| Les aveux ... |
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| Pooky, 19 ans, Lys |
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J'avoue que j'aime une personne c'est l'amour de ma vie. J'avoue que j'en aime une autre. J'avoue que je suis folle de ce garçon, je me sens si libre, je me sens si heureuse. J'avoue qu'il va se marier à la fin du mois. J'avoue que j'ai très mal au coeur. J'avoue que j'ai les boules. J'avoue que je l'aime. J'avoue que ce que je fais, est quelque chose d'horrible. J'avoue que je ne veux pas qu'il se marie. J'avoue que je m'en mords les doigts. J'avoue que ça fait du bien d'avouer et j'avoue jusqu'à la fin de ma vie que je l'aimerais même si il est avec une autre ! |
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| Quatreheuretreize, 19 ans, Paris |
| J'ai une amie que je connais depuis environ 7 ans. J'avoue, elle me fait un effet terrible. On a grandi ensemble et elle a toujours été là pour moi. J'avoue qu'au fur et à mesure des années elle est devenue de plus en plus belle et sexy. J'avoue qu'elle me plait teriblement, j'avoue que je suis jalouse de ces petits amis, j'avoue que quand je suis bourée, je veux coucher avec elle et je lui dis ouvertement que je l'aime. J'avoue qu'au début je pensais que c'était juste un coup de folie, j'avoue que quelque fois elle a peur de moi et qu'elle est 400% hétéro. J'avoue que je l'aime, je l'avoue, je suis bisexuelle issue d'une famille homophobe. |
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| Golgoth, 20 ans, Belgique |
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J'avoue que j'aime ma copine. Pourtant, j'avoue que quand j'apperçois une demoiselle dans la rue alors que je suis seul j'ai trop envie de lui sauter dessus et de coucher avec au coin d'un immeuble sombre ! J'avoue que c'est horrible mais le fantasme reste incroyable. Mais combien je l'aime ma copine. |
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| Ghost of butterfly, 17 ans, Mulhouse |
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J'avoue je l'aime. J'avoue il me rend folle. J'avoue je passe le plus de temps possible avec lui. J'avoue ce soir j'ai abandonné ma dissertation de philo en stade de redaction de conclusion et à rendre pour demain pour aller le voir. J'avoue il est mon pêché mignon. J'avoue je ne peux pas me passer de lui. J'avoue une semaine loin de lui est un supplice. J'avoue sans lui je ne suis rien. J'avoue je l'aime. J'avoue parfois je voudrais le quitter pour avoir un peu de temps à moi. J'avoue je me sens honteuse d'y penser. Mais je me demande si il pourra me le reprocher... J'avoue je l'aime, mon ordinateur ! |
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| L'indiscret, 27 ans, Metz |
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J'avoue qu'un jour, juste pour m'amuser, je me suis fais passer pour une inconnue en chatant avec ma copine. J'avoue qu'elle pensait parler avec une femme, et qu'elle m'a demandé des conseils intimes. J'avoue que c'est à ce moment là que j'ai découvert que ma copine était bi. J'avous que je suis tombé sur le cul en apprenant que ça faisait deux ans qu'elle me trompait avec sa "meilleure amie". J'avoue qu'un jour, j'ai installé une caméra dans notre chambre à son inssu. J'avoue que ça a porté ses fruits... J'avoue que quand je l'ai visionné, elle m'a surpris. J'avoue que ce soir là, on a fait l'amour comme des cinglés... |
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| Mwa, 15 ans, Hauts-de-Seine |
