J'avoue que je suis marié. Mais j'avoue que c'est plus fort que moi. J'avoue que dès que je peux la mater je ne me prive pas. Et j'avoue que parfois nos conversations sont parfois ambiguës et que ça m'excite beaucoup.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Omelette, 25 ans, Bruxelles
J'avoue je comprend rien aux hommes.
Il s'est écoulé un an depuis la dernière fois que j'ai écris sur ce site. Et en moins d'un ans j'ai réussi à faire certaine chose que je souhaitais le plus : me faire des amis, vivre des expériences nouvelles, rire, apprendre,...
Mais les hommes vous restez un mystère pour moi ! J'ai enfin atteint le physique que j'avais avant ma relation toxique et malsaine. Je ne me considère toujours pas comme femme fatale mais bon je suis très loin d'être laide. Ça va peut être paraître superficiel de ma part mais pourquoi vous choisissez la meuf moche et chiante ? Non parce que je comprend pas
Vous préférez souffrir ? Je me suis rapproché d'un mec, il m'a fait penser qu'il m'aimait mais en fait c'est non parce que dès que j'ai osé dire que j'étais jalouse (en plus je ne le disais pas sérieusement à ce moment-là) il s'est refroidi et m'a repoussé et a sauté dans les bras d'une autre fille (qui je suis désolé est franchement laide et cucu la praline).
Je suis en colère contre vous messieurs. Car à chaque fois c'est comme ça. Il suffit que je montre un peu trop d'affection pour que vous ayez peur. C'est pas de la gentillesse qu'il faut avoir peur mais des affreuses manipulatrices.
Surtout que maintenant j'ai peur de mes sentiments. Il y a un nouveau mec qui me plaît mais maintenant j'ai peur. J'ai l'impression qu'il commence à faire la même chose (tout ça parce que j'ai dit qu'il me plaisait à une soirée romantique, je n'ai même pas dit je t'aime purée)
J'avoue que j'ai peur de le perdre et que j'ai l'impression que c'est le seul mec « bien » et mignon que je connaisse.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Mimine, 40 ans, Paris
J'avoue que je n'irai plus au Monoprix.
La caisse automatique où il est impossible de payer avant qu'un agent vienne contrôler votre panier puis impossible de sortir dans scanner le ticket de caisse sous le contrôle du vigile.
J'avoue, adieu Monoprix !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Etayune, 37 ans, Aix
J'avoue que j'ai emmené ma mère au Starbucks, le serveur lui a demandé quel est son prénom et ma mère a répondu "Désolé je suis mariée". J'avoue c'est la honte !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Tais-toi quand tu parles et embrasse-moi, 39 ans, lyon, 49 ans, Lyon
Tais-toi quand tu parles et embrasse-moi, 49 ans, Lyon
- J'avoue qu'il y a maintenant 10 ans en 2013, j'écrivais sur ce site, ce que mon merveilleux kiné, beau mec, gentil et doux, me faisait comme massage.
- J'avoue qu'aujourd'hui encore, soit 10 ans plus tard nous sommes en 2023, je ne t'ai jamais oublié G. M.
- Ta voix me manque, ton beau sourire me manque, ta présence et ton charme fou me manque aussi.
- Tu étais si doux, toi le natif de l'été, comme moi.
- J'avoue que cette histoire inachevée me bouleverse encore, même si on a fait l'amour ensemble, on aurait dû prendre le temps et passer une nuit complète rien que tous les deux.
Un jour peut-être quand on sera plus vieux, on se retrouvera...
J'avoue que je t'ai goûté... et que j'ai kiffée J. H
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Lola, 31 ans, Châtellerault
J'avoue j'ai trompé mon mari c'était planifié...
J'avoue j'ai tellement aimé, découvrir un nouveau corps après 11 ans.
J'avoue je n'ai pas un seul regrets.
J'avoue que j'aimerais le refaire tous les jours.
J'avoue que si je continue je vais tomber amoureuse.
J'avoue que j'ai encore plein de choses à découvrir avec cet homme j'avoue que j'ai hate de le revoir.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Rue madame, 34 ans, Paris
J'avoue avoir flashé sur une vendeuse de ma rue.
J'avoue que son sourire, ses tresses et son style me font craquer.
J'avoue que je passe souvent devant sa boutique pour un simple sourire et un signe de sa main.
J'avoue être en couple et elle aussi.
J'avoue que je sais que je lui plait.
J'avoue que si elle le permet je flancherais sans retenue.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Sansdetermination, 17 ans, Nîmes
J'avoue que je dois passer un concours pour un court métrage dans dix jours mais je n'ai même pas écrit le scénario et je n'ai pas les acteurs non plus. J'avoue que j'ai un besoin de me sentir aimée tout le temps et que je n'ai aucune envie de m'en défaire, j'ai l'impression que ma personnalité se tait petit à petit alors qu'avant elle éclaboussait tout sur son passage. Je regrette beaucoup de choses, dont le fait que je n'ai pas assez de courage pour pouvoir assumer des responsabilités quand je serai étudiante. Ma vie se résume à tout et à rien, je ne dors presque plus à cause d'un stress qui me bouffe la santé et la vie, des projets inaboutis et qui n'auront peut être jamais de finalité. je divague entre conscience et inconscience et je ne m'y plais pas, je déteste tout ça. je sais que ça arrive à tout le monde les mauvaises passes, mais ça me paraît tellement long que je n'arriverai sans doute jamais à y voir le bout. Les addictions mènent ma vie, je suis leur pantin une sorte de bidule dont on a pris possession et qu'on garde sous la main.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Rose, 18 ans, Paris
J'avoue devoir choisir entre Jules et Dilan.
Je suis partagé entre ces deux hommes. L'un me soutien et me comprends et l'autre me plais énormément. Je ne suis pas en couple avec Jules mais... nous vivons quasiment ensemble, j'ai mon appartement mais je dors tous les soirs chez lui (C'est une situation étrange vu d'un œil extérieur), nous nous comportons comme un « vrai » couple, on se donne des surnoms et on ne manque pas une seule occasion pour se montrer notre affection. Cependant nous ne sortons pas ensemble. Dans trois mois il sera affecté dans le sud de la France. Nous ne voulons pas d'une relation à distance. Tout ça était convenu dès le départ. Je sais qu'il s'en va et que nous ne nous rêverons sans doute pas. Nous ne voulons rien changer, notre relation est parfaite ainsi, pas besoin d'y mettre un nom. Je n'aime pas Jules... je l'apprécie énormément. Et maintenant pour complexifier tout cela il y a Dilan... Qui lui, s'est au départ montré distant avec moi. À force de patience et de persévérance il s'intéresse enfin à moi. Si Jules connaît l'existence de Dilan, Dilan, lui, ne sait rien de la relation que j'entretiens avec Jules. Si il l'avait su je n'aurais jamais eu aucune chance.
Aujourd'hui Dilan m'avouer développer des sentiments pour moi... c'est ce que j'attendais depuis des mois mais... pourtant... cela ne me rend pas heureuse.
« C'est trop tôt » ; « je ne peux pas... pas encore ». J'ai encore envie de profiter des quelques mois qu'il me reste au côté de Jules. Je ne peux pas l'abandonner comme ça...
Dois-je vraiment choisir !?
Dilan me donne envie de tourner une page de ma vie... il me donne envie de me poser et construire un couple. Je vois un avenir avec lui.
Ce n'est pas le cas de Jules qui pourtant a toutes les qualités requises. Je sais qu'une relation avec lui ne durera pas.
Voilà le dilemme : je refuse de faire souffrir Jules mais je ne veux pas pour autant renoncer à Dilan...
La question pour moi n'est pas de savoir QUI choisir mais « comment les garder tous les deux sans trahir ni l'un ni l'autre »
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Kol, 26 ans, Paris
J'avoue que je suis mariée depuis un an et en couple depuis des années et très amoureuse. Mais j'avoue depuis peu je discute avec un ami et commence à avoir des sentiments et à penser à lui.
Que faire ? Arrêter d'y penser ?
Je risque de continuer à le croiser de toute façon alors difficile de l'oublier...
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Maya1868, 54 ans, Pfastatt
J'avoue que j'en ai ras le bol d'être seule, je ne me plais plus dans mon travail, seule depuis presque 4 ans. Quand cela va t-il s'arrêter ?
J'avoue, j'ai des douleurs de dos, une mycose qui ne veut pas partir, je me fais piquer par des insectes... c'est quoi la suite ?
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Nk, 18 ans, Lille
J'avoue que j'ai lu l'aveux d'Omelette sur Encanto aujourd'hui et je tiens a lui dire que je suis d'accord avec son avis.
J'avoue que j'ai bien ri aussi.
J'avoue qu'en ce moment je ne suis pas très bien et je me sens très seul. J'ai toujours eu du mal à me faire des amis et la seule personne qui m'aide à commencé à fréquenter une autre personne. J'avoue que j'ai peur de la perdre.
J'avoue aussi que j'ai la sensation d'être remplacée. Elle cherche sûrement la même nostalgie que j'avais avec elle au départ de notre relation.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Fleurdelotus, 40 ans, Perpignan
Ma santé décline chaque jour un peu plus. Aucun médicament n'a fonctionné avec moi à ce jour et tous les traitements que j'ai essayé car je suis devenue, malgré moi, une souris de laboratoire, ont empiré mon état. Quand on est malade, on se sent vraiment seul même si l'on est entouré. Personne ne me comprends, c'est dur d'expliquer ce que je ressens. Je garde la foi mais évidemment je souffre continuellement.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
User, 19 ans, Toulouse
J'en peux plus, tout ceux que j'aime me tourne le dos, je me confis, je leur parle, je leur explique pourquoi je vais mal, ils me rient au nez puis ils partent.
Et on en parle, de mon ex supposé m'aimer qui me dit que je suis trop grosse pour lui, que je devrais maigrir.
Mais non, tout ça on peut pas en parler, non car je suis la copine qui sourit, la copine qui n'a pas de problèmes, la copine qui va bien. Mais non ce n'ait pas vrai, je vais mal et personne ne s'en ai rendu compte, même pas mes parents.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Memmouna, 23 ans, Alfortville
J'avoue une gamine devant moi qui jouait bruyamment dans le train dit soudainement : "pouta, puta, putain !".
Sa mère la gronde et la réprimande sévèrement : " ça sort d'où ça ? On ne dit pas ce mot, jamais ! C'est interdit "
La fillette pleure, j'observe discrètement.