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J'avoue que quand j'ai vu ma classe cette année j'ai été complètement déprimée, mais, je l'avoue, le fait que la majorité des élèves soit masculine m'a un petit peu remonté le moral. J'avoue que, depuis le début, j'ai remarqué H., qui est tout à fait mon genre de garçon: mignon mais pas beau gosse, adorable, avec beaucoup de charme et un humour pourri (oui, j'adore ça) et qui en plus a exactement les mêmes goûts musicaux que moi. J'avoue que mardi dernier, jour de grève, on est une dizaine à avoir passé l'après-midi dans un centre commercial pas très loin de mon lycée. J'avoue qu'on a mangé au mcdo et qu'après, j'ai voulu sortir fumer une cigarette et qu'il m'a accompagnée. J'avoue qu'on est partis plus d'une demi-heure, qu'on a parlé, déliré dans les magasins et, je l'avoue, que j'en ai beaucoup profité pour le regarder dans les yeux, ce qui m'était rarement arrivé. J'avoue que H. a un regard magnifique et que cette demi-heure a été la plus agréable que j'ai passée depuis plusieurs jours. J'avoue que quand on a rejoint les autres, ça m'a déprimé. J'avoue que j'ai pensé à lui hier soir juste avant de m'endormir, ce qui n'est pas anodin. J'avoue que je crois que je veux sortir avec H. J'avoue que c'est un problème car je pense qu'il n'est pas intéressé. J'avoue que je n'ose pas faire le premier pas car s'il ne veut pas de moi, je sais que je me sentirai mal à chaque fois que je le verrai, ce qui est un problème puisqu'on est dans la même classe. J'avoue que la seule chose que je me sente capable de faire est d'attendre. Alors j'avoue que j'attends. |
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| Princesse64, 18 ans, Pau |
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J'avoue que je suis avec mon chéri depuis deux ans et demi et qu'on s'aime toujours très fort. J'avoue que j'ai eu ma première année de fac et que j'en suis fiere, de plus ce que je fais me plait énormément, et que comble du bonheur, je sais quoi faire de ces études plus tard. J'avoue qu'en plus de ça, cette année, j'ai eu mon permis et que j'ai pu m'acheter une voiture avec mes propres sous, et que c'est quand même bien agréable. J'avoue que j'adore les gens que je cotoie tous les jours et que ça fait du bien, que les gens qui m'apprécient me le disent parfois et que ça fait chaud au coeur, en plus c'est réciproque. J'avoue que j'adore ma meilleure amie et que je suis triste qu'elle soit loin de moi, j'aimerais bien qu'elle soit avec moi. Néanmoins je suis bien entourée. J'avoue que l'année commence bien. |
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| Guillaume, 20 ans, Lille |
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J'avoue en avoir marre de sentir la cigarette quand je rentre de soirée. J'avoue ne plus supporter me faire intoxiquer et subir les méfaits du tabac alors que je suis non fumeur. J'avoue penser sérieusement à militer contre ce fléau. |
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| Boobsman, 36 ans, Paris |
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J'avoue que j'avais promis à ma fille de l'emmener à la piscine un soir après l'école. Quand je l'ai récupérée à "l'heure des mamans" elle a couru vers moi en disant "papa, papa, est-ce que ma copine peut venir avec nous ?". Elles avaient l'air d'en avoir envie toutes les deux donc je me suis arrangé avec la maman de la copine. J'emmenais goûter les filles pendant que la maman allait préparer les affaires de sa fille et on se retrouvait devant l'école. Pendant que les filles étaient en train de goûter, la copine a commencé à dire "Est-ce que ma maman elle pourrait venir avec nous à la piscine ?" et comme elle insistait, j'ai appelé la maman pour lui passer sa fille. Finalement, la maman a accepté de venir avec nous. On s'est donc retrouvé tous les quatre à la piscine. On a chacun pris une cabine pour se changer, moi qui m'occupait de ma fille et la maman qui s'occupait de la sienne. Et là, dans la cabine, je me rends compte que les carreaux blancs qui tapissent les murs sont très brillants et qu'on peut se voir dedans mais également qu'on peut voir en reflet ce qui se passe dans la cabine voisine car la cloison qui sépare les cabines est espacée du mur d'environ cinq centimètres. Je me suis donc autorisé, pendant que j'habillais ma fille à contempler le déshabillage de la maman de sa copine. Et hop le pantalon, et hop la culotte, et bonjour le minou et voilà le maillot de bain, et hop le pull, et hop le soutien-gorge, et bonjour les petits seins, et bonjour la suite du maillot. Et voilà, elles ont été prêtes avant nous. On a tous bien nagé, les filles se sont éclatées. Et au bout de deux heures, il a fallu rentrer. On est donc revenu se changer et j'ai eu droit à la version à l'envers mais en mieux. Elle a habillé sa fille en premier, elle l'a fait sortir, puis elle a quitté son maillot, a enfilé sa culotte son pantalon puis son pull sans remettre de soutif... Comme tout le monde s'est amusé, on s'est dit qu'on recommencerait bientôt. Et je dois dire que pour moi c'est quand elle veut. |
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| Psychomachie, 26 ans, Babylone |
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J'avoue que j'en ai marre d'Ikea. J'en est marre de me tapper les bouchons à l'aller et au retour pour aller en banlieu (pourquoi il n'y a pas un magasin en centre-ville ?). J'en ai marre de passer des heures dans le labyrinte pour voir que tous les trucs biens sont hors de prix. Marre de noter des références à ralonge et des noms Suédois qu'on peut même pas prononcer. Marre de chercher dans la zone libre service les produits que je veux (avec les références à ralonge) et finir par découvrir que quelqu'un a pris avant moi les pieds de la table si jolie (et que du coup il faut reposer le plateau et retourner au magasin pour noter une autre référence d'une autre table). Marre d'attendre des heures les produits qui sont pas en libre service (ils peuvent pas mettre tout dans une seule zone !). Marre de porter les cartons. Marre de passer des heures à monter ces trucs, parce qu'en fait tu crois que tu achetes des meubles mais non c'est juste des planches avec des trous et des vis (si tu as du bol tu as toutes les vis). Marre de voir qu'à la fin du montage y a une planche qu'est pas dans le bon sens et qu'il faut tout recommencer. Marre de me niq... les mains à forcer sur le tournevis parce que la vis de mauvaise qualité rentre pas dans le trou. Et pour finir marre de tapper ce texte avec des ampoules plein les mains. |
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| Petitepuce, 17 ans, Paris |
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Aujourd'hui c'est mon anniversaire j'ai regardé l'eclipse avec des lunettes perimées, j'ai vu mes amis qui sont adorables, j'ai royalement mangé avec eux je me suis marrée, j'ai perdu mon gant en cuir qui vaut trop cher, j'ai eu un ami qui deviendra peut-être plus demain... Mais j'ai envie de pleurer je ne sais pas vraiment pourquoi !!! Ce mec dont je parle est génial mais on se dit tout ou par contre sens ou trop franchement alors c'est pas évident il n'y a pas de réel compliment... Je m'attache a lui mais je ne sais pas si lui oui car il ne fait que sous entendre des choses. Je suis dans un monde étrange et je ne comprends rien je vais être obligée d'attendre demain pour voir s'il va me pousser des ailes des vraies ! |
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| Résistante et insoumise, 28 ans, Bruxelles |
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J'avoue que je n'en peux plus de devoir bosser avec elle... Toute la journée, elle parle, encore et toujours, inlassablement, et ce pour ne dire que des imbécilités ! Je n'en peux plus, je suis vraiment au bord de la folie et je n'en peux plus de faire la gentille fille qui reste zen quoi qu'il arrive. Normalement, elle devait partir à la fin de son contrat de six mois, mais le boss a culpabilisé de l'avoir engueulée et elle a maintenant un contrat à durée indéterminée... Et moi j'hésite entre le suicide et le meurtre ! J'avoue que ce boulot, j'en rêve depuis que je suis gosse. Etre bouquiniste n'est peut-être pas très ambitieux, mais c'est ce que je voulais, et je suis contente de l'être dans mon magasin préféré ! Mais il a fallu qu'elle débarque... J'adore mon boulot, mes collègues, même les clients aussi