La mère poursuit : qui t'a appris ce mot ?
La fille : c'est toi !
La mère dans l'embarras le plus total, car il régnait un silence dans la voiture à ce moment.
"Oui j'ai pu le dire au volant, avoue la maman, mais il ne faut pas répéter ce mot. C'est une grosse bêtise et c'est de ma faute.

Quelle éducation !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Aude, 38 ans, Paris
J'avoue en ce moment, je fais une fixette sur les plantes et les fleurs. Je sais pas si c'est parce que c'est l'hiver et qu'il ne fait pas beau et qu'on est à Paris. J'avoue que j'ai besoin de verdure et de couleur autour de moi. Ça me fait l'effet d'une thérapie d'avoir des plantes autour de moi et ça me fait du bien au moral. C'est pas cher et je prend des plantes faciles d'entretien, des cactus et qui n'ont pas besoin de beaucoup d'eau. J'aime bien les voir évoluer, grandir, les toucher, les caresser, sauf les cactus ! Parfois on pense qu'elles sont pas bien, qu'elles sont parties mais un autre jour elles reviennent à la vie. C'est trop mignon.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Sakura, 24 ans, Rillieux
J'avoue, il y a quelques jours j'ai fais une rencontre sur le bon coin 😅.
J'avais posté des culottes, un homme m'a contacté pour les acheter portés au début j'étais pas d'accord et ensuite je me suis dis pourquoi pas je trouvais ça drôle, par la suite nous sommes ajoutés sur Snapchat.
Je me suis rendu du compte vite qu'il voulait que du sexe mais ça me plaisait.
Depuis deux jours j'ai plus de nouvelles et il a désactivé son compte, il me manque beaucoup... Mais je ne sais pas comment faire pour le retrouver !
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Honteuse, 35 ans, Gagny
J'avoue que j'ai appris qu'il m'a trompé. J'avoue que j'ai pu enfin avoir le dernier élément : il a fait l'amour à cette femme devant notre fille de 1 an et demi. Je suis sous le choc et je ne sais pas quoi faire et j'ai honte. Honte de lui, et honte de l'aimer encore.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami
Darkness, 17 ans, Paris
J'ai souhaité devant toute ma classe, la mort d'une des élèves. J'explique.
Je suis au lycée, et la semaine dernière notre professeur de musique nous a donné un projet. On devait écrire une chanson sur un sujet précis et la chanter devant toute la classe.
Comme c'était un projet en duo, je me suis mise avec Clotilde, l'une de mes amis. On s'était bien préparées et on était prêtes. Mais au moment de passer, le stress a pris le dessus et Clotilde s'est un peu trompée dans les paroles. Mais on a quand même pu bien terminer.
Dès que la prof est sortie, Célia,une élève considérée comme la meilleure en chant s'est mise à crier qu'on a cassé les oreilles de toute la classe. J'ai rien dit et j'ai laissé coulé. Le problème c'est que ses moqueries ont continué et que Clotilde commencait à s'en vouloir de s'être trompée.
Hier, elle s'en est encore moquée et j'ai craquée en lui disant qu'elle était nulle en mathématiques et qu'elle ferait mieux de s'améliorer au lieu de se moquer de nous ( je suis très douée en mathématiques) et comme elle continuait, j'ai ajouté qu'elle ferait mieux d'aller mourir.
Je ne regrette rien.
Voir les autres aveux de cette personne - Envoyer cet aveu à un ami

Page Suivante 

Recherche
Rechercher dans : Catégorie

© 1998 - 2025 Javoue.com - tous droits réservés
- Haut de page
Développement assuré par Gilou