chiant soient-ils, mais elle, ça passe vraiment pas ! J'avoue que l'idée de la voir demain me rend malade. Je reviens de vacances et, forcément, elle va me demander comment ça s'est passé, et j'ai pas envie de lui répondre, parce que de toute façon elle me coupera pour raconter ses vacances à elle ! J'avoue que la dernière fois qu'on s'est vu, elle s'est approchée de moi pour me faire un geste amical, et j'ai eu un mouvement de recul... Ca fait tellement longtemps que ça couve, tellement longtemps que je me tais en espérant qu'elle finisse par démissioner ou par avoir un accident de voiture, que j'arrive à un point de saturation que je n'avais jamais atteint auparavant. Rien que l'idée qu'elle puisse me toucher me file de l'urticaire. J'avoue que je n'ai pas envie d'aller bosser, juste parce que je n'ai pas envie ni de la voir, ni de l'entendre ! J'avoue que jamais je n'avais détesté quelqu'un comme je la déteste elle. Et j'aimerais beaucoup qu'elle sorte de ma vie parce que c'est épuisant d'haïr quelqu'un à ce point... J'en ai perdu le sommeil... J'avoue que j'en ai ras le bol !!! |
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| Par ici, 24 ans, Toulouse |
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J'avoue que j'ai droit à une augmentation et que je suis très contente. j'avoue que je ne l'ai pas dit à ma collegue et amie, car je sais qu'elle aussi en attend une depuis longtemps. j'avoue qu'après tout c'est pas moi qui décide, et que je n'ai pas forcé les choses. j'avoue que des fois ça me met mal à l'aise. |
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| Par ici, 24 ans, Toulouse |
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J'avoue que j'en ai marre des gens qui sont du style "fais ce que je te dis et pas ce que je fais" ! j'avoue qu'il y a une copine en particulier qui m'exaspère avec ça... J'avoue que je vais sûrement pas tarder à lui remettre les idées en place ! |
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| ShadowCat426, 17 ans, Paris |
| J'avoue que mon corps est très bizarrement fichu. J'avoue que quand mon Honey-chéri me fait des bizoux dans le cou et me léchouille l'oreille, j'ai des frissons et des guilis dans la fesse du même côté... J'avoue que ça faisait bien rire Honey. J'avoue que quand je lui ai fait le coup ça lui a fait le même effet. J'avoue qu'en fin de compte je dois pas être si mal fichue que ça ! En tous cas, on est au moins deux ! |
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| Bibi, 19 ans, Metz |
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J'avoue que je persiste à t'aimer mon petit ange. J'avoue que tu ne me facilite pas les choses lorsque j'ai affaire à tes crises d'ado. Ok depuis que nous nous sommes remis ensemble tu fais pas mal d'effort pour ne pas me reperdre mais saches que si tu reste autant egoïste, les choses n'avanceront plus malgré des millions d'efforts fournis. Penses un peu moins à toi, même carrément plus du tout et songe à celle qui t'aime et qui vit tout à côté de toi. J'avoue que même si je dis que je ne resterais pas, je suis assez folle pour persister et voir si tu vas changer un jour ou l'autre. J'avoue que lorsque tu me demandes pourquoi je reste avec toi, je reste béa car aucune reponse à part mon amour ne me vient. J'avoue que malgré tout cela. Je t'aime, je t'aime tellement. J'avoue que toi, mon Pout t'es une sacrée bestiole et que si je t'avais pas, la vie ne serait pas aussi délurée et belle sur notre nuage. |
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| Bonne mère, 28 ans, Paris |
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J'avoue que je suis une mère dévouée, limite parfaite, du moins j'essaie de l'être. J'avoue qu'en faisant les courses avec mon gamin, l'autre jour, j'étais dans un état d'esprit de bonne mère aimante moitié parfaite qui veut que ça se sache. Du coup quand, arrivés à la caisse, il m'a demandé d'acheter une de ces choses immondes de chez kinder avec nutella d'un côté et gâteau de l'autre, trempez mélangez, hop... J'avoue que je n'ai pu m'empêcher de faire mon speech de la bonne mère et d'expliquer à haute et intelligible voix, tant qu'à faire autant que tout un chacun profite de mes conseils avisés : mon petit bonhomme, on devient ce qu'on mange, et ça c'est du gras et du sucre hein... Ca fabrique des enfants obèses, ça, beurk beurk, mange une pomme, n'importe quoi, mais pas ce genre de cochoncetés, hein ! Sinon tu vas devenir une grosse patate ! (Et mon môme de rire à cette idée imagée... et moi de me réjouir d'avoir su si bien passer le message éducatif, sisisi...). J'avoue que je n'ai plus ouvert la bouche ensuite. Mon tour était venu et j'apercevais la caissière. Un monstre de 130 kilos au moins, en veste rouge champion, qui me fusillait littéralement du regard. Si, avec tout un public derrière elle, en plus. Il y a pire. J'avoue que tout de même, moi qui fume et qui me fais régulièrement harceler de remarques genre : "tu vas te tuer", "t'aimes pas tes mômes ou quoi"... La pensée de pouvoir à mon tour un jour fustiger publiquement un obèse au motif qu'il est lui aussi en train de se tuer et que "arrête de bouffer grosse truie" par exemple... Bein cette idée me réjouit grave, au fond. J'avoue donc avoir eu du plaisir à penser que j'avais eu raison ce jour là d'humilier involontairement cette caissière, et qu'elle avait qu'à moins bouffer, d'abord, zut. J'avoue que je suis mauvaise, méchante, mais bonne mère avant tout. ->  Meilleur Aveu <- |
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| Coccinelle, 19 ans, Lausanne |
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J'avoue, samedi matin, faisant le marché avec mon amoureux et ma mère, j'ai croisé un ex. Je suis sorti avec lui lorque j'avais 17 ans, il en avait 31 et je ne mens pas quand je dis que c'est un des meilleurs coups de tout Lausanne. De toute la Suisse même. Quand je l'ai connu, on portait les mêmes Converse, on passait nos journées au lit et la nuit on allait danser corps à corps en boîte. Alors je passe près de lui et il me lance un regard très évoquateur. Biensûr ma mère me fait : "Ouh... tu as vu comme il t'a regardé ?". Et mon copain qui a tout entendu fait : "Tu le connais ?". Alors moi je fais : "Mon chou, c'est un débile que j'ai quitté parce qu'il puait la clope." Je lui ai souri et on a continué nos courses main dans la main. |
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| Logique, 20 ans, Melun |
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J'avoue après mon téléphone, une chaussure dans le train, ma facade de poste radio... Je viens de perde mon appareil photo numérique cadeau des mes 20 ans. J'en suis folle et j'espère retrouver ça vite. Parce que un jour ça va finir par être moi que je vais perdre... |
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| Kristel, 18 ans, Lyon |
| Alors que je ne cherche personne et n'attend personne, voilà que je le rencontre ! Et que je ne sais rien de lui et ne le reverrais peut-être jamais ! Alors toi qui était à l'Hôtel-Dieu jeudi 29 septembre vers 15h pour ta visite médicale du travail, je te cherche, fais-moi signe... Tu as de beaux yeux bleus, on s'est regardés et souris, et depuis tu te balades dans mes pensées... pourquoi ??? |
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| C'est magique, 24 ans, Paris |
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J'avoue avoir un taf qui me plait. J'avoue être indépendant financièrement à 24 ans. J'avoue louer un appart sympa en plein Paris. J'avoue être en bonne santé. J'avoue avoir peu d'amis, mais que des bons sur qui compter. J'avoue que bien des gens envieraient ma situation. J'avoue que malgrès ça il me manque quelque chose. Ou quelqu'un. |
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| Djowkeur, 17 ans, Lille |
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Il va vraiment falloir que j'avoue à T. que je l'aime. Eh oui, ça fait quand même un an que je la connais, un an que je veux sortir avec. Bon pas exactement, entre deux je me suis dit que c'était mort donc j'ai lâché l'affaire, j'ai eu d'autres petites amies, pas des dizaines non plus, maintenant c'est la rentrée et je suis de nouveau célibataire. Et là, bam ! Je retombe amoureux de T., comme il y a un an. Le problème -si c'en est un-, c'est que je l'aime... Les filles que je "n'aime pas", je les drague sans problème car je m'en fiche de me prendre un rateau ou pas. Mais là je n'ai vraiment pas envie de me prendre un rateau... Quelques indices peuvent me laisser penser que je ne laisse pas T. indifférente... Mais il n'y en a pas assez à mon goût. Ou peut-être que ces indices sont largement suffisants et que je n'ai pas confiance en moi. Je pense plutôt que c'est ça... Je n'ai pas peur de lui avouer que je l'aime, le problème c'est de trouver le bon moment. Et le bon moment il n'est jamais là parce qu'on est jamais seuls... Alors je me creuse la tête pour trouver comment lui avouer... Je n'en dors plus. Je ne pense plus qu'à toi T. Je t'aime. Alors je ferais tout pour qu'on soit enfin ensemble... |
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| Deut, 19 ans, Nancy |
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J'avoue que je ne voulais pas y croire mais le fait est que je serais toujours amoureuse de lui après cinq mois merveilleux, il est parti et je pense que c'est avec raison que je dis que c'est fini et pourtant je l'aime encore et toujours... Moi qui ne jurait que par érasmus, je commence à plus trop aimer ce programme. Mon amoureux est en suède (c'est vraiment près) et il n'en a plus rien à faire de moi, je me traine comme un poids à ses pieds et lui, rien à foutre "fallait pas t'attendre à mieux" il m'a clairement dit que je devais retrouver quelqu'un d'autre, qu'au bout d'un an ça l'étonnerait qu'on se remette ensemble, et je sais que A. serait bien content que je me décide, mais je vais encore tout rater. Pourquoi j'ai pas le droit d'être heureuse en amour ? |
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| Batman, 24 ans, Paris |
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J'avoue avoir voulu fêter la fin d'année avec mes amis de fac en organisant un barbecue devant nos appartements, à côté d'un gymnase. J'avoue que ne pas avoir lésiné sur l'alcool ce soir là, tout comme mes compagnons de beuverie. J'avoue avoir vu des lumières de lampes torche dans le gymnase alors que nous entamions notre deuxième cuvée d'alcool. J'avoue m'être abondamment moqué du pauvre bonhomme qui tentait de changer les fusibles du gymnase au beau milieu de la nuit. J'avoue que nous nous sommes tous sentis très cons quand les gendarmes nous ont demandé le lendemain comment nous avions pu faire un barbecue toute la nuit sans nous rendre compte que le gymnase se faisait cambrioler. J'avoue que l'expression de consternation du gendarme me hante encore aujourd'hui. -> Meilleur Aveu <- |
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| David, 25 ans, Strasbourg |
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J'avoue être toujours raide dingue de mon Ex. Ce n'est pas bien, je n'arrive pas à tourner la page, elle m'a hypnotisé... Je ne sais pas si je l'aime plus que je ne la hais ou si je la hais plus que je ne l'aime. J'aimerais rencontrer quelqu'un d'autre mais je n'arrive pas sa pensée m'obsède, me hante, j'aimerai aller à sa rencontre lui dire ce que j'ai sur le coeur, la souffrance que j'endure, mais j'ai peur de souffrir davantage donc j'essaie de prendre sur moi mais je craque... Marre d'être seul, de devoir affronter cela seul. J'ai l'impression de ne pas m'en sortir, de m'enfoncer encore plus, de me faire du mal, je me sens terriblement délaissé, sans affection... Espérant toujours qu'elle revienne vers moi, qu'elle comble ce manque mais il ne se passe rien et je me pourris la vie. Je n'y arriverai pas. |